Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySamanaa It's a new dawn, it's a new day, it's a new life
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Samanaa It's a new dawn, it's a new day, it's a new life

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It's a new dawn, it's a new day, it's a new life

SAMUEL & SANAA
Retour du Chili, oui je suis miraculeusement en un seul morceau. Nous aurions pu tous y rester au final. J'avais eu énormément de chance de me trouver avec un vrai pompier à ce moment-là. Encore une fois, il m'avait sauvée. Mais, une fois revenue ici, une fois revenue à la réalité c'est vers un autre homme que mes pensées ce sont tournées. Il m'avait manqué mais, nous avions aussi des choses à mettre à plat tout les deux. C'est à peine si nous en avions parlé. Nous avions couché ensemble et son couple avait éclaté. Par dessus le marché, il était venu miser et il m'avait remporté chose qu avait été clairement ébruitée. Cela n'avait rien du arranger à ses problèmes bien déclarés. La preuve, il venait de prendre une colocation avec une étudiante et par dessus de marché, il se l'était faite. Oui, non cette histoire ne me plait guère, c'est un fait. De toute façon nous ne pouvions pas rester sur ce "malentendu" et je m'inquiétais aussi pour lui. J'avais à peine posé mes valises chez moi dans mon nouvel appartement, j'avais pris une douche rapide et je m'étais changée. Le contraste de température était énorme. Ici il faisait encore frais, alors que de là-bas j'étais revenue le teint halé et les cheveux plus doré que les blés. Il m'avait donné son adresse le jour où je lui avais sonné pour l'avertir que je prenais l'avion pour rentrer. Je me suis alors décidée au soir, bien que je n'avais vraiment pas envie de tomber sur sa colocataire. C'est avec un petit sac en papier, que je vins me présenter devant sa porte. Je venais de sonner attendant de voir s'il était chez lui ce soir ou s'il était parti encore une fois vadrouiller.    
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Je regardais mon téléphone me demandant quand elle rentrait du Spring Break, c’est vrai qu’elle était partie un moment et elle me manquait. Non je ne parle pas d’Ivy, mais de ma Nana… Mon autre blonde importante de ma vie. Elle était devenu trop importante surtout quand j’ai appris pour le tremblement de terre, elle avait donné aucune nouvelle. J’allais la tuer en la revoyant. Néanmoins, je pense qu’elle ne pensait pas à la même chose que moi en ce moment, elle avait dû revenir maintenant et j’allais droit au face à face je pense. Vu les sms qu’on s’est envoyé avant la coupure. Je pense que cela ne lui plaisait pas que j’emménage avec une étudiante surtout qu’avec Robin c’était plutôt ambigüe avec le voyage à Hawaï. Enfin tout ne se passait bien pour l’instant alors aucune inquiétude à se faire. La journée passe et pas de nouvelle d’elle encore. Elle foutait quoi ? Elle devait me prévenir en rentrant et ne pas attendre le lendemain. Je regardais ma montre, voyant l’heure tourner jusqu’à entendre le bruit de la sonnerie de la maison, Robin était rentré ? Pourtant ce n’était pas prévu. Je vais ouvrir et découvre avec surprise ma petite blonde, le teint halé. Je l’attrape pour l’enlacer, la serrant et la faisant quitter le sol de quelque centimètre tellement j’avais été inquiet pour elle. Je la repose au sol et passe mes mains sur son visage « tu n’as rien ? T’es entière ? Pourquoi tu ne m’as pas appelé ? Je ne sais pas moi… » Je la regarde toujours dans les yeux, voyant maintenant son petit sac dans les mains « bon aller entre, reste pas dehors, je suis seul alors tu crains rien. » Je souris et lui laisse la place de passer.

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SAMUEL & SANAA
Il me fait poireauter une minute ou deux, encore un peu et je tournait les talons pensant qu'il avait eu mieux à faire que m'attendre. Mais, la porte s'ouvre et avant même que j'ai le temps de dire le moindre mot voilà que je suis happée à l'intérieur de la pièce non, même pas c'est dans ses bras, levée du sol que je me retrouve. Je le laisse me serrer contre lui un moment et respire enfin lorsqu'il me redépose sur le sol. Ses mains se pose sur mes joues comme s'il cherchait à s'assurer de ne pas se trouver en présence d'un fantôme. Mais, non je vais bien voyons, quelques bleus par-ci, par-là, rien de bien méchant. Sam, Sam oui je vais bien t'en fais pas. Celui qui a le plus souffert c'est mon portable justement. J'ai pas eu le temps d'en acheter un au Chili. Puis bon, je ne faisais pas trop confiance en ce que j'achetais là-bas. J'avais préféré attendre mon retour. Il m'invita alors a entrer me précisant qu'il était seul. Je regardais tout de même autour de moi. Et ouais je préférais que sa colocataire étudiante ne soit pas là. Craindre? Je ne pense craindre rien de personne. Pas de sa simple coloc ou petit 4 heures d'ailleurs. Ni même de son ex-copine. Je me retourne alors posant mes prunelles dans les siennes. Alors quoi, il n'y a que cette greluche que tu t'es faites ou bien t'as commencé à te faire un tableau de chasse? suis-je piquante oui, pas qu'un peu. Le mec fidèle avait laissé place au mec volage et je n'aimais pas vraiment ça.   
acidbrain
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La voyant à la porte mon inquiétude sort et je l’attrape pour la porte dans mes bras, vérifiant qu’elle n’avait rien, qu’elle était entière. Bon sang j’étais inquiet moi, déjà quand j’ai entendu parler du tremblement de terre j’étais inquiet. Elle m’avait rien dit et là elle vient comme une fleur, je sentais qu’on allait devoir avoir une discussion sérieuse, mais ce n’était pas la plus importante des choses. Je la regarde alors qu’elle me dit d’arrêter, parlant de son portable, je m’en foutais de ça c’était elle le plus important après tout « m’en fous de ton tel, ouais tu m’as prévenu de rien, mais tu es sans ami maintenant, tu ne connais pas mon numéro… » Je l’invite à entrer, afin qu’elle ne reste pas dehors. J’étais moins inquiet de la savoir avec moi maintenant, je la vois regarder autour d’elle comme si elle cherchait Robin alors je la rassure, elle semblait plutôt en colère. D’un coup elle attaque direct, elle mâchait jamais ses mots et je la connaissais que trop bien pour savoir qu’elle n’allait pas en rester là. Me posant des questions qui la regarde pas, je serre les dents et me rend dans la cuisine pour sortir de quoi boire « cela te regarde pas Nana, je suis célibataire maintenant je peux faire ce que je veux sans dépendre ni avoir l’avis de quelqu’un » Je sors les verres afin de servir de quoi boire « tu veux boire quoi ? Soda ou une bière ? » Je la regarde alors dans les yeux, toujours la même elle s’inquiète trop à mon sujet alors qu’on se doit rien.

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SAMUEL & SANAA
Pourquoi il me chipote comme ça? Bien entendu que je connais son numéro. Je fronce les sourcils. Moi aussi je m'en fou mais, sans téléphone comment voulais-tu que je t'appelles? Il nous a presque fallu deux jours pour retourner en ville. C'est un tremblement de terre qu'il y a eu pas juste une petite secousse sismique. Des gens sont morts d'autre ont été blessés c'était le souk là-bas Samy. On aurait dit qu'il m'en voulait de ne pas avoir pu l'appeler plus du Chili. Je croise les bras en entrant dans son salon, enfin dans celui qu'il partage avec une étudiante que je ne connais pas... Je fronce encore plus les sourcils quand il me dit que tout cela ne me regarde pas? Ah non, car il n'y a que lui qui a le droit de faire des remarques sur mes fréquentations. N'est-pas lui qui m'a bassinée par texto sur le fait que je vois un autre prof que lui? Ou encore qui parle a tour de bras de mes sois-disant conquêtes. Et ça ne me regarde pas les siennes? Il est sérieux là? Oh c'est vrai excuses-moi j'oubliais que t'es pas réellement mon frère et que dans le fond je ne suis juste que la nana dont tu t'es servi pour rompre avec Ivy. Et vlan, ma remarque tombe nette et sanglante. Ben oui parce que quoi, franchement de l'entendre comme ça c'est largement ce que je pourrais croire au final. On a fauté ensemble, il s'est empressé d'aller tout balancer à Ivy sans même me demander mon avis ou me prévenir du fait qu'il allait me mettre en cause. Pour me balancer ensuite que ce qu'il fait de sa vie ne me regarde pas. Mes prunelles le défient lorsqu'il se tourne vers moi. T'as rien de plus fort? Je crois que j'en ai bien besoin là. dis-je en me laissant tomber dans son canapé. S'il voulait m'offusquer c'est réussi.    
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Bon maintenant elle me faisait la morale sur son portable et de tremblement de terre. Me parlant de mort, de blessé. Comme si je n’y connaissais rien à tout cela. On se demande qui a parcouru le monde pour retrouver des gens perdu je sais où. Elle ne semblait pas vraiment contente mais bon elle réagissait comme elle le voulait là. Je la regarde alors qu’on part dans le salon, elle ne voulait pas croiser Robin, c’était son choix. Elle n’était pas là alors y avait rien à craindre. Je ne voulais pas qu’elle se mêle de mes fréquentations déjà qu’Ivy me faisait chier avec cela, je ne voulais pas que Nana le fasse elle aussi. Elle me connaissait après tout alors elle n’avait pas à faire la sœur protectrice. Je la regarde alors qu’elle dit que je n’étais pas réellement son frère et que je me suis servie d’elle pour rompre avec Ivy… Je frappe le plan de travail « servie de toi ? Tu entends ce que tu dis ? Tu dis que je me suis servie de toi… comment tu peux oser penser cela putain… j’avais envie de toi ce soir-là, je voulais te faire l’amour point. Tu es ma Nana, ma frangine que j’aime alors dis pas de connerie » Je la regarde alors qu’elle sort sa remarque de merde. On a fait ça ensemble, mais bon cela avait été notre choix à tous les deux. Je lui propose à boire, mais elle souhaite plus fort « non j’ai rien de plus fort à part un bisou si ça peut te réveiller de tes connerie Nana… » Je la regarde alors que je sors la bouteille de rhum et nous sers deux verres « tiens j’ai que ça, il vient de chez moi alors c’est fort je te préviens… » Je prends mon verre et le bois d’un coup et le repose. J’étais habitué à cet alcool on en prenait des cuites avec ce rhum et je la regarde « tu m’as manqué, mais t’es obligé de faire ta sœur protectrice en rentrant ? »

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Il fallait que je lui dise mes quatre vérités, comment je me sentais après ça. Bien entendu que je me sentais fautive dans un sens ça n'aurait pas du arriver. Mais, je ne l'y avais pas poussé c'était lui qui était torturé au point d'avoir eu une réaction incontrôlée. Il fallait être deux pour ça c'est clair. Je n'avais jamais eu dans l'idée de briser son couple, même si je n'étais pas une grande fan d'Ivy, ses sentiments pour elle ne me regardait pas et c'était lui qui décidait de qui il aimait. Et il s'énerve. Ah non avec moi tu ne t'énerves pas. Pensais-je tout en l'écoutant. Oui je m'entendais et oui je me permettais de le dire parce que oui je l'avais pensé ne serait-ce qu'un minimum quand j'avais appris qu'il s'était empressé de le répéter à sa dulcinée. Et ça sans même m'en parler. Peut-être bien et si je le dis... Après tout t'a directement tout avoué et sans me demander mon avis. Et puis d'après ce que je vois tu as vite courut dans les draps d'autres nanas en plus. C'était bien ce qu'il m'avait avoué par sms non? Qu'il y en avait bien d'autre. Alors peut-être qu'il me voyait comme une soeur mais, là il faisait de moi un coup d'un soir. Alors honnêtement oui je voulais quelque chose de plus fort que sa stupide bière. Des conneries, pour qui? Pour toi peut-être. Et tu crois qu'un bisou peut tout effacer? Oui c'est ça qu'il croit, que ce qui s'est passé va s'effacer que ça n'a aucune conséquences? Je pris le verre qu'il me tendait et je l'avalais aussi sec que lui en posant mes fesses dans son canapé ou celui de SA Robin je sais pas quoi. Ma frangine protectrice? Alors c'est ça qu'il croit. Au final, je pense que Sam ne me connait pas vraiment. J'étais loin de tenter de le protéger là j'étais clairement en train de lui chier des bulles carrées pour son attitude frivole qui ne me plaisait pas. Je crois qu'un second sera nécessaire bordel, ça n'a rien à voir Samuel. Je me levais allant lui prendre la bouteille des mains pour me resservir un verre. Puis je désignais le petit paquet que j'avais déposé. C'est un cadeau. Ou un cadeau empoisonné dans le paquet il y avait trois boites de préservatifs, ma manière à moi de lui faire comprendre que son attitude me faisait clairement chier.   
acidbrain
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Fallait qu’elle soit comme cela, toujours direct et franche. Elle ne pouvait pas profiter de ce moment avant de venir me lancer à la gueule les choses. Sa réaction est abusé on dirait qu’elle fait ma mère là. Oui je m’étais pas contrôlé avec elle, j’avais envie de sexe et le fait qu’elle me chauffe, qu’elle soit elle fasse que je veuille l’avoir dans sa voiture. Maintenant oui, j’ai tout dis à Ivy car on avait aucun secret elle et moi. Elle m’avait dit pour son baiser avec Wade, je n’avais pas le droit de lui mentir, maintenant Sanaa n’avait aucun remord ni aucune culpabilité à ressentir, car tout était de ma faute. Je la regarde alors qu’elle s’énerve maintenant, j’en avais marre sérieux. Elle me fait même la remarque que j’avais déjà était au lit avec d’autres filles. Elle jouait quoi là ? Elle voulait que je lui dise que j’ai couché avec quoi trois étudiantes ? « Qu’est-ce que cela peut te faire avec qui j’ai pu coucher ? Je suis célibataire maintenant je peux faire ce dont j’ai envie. A moins que tu sois jalouse et veuille que je couche qu’avec toi Nana » Oui je lui avais dit, car pour moi elle me jugeait pas, elle m’aimait comme j’étais. J’ai même pas envie d’un bisou là apparemment elle voulait du fort, mais j’avais que le rhume de chez moi, mais on dirait que cela ne lui faisait pas froid aux yeux, car elle l’avala direct, elle était sur le divan et elle était vraiment en train de me faire la moral. Je lui en sers un second, mais elle me prit la bouteille des mains pour se servir. Je regarde alors le paquet qu’elle m’avait donné, parlant de son cadeau. Je vais voir ce qu’il contient trouvant des boites de capotes je la regarde avec des yeux noir « qu’est-ce que tu cherches à faire Nana ? Ça te plait pas que je sois libre et fasse ce que je veux ? Tu le fais bien toi non ? Alors pourquoi je n’ai pas le droit de profiter de ma liberté hein ? » Je m’approche d’elle et la regarde dans les yeux, elle cherchait quoi et elle voulait quoi.

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SAMUEL & SANAA
Oui j'étais venue mettre les choses au point, on avait pas pu reparler de tout ce qui s'était passé, de sa rupture, de sa soi-disant prise de conscience subite de ce qu'il avait fait. Il voulait être franc pourtant il savait très bien que la jeune blonde avec qui il formait un couple, ne lui pardonnerait pas cet impair. Il savait que cela mettrai fait à son couple. Peut-être n'y tenait-il pas autant qu'il le pensait. J'avais les bras croisés dans le fauteuil attendant sa réponse mais, il préféra zapper l'affaire Ivy et passer directement à ces nouveaux impairs avec d'autre que moi. Qu'est-ce que ça peut me faire, il est célibataire? Oui et alors ai-je envie de dire. Parce qu'on est célibataires il faut sauter tout ce qui bouge? Cela ne me regarde pas? Tu t'entends, oh je sais parfaitement que je ne suis qu'un coup d'un soir pour toi, rassures-toi. Mais, tu comptes arranger ton couple comme ça? Je pensais que tu disais l'aimer non? C'était pas avec cette attitude qu'il allait récupérer le coup ou alors il fallait qu'il soit plus franc et réaliser qu'en fait ses sentiments avaient peut-être changés depuis. J'étais peut-être moralisatrice oui, mais quoi? Je ne suis pas jalouse et ça n'arrivera plus. lançais-je à la suite. Non, ça ne pouvait plus arriver car ce serait bien trop compliqué et je ne pourrais plus me regarder dans le miroir pas maintenant. Je m'étais mise à éprouver des sentiments pour Jarod, plus que je ne l'aurai imaginé. Je ne le fais plus depuis mon retour du Chili. Et je ne cherche rien, je pense juste que c'est pas "bien". Oui c'est vrai ça le regardait et peut-être que j'éprouvais un peu de jalousie ou de dépit en fait, je ne sais pas vraiment. Peut-être qu'à l'époque si je ne m'étais pas rendue compte qu'il devenait mon professeur et s'il n'avait pas rencontré Ivy, peut-être que j'aurai ressenti tout autre chose... Je ne le saurais jamais réellement. Il me défie du regard, avec les yeux noir et mes prunelles se fixent dans les siennes sans les baisser. Il peut bien me foudroyer, je m'en fiche. Mon petit cadeau ne semble pas te plaire mon chou. Au moins ça t'évitera de mettre en cloque l'une des étudiantes du campus... le piquais-je bien fermement et que faisait-il des rumeurs qui pouvaient éclore? Il s'en fichait de perdre son job aussi?    
acidbrain
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La situation semblait prendre une tournure que je n’avais pas prévue du tout. Je pensais à de bonne retrouvaille entre elle et moi et au contraire elle cherchait déjà les bêtises, mettant les choses à plat. Je ne m’attendais pas cela. Elle était déjà chiante, mais là avec sa voix, elle faisait ressortir ma veine tellement cela m’agaçait. On dirait une sorte de mère qui fait le moral à son jeune fils qui profite de la vie. J’étais célibat et je faisais ce que j’avais envie avec qui j’avais envie point. Je n’avais pas à avoir l’autorisation de Sanaa pour m’envoyer en l’air avec une femme. Les étudiantes étaient adultes et consentante. Je la regarde stupéfait de l’entendre parler de coups d’un soir, arranger mon couple, mais elle est devenu folle « tu as terminé ton baratin ? Coup d’un soir puis quoi encore dis aussi que j’aime que ton cul et tes seins pendant qu’on y est et ne parle pas d’elle s’est pas vraiment la période Sanaa » Je la regarde alors qu’elle était encore là à me faire chier avec son cotés moralisatrice, en quoi ce n’était pas bien et genre elle n’est pas jalouse, mon cul c’est du poulet aussi « t’es pas jalouse vraiment ? Même si pour toi cela n’est pas une attitude à prendre, je fais ce que j’ai envie d’accord ? Je ne suis pas derrière ton cul à savoir qui tu fréquente et avec qui tu couches je pense » Je croise les bras et va voir ce cadeau. Empoisonné comme je ne m’y attendais pas, je la regarde alors qu’elle m’être soulante. Je la foudroie du regarde « ta blague est de mauvais gout Sanaa, tu te prends pour qui ? » Je la toise et me met face à elle « tu veux quoi ? Que je sois comme avant ? Tu sais que je suis redevenu celui que tu as connu et ça te plait pas justement, tu crois que t’es différente des autres c’est ça ? Que je ne te regarde pas et que je ne te trouve pas attirante ? » J’attrape son menton et la regarde « j’ai eu envie plus d’une fois qu’on remette le couvert depuis cette nuit, mais je ne pense pas que tu aies envie de cela, reprend ton cadeau sauf si c’est pour qu’on s’en sert » Je la lâche et prend la bouteille pour boire au goulot et en vider un peu.

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