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(LEMY) We can dance in desire.

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ROMY & LEWIS

Comme à mon habitude, je traîne les rues. Je suppose qu'une étudiante modèle devrait être en cours, ou encore à la bibliothèque pour réviser, ou chez elle afin de se reposer, mais je ne fais rien de tout ça. Depuis que je suis née tout ce que je fais va à l'encontre des normes, à l'encontre de tout ce qu'une personne modèle devrait être. Harvard, je m'y suis inscrite dans un premier temps pour faire plaisir à mes parents adoptifs, histoire de dire que j'ai un but dans la vie, que je ne fais pas rien, que j'exploite mes capacités, mais je n'y suis pas avec la plus grande des convictions. Bien sûr, ça serait chouette d'être diplomée, tout ça, mais en réalité c'est pas ce qui me préoccupe le plus sur ce bas monde. Pour moi la vie c'est pas juste poser son derrière sur les bancs de l'école et grater le papier toute la journée. Pour moi la vie, ça s'arrête pas à être une bonne personne, faire des études, avoir une maison, un mari et je sais pas combien d'enfants. Tout ça c'est pas pour moi, loin de là. A mes yeux une vie bien remplie, c'est une vie pendant laquelle je ferais que ce qui me chante. J'ai envie de partir un an et tout quitter ? Je le fais. J'ai envie de me casser de mon cours car il me saoule ? Je le fais. J'ai envie je fais, point barre. Je pense au conséquences qu'au moment où elles m'arrivent en pleine face en général. C'est comme ça que je fonctionne. Sinon quoi, vous imaginez ? Je me poserais des questions, je pèserais le pour et le contre, je changerais d'avis et au final j'aurais rien accomplis dans ma vie. Non merci, moi je préfère me sentir en vie, suivre mes envies. Alors au lieu d'étudier, au lieu de rentrer, je sors à nouveau, je prends l'air, je me refamiliarise avec cette ville que j'ai pas vue depuis plus d'un an. Je me cherche une occupation, une connerie à faire. Ou pas. J'en sais rien, mais je peux pas rester dans mon coin sans rien faire. C'est déjà assez difficile de reprendre ma vie et mes anciennes habitudes après une année de folie, je vais pas en plus rester chez moi à déprimer parce que tout le monde veut m'assassiner. Mes pas me dirigent alors jusqu'au Lord Hobo et je réfléchis pas forcément avant d'y entrer. C'était un endroit que j'avais l'habitude de fréquenter avant de m'en aller alors ça me fait du bien d'y retrouner. J'ai besoin de bruit, de voir du monde, d'observer les gens autour de moi. Je prends alors place sur un tabouret et réfléchis à ce que j'aimerais bien boire. Je vais quand même pas rester ici sans rien commander, c'est un coup à ce que je me fasse virer.

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Tu roulais ton joint. Tu prenais soin de bien grinder la beuh, tu trouvais ça essentiel pour que tu puisses rouler plus facilement. Tu décidais de faire un pur, un long et savoureux. Rapidement, la flamme venait titiller le bout de ton bonheur. T’inhalais, tu soufflais. Les effluves du parfum te faisait sourire. Il n’y avait personne dans l’appartement, tout le monde était en cours. Puis toi en te levant ce matin, t’avais pas vraiment envie de bosser. Alors t’avais dormi, t’avais pris ton temps. De toute manière, t’étais en avance sur les cours. C’était à la fois exaltant et malheureux. Rare ont été les fois où tu t’étais amusé en apprenant quelque chose. En réalité, c’était rare qu’on t’apprenne quelque chose. Pour toi, tout était si simple, si évident que tu n’avais jamais réellement besoin d’étudier pour intégrer les cours. Tout était là. Mozart jouait du piano les yeux fermés, toi, tu rédigeais des équations de la même simplicité. Et tout ça, ça t’ennuyais. Toute cette intelligence que le bon dieu t’avais accordé à la naissance, tu voyais pas la vie là-dedans. C’était simplement une vie éternelle d’ennuie à crever. Tu finissais ton joint en marchant dans la rue, t’allais vers le campus. Le sac sur l’épaule, t’allais quand même à ton cours de fin de journée. Ouais parce que la prof elle était canon, alors t’aimais bien la taquiner. D’ailleurs, tes seuls plaisirs en cours c’est de contredire les profs et montrer qu’ils se sont tromper. Puis là t’avais un peu de temps, t’avais bien entendu terminé de fumer ton joint mais t’étais en avance. Le temps dehors n’était pas exceptionnel, tu finissais par entrer dans un bar. T’allais prendre une bière tout seul, la serveuse allait encore te regarder de travers, mais tu l’emmerdais. Tu soupirais, vie de merde, ouais, toujours la même chose, à répétition. Tu te devais de réfléchir à ton prochain coup, t’avais envie de voler. Dans un premier temps, t’avais plus beaucoup d’argent, et dans un deuxième, tu tremblais par manque d’adrénaline. T’avais besoin de ta dose, comme un camé a besoin de son héroïne. Tu tournais la tête en attendant que la barmaid arrive devant toi. Seulement, à côté de toi, sans trop comprendre comment ni pourquoi, il y avait cette fille. En fait, il y avait aussi ce parfum, et cette manière de se tenir. A côté de toi, il y avait cette fille. Cette fille qui était partie sans prévenir, sans dire au revoir même pour dire « allez tchao j’me barre ». Ouais, cette fille était dans ce bar. Tu souriais en coin, non, tu ne te trompais pas. « Bah alors Oswald, t’as décidé de revenir pourrir par ici ? »
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Je lui là, accoudée à ce bar et je sais pas trop ce que je fais là. Je sais pas trop ce que je fais à Cambridge, je sais pas trop ce que je suis censée faire, je sais pas trop quelle boisson me faire servir. Je sais rien en fait, je me rends compte que je suis paumée sur tous les points. Pourtant ça me fait pas pour autant flipper. En réalité, je reste plantée là, j'attends que la tempête passe. Parce qu'elle passera bien un jour. Mes proches finiront pas arrêter de m'en vouloir. Je finirais par retrouver ma place à Cambridge et je finirais pas savoir quelle boisson choisir. Ou bien je finirais par me rendre compte que j'ai définitivement rien à faire ici et je partirais à nouveau. Cette fois-ci j'essayerais de pas faire la morte, de pas me faire passer pour disparue. Ca se fait pas à ce qu'il paraît. Qu'est-ce que j'en sais de ce qui se fait et ce qui se fait pas ? Personne m'a jamais expliqué, personne m'a jamais appris les bases. Depuis que je suis gamine, je fais au mieux, j'essaye de me débrouiller et je m'en suis plutôt bien tirée jusqu'à présent. Je suis toujours en vie, je suis pas en prison, j'ai pas trop trop d'embrouilles, c'est pas trop mal. Je pense que ça pourrait aussi être mieux, je pourrais être une élève brillante car je me donnerais les chances pour réussir, je pourrais être équilibrée et sainte d'esprit, avoir un mec aussi brillant que moi, un beau petit appartement, un chat ou un chien, des amis fréquentables, bref toutes ces choses que je n'ai pas et n'aurais probablement jamais. Sauf que voilà, la vérité c'est que je me fiche de toutes ces choses. Du coup je suis là, dans ce bar à hésiter entre un coca et un cocktail, au lieu d'être en cours ou chez moi. Je sais pas trop quelle heure il est , c'est pas le genre de truc auquel je fais attention en général. On va dire que je vis ma vie en fonction du soleil voilà. Je me dis qu'un coca, c'est moins cher, ce qui tombe bien vu que je suis relativement ruinée, mais un cocktail c'est quand même plus sympa. La serveuse arrête pas de me jeter des coups d'oeil bizarres, l'air de dire "c'est bon, t'as choisi ?", sauf que je l'esquive à chaque fois. J'ai pas fait mon choix. En général, je choisis pas, je prends tout. Mais là c'est pas possible. Puis voilà qu'une voix me sort de mes pensées. Je me retourne, curieuse, et un sourire s'étire sur mon visage. « Toujours aussi perspicace, Holloway. » je réponds à Lewis. S'il y a bien quelqu'un que j'avais hâte de recroiser, c'était lui. Je me retourne complètement vers lui alors que la serveuse lui apporte sa bierre et j'en profite pour la lui piquer et y boire un coup. « Tu permets ? » je dis avant de lui voler une gorgée. J'ai pas de gêne, j'ai jamais de gêne. Puis il me connait Lewis, il sait comment je suis, comment je fonctionne. Pour ça qu'on s'entendait si bien, sur tous les plans d'ailleurs. « Toi par contre t'as toujours pas pris le large. » je finis par lui dire. Je suppose qu'il a de bonnes raisons de rester ici. On a tous nos raisons. Je suppose que moi-même j'avais les miennes de rentrer. Juste que je ne les connais pas encore.

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Là tout de suite, t'avais une bonne claque dans la figure. Parce que dans le fond, cette petite là, qui se tenait devant toi, ça n'avait jamais été qu'une simple jeune femme. C'était étrange, parce que d'aussi loin que tu te souviennes, t'avais jamais réussi à t'attacher correctement à une femme. Le genre d'amour qui fait pousser des ailes, le genre d'amour qui permet de te détacher du reste et de te consacrer à cela. Le genre d'amour qui te fait sentir vivant. Non, tu n'avais jamais ressenti quelque chose comme ça. Alors forcément, t'avais un peu distribué du plaisir ici et là, tu embrasais les femmes, elles se consumaient, elles rêvaient... le temps d'une nuit. Romy, elle avait fait partie de ces privilégiées. Seulement, ça avait été un peu plus régulier, un peu plus fort qu'une partie de jambe en l'air. Sans aucune raison apparente, sans que personne n'ait demandé. Tu voulais pas trop te l'expliquer, puis à dire vrai, lorsqu'elle était partie du jour au lendemain, tu n'avais eu ni chaud ni froid. Dans le fond, t'étais juste heureux qu'elle se soit tirée de cette vie, d'ici. Elle méritait de vivre quelque chose de fort, elle était un peu comme toi. Ouais, dans le fond, Romy c'était un peu toi. Le genre qui a besoin de folie pour vivre, pour continuer. Le genre qui ne peut pas se satisfaire d'un simple job, d'un simple amour, de simples amis, de simples soirées avec un verre de vin. Elle avait ce truc, ce truc qui te fait vibrer de la tête aux pieds. Alors forcément, on a envie de se demander pourquoi vous restiez ici ? Ouais, pourquoi toi t'étais encore là Lewis ? Tu l'observais de tes grands yeux bleus, elle n'avait pas vraiment changé. Peut-être qu'elle était plus bronzée. Puis durant tout ce temps, elle était partie où ? Tu prenais place sur le tabouret à ses cotés. Tu hochais la tête pour lui permettre de boire. Tu faisais un signe à la serveuse, tu demandais une deuxième bière. "Allez, je te l'offre. J'te dois bien ça après tout ce temps". Tu souriais toujours, tu venais te saisir de la nouvelle bière que la serveuse venait de poser devant toi. Tu buvais une gorgée, encaissant ses paroles. Tu te posais bien trop souvent cette question, du pourquoi du comment t'étais toujours pas parti. Puis à chaque fois, t'avais l'image de ta mère qui a toujours tout donné pour ses enfants, de ton petit-frère malade, de ton grand-frère qui t'as permis de faire des études. Puis ta jumelle... à vrai dire, tu la suivrais partout, où elle veut, qu'importe l'endroit et la période. Qu'importe les gens, l'argent, la santé. Alors ouais, tu resterais ici tant qu'elle y sera. "Je t'ai attendu voyons, j'savais bien que tu reviendrais me voir un jour". Tu rigolais un peu en prenant une nouvelle gorgée de bière fraîche. Bordel, ça te faisait un bien fou là tout de suite. Tu la regardais de haut en bas, dans le fond, tu trouvais ça presque irréel de la revoir par ici. "De retour à Harvard ? Ou simplement en ville ?" Dans les deux cas, ça changeait pas grand chose. Enfin si, peut-être sa durée de séjour.
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Lewis a pas l'air de m'en vouloir. Bien sûr que non il m'en veut pas. Jamais j'aurais imaginé ne fut-ce qu'une seconde qu'il m'aurait attendue sur le pas de la porte de mon appartement, mes bras croisés, les sourcils froncés pour que je lui donne une explication. Pour que je lui dise pourquoi je suis partie. Pourquoi je suis partie au juste ? Parce que c'était ce dont j'avais besoin pour survivre, tout simplement. Les gens comme moi, ils pensent à leur peau, à leur propre survie. C'est comme un instinct et je pense que Lewis l'aura bien compris. Il a aussi ce truc en lui qui le pousse à toujours retomber sur ses pattes, à faire les choix qui lui permettront de garder la tête hors de l'eau. Lewis et moi, on est pareils, on se comprend. Et ça on l'a vite compris, il nous a pas fallu de longues heures à discuter pour savoir qu'on était comme l'ombre l'un de l'autre. Bordel, est-ce que je m'entends parler ? Je fais pas dans les sentiments moi, je perds pas mon temps avec ces histoires, et pourtant quand il s'agit de Lewis, je peux pas m'empêcher de me dire qu'on a ce truc, que j'ai avec personne d'autre. Je le croise dans ce bar, il me redonne le sourire. Le revoir me réconforte dans l'idée que c'était pas une si mauvaise idée de rentrer finalement. C'est vrai qu'à l'autre bout du monde, il n'y a pas de Lewis. Et c'est franchement con parce que le monde serait tellement plus intéressant si c'était le cas. Je suis d'ailleurs plus ou moins certaine que c'est la première fois que je recroise quelqu'un sur Cambridge depuis mon départ sans que ça ne parte en cacahuète. La journée n'est pas terminée, mais j'ai pas de soucis à me faire. Je peux pas imaginer que ça puisse un jour éclater entre moi et Lewis. Je pense pas qu'on puisse un jour s'engueuler ou s'embrouiller, quelle que soit la raison. En tout cas je l'espère parce que là ce serait vraiment la fin du monde. Ne s'étonnant pas de mon culot, il m'offre sa bière que j'ai entamé sans vraiment demander son avis, puisque ma question avait été rhétorique. Il faut croire que j'ai fini par choisir ma boisson. « La prochaine, c'est moi qui te l'offre alors. » je lui dis. Parce que je compte bien qu'il y ai une prochaine fois. Ca a toujours été comme ça avec Lewis. A chaque fois qu'on s'est vus, on s'est revus. J'aurais jamais cru, mais à chaque fois qu'on se laissait, j'avais déjà hâte de la prochaine fois. Au départ, j'avais du mal à me l'admettre, mais j'ai fini par arrêter de me poser des questions. C'est toujours mieux quand on se pose pas trop de questions. Je ne retiens pas un léger rire lorsque je l'entends me dire qu'il m'avait attendu. « Ah oui ? Allez, j'avoue que toi aussi tu m'as manqué. J'admets même que je suis revenue juste pour toi. » je lui dis en riant. C'est pas complètement faux dans un sens puisque le revoir c'est comme une bouffée d'air frais. Je plonge mon regard dans le sien. J'y crois pas, il m'aura fallu de seulement deux minutes en sa présence pour soudainement retrouver un intérêt certain à mon retour à Harvard. Comme quoi. « Je suis rentrée pour de bon, ça y est. J'ai l'impression que tu vas pouvoir me supporter encore un petit moment. » je lui lance. En réalité, j'espère que ça lui fait plaisir que je revienne. Je fais genre que l'avis des autres m'importe pas, mais celui de Lewis il a toujours son poids dans la balance.

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Tu souriais, ouais elle allait t'offrir la prochaine. Sauf que là tout de suite, t'avais pas un sous alors vous allez doucement sortir sans payer parce que sinon tu pourrais pas assumer. Enfin, ça ne serait sûrement pas une surprise pour Romy parce que tout le monde sait que t'as toujours été fauché. Quoi que, pas tout le temps. Mais là, ça faisait un moment que tu n'avais ni dealé, ni volé, ni fait quoi que ce soit d'autres. Alors forcément, l'argent, t'étais à sec mais tu n'avais aucun doute sur le fait que tu pouvais le régler très facilement ce problème. Un petit clin d'oeil que tu lui adressais, c'était en prévision à votre future fugue. Et Romy, elle marchait dans ton jeu. T'aimais bien ça, tu te frottais le menton avec tes doigts, réfléchissant. Peut-être qu'au fond de toi, t'aurais bien aimé que ce soit vrai. En fait, personne n'avait déjà fait quelque chose comme ça pour toi, alors si un jour ça devait arriver, tu préférais que ça vienne d'une jolie femme comme elle. Sans aucun doute, l'idée était plus plaisante que de s'imaginer Maxwell faire ça -par exemple- pour la simple et bonne raison que c'était plus simple de mettre Romy dans ton lit. Ouais, des seins et de jolies fesses, c'était mieux qu'un grand renoi effrayant. "Je n'avais aucun doute non plus sur ça, les femmes me disent souvent ça. Enfin tu sais, que j'leur manque quoi". Tu rigolais, t'avais aucune gêne à parler de votre passé sexuel, à parler des autres femmes. De toute manière, t'étais décomplexé, votre relation l'était, et en bref, tout était clair et net. Et si Romy allait rester pour un petit moment ici, t'avais peut-être espoir de la revoir entre tes bras. Tu devais reconnaître que vos ébats sexuels c'était une bouffée d'air frais, c'était aussi cette ressemblance. C'était tellement plus simple, plus fusionnel avec elle que le plaisir en était que plus intense. Tu secouais légèrement la tête, tu buvais de ta bière. Bordel, fallait que t'arrêtes de penser comme un fragile. C'était une femme intéressante, ouais, mais il y en avait d'autres. Mais tu souriais quand elle te répondait qu'elle restait longtemps. Bien, ça ferait de l'animation dans le coin. "C'est vrai que je commençais un peu à m'ennuyer par ici.. Un peu d'action, je ne dis jamais non" Tu ramenais ta bière à celle de Romy, tu trinquais. "A ton retour alors". C'était un peu égoïste de penser tout cela, parce qu'au profond de toi tu savais bien que rester enterrer dans un endroit pareil, faire des études... c'était un peu creuser sa tombe. Mais voir son sourire, sentir son parfum, là à cet instant, tu te disais que c'était un bel événement pour l'avenir des prochaines semaines. Tu lui souriais, toujours, ce sourire en coin. Ce sourire qui en dit long, sûrement un peu trop.

@Maxwell F.-Steadworth
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Seul un aveugle ne pourrait pas voir la complicité qu'il y a entre Lewis et moi. C'est comme le nez en plein milieu de la figure. Derrière chacun de nos gestes, de nos mots, de nos regards, il y a quelque chose d'autre, quelque chose de sous-entendu. Comme si on avait notre propre langage, un langage qu'on a jamais vraiment eu besoin de développer entre nous puisqu'il s'est créé tout seul. Un langage corporel qui en dit long d'ailleurs. Le clin d'oeil qu'il m'adresse alors que je lui dis que la prochaine fois c'est moi qui offre la boisson attise ma curiosité. Je lui lance un regard intéressé et je peux sentir qu'il y a quelque chose qui se joue. Comme de l'électricité dans l'air, comme le sentiment d'en avoir le souffle court. Lewis il m'a toujours embarqué dans ses histoires pas toujours nettes, il m'a toujours donné l'impression que j'étais vivante, invincible presque. Je sais que cette soirée va nous réserver pas mal de choses, c'est pas un mystère, c'est qu'une question de temps. Mais on ne bouge pas pour autant. On reste là, les yeux dans les yeux, et je porte le goulot de ma bouteille à mes lèvres sans le quitter des yeux alors qu'il me parle de ses autres conquêtes. J'arque un sourcils, amusée. Là aussi c'est pas un secret. Il n'y a d'ailleurs pas vraiment de secret entre nous. On se parle sans filtres, on se cache rien. C'est pas forcément parce qu'on veut être spécialement sincère l'un envers l'autre. C'est juste que c'est naturel entre nous. Pourquoi vouloir se cacher quoi que ce soit ? On est comme deux livres ouverts. « Mmh, je suis certaine qu'il y en a pas mal des femmes. Qui pourrait leur en vouloir ? » je rajoute avec un petit sourire en coin. En tout cas, moi je pourrais pas leur en vouloir. Une fois que t'as eu droit aux bras de Lewis, tu ne peux qu'en redemander. La preuve, j'ai rarement résisté à un appel de sa part, tout comme lui n'a jamais résisté aux miens. A quoi bon ? Coucher avec Lewis c'était comme une drogue au final. Me retrouver contre lui était souvent la seule chose à laquelle j'aspirais en fin de journée. En même temps, tout était tellement simple et beau avec lui. Nos ébats étaient tout simplement la perfection. Lewis il a jamais eu besoin que je lui dise de quoi j'avais envie. C'est comme si on était faits pour finir dans le lit l'un de l'autre. Je m'en mords la lèvre en y repensant. Bordel, je déraille complet. Et puis quoi encore ? Lewis c'est mon prince charmant, ma seconde moitié ? Est-ce que je m'entends penser des fois ? Il n'empêche que les faits sont là. Lewis est face à moi et je craque déjà. « J'arrive au bon moment alors. » je lui dis, levant ma bière à mon tour vers la sienne. « Aux bonnes habitudes. » je rajoute. Nouveau sourire contagieux avant de boire une nouvelle gorgée. J'ai limite le coeur qui s'emballe dans la poitrine quand je croise son regard. Ca m'arrache presque un petit rire nerveux. Heureusement, c'est la serveuse qui vient briser la petite tension qui commençait à s'installer en venant nous apporter la note. Elle prend de l'avance celle-là. J'y jette un rapide coup d'oeil puis la glisse vers la main de Lewis. « C'est toi qui paie, je te rappelle. » je dis, un air innocent sur le visage.

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Elle te souriait, t'avais l'impression de te voir il y a pas loin d'un an. Ouais, tu sais, toi qui regarde ses yeux, le sourire en coin. Et elle, elle qui te lance un regard complice. C'était ça, Romy et Lewis, beaucoup de signaux, beaucoup de silences, beaucoup de subtilités. En fait tout ça, tu ne l'avais jamais vraiment réalisé jusqu'à maintenant. Elle était devant toi et tu réalisais à quel point elle avait quelque chose. Peut-être parce que la solitude commençait à gagner chaque parcelle de ton corps. Ou alors, peut-être que t'avais jamais voulu voir ces évidences. Tu trouvais tout ça effrayant, mais tu ne pouvais pas la fuir, pas tout de suite. T'allais profiter de ce moment, tu n'irais pas à ton cours, en fait tu l'avais déjà oublié celui-ci. Et les autres femmes, elles attendront un autre jour. "Personne, bien évidemment. Ou alors, peut-être Zoey" tu rigolais. Concrètement, ta jumelle en avait parfois assez de te voir vagabonder à travers les corps. Tu essayais d'en rigoler un maximum, parce que tu savais que la réelle raison de ta solitude amoureuse, c'était bien évidemment ta jumelle. Il t'était difficile de voir en une autre femme une personnalité complète, entière, aussi bonne et sincère que Zoey. De plus, votre relation était si fusionnel que toutes les autres semblaient vide de sens. Ta jumelle t'apportait une dose de vie, d'adrénaline à elle-même. Et puis dans le passé, peut-être que t'en avais connu des potentielles amoureuses, seulement, elles étaient bien trop lucide pour voir en toi quelqu'un de stable et de sûr. Ouais, t'étais pas quelqu'un à caser. T'étais le type "trop dangereux, attention: danger de coeur brisé" alors t'étais de passage. Le vagabond des orgasmes et des petits plaisirs. Enfin, t'en étais pas non plus malheureux étant donné que tu fuyais les responsabilités comme la peste, ou le sida -à voir-. Enfin, à cet instant, t'étais heureux de voir Romy. Alors, à ce bon moment,  à vos anciennes habitudes. "Alors il faut que tu visites à nouveau ma chambre, sinon, on perd le meilleur de ce que l'on sait faire toi et moi" tu souriais, le regard pervers, les lèvres qui appellent au désir. Seulement la serveuse semblait pressée, voilà la note. Et merde, comment gâcher de bonnes retrouvailles. Tu soufflais, tu rigolais un peu jaune avant de te reprendre. Ouais, tu devais payer. Tu levais un sourcil vers Romy. "Mais... je n'ai pas d'argent" Tu finissais ta bière, tu la reposais sur le bar. Tu regardais où se trouvait la serveuse, plutôt loin. Tu te retournais à nouveau vers la brune "Viens on se casse" que tu lançais avant de te saisir de sa main.
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Personne ne peut en vouloir aux conquêtes de Lewis de ne pas pouvoir résister à l'appel de ses baisers, personne sauf une. Zoey. Mon sourire s'efface légèrement le temps d'une demi seconde lorsque j'entends son prénom. Dans le fond, je sais pas bien pourquoi je réagis comme ça. C'est pas la première fois qu'une fille cherche à interférer entre moi et un homme. C'est arrivé pas plus tard que l'autre jour, lorsque la coloc d'un ancien crush est entré dans la chambre pour nous interrompre et nous hurler dessus. Cette fille, je m'en fichais d'elle sur le moment et je m'en fiche toujours. Sauf qu'avec Zoey, c'est pas pareil. Elle m'a tout de suite donné une impression de compétition entre elle et moi, elle m'a mise mal à l'aise et après plus d'un an, le souvenir que j'ai d'elle ne s'est toujours pas bonnifié. J'ai toujours su que Lewis avait une relation limite hors du commun avec sa jumelle et si au départ je trouvais ça mignon, maintenant, ça m'agace légèrement. Je sais que les autres femmes ne font que partager son lit, mais Zoey elle partage sa vie. Je me dis qu'il a déjà son double, qu'il a déjà cette personne en qui il peut se reconnaître. C'est elle sa number one. Du coup je garde le silence, je ne relève pas. J'ai pas envie de lui demander comment elle va et de détourner la conversation sur sa soeur. Franchement, ce serait trop bizarre vu l'ambiance qui règne entre nous depuis que nos regards se sont croisés quelques minutes plus tôt. On peut pas le nier, on peut pas le cacher. Un petit jeu s'est déjà installé entre nous. Pas besoin de longues retrouvailles, c'est comme si on s'était jamais quittés. Lewis et moi on est comme ça. On perd pas de temps. On fait mine de se tourner autour, on se fait passer des petits messages à travers nos sourires et nos clins d'yeux, mais il faudrait être stupide pour penser qu'on ne voit pas clair dans le jeu l'un de l'autre. Pourtant, je me sens comme une gamine. J'en suis pas au point de rougir car je ne suis pas timide pour un sous, mais j'avoue que j'ai du mal à rester sur mon siège. Je sais pas ce qui me prend, j'ai l'impression de perdre mes moyens et ça s'amplifie suite à la proposition de Lewis. On était bien sur la même longueur d'ondes donc. Je me mords les lèvres, j'arrive pas à le lâcher des yeux, surtout quand je vois que les siens ne cessent de m'appeler vers lui. « Je suppose qu'une visite s'impose dans ce cas. » je lâche en chuchottant presque. Je me rends compte que je retenais ma respiration quand la serveuse finit par venir nous interrompre. Je détourne mon regard vers la note, histoire de reprendre mes esprits puis je lui rappelle qu'il avait dit qu'il payait ce soir. Sauf que voilà, j'ai l'impression qu'il a prévu autre chose, sensation qui se confirme alors qu'il m'avoue qu'il a pas d'argent. J'ouvre la bouche pour m'exclamer mais je me retiens. J'aurais du m'en douter avec lui. Ca fait longtemps que j'avais plus eu droit à ce genre de petites blagues et j'avoue que ça aussi ça m'avait manqué. Faut dire que là où je suis partie, j'avais pas besoin de voler. Je l'observe finir sa bière et je suis son regard lorsqu'il observe la serveuse. On a deux solutions : se casser sans rien dire ou bien faire une scène pour détourner l'attention de la note pas payée. Mais j'ai pas besoin d'exposer mes plans que Lewis m'attrape par la main pour qu'on se tire en vitesse. J'étouffe un petit rire et je le suis à travers la foule en sautillant. Regardez moi, une vraie adolescente. Je me fiche de paraître immature. J'ai cette sensation dans le creux de mon ventre. L'excitation mêlée à de l'exaltation. Le genre de sensation qui me ferait déplacer des montagnes, qui me plonge dans un état de ferveur totale. « Est-ce que ça veut dire que la prochaine fois je devrais quand même payer ma tournée ? » je lui demande dans un soupire une fois sortis du bar. Question rhétorique car j'ai pas d'argent moi non plus.

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Elle était belle, elle était elle. Tu la voyais se mordre les lèvres, cela suscitait un intérêt plus que croissant au creux de ton ventre. Tu ne refuserais jamais, Ô grand jamais, une partie de jambe en l'air avec Romy. Et à la voir comme ça devant toi, aussi attentive et réceptive à tes paroles, tu ne doutais pas une seconde que la mettre dans ton lit serait simple. Non pas qu'elle était une fille facile, mais vous aviez terminé de faire les gamins l'un avec l'autre. Bien évidemment que le sexe entre vous n'avait plus de complexes, ni de secrets en fait. Puis Romy, avec sa phrase qui te dit invite-moi chez toi, viens on va s'enlacer jusqu'au bout d'la nuit, s'égosiller en criant de plaisir, crever de fatigue. Elle voulait que tu caresses son corps de tes mains toujours trop froide, elle voulait que tu déposes des baisers sur son cou, à la naissance de ses seins. En fait, elle voulait que tu la recouvres de désir, que tu la marques de plaisir. Tu le sentais, et tu en avais également envie. Nier l'ambiance électrique entre vous, c'était nier qu'un jour nous allons tous mourir. Tu souriais en coin, la serveuse, la note. Tu venais te saisir de sa main, vous deviez partir, maintenant ou jamais. La serveuse n'était pas là, alors tu la serrais et tu l'entraînais avec toi. Tu sentais ton coeur battre un peu plus fort, tu te faufilais à travers les gens, l'oreille attentive. En fait, t'avais besoin d'écouter pour savoir si la serveuse s'en était déjà rendue compte. Mais voilà, tu finissais par pousser la porte et vous étiez dehors. C'était pas grand chose pour toi, de sortir sans payer... Tu le faisais régulièrement, mais là, Romy à tes côtés, ça te donnait cette sensation: l'adrénaline. Aussi minime était sa présence dans tes veines, ça te faisait pousser des ailes. Et là, entraînant la brune dans ton quotidien, ça te faisait du bien. Ouais, une sensation folle de liberté, de risques, à nouveau. C'était ta façon de vivre, ta manière de respirer et de te dire que t'avais une raison de rester sur Terre. Sans les coups de folies, sans l'adrénaline, tu te serais déjà mis en l'air depuis longtemps. C'est ta drogue à toi, pour toujours. Alors ouais, plus d'une fois ça te met en danger, mais tu t'en fous. L'important, c'était de se sentir vivant, alors si ça devait tuer... Ça ne serait pas vraiment grave, tant que c'était pour la cause du bonheur. Vous étiez dehors, tu ne parlais pas, t'entrainais toujours Romy dans ta course un peu folle... Tu venais terminer le chemin dans une ruelle non loin du bar. Tu la poussais contre le mur, tu mettais tes deux mains sur celui-ci, encerclant sa tête. Tu la regardais dans les yeux, ces yeux qui brillaient, tu te mettais à rire légèrement. "Bien entendu, mais dans le fond, j'ai payé de ma personne pour nous deux. La prochaine fois, tu trouveras ton moyen  à toi". Tu souriais en coin, tu t'approchais un peu plus d'elle, tu sentais ton souffle s'écraser sur sa peau. Elle sentait bon, bordel. Et merde, qu'elle était belle. Tu finissais finalement par t'écarter de Romy, tu passais ta tête dans la rue. Visiblement, la serveuse n'en avait rien à faire de votre fuite. Tu faisais quelques pas pour te remettre dans l'allée principale et tu te tournais vers Romy. "Bon alors, tu viens ?" que tu lui lançais d'un ton joueur.
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