feelings never gone. ◇ (W/SAHARA)

feelings never gone.
░░░░░░░░ feat. sahara whittemore

La routine venait de reprendre, le Spring Break était terminé depuis quelques semaines, les cours avaient repris, et mon habitude à souffler de ma semaine de cours aussi, je retournais en boite, au Royale, "mon deuxième chez moi" si je peux appeler ça comme ça. J'étais déjà bien imbibé d'alcool depuis une bonne heure maintenant, j'alternais entre le dancefloor, le bar, le coin fumeur et franchement me retrouver dans ce nightclub, ça me permettait de me libérer, certains c'est en faisant du jogging, en jouant aux échecs, mais moi c'est ça, la débauche me libère, je suis dedans depuis bien trop longtemps pour en sortir maintenant et qu'elle arête de me libérer de ma vie relativement minable, car elle l'est oui. En repassant au bar, je vois un peu plus loin Sahara, et trois mecs autour d'elle, dans ma tête je me dis qu'il faut que je ne fasse pas attention à elle, j'ai mal digéré le fait qu'elle me largue et à chaque fois qu'on se croise, je suis froid et je suis le plus distant possible avec elle, mais là.. de la voir avec ces mecs, je sais pas ça fait ressortir quelque chose, les sentiments que j'avais pour elle, parce que oui on était amoureux et même si depuis notre rupture j'ai une dent contre elle, je crois que mes sentiments pour elle sont toujours là quelque part. Je remarque assez vite que les gars qui l'entoure, sont collants, trop collants même alors j'hésite, je devrai passer mon chemin et l'ignorer mais au fond de moi j'ai envie de m'interposer et de la tirer de là. Je reste quelques secondes accoudé au bar, mon verre à la main la fixant, je grimace avant de boire mon verre cul sec et de le reposer sur le comptoir avant d'aller vers elle. Aller coller la grappe à une autre. dis-je m'adressant aux lourdeaux une fois prêt d'elle cassez-vous ou je vous démonte. ils étaient trois j'étais tout seul certes, mais ma carrure de boxeur était relativement visible, et je voyais clairement qu'ils ne voulaient pas venir me coller une droite, tant mieux, j'ai pas envie de foutre la merde ce soir alors ils finissent par se casser. De rien et bonne soirée. finissais-je par dire à Sahara avant de commencer à m’éloigner d'elle.

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FEELINGS NEVER GONE.
— with walter rutherford.

Journée de merde. Je suis épuisée. Épuisée de cette routine merdique. Je n’ai qu’une envie : boire. Je ne devrais pas et pourtant, l’envie est plus présente que jamais. Et puis zut, qu’est-ce que ça va bien me faire si je me lâche rien qu’une fois ? Une seule fois sur 364 jours. Rien – ça ne va rien me faire. Même si une petite voix dans ma tête me dit que ce n’est pas un choix judicieux, je me retrouvais déjà sur la route en direction de la boite de nuit la plus prisée de Boston – le Royale. Le club était rempli d’étudiants qui profitaient de la vie en dansant, buvant, fumant. En vivant leur vie, tout simplement. Ils avaient bien raison. Et moi aussi, j’avais décidé que j’allais profiter de la vie ce soir. Oublier tout le temps d’une soirée. Voyant que le dancefloor était un peu trop rempli, je décidais de me poser au bar. Je commande un verre. Et un deuxième. Et puis un autre. Et un quatrième dans la foulée. Bordel, je me sens bien. Aucun remords, aucune culpabilité. Je prenais du plaisir et c’est tout ce qui comptait pour moi sur le moment. Alors que je m’apprêtais à quitter le bar pour rejoindre la piste de danse, trois gars se ramenèrent devant moi, me bloquant le passage. Au début, ils ne faisaient que m’aborder mais au bout d’un moment, ils allaient sérieusement trop loin. L’un des types chopa mon bras et m’attira vers lui. Putain, il me broyait le poignet. Mes poumons manquaient d’oxygène, j’avais l’impression d’étouffer avec la chaleur. Lâches-moi, putain, ordonnais-je en me débattant. Vainement. Ils étaient trois et ils s’en branlaient complètement de ce que je disais. Ou alors ils n’entendaient pas parce que dans cet endroit, c’est compliqué de se faire comprendre avec la musique qui bourdonne dans tous les sens. Alors quoi, j’allais me faire séquestrer et violer ? J’avais l’impression d’être invisible – il y avait une foule monstrueuse et pourtant, personne ne pouvait m’aider. Juste quand je pensais que la situation était irrécupérable, je vis une tête que je connaissais s’approcher dans ma direction. Walter. Merde. Qu’est-ce qu’il foutait ici ? Il s’était pointé là, avec sa carrure massive et impressionnante. Et en moins de deux, il avait réussi à faire dégager les trois gadjos. Dieu merci. Je n’avais pas besoin de plus d’emmerdes dans ma vie déjà merdique. Alors que Walter s’apprêtait à se barrer, je le rattrapais en agrippant son bras. Walt, attends ! dis-je. Restes avec moi. Très, très mauvaise idée. Et pourtant.. je n’avais pas envie qu’il parte. Je voulais qu’il reste avec moi. Mais ça me semblait peu réalisable parce que d’après ce que je sais, Walter me déteste.

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Je venais de voir Sahara au Royale, depuis un moment je cherche à l'éviter parce que si je la croise, je suis froid avec elle, on a été ensemble, on a été amoureux mais mon addiction aux narcotiques à eu raison de notre histoire parce qu'elle ne voulait pas replonger dedans, c'est elle qui m'a quittée, évidemment je l'ai eu en travers de la gorge et c'est un sentiment qui n'a pas changé depuis. J'aurais pu direct passer mon chemin mais en posant mes yeux sur elle, je l'ai vu entourée de mecs, des mecs collants, trop collants à mon goût et à son goût aussi visiblement sinon elle ne se débattrait pas comme elle le faisait avec ce mec qui lui tenait le bras. J'ai hésité pendant un moment, tracer ma route ou venir la voir pour la débarrasser des autres connards et bourré comme j'étais, j'ai pas chercher plus loin, j'ai finis mon énième verre d'une traite et je suis aller vers elle. Ni une ni deux je me suis imposé en disant clairement aux gars de dégager, ils pouvaient s'en foutre mais c'était à leur risque et péril, ils avaient pas ma carrure et j'étais deux fois plus musclé qu'eux, clairement alors ils ont fait la seule chose censée qu'ils pouvaient faire ce soir, laisser Sahara tranquille et se casser. Une fois mon ex débarrassé d'eux, j'ai pas cherché à rester avec elle, je le voulais pas alors je lui ai souhaité une bonne fin de soirée et j'ai commencer à tourner les talons pour m'éloigner d'elle. Mais, j'aurai du m'y attendre, sa main attrapait mon bras pour me retenir, elle me disait d'attendre, je soufflais tournant ma tête vers elle, l'entendant ensuite me dire qu'elle voulait que je reste avec elle Pourquoi ? dis-je froidement fixant son regard qui autrefois me rendait encore plus dingue d'elle, mais c'est de l'histoire passée, par sa faute.

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— with walter rutherford.

Je crois que je commençais à devenir un peu trop saoule parce que des idées bizarres me venaient en tête. Des idées comme passer la soirée avec mon ex. Les choses auraient été plus simples s’il s’était retenu de venir me sauver. Mais je ne peux pas non plus le blâmer parce que sans lui, les types m’auraient probablement déjà emmenée avec eux. En tout cas, le revoir, ça me faisait vraiment quelque chose. Je savais très bien qu’au fond, je ressentais toujours la même chose pour lui. J’étais éperdument amoureuse de Walter mais je faisais de mon mieux pour étouffer ces sentiments. Qu’est-ce que je pourrais faire d’autre après tout ? Il refusait d’entendre quoique ce soit alors j’avais réellement abandonnée l’idée d’une quelconque réconciliation un jour. Pour l’heure, la seule chose dont j’avais envie, c’était d'être avec lui. L’occasion qui s’était présentée était unique et je ne voulais pas la laisser filer. Mais évidemment, sa réaction était toujours aussi froide que d’habitude – faut dire que je m’y attendais. Je ne le connaissais que trop bien, il était rancunier comme pas possible et il n’avait jamais saqué le fait que je l’aie plaqué. Je n’avais pas eu le choix, c’était ça ou la rechute dans la débauche. Je ne pouvais pas me permettre de retourner dans ce cauchemar. Pas après toutes les galères que j'ai enduré pour en sortir. Arrête d’être comme ça avec moi, Walt. Je n’aime pas que tu me fasses la gueule. C’était vain de lui dire ça mais j’avais l’espoir qu’un jour, à force, il finirait par m’écouter. Je veux que tu restes, s’il te plait. Rien qu’une fois. Allez Rutherford, arrête de t’obstiner.

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Pourquoi je suis aller la sortir de cette merde ? Pourquoi j'ai pas tracer ma route ? Je suis vraiment trop bourrée faut croire, j'ai agis parce que j'ai toujours des sentiments, je le sais et j'essaye de passer au-dessus mais je me voile la face, je suis tellement perdu dans mes sentiments, j'en ai encore pour elle, j'en ai développé pour Tessy, je sais plus où j'en suis avec Reagan, non mais sérieusement, je savais que ma vie était un merdier pas possible mais je savais pas que je pouvais autant être perdu. Je venais donc comme un con de la tirer du merdier avec les trois autres connards et alors que je veux partir, elle me retient le bras, me suppliant de passer la soirée avec elle, de rester avec elle mais il faut pas, je lui en veux encore, trop je crois pour m'avoir largué La faute à qui tu crois ? comme j'en ai tenu à ma soeur pendant longtemps pour la mort de mon frère, là je lui en veux pour notre histoire, elle s'est finie à cause d'elle et c'est toujours pas passé pour moi. Elle insistait pour que je reste, je baissais le regard soufflant un coup avant de relever les yeux vers elle Je devrais pas Sahara.. pas après ce que t'as fais. lui répondis-je. Au fond je voulais rester avec elle, mais c'était mal, tellement mal, je lui en voulais tellement mais je l'aimais.. encore, enfin je crois. Juste une fois. j'avais céder, juste pour voir ce que ça allait donner entre nous ce soir, j'étais pas confiant mais qui ne tente rien n'a rien, j'ai rien à perdre dans l'histoire, si ça se passe mal je me barre.

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— with walter rutherford.

Walter, c’était probablement la plus grosse histoire de ma vie. Je n’avais jamais vraiment aimé quelqu’un comme je l’ai aimé et le plus bizarre dans tout ça, c’était de se dire que c’était moi qui avais mis un terme à tout ça. Tout allait bien et pourtant, j’avais tiré une croix sur notre relation. Ce n’était pas une décision facile mais j’avais espéré qu’il puisse comprendre la mauvaise infuence qu’il avait sur moi – il ne l’a pas fait, Il n’a jamais su me pardonner. Arrête Walter, tu sais très bien que je n’avais pas le choix. Je trouvais ça injuste qu’il continue à se montrer aussi distant avec moi. Je faisais des efforts pour me faire pardonner mais en réalité, qu’est-ce que j’avais bien pu faire ? À part essayer de sauver ma peau. J’essayais juste de ne pas reprendre un chemin droit vers l’enfer. Je sais à quel point la drogue a salie ma vie et je ne voulais pas revivre ça. S’il te plait, Walt. Ça ne va pas te tuer de rester avec moi une soirée. Il ne savait pas quoi faire. Je le voyais bien dans son regard qu’il avait envie de rester mais il s’obstinait à vouloir se montrer sous un autre jour. Il avait trop de fierté pour accepter. Mais l’alcool a bien dû l’aider parce qu’il finit par céder, au bout de quelques minutes. Qu’est-ce que tu proposes de faire ? demandais-je avec un sourire. La soirée s’annonçait vraiment intéressante. Ou alors, j’étais peut-être en train de me fourrer dans un merdier et j’allais regretter ma décision le lendemain. Seul l’avenir nous le dira. Pour le moment, ma priorité était de profiter de ce rare instant avec Walter. Je savais que ça ne se reproduirait pas.

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Elle ne voulait pas que je parte, elle voulait que je reste avec elle pour la soirée mais était-ce vraiment raisonnable ? Au fond oui je le voulais, parce qu'elle et moi on a vécu quelque chose d’extrêmement fort mais je lui en veux tellement pour m'avoir jeter juste parce qu'elle ne voulait pas retomber dans son ancienne dépendance, les drogues oui, c'est juste pour ça qu'elle m'a larguée, et ce n'est pas passé pour moi. Pas le choix ? C'est la meilleure celle-là. On a toujours le choix. et elle a préférée ignorer notre relation, point barre. C'était irraisonnable si je restais avec elle mais au fond qu'est-ce que je perdais ? Rien du tout, si jamais ça ne colle pas, je me casse, je n'ai rien a perdre alors je finis par céder, acceptant de passer la soirée avec elle. Un sourire naissait sur ses lèvres et elle me demandait ce que je souhaitais faire, je n'avais pas vraiment d'idée A toi de proposer, j'ai juste accepter de passer la soirée avec toi, à toi de me convaincre. lui répondis-je légèrement anxieux sur ce qui pouvait advenir de la soirée, après tout je suis tellement perdu vis-à-vis d'elle que je ne sais pas ce qui peut se passer, je peux autant lui en foutre plein la gueule que céder à ce charme fou qu'elle a et qui a su me faire tomber amoureux d'elle il y a plus d'un an de cela.

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FEELINGS NEVER GONE.
— with walter rutherford.

Je pense que cette soirée allait vraiment être particulière. C’était la première fois que Walter se montrait aussi proche de moi. La première fois depuis notre rupture. Il n’a jamais voulu m’adresser la parole mise à part pour me dire de le laisser tranquille ou de dégager. Et ce soir, il était complètement différent. Peut-être qu'il était trop bourré pour réaliser ce qu'il était en train de faire. Ou alors, il avait décidé de me donner une chance, ce soir. Je ne sais pas. Tu ne peux pas comprendre. Tu ne t’es pas retrouvé interné dans un hôpital psychiatrique à cause de cette merde. Tu n’as pas fais une overdose qui t’a coûté six mois de ta vie, right ? Je crois que c’est moi qui suis passée par là. Ça piquait de repenser à tout ça. Je crois que son incompréhension me blessait plus qu’autre chose, en fait. J’avais l’impression d’être fautive et pourtant, au fond, je savais que je n’avais vraiment pas eu le choix. Je ne pouvais pas faire passer Walter avant ma santé même si je serais prête à donner ma vie pour lui. Il était têtu et il ne voulait pas lâcher prise sur l’idée que j’avais décidé de rompre avec lui par pur plaisir. Damn, penser à tout ça me donnait juste mal à la tête. Je respirais un bon coup. On a qu’à aller danser ? proposais-je en haussant les épaules. Peu importe, je voulais juste profiter de la soirée, faire autre chose que parler des problèmes avec lui. On en avait déjà assez comme ça, j'imagine.

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Je ne sais pas ce que pouvait donner cette fin de soirée, j'étais déjà bien bourré et je ne sais même pas pourquoi je suis resté avec Sahara, moi qui n'a fait que l'éviter ou être froid quand on se croisaient, là je reste avec elle, parce qu'elle me l'a demandée, j'ai trop bu je crois. Et alors ? C'était une raison pour faire une croix sur un an de relation ? lui disais-je droit dans les yeux, j'étais énervé à chaque fois contre elle, je lui en voulais autant que je pouvais l'aimer, parce que oui je l'aime, je l'ai aimé comme un fou et aujourd'hui, les sentiments ne se sont pas envolés, ils veulent juste rester cachés, endormis, isolés. Je finis par accepter de rester avec elle, pas pour lui faire plaisir, juste parce que je suis curieux de voir ce que peut donner la fin de soirée avec elle, je n'ai rien à perdre en y réfléchissant bien alors autant tenter. Je lui faisais clairement comprendre que c'était à elle de choisir quoi faire, pas à moi, j'en avais pas envie et lorsqu'elle me proposait d'aller danser, je scrutais la piste de danse, elle était remplie de monde, mais c'était assez pour nous accueillir Allons danser. dis-je passant à côté d'elle sans lui lancer un seu regard, je marchais vers la piste, elle devait surement me suivre de près, j'en avais rien à foutre je crois, j'allais danser, ça allait évacuer toutes les pensées que je pouvais avoir, et alors que je commençais à bouger, elle venait se placer près de moi bougeant aussi au rythme de la musique.

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— with walter rutherford.

Et voilà qu’il s’énervait. C’était tout le temps pareil avec Walter, il ne parvenait jamais à comprendre ce que je pouvais ressentir et il s’acharnait sur moi, déversant toute la colère qu’il contenait en lui d’une façon brutale et douloureuse, sans même prendre la peine de penser une seconde à combien ça pouvait me blesser. De nature colérique, c’était extrêmement facile de le faire péter un plomb et je sentais que ça n’allait pas tarder si cette discussion ne s’arrêtait pas alors je décidais de ne rien répondre, même si j’avais juste un million de choses à dire – la meilleure solution pour le moment, c’était de garder ça bien au fond de moi. Il acquiesçait à ma proposition, se dirigeant vers la piste de danse bondée sans même prendre la peine de me jeter le moindre regard. Bon. Il était énervé, maintenant. Génial. Je le suivais sans rien dire, m’approchant de lui pour commencer à danser au rythme de la musique. La foule devenait oppressante alors qu’elle se remplissait de plus en plus. Je diminuais un peu plus l’écart qu’il y avait entre nous, nos visages n’étant alors séparés plus que d’une dizaine de centimètres. Je pouvais sentir son souffle s’écraser contre ma peau. Je le sentais plutôt tendu et il n’avait pas l’air de s’être refroidi alors je glissais ma main sur sa joue, la caressant d’un geste lent et doux. Je suis désolée, je n’aurais pas dû aborder cette conversation. Excuses-moi. Ne sois pas en colère, s’il te plait, je n’aime pas te voir comme ça. On avait eu l'occasion de partager un petit moment ensemble alors pourquoi gâcher cet instant à être si négatif ?

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