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(LEMY) We can dance in desire.

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We can dance in desire
ROMY & LEWIS

Lewis et moi, on fait partie de ceux qu'on décrit comme de la mauvaise graine. On est de ceux en qui personne n'ose poser d'espoirs parce qu'on se dit qu'un jour où l'autre, on finira par récolter ce qu'on sème. Parce qu'apparemment on fait tout de travers, on joue avec le feu. Parce qu'on est de ceux qui ne paient pas lorsqu'ils vont boire un verre, de ceux qui ne surveillent pas leur langage, de ceux qui ne prétendent pas être complètement désintéressés. On est de ceux en qui on refuse d'avoir confiance alors qu'au final je suis prête à parier qu'il n'y a pas plus sincères que nous. On triche, on vole, ouais, mais on ne ment pas. Ni aux autres, ni à nous-même. Je joue pas les saintes avec Lewis. Je vais pas détourner le regard face lui, faussement gênée par ses propositions et ses allusions, alors que tout ce que j'attends c'est qu'il m'attrape par la taille et me serre contre lui. Qu'il me fasse taire en scellant nos lèvres dans un baiser, ne les quittant que le temps de me laisser prononcer son nom dans un soupire. Il n'a qu'à plonger son regard dans le mien pour y lire le désir, poser ses doigts sur ma peau chaude pour effleurer le feu qui brûle en moi. Ses coups d'oeil aux tendance libidineuses ne font que refléter mes propres envies mais aussi un avant goût de la seconde partie de la soirée. J'en ai un léger frisson dans le bas du dos en y pensant. Puis il m'attrape la main et nous voilà perdus dans la foule, emportés dans le tourbillon de l'aventure. Je laisse échapper un rire de temps en temps, d'autant plus lorsque je me rends compte du sérieux de Lewis quand à la situation. Il sait ce qu'il fait, alors moi je lui fais confiance, je ne fais que le suivre. Je le suivrais les yeux fermés s'il le fallait. Ca devrait m'étonner, éveiller ma méfiance. J'accord pas facilement ma confiance alors pourquoi est-ce que je suis autant sereine en compagnie de Lewis ? Pourquoi est-ce qu'il n'y a pas cette petite alarme qui résonne parfois en moi pour me prévenir des dangers à venir ? Je suppose que c'est parce que je sais qu'il me trahira jamais Lewis. Que c'est pas le genre de mec à partir du jour au lendemain sans laisser de nouvelles - pas comme moi quoi. Que c'est pas non plus le genre de mec à se taper ta soeur dans ton dos. Je sais même pas pourquoi je pense à ça. Pourquoi je me prends la tête avec de telles pensées. En réalité, je demande pas grand chose. Juste qu'il ne lâche plus ma main alors qu'il m’emmène dans sa fuite et qu'on se s'arrête jamais de courir. Cette adrénaline que je ressens avec Lewis, je veux pas qu'elle me quitte, je veux qu'elle me colle à la peau. J'ai l'impression qu'on est invincibles, que rien ne peut nous arrêter alors que nous disparaissons à chaque coin de ruelle. Regardez nous, le monde nous attend, le monde nous appartient. Puis notre course prend fin et je peux reprendre mon souffle. Je lâche une petite blague par rapport à notre déli de fuite et voilà qu'il me pousse contre un mur me dominant de son corps alors que ses bras m'emprisonnent face à lui. Son visage est tout près du mien et mon coeur fait un bon dans ma poitrine à chaque fois qu'il se rapproche de moi. « Mmh, je vois, je pense que j'ai ma petite idée. » je glisse à mon tour, léger sourire aux lèvres. Et moi je fixe les siennes, je les imagine parcourir ma peau nue, mon corps danser contre le sien. J'aurais envie qu'il réduise à néant la distance qui reste entre nous, mais il s'éloigne de moi, me laissant là contre ce mur, le souffle court et l'esprit encore engourdi. Je pince mes lèvres pour pas jurer. Il me fait un de ces effets, ça me rend dingue. Et le pire dans l'histoire, c'est qu'il le sait et qu'il s'en amuse. J'arque un sourcil et lui lance à mon tour un regard provocateur. « J'arrive. » je réponds simplement. Je ne lui ferais pas le plaisir de lui faire remarquer qu'il me retourne complètement quand il me fait des coups comme ça. Non, je vais garder le silence de lui rentre la pareille une fois qu'on sera juste tous les deux. Moi aussi je peux jouer à son petit jeu. Je le rattrape alors en quelques pas et regarde autour de moi. « Si je me rappelle bien, t'habite pas loin c'est ça ? » je lui lance, une image très précise de son appartement flottant dans mon esprit. De sa chambre surtout. « Le premier qui arrive a gagné ! » je rajoute furtivement avant de prendre la fuite sous ses yeux. J'ai de l'avance sur lui, il doit encore être en train de se questionner sur ce qui vient de se passer. Mais lui il connait bien le quartier, donc il a l'avantage de connaître le terrain. On verra bien qui l'emportera. Et quoi.

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En cet instant elle était une femme vulnérable, dominée, et envoûtée. Elle était de ces femmes qui succombent à des plaisirs, le genre de désir qui transpire pas tous les pores de la peau. Entre tes bras, prisonnière de votre désir, de l'alchimie. Tu ne voyais pas réellement son envie, tu ne pouvais pas écouter ses pensées mais au fond de toi, tu la sentais. Tu sentais ce qu'elle te disait, tu sentais ce qu'elle te demandait. Silencieuse et criarde à la fois. Bien que vos moments étaient différents, tu aimais la sentir comme ça. Quémandeuse, attirée, impatiente. Tu ne pouvais t'empêcher de te sentir fort et puissant, dominant. T'aimais lorsqu'elles te crient de continuer, lorsqu'elles susurrent ton prénom pour en avoir plus. T'as toujours aimé sentir les peaux frissonner sous tes mains, sous tes baisers. Pouvoir toucher le désir du bout des doigts, les voir s'abandonner, perdre la raison et ne faire qu'un lors d'un court instant. T'as aimé des femmes, le temps d'une nuit, de plaisir. T'en as aimé à la pelle, elles te rappellent, tu préfères que ce soit éphémère. Mais Romy, Romy elle était régulière. Et sous l'ombre de ton corps, contre ce mur, t'avais envie de te coller contre sa peau, de te sentir en elle. Elle avait un je ne sais quoi dans sa manière de faire, ce je ne sais quoi qui te rappelais le danger. Coucher avec elle, c'était ne former qu'un tout. C'était doux et dur, passionné et enlacé, animal presque trop bestial. C'était se connaître sans parler. Et tu te souvenais d'avant, il y a à peu près un an, qu'elle te faisait peur. Le genre de sentiment que tu connaissais pas vraiment, sans trop savoir pourquoi, c'était une mise en alerte. Alors t'avais aimé la voir fuir, c'était oublier le surplus de sentiments au creux de ton ventre. Et à cet instant, t'aimerais plutôt te mettre une balle que d'imaginer une seconde une putain de réalité. Mais tu ne pouvais pas trop résister, et sous le poids de ton désir grandissant, tu ne pouvais que te résigner à un seul fait: Romy t'avait manqué, à ta manière. Tu t'éloignais d'elle comme on peut fuir la peste, parce qu'elle était dangereuse pour plusieurs raisons.. malheureusement elles ne sont pas toutes bonnes. Dans la rue, là tous les deux, elle te proposait de rentrer chez toi. Tu finissais par sourire, t'allais avoir ce que tu souhaitais. Tu voulais lui donner du plaisir à n'en plus finir, qu'elle se souvienne de toi comme une maladie. "Tu te souviens bien, c'est que t'as une bonne mémoire Oswald". T'aimais la taquiner, tu levais un sourcil en la voyant fuguer, seule. Elle voulait faire la course, alors il fallait se dépêcher. Lewis, t'allais courir derrière ton plaisir, t'allais chercher au bout du chemin une certaine délivrance. Parce que putain, ça commençait à t'obséder. Ouais, ton plaisir te rendait fou. Elle te rendait dingue. Un genre nouveau de maladie, le genre qui donne envie qu'on te rappelle demain. Mais tu courrais après elle sans trop de difficultés, tu venais la saisir par la taille, tu coupais sa course. Romy aussi elle était là à se dépêcher, affolée par vos envies assumées. Tu la prenais violemment par la taille, tu l'approchais de toi. Tu devais avoir le dernier mot, parce que t'aimais bien avoir le dessus. C'était comme ça, plus fort que toi. T'étais pas vraiment machiste Lewis, mais tu ne pouvais pas t'empêcher d'avoir raison, de faire tourner les têtes, d'avoir le dernier mort... par fierté. Alors là, tenant sa taille, tu venais poser tes lèvres sur les siennes. Doucement, doucement sans trop les attacher, sans trop les sceller. Tes lèvres qui soufflait sur les siennes, un appel à l'amour. L'amour, celui que tu connais du moins. C'est-à-dire l'amour de la nuit, du plaisir, l'amour sans trop d'amour. Et tu repartais, tu la lâchais comme un coup de vent. T'étais venu la troubler, et tu courrais chez toi à vive allure. Tu te retournais pas, tu tournais à gauche, ensuite à droite, tu voyais les gens qui te regardaient. Ouais, tu courrais. Et bordel, tu te sentais un peu plus libre.
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ROMY & LEWIS

On dit qu'il n'y a pas de fumée sans feu, or depuis qu'on s'est recroisés, Lewis ne cesse de faire des étincelles en attisant chaque parcelle de mon corps. Je me sens inexorablement attirée vers lui, comme un aimant, comme happée par le désir. Des hommes qui vous laissent sans dessus dessous, il y en a presque à tous les coin de rues j'ai envie de dire. Sans pour autant être une fille spécialement facile, j'ai déjà partagé bon nombre de mes nuits avec certains d'entre eux, mais voilà, un mec comme Lewis, il y en a pas deux. Son air de sale gosse, ses regards langoureux sa façon de voir la vie similaire à la mienne, ce sont toutes ces choses qui ne peuvent pas me laisser indifférente face à lui. Déjà l'année dernière je ne comprenais pas ce qu'il se passait entre lui et moi. Comme si je m'étais réveillée pour découvrir du jour au lendemain que Lewis c'est pas juste le type avec qui j'ai passé un bon moment, mais plutôt celui dont je ne peux plus me passer. Je me souviens que ça m'avait fait peur à l'époque, que j'arrêtais pas de me convaincre que c'était juste une réaction chimique, qu'il devait y avoir une explication logique. Que le manque n'était que physique. Parfois, j'essayais d'oublier ses caresses dans les bras d'un autre, mais cela n'empêchait qu'une fois seule, c'était à nouveau lui que je voulais. Lui et cette façon qu'il avait de me rendre spéciale, vivante, forte. Mais aussi faible et vulnérable. Vulnérable lorsqu'il s'éloigne de moi, lorsqu'il me laisse dans le froid, des fantasmes plein la tête. J'ai l'impression qu'il m'arrache le coeur, qui me vole ce qui m'est du quand il fait ça. Comme s'il reprenait le pouvoir qu'il m'avait donné en chuchotant mon prénom sous ses draps. Je me sens frustrée, j'ai envie de l'attraper et de le forcer à me regarder, à me toucher. Qu'il prenne possession de mon corps contre ce mur. N'est-ce pas ce qu'il veut lui aussi ? N'est-ce pas ce qu'il a cherché à me dire depuis qu'on s'est recroisés ? J'en sais rien, en tout cas il me file entre les doigts. Du coup je me sens mal, comme essoufflée, comme si le manque qui se formait dans le creux de mon ventre allait m'engloutir et m'ensevelir. Alors je reprends les devant, j'arrive à sa hauteur, puis je le double et le défie d'arriver avant moi à son appartement. Je m'invite donc chez lui, et j'attends pas sa réponse. Je prends de l'avance, je cours sans m'arrêter. J'ai beau m'éloigner de lui, je sais qu'au final c'est pour mieux m'en rapprocher. Je sais que c'est pour qu'on puisse se retrouver et dans un sens je fais ça pour qu'on arrête de flâner, parce que l'impatience me brûle de l'intérieur. Lewis s'amuse avec mes nerfs depuis tout-à-l'heure et ça marche. Très franchement, il pourrait faire ce qu'il veut de moi à l'heure qu'il est et ça me rend dingue. Alors j'ai à mon tour pris la fuite face à lui, je l'ai obligé à courir pour obtenir le fruit de son désir. Je peux pas m'empêcher de rire, alors que je le sens dans mon dos. J'aime donner l'impression d'être inaccessible, j'aime essayer de le rendre aussi dingue qu'il me rend dingue. Voilà Lewis, maintenant tu sais ce que ça fait d'être privé de l'objet de son désir. D'être privé de plaisir. Je fais de mon mieux pour lui filer entre les doigts, sauf qu'il n'en démord pas. Il n'a pas finit de me torturer car le voilà qui m'attrape fermement par la taille. Je sursaute, je laisse échapper un cri, encore enfiévrée par cette course effrénée. Je me retourne brusquement alors qu'il me rapproche de lui et je lui lance un regard enflammé. C'est bon, il en a marre de jouer au chat et à la souris ? C'est ce que je me dis lorsqu'il vient effleurer mes lèvres des siennes dans un semblant de baiser. Les yeux clos, je lève mes mains vers son visage pour l'enfermer contre moi et lui retirer tout possibiltié d'évasion, mais je me rends compte qu'il a déjà disparu, comme évanoui. Il a à nouveau filé. Et l'espace d'un instant, je me demande s'il ne cherche pas à se venger. Se venger de mon départ, du fait que j'ai pu le laisser ici sans un seul regret ou un regard en arrière. Je me dis que je comprends un peu mieux pourquoi on m'en a tant voulu de partir. Car là j'ai juste envie de l'assassiner. Je crois que mon corps va lâcher. Que mon esprit va dérailler. Alors que lui il s'envole, certainement soulagé, moi j'ai l'impression d'être clouée au sol, toujours plus paumée. Du coup je décide qu'il est temps pour lui d'arrêter de jouer, d'arrêter de se jouer de moi et je lui cours après de plus belle. Je sais pas par où il est passé mais ça change rien. Je vais le retrouver et je vais plus le lâcher. Ma détermination à mettre la main sur Lewis m'aide à retrouver le chemin sans trop d'encombres et alors que je me trouve à quelques mètres de la porte de son appart, je le vois qui arrive de l'autre côté. Comme on se retrouve. J'arrête alors de courir le temps de lui faire à nouveau face l'espace d'une seconde. Je déteste me sentir à ce point dépendante de lui. De devoir lui courir après car il est acteur de mes fantasmes les plus fous. Je te veux Lewis, c'est ça que tu veux entendre ? Je veux pouvoir t'embrasser jusqu'à en perdre le souffle, te serrer contre moi, parcourir ton corps de mes lèvres et m'abandonner dans tes bras. Mais tout ça tu le sais déjà. Alors maintenant je cours jusqu'à la porte de l'appartement pour finalement y poser ma main, en espérant tout de même que ses colocs ne viennent pas m'ouvrir.

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Tu l'avais planté là au milieu de la rue, au milieu des gens. Tu l'avais marqué au fer rouge, elle était à toi. Elle portait le nouveau rouge à lèvre "désir obscure by lewis holloway", ta marque de fabrique. Elle était unique, juste pour elle, juste pour ce moment. Puis comme l'emporte le vent, tu t'étais envolé vers d'autres horizons pour mieux vous retrouver. Tu courrais, tu courrais et t'en avais presque le souffle coupé. T'avais des milliers de pensées qui te tourmentaient, qui défilaient à une rapidité affolante. Le truc c'est quand étant surdoué, t'avais cette capacité à analyser plus vite, à réfléchir plus vite. Parfois, ça pouvait te rendre fou et beaucoup de personnes te trouvaient incompréhensible. Mais à cet instant, ça ne faisait qu'accroître ton désir, tes pensées dirigées par le plaisir. Chaque pas était l'avancée pour l'acheminement d'un supplice. T'allais la retrouver, le temps d'un instant, entre tes bras trop froid. Tu courrais, si vite, si vite que t'oubliais le reste. Plus grand chose n'avait d'importance et cette sensation de légèreté, tu ne la connaissais pas assez. T'avais l'impression de trouver un gamin en toi, de trouver un peu de rêverie. Alors bien sûr, ce n'était qu'une illusion et légèrement étrange étant donné que tu pensais aux plaisirs charnels. Mais en courant, là, le béton foulé sous tes pieds, t'étais comme un gosse. T'allais vers la friandise sans te soucier du reste. Ces derniers temps, ça n'avait pas été très marrant pour toi. La vie devenait de plus en plus monotone, les coups d'un soir également. Elles étaient toutes pareilles, et par dessus tout, tu avais perdu Darcy. Darcy tu l'aimais bien, c'était un peu une nouvelle Romy quand tu l'avais rencontré. Sauf qu'elle était un peu trop bancale, un peu trop fragile. Elle tenait moins à la vie que toi, du coup, Darcy elle avait pris la décision de s'envoyer en l'air. Dans le genre, nuit d'amour avec la mort. Alors ouais, la vie c'était pas la joie. T'avais besoin de ça, de cet instant, cet instant où tu pensais tellement que finalement, tu ne peux pas t'accrocher à des mots, à ces phrases trop insistante. Tu n'étais plus très loin de chez toi, et tu sentais ton corps frissonner. T'étais excitée, par le désir, par ces retrouvailles. T'avais le sourire, et ça, ça c'était pas toujours gagné chez toi Lewis. Mais c'était Romy, et pendant un court moment, tu te serais surpris à lui dire merci. Merci d'être en vie, merci d'être avec moi, là. Merci Romy, merci d'être toi et d'me montrer que j'suis pas qu'un mec qui donne du plaisir. Parce que là, devant toi, face à face, tu pouvais sentir quelque chose d'autre. C'était ce truc effrayant d'il y a un an. Ce truc qui t'a rattrapé plus vite que la mort. Ces sentiments, mélangeaient, indéchiffrable. Elle était là devant toi, et comme une claque monumentale, tu tombais à terre. Ouais, tu serais tombée si la claque n'était pas qu'un simple coup de vent. Une tornade. Mais une tornade sur le visage, ça fait mal. C'était un élan de réalité et d'espoir, un peu d'espoir. Tu connaissais pas vraiment ce truc, tu te demandais toujours comment on pouvait en avoir. Grand garçon baignant dans une lucidité débordante. Elle repartait de plus belle dans sa course, et toi tu la suivais de près. Elle montait les escaliers, tu regardais son joli fessier. Ouais, t'avais pas à te priver d'un si beau spectacle. Romy était là, devant la porte, la main posée comme un coureur touche sa médaille. Elle était belle de dos, elle était belle de face, elle était belle toute nue, elle était belle surtout quand elle était seins nus. Tu t'approchais doucement de son corps, tu sentais ton coeur battre si fort à cause de l'effort, tu reprenais ton souffle dans son cou. Tu te glissais lentement contre elle, tu laissais ta main droite rejoindre la poignée avec la clé. Et de la main gauche, tu venais encercler sa taille. Tu laissais tes doigts vagabonder. "Je dois avouer, je suis impressionné, tu n'as pas oublié où se trouvait mon appartement". Tu lui susurrais à l'oreille, t'ouvrais la porte lentement. Tu la faisais languir, tu la sentais impatiente. Et putain, ça t'excitais comme jamais. Tu la voyais là, à ta portée, dominée à nouveau envoûtée. T'avais presque envie de lui dire des mots doux, le genre de choses qu'on dit avec le coeur. Mais c'était pas vraiment toi, alors tu te te contentais de déposer des baisers sur son épaule. Puis d'un coup sec, t'ouvrais la porte et tu te détachais de Romy. Tu la retournais contre toi, tu la regardais dans les yeux. "Bonne nouvelle, on a l'appartement pour nous" le sourire malicieux et heureux. Ouais, vous aviez toujours l'habitude de laisser la porte ouverte quand quelqu'un était à l'intérieur. Sauf la nuit en fait. Quoi qu'avec toi qui perdait souvent tes clés, et tes soirées, c'était rarement fermé. Mais là, corps contre corps, tu te collais à elle. Tu venais la coincer Romy, ouais, tu la coinçais entre toi et la porte d'entrée. Tu l'observais, tu lui disais avec les yeux qu'elle te rendait fou. Tu lui disais avec tes lèvres que tu n'attendais plus qu'elle. Tu lui disais avec ton souffle que c'était la plus belle. Et de tes mains, tu venais finir ce jeu et cet écart. T'encerclais son visage, plus sûr que jamais de ce que tu allais faire. Lèvres contre lèvres, corps contre corps, souffle contre souffle. Désir mélangé, partagé. Amour éphémère désabusé toujours.
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ROMY & LEWIS

La main sur la porte, les cheveux en bataille, le coeur qui palpite, j'ai presque du mal à me rendre compte de tout ce qui vient de se passer. De cette course poursuite à travers les rues. De tout ce que j'ai pu ressentir envers Lewis en seulement quelques minutes. Du fait que j'ai tout de même finit par gagner et arriver la première à l'arrivée. De ce qui va pouvoir se passer maintenant. Je reste face à cette porte, comme si finalement je voulais encore profiter de cette sensation de frustration qui m'accablait depuis que Lewis m'avait approchée, effleurée dans cette rue. Cette sensation qui fait à la fois un mal de chien et un bien fou. Cette sensation de désir intense. Le genre de désir à vous couper le souffle, qui vous rend faible, complètement dépendant. Ce désir qui vous brûle, qui vous consume, qui vient du plus profond de votre être et qui vous lâche pas tant que vous l'avez pas assouvi. C'en devient presque un besoin, quelque chose d'animal, de vital. Ouais, ça fait mal et en même temps, c'est complètement enivrant dès l'instant où on se rend compte que c'est bientôt la fin de la torture, que la délivrance va finir par arriver. C'est ce que je ressens à cet instant, alors que j'ai les yeux fermés et le front appuyé contre la porte de l'appartement de Lewis. Je l'entends reprendre son souffle derrière moi, ses pas qui se rapprochent doucement, tel un fauve qui s'apprête à sauter sur sa proie. Je peux sentir son souffle chaud dans ma nuque et dans mon cou. Chaque parcelle de mon corps réagi alors qu'il me frôle et que sa main vient encercler ma taille. Les yeux mi clos, mon visage essaye de trouver le sien alors qu'il me murmure à l'oreille. Je me mords les lèvres, j'ai l'impression que chaque seconde dure alors des minutes. Ce supplice pendra-t-il fin ? Les battements de mon coeur ont-ils toujours été autant assourdissants ? J'en sais rien, j'ai l'impression que le monde ne tourne plus rond, ou plutôt qu'il tourne plus fort. Tellement fort que le temps fini par se perdre et ne plus avoir le même impact. « C'est parce qu'il y avait une récompense à la clé. » je chuchote à mon tour. J'ai la tête qui tourne. Ma joue contre la sienne, je profite de ce peu de contact qu'il daigne m'accorder. Dans mon dos, son corps est encore trop loin pour moi malgré qu'il me surplombe sur la porte de son appartement. Il sait que j'en veux plus, que j'en voudrais toujours plus mais il prend son temps. Il flâne Lewis, il s'attarde. Ses lèvres déposent des baisers brûlants sur mon épaule et ma tête bascule légèrement en arrière, savourant le passage indélébile de ses lèvres sur ma peau. Bordel mais qu'est-ce qu'il m'a fait ? Il a du me jeter un sort, autrement je comprends pas. Dix minutes en sa compagnie auront suffit à me soumettre à nos désirs mutuels, à faire de moi la Romy de Lewis. Puis soudain, la porte s'ouvre face à moi et Lewis me retourne contre lui. Heureusement, il m'annonce qu'il n'y a personne à la maison et que c'est donc bien lui qui a ouvert la porte et pas sa soeur. Soupire de soulagement. J'aurais presque envie de me moquer de moi-même. Mais je suis trop occupée à me perdre dans le regard de Lewis. Mon coeur manque un battement, je déglutis avec difficulté. « Ca tombe bien, je veux pas qu'on soit dérangés toi et moi. » je finis par dire. Ca nous, je veux pas qu'on nous dérange. Je veux pas que qui que ce soit vienne mettre fin à notre moment. Ce pourquoi j'ai l'impression de mourir actuellement tellement l'attente est insoutenable. Je sais pas comment il fait Lewis, comment il fait pour rester maître de lui, maître de son désir. Car je peux voir dans son regard que lui aussi il en crève d'envie. Ses lèvres appellent les miennes, sont corps appelle le mien et je sens qu'on va pas résister encore longtemps. Qu'il va pas me résister encore longtemps alors qu'il maintiens mon corps sur cette porte, comme s'il cherchait à m'empêcher de m'envoller à mon tour. La pression qu'il exerce sur moi accélère mon souffle. Bordel Lewis, tu veux me rendre folle. Tu veux que je perde la tête, parce que je ne suis plus en capacité de réfléchir depuis que tu me dévore des yeux. Je suis tienne alors qu'est-ce que t'attends ? Plus rien, car il m'embrasse enfin, coupant court ce petit jeu qui s'était installé entre nous. Mes mains glissent dans sa nuque et je lui rends ses baisers avec toujours plus de passion, comme si c'était devenu une question de survie d'être en contact avec lui. Parce que je sens que rien n'est suffisant, qu'il m'en faut toujours plus. Mes doigts ont beau s'accrocher dans ses cheveux, ma langue rencontrer la sienne, j'ai l'impression d'être toujours plus assoiffée, plus dépendante de lui. C'est ça, je peux pas me passer de lui. Lewis, l'objet de mon désir. Lewis, ma force, ma faiblesse. Lewis mon double, mon tout. Lewis, tu te rends pas compte de ce que tu représente pour moi. Moi non plus d'ailleurs car ce que je pense savoir n'est qu'une infime partie de la réalité. Alors nos lèvres se séparent dans un dernier baiser, le temps pour moi de lui lancer le genre de regard qui veut tout dire. Le genre de regard qui veut dire "toi et moi on va passer une bonne soirée". Je laisse glisser mes mains le long de son dos alors qu'elles cherchent le bas de son t-shirt pour pouvoir se faufiler dessous et pleinement profiter du contact avec sa peau. Puis mon rouge à lèvre vient laisser sa trace sur sa mâchoire et descend jusque  dans son cou. Lewis, je veux que tu te souvienne de cet instant, je veux que tu te souvienne de moi. Je veux laisser une marque inaltérable, éternelle sur ton corps et ton esprit.

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Tu rodais autour d'elle, tu l'observais, tu la sentais. De tes yeux bleus assassins, tu posais un regard dominant et curieux. T'étais là, collé contre elle, comme un serpent s'enroule autour de sa proie pour lui couper le souffle, pour lui couper la vie. T'étais l'animal, t'étais le prédateur, t'étais le chasseur. Elle était la proie, le gibier, la faiblesse. Dans ces quelques secondes, t'avais le dessus et tu menais la danse. En fait, ça faisait déjà quelques minutes que tu menais Romy où tu le souhaitais. C'était une valse que tu dirigeais à merveille, la belle et la bête. Le conte de fée en moins. Tu la sentais du bout de tes doigts, tu la sentais par ses cheveux qui frottaient ton visage. Tu la sentais à tes côtés, tu la sentais parler. Et tu la retournais, là, contre cette porte à la vue de tous. Si quelqu'un passait par là, il serait sûrement gêné par votre proximité, par cette électricité. C'était un duel perpétuel, c'était dans l'air, la poésie et les vers de Baudelaire qu'on préférerait enterrer sous terre. C'était de jolis mots, le genre qu'on aime lire avant de s'endormir. C'était les thriller, ceux qui nous donnent des frissons et dont le suspens nous pousse à lire les dernières phrases. Sauf que vous, on pouvait pas lire vos dernières phrases. C'était trop imprévisible, bien qu'à cet instant, tout était visible. Visible et effacé, comme ses paroles. C'était l'évidence de l'envie, tu n'y prêtais pas même une attention. T'étais trop là, trop dans ses yeux, trop dans ses lèvres. Tu mettais fin au supplice, tu venais raviver d'autant plus le feu ardent qui vous consumez. Tu touchais ses lèvres dans une harmonie parfaite, ses mains s'accrochant à toi comme on s'accroche après la vie. Elle buvait votre désir, elle succombait à ses propres attentes. Tu te voyais dans un contrôle que tu ne connaissais trop peu, et là, sous tes mains, sous tes caresses, elle se donnait à toi. Tu mélangeais vos souffles, caressant les langues dans une osmose parfaite. Tu la sentais si vulnérable et pourtant, pourtant si puissante. Elle pourrait te manger, elle pourrait imploser de ses émotions que tu n'arriverais même plus à contrôler. C'était le combat de deux corps, de deux désirs, de deux âmes. C'était le combat du danger, le combat de la réalité, le combat de la solitude. C'était le combat contre vos vies pourris, vos vis d'ennuis. C'était le combat que vous entrepreniez depuis le début, c'était des nuits manquées. C'était la soif qui habitait ton corps avec le temps qui passe, c'était la bestialité que tu laissais enfermé. C'était oublier, s'oublier, et parfois, s'aimer. S'aimer d'une manière différente. Vos visages se séparaient légèrement, ton front venant se coller au sien. Tu observais ses yeux, cette lueur fiévreuse, la même qui habitait les tiens. Tu voyais bien qu'elle ne te demandait qu'une chose, de l'emmener ailleurs. De ne faire plus qu'un, d'arrêter de faire le couple enfantin. Pas besoin d'attendre, vous saviez déjà que le plaisir était au bord de l'explosion pour vous ce soir, de bonnes prévisions. Tu sens ses mains vagabonder sous ton tshirt, tu sens une vague de frissons lorsqu'elle venait embrasser ta mâchoire, puis ton cou. Tu la collais un peu plus contre le plus, ta respiration se faisait beaucoup plus intense. Putain, t'avais juste envie de tout péter, là. D'exploser de désir, ton pantalon n'allait pas tarder à céder si cela continuait. Tu grognais légèrement, le genre de bruit qui permet d'évacuer la pression. Tu touchais son corps de tes mains, elles se baladaient, le redécouvrant à nouveau. Finalement, sans qu'elle s'y attende, tu mettais tes mains sous ses fesses pour venir la soulever en toute souplesse. Ouais, tu la forçais à s'accrocher autour de ta taille. Finalement, vous étiez toujours dans l'entrée et vous deviez dégager sans plus tarder parce que t'allais lui faire l'amour là, là sur le palier. Alors tu la soulevais, tu prenais soin de claquer la porte derrière toi. Tu t'enivrais de son parfum, t'embrassais la naissance de ses seins. T'avais qu'une hâte, lui enlever ses vêtements. Non, tu voulais lui arracher ses vêtements. Tu voulais la dévorer, tu voulais plus, tu la voulais, là, tout de suite. Encore quelques pas, t'ouvrais la porte de ta chambre en la poussant grâce au dos de Romy. Qu'importe si elle avait mal, de toute manière, le désir prenait le dessus. Et là, tu venais la déposer sur ton lit. Tu l'allongeais, doucement, d'une douceur sans nom. Contraste troublant. Romy elle était là, allongée, en attente. Tu la surplombais, de toute ta hauteur, tu prenais une seconde pour la regarder. T'avais cette fraction de temps pour te dire qu'elle était belle. Tu voulais retenir cette image, cet instant, pour te dire que tu te sentais bien et libre. Libre et vivant. Et finalement, tu t'approchais à nouveau d'elle, laissant ta main remonter de sa cuisse à son visage. Yeux dans les yeux, tes lèvres venaient promettre un désir sans retenu.
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We can dance in desire
ROMY & LEWIS

Il y a quelque chose de presque irréel entre moi et Lewis. Quelque chose qui frôle l'impossible, qui relève de l'incompréhensible. Quelque chose qui me dépasse, qui nous surpasse, quelque chose que je peux pas m'expliquer. C'est comme si j'étais en plein milieu d'une tempête. J'essaye de garder les pieds sur terre, de pas me laisser emporter par cette force qui m'aspire mais je sens que c'est peine perdue. Je sens que je me suis faite avoir, que je suis tombée dans la gueule du loup. Je suis un agneau, innocent, qui s'imaginait qu'il pourrait gambader sans avoir à se préoccuper de ce qui risquerait de se passer. Je pensais que je pourrais recroiser la route de Lewis sans retomber dans ce drôle de petit jeu dans lequel je m'étais engagée il y a plusieurs moi. J'avais joué avec le feu et maintenant j'en sens les flammes me lécher le corps. J'avais réussi à éviter mes sentiments, à les étouffer, les enfouir au fond de moi. J'avais réussi à me convaincre que Lewis et moi, c'était du hasard, une belle coïncidence. Que ça arrive souvent de tomber sur quelqu'un en qui on peut se voir, comme dans un miroir. Quelqu'un qui donne l'impression d'avoir passé sa vie avec une moitié manquante. Parce que je suppose que je dois pas être la seule à ressentir ça. Non ? Lewis et moi, c'est si spécial que ça ? Lewis et moi. Nous. Est-ce que nous formons réellement un nous ? Ne sommes-nous pas plutôt deux êtres qui ne font que passer de bons moments ensembles ? Est-ce que cela doit forcément être aussi ambigü. Il faut croire car quand je plonge mon regard dans celui de Lewis, j'ai pas seulement envie de lui faire savoir que j'ai envie de lui. J'aimerais pouvoir lui glisser quelques mots au creux de l'oreille, lui dire qu'il me rend folle, que je pourrais plus me passer de lui. Mais je préfère garder le silence. Ca nous va bien le silence. On préfère les actions aux mots, alors j'embrasse sa mâchoire, j'embrasse son cou comme si ces baisers allaient être les derniers. Chaque seconde que je vis avec Lewis, je la vis comme si c'était la dernière, comme si après tout ça, il n'y aurait plus rien. Plus qu'une sensation dans le creux du ventre, dans un coin du coeur. Mes mains le cherchent inlassablement, elles cherchent son corps, elles cherchent sa chaleur. Elles suivent mes envies. Sa respiration qui s'accélère et sa voix qui vient vibrer contre ma poitrine m'arrachent un sourire et je serais tentée de laisser mes mains et mes lèvres vagabonder davantage le long de son torse et de son corps. Mais il me devance et ses mains viennent faire pression sur mes fesses pour me soulever contre lui. Mes cuisses serrées autour de sa taille, je profite pleinement du contact que son corps m'offre. Je peux sentir que que l'envie le dévore, qu'il s'enflamme, qu'il gonfle de désir. Et moi je m'accroche désespérément à sa nuque, je perds mes repères, je vais perdre équilibre si ça continue. Mon dos qui cogne contre la porte de sa chambre me ramène brièvement à la réalité, me rappelle qu'on était encore dans ce couloir quelques secondes plutôt. Dans le couloir et à la fois dans notre bulle. Une bulle de passion, une bulle de chaleur et de ferveur. Quelqu'un nous aurait surpris qu'on ne s'en serait même pas rendus compte. Trop happés par notre propre plaisir. Alors que je m'attends à ce qu'il me jette sur le lit à ce qu'il me prenne, Lewis me dépose, délicatement, presque comme s'il avait peur que je ne me brise, que je m'éclate et que j'emporte avec moi la promesse d'une nuit d'ivresse. Alors je le regarde, silencieuse, désireuse, essoufflée. Je laisse mes doigts caresser ses draps, les retrouver pour la énième fois. Puis il s'approche à nouveau de moi et scelle l'instant dans un nouveau baiser. Sa main effleurant mon visage, je me sens comme en sécurité, comme préservée. Comme si ses bras formaient une prison dorée. Mais je désire plus de proximité, je veux avoir un accès total à son anatomie alors j’appuie mes mains sur son ventre pour redresser le haut de mon corps et attraper ce t-shirt qui me dérange tant et le faire passer par dessus sa tête. Bien mieux comme ça. Mes doigts glissent sur ta taille et je viens embrasser son torse, son ventre. Je peux plus me passer de la sensation de sa peau sur mes lèvres alors je le redécouvre je me le réapproprie. Cette nuit, il m'appartient. Cette nuit, elle est à nous.

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désolée les curieux, vous pouvez plus lire hanwii
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