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Pinces moi je rêve PV Isaac

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Isaac & Nevada ❥

C’était une bonne après-midi pour aller se baigner. Chose que j’avais donc effectué dans le lac situé non loin du Summer Camp. Je m’y étais rendue à pied pour profiter du beau temps et de l’air frais. Rester enfermé, ce n’est pas pour moi faut dire. Je suis une fille de la nature. N’empêche que j’avais eu de la chance, personne d’autre n’avait eu l’idée de venir faire trempette. A mon avis, certains dormaient encore malgré l’heure avancée, pour cause de gueule de bois. Ma foi, un peu de tranquillité ne me ferait pas de mal. La température de l’eau était parfaite et je n’avais pas eu de mal à y entrer bien que je sois plus habituée à l’eau turquoise de la Méditerranée mais bon ce n’est pas la porte d’à côté donc je fais avec ce que je fais. Les premières brasses étaient plus qu’agréables, ça m’avait manqué depuis la fin d’année de ne plus nager. Du coup j’étais vraiment parti dans un autre monde et les minutes s’égrainaient sans que je me rende réellement compte. De toute manière, j’avais du temps devant moi. Rien de prévu à l’horizon. Je profitais de ces vacances bien méritées pour me reposer.

Après presque une heure passée dans l’eau limpide, j’étais sorti. L’air frais sur mon corps me donna d’ailleurs des frissons et je ne m’y pas bien longtemps à prendre ma serviette pour me sécher la peau. Ne sachant quoi faire d’autre, je m’allongeai près de l’eau sur ma serviette, les lunettes de soleil sur le bout de mon nez, finissant ainsi de sécher et les rayons de soleils caressant ma peau matte. A vrai dire je ne pensais à rien, j’avais l’esprit tranquille, quel bien fou cela procurait de n’avoir à se préoccuper de rien mis à part de soi. Pensant qu’il était peut être temps de me trouver une autre activité, je ramassai mes affaires, enfilant mon short en jean et un simple débardeur de couleur orangée. Puis secouant mes cheveux ondulés, je repris le chemin du Summer Camp, sans aucune idée d’occupation en tête.

Arrivée du côté des chalets, une idée fusa dans ma tête. Voilà quelques jours que je n’avais pas eu de nouvelles de Theo. Nous ne nous étions pas revus depuis la fête qui avait eu lieu dans sa chambre et cela m’étonnait qu’il n’est pas donné signe de vie. Oui j’étais préoccupée quand il s’agissait de personnes que j’appréciais. Du coup, je bifurquai dans le chalet des garçons. Pas très présentable il faut avouer mais bon qu’importe, on n’est pas à un défile de mode non plus. C’est les vacances quoi ! Poussant la porte du chalet, j’empruntai le long couloir. Il me semblait me souvenir qu’il se trouvait dans la chambre 5. Je regardais donc les numéros affichés sur les portes tout en marchant. Un bruit de porte qui claque me fit presque sursauter. Et si c’était un surveillant ? Et si je n’avais pas le droit d’être du côté des mecs ? Je tournai la tête pour voir si ma supposition était vraie. Et en voyant le visage de la personne venant de sortir, je me rendis compte que la situation était encore pire. Non je rêve ou quoi ? Dites moi que c’est un cauchemar. Pas ça pitié, pas lui, c’est impossible. Isaac ne peut pas être là. Je fais volte face, ne pensant qu’à faire chemin arrière. Faites qu’il ne met pas vu. Là j’ai qu’une envie me faire toute petite et faire comme si tout cela n’est pas réel. Parce que je ne crois pas une seule seconde que cette personne au bout du couloir soit cet Isaac que j’ai laissé il y a 3 ans.
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J'ouvrais les yeux et c'était l'obscurité totale, je ne savais pas où j'étais, j'essayais de me souvenir mais un mal de crâne horrible me prenait, je venais de saisir l'essentiel, j'avais abusé des boissons alcoolisées lors de la fête d'hier d'où ce mal de crâne mais je ne sais pas quand ni comment je me suis retrouver ici, je savais que c'était ma chambre, c'était la seule chose dont je me souvenais, impossible de me rappeler la soirée, ce qui est souvent le cas ces derniers temps. Je me relevais, j'allumais mon portable, la lumière était assez forte pour éclairer quelques bouts de la chambre et je voyais des lits autre que le mien, vides, les gars n'avaient pas du abuser autant de l'alcool que moi, ça me faisait sourire, je regardais l'heure qu'il indiquait et j'avais du me coucher très tard pour me réveiller aussi tard, il était presque 15h et même en pleine après-midi, mon cota de sommeil semblait léger. Je décidais de me lever et dès que je fus debout, tout tournait autour de moi, décidément la prochaine fois je devrais y aller plus molo, j'avançais lentement jusqu'aux rideaux, une fois tirés, la lumière du jour m'aveuglait, après un petit moment je pouvais voir le ciel bleu, ma tête tournait encore mais j'étais assez conscient pour bouger et rentrer dans la salle de bain pour prendre une douche, c'était ce qu'il me fallait pour ré-avoir les idées claires.

Après un petit moment, je sortais de cette douche, je ne pouvais pas rêver mieux, le mal avait baissé mais pour être sur je prenais un cachet d'aspirine, tout les précautions sont bonnes à prendre, on en avaient pas mal dans la salle de bain, j'étais pas le seul à me prendre des cuites, on prenaient encore une fois nos précautions pour éviter un terrible mal de crâne. Tout beau tout propre, je sortais de la salle de bain pour enfiler des vêtements qui ne sentaient ni la clope, ni la bière, heureusement il m'en restait encore, j'optais pour un simple jean et un t-shirt, je baillais encore, signe que je devais encore dormir mais ce sera ce soir, il faisait beau dehors, pourquoi ne pas aller rejoindre les gars, ils m'avaient laissés un message sur mon portable quand j'étais à la douche, je prenais mes lunettes de soleil et j'étais fin prêt pour profiter du reste de cette journée.

Je quittais la chambre et en refermant la porte, j'entendis un sursaut, je n'étais peut être pas le seul mec qui avait abusé de l'alcool et qui avait fait une grasse matinée prolongée, je me dirigeais vers la sortie et je la vis, je m'arrêtais net, je savais qu'elle était au Summer Camp mais jamais je n'aurais cru la voir ici, dans le chalets des mecs, c'était la dernière personne que je voulais voir et pourtant c'était la seule personne que j'aimais plus que tout. Je voulais faire demi-tour mais la seule sortie se situait derrière elle, il ne me restait plus qu'a faire comme si je ne la connaissais pas, comme si elle n'était rien pour moi, j'avançais sans la regarder, elle était surprise de me voir, vous me direz revoir celui que vous aimez après 3 ans ça fou un coup surtout quand c'est vous qui êtes partit, j'arrivais à côté d'elle et là c'était plus fort que moi, je devais lui parler « Tu peux te pousser s'il te plait, j'aimerais passer » il est vrai que le couloir était assez étroit et il fallait légèrement se décaler pour pouvoir passer avec plus d'une personne, mon regard vis-à-vis d'elle était neutre, ma voix l'était aussi, je faisais comme si elle n'avait jamais exister, c'est peut être la meilleure chose à faire après ces 3 ans même si je ne pourrais jamais la chasser de ma tête.

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Isaac & Nevada ❥

Jamais je n’aurais pensé que ma journée prendrait une tournure aussi soudaine et imprévisible. Et pourtant elle avait bien commencé. J’aurais du rester au lac, m’endormir en bronzant ou bien tout simplement ne pas avoir eu la mauvaise idée de rendre visite à mon ami. Hélas le destin en a décidé autrement et à cause de cela j’étais coincé ici dans ce couloir qui me ramenait des années en arrière. Bien sûr dans d’autres circonstances j’aurais tout donné pour avoir le droit à ce moment. Si cette rencontre hasardeuse dans le couloir s’était déroulée quelques années auparavant, j’aurais sûrement eu un sourire sur le visage au lieu de vouloir tout faire pour me cacher. Moi qui voulais tout faire pour tirer un trait sur cet épisode de ma vie que je regrettais encore, voilà qu’il refaisait surface.

Je ne savais pas trop quoi faire et les ordres que mon cerveau donnait à mes jambes pour que je m’en aille vite n’arrivaient pas à destination. La seule solution était donc de faire face à cette situation plus qu’embarrassante pour moi. J’entendais des pas, enfin ses pas, qui se rapprochaient d’où je me trouvais alors que j’étais toujours de dos. Il ne m’avait sûrement pas reconnu, après tout des filles mâte de peu il y en a plusieurs, sinon j’aurais déjà entendu le son de sa voix résonnant à travers le corridor m’appelant ou bien ce n’était peut être que ce que je souhaitais : l’entendre prononcer mon nom. Car oui aussi surprenant que cela puisse paraître, j’avais à la fois le besoin irrémédiable de le voir mais également de ne pas lui faire face, cette contradiction étant le signe profond de ma culpabilité et de remords. Plus les secondes passaient, plus j’étais pétrifiée. J’étais collé contre le mur, pensant qu’il continuerait sa route pour sortir du chalet sans faire attention à moi, sans avoir conscience qu’il passait à côté de moi car je n’avais pas la force de le retenir et puis j’en serais incapable. Je ne saurais même pas quoi lui dire après toutes ces années. Parce qu’il y avait tant et tellement peu de choses à évoquer. " Tu peux te pousser s'il te plait, j'aimerais passer. " Tout d’abord mon rythme cardiaque s’accéléra quelque peu à la suite de ces paroles pas aussi charmantes que je l’aurais souhaiter ! Et cela m’étonnait d’ailleurs de l’avoir entendu dire cela, je pensais même mettre tromper de personne, et donc mettre fait tout un film mais non car je reconnaitrais l’intonation de sa voix entre milles. C’était bel et bien la sienne. Elle n’avait pas changé contrairement à sa façon de parler. Je ne l’avais jamais entendu dire ce genre de choses par le passé et à cette première phrase, Isaac semblait avoir évolué. Après tout je ne vois pas pourquoi il n’en avait pas le droit car ça avait été également mon cas.

Finissant par retourner, planté en plein milieu du couloir, mon regard s’était dirigé vers le sol comme une gamine qui venait de faire une bêtise mais je finis, au bout de quelques secondes, à avoir le courage de le regarder dans les yeux. Je l’avais aperçu au bout du couloir quelques minutes auparavant donc je n’aurais pas du être choquée de le voir face à moi or c’était tout le contraire. C’était fou comme cette situation me paraissait tellement surréaliste. " J’en conclus donc, suite à tes quelques mots, que je suis devenue une fille invisible. " finissais-je par prononcer d’un ton plutôt cru avec une pointe d’effroi et de tristesse que je tentais tant bien que mal de cacher. Oui j’étais profondément déçue qu’il ne m’est pas reconnu ou bien qu’il n’est pas le cran de faire face à la réalité. Mais le pire dans tout c’est que je ne savais pas trop aborder Isaac, comment me comporter envers lui. Comme si j’étais face à un inconnu alors que c’est loin d’être le cas.
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Je ne m'attendais pas du tout à cet imprévu, pas après tout ce temps, il serait survenu plutôt peut être aurais-je lâché un sourire mais mon visage était certes surprit mais il ne voulait ni me faire paraitre heureux et déçu, il était tout simplement neutre, faisant comme si j'ignorais ce fameux imprévu même si je sais que je ne peux qu'y faire face. J'aurais du rester dans ma chambre, dormir encore, ne pas en sortir car maintenant j'étais face à elle, celle qui possède toujours mon cœur, celle que j'aime et que je déteste à la fois, celle que je ne peux chasser de mon esprit et celle qui devrait disparaitre de ma vie après tout ce temps mais mon amour pour elle m'en empêchait, la seule chose que je ne pouvais nier. Ce couloir était devenu le couloir du passé, c'est comme si je revenais des années en arrière, je la revoyais elle et moi, à Nice, c'était de très beaux souvenirs mais des souvenirs qui me faisaient du mal, c’est à cause de elle que je me suis renfermé sur moi-même, à cause de elle si je suis devenu plus hostile et méchant, tout est sa faute, je ne peux que la détester mais non l'amour que je lui porte m'en empêche mais je veux tellement la détester, elle m'a fait tant de mal quand elle est partit, elle à choisit ses études en premier, je me suis sentis délaissé, abandonné, je ne pouvais pas croire qu'elle est choisit ses études au lieu de moi, je crois que c'est pour ça que j'aurais du mal à lui pardonner, c’est ce qui m'a le plus blessé.

Je ne savais plus quoi faire, je voulais aller dans le sens opposé mais la seule sortie se trouvait derrière elle, je devais l'affronter de face pour partir loin d'elle, comment devrais-je réagir ? Comment devrais-je lui parler ? Ces questions me hantaient mais je décidais finalement de rester aussi neutre que possible, lui faire voir ce que ça fait d'être invisible, de se sentir seul, j'avançais vers elle, le regard neutre, je ne la regardais pas, je ne devais pas, mon cœur battait à vive allure j'étais partagé entre lui en décollé une et l'embrasser follement, je ne voulais pas peser le pour et le contre, je devais rester ignorant et faire comme si elle n'avait jamais fait partit de ma vie, ce qui ne sera jamais le cas mais c'est peut être la meilleure chose à faire. La malchance me suivait, il n'y avait pas assez de place pour rester à l'écart d'elle, je devais lui demander de se bouger pour pouvoir passer, je n'avais pas d'autres choix alors j'entamais la conversation, j'étais obligé de la regarder, le regard neutre, la voix neutre, je lui parlais comme si elle était une parfaite inconnue à mes yeux, c'était dur mais je devais lui montrer qu'elle ne comptait plus et je voulais qu'elle se sente coupable, coupable d'avoir fait ce choix qui m'a fait tant de mal. J'aurais espérer qu'elle se pousse mais elle restait là, son regard porter vers le sol, reconnaissait-elle sa culpabilité ? Avait-elle des remords ? Je n'en savais trop rien mais ce dont j'étais entièrement sur, c'est qu'elle se sentait mal et gênée, elle finit par me regarder dans les yeux, et là je savais qu'elle se sentait coupable et qu'elle avait des remords, je lisais en elle comme dans un livre ouvert et c’est toujours le cas après trois ans loin d'elle, elle me faisait part qu'elle était devenu une fille invisible vis-à-vis de moi suite à les dernières paroles, c'était faux mais je le faisais croire un maximum, je souriais ironiquement, comme si je me foutais d'elle « Tu es devenu invisible le jour où tu as fait ton choix... je pensais que je comptais pour toi mais il faut croire que tes études étaient plus importante... » j'avais été direct avec elle, je ne pouvais que l'être après tout ce temps. J'essayais tant bien que mal de passer puis une fois devant elle, je ne me retournais pas, je l'ignorais de nouveau comme si elle n'avait jamais fait partit de ma vie, ce n'était pas du tout ce que je voulais mais encore une fois, c'était peut être la meilleure solution.

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Isaac & Nevada ❥

La tension était vraiment palpable et il y a de quoi à vrai dire. Ce n’est pas comme si nous étions en bons termes aujourd’hui loin de là et tout ça par ma faute. Je le reconnaissais d’ailleurs en mon fort intérieur mais est ce que je serais un jour capable de lui dire ? Je ne sais pas tellement, cela dépendrait de son comportement. Vivre trois ans avec ce poids sur les épaules fut difficile à vivre même si je ne l’ai guère montré. Qui penserait dans mes amis que j’avais un jour eu le cran de quitter l’être aimé pour débarquer à Harvard ? Pas grand monde je pense, étant donné qu’on ne m’avait jamais qualifié comme une personne égoïste or ce que j’avais osais faire par le passé relevait bien de l’individualisme mais je refusais obstinément de me l’avouer tout simplement parce que je ne l’avais pas fait par plaisir, loin de là même. Mais cela Isaac ne le saurait jamais sauf si j’ose un jour exprimer le jour de ma pensée mais pas aujourd’hui, à mon avis, je suis beaucoup trop troublée pour pouvoir aligner quelques mots censés. Le regarder était un supplice car tous mes sentiments à son égard commençaient à se réveiller l’un après l’autre : la culpabilité, la peur d’être rejetée, l’amour et même la passion. Deux ans d’amour intense et plein ça ne s’oublie pas comme ça surtout quand il est le premier, celui qui vous fait découvrir la signification du mot amour. Il est clairement impossible de pouvoir rayer un trait sur ce passage de ma vie et pourtant j’ai essayé, enchaînant les conquêtes. Je m’étais même punie moi-même de mon action en faisant en sorte de ne pas avoir de nouveau des sentiments pour quelqu’un. De toute façon jamais personne n’arrivait selon moi à la hauteur d’Isaac, donc c’était plutôt facile, mais cela démontrait aussi clairement que mon cœur lui appartenait toujours mais jamais je ne l’ai contacté pour le lui dire trop peureuse et pensant qu’il ne me méritait pas. C’est vrai il était à l’époque quelqu’un de si gentil, agréable et attentionné que je lui souhaitais de trouver quelqu’un qui sache prendre soin de lui alors que moi je n’avais pas su le faire.

Son visage hostile et neutre d’émotions me déstabilisait au plus haut point. Le faisait-il exprès ? Je n’en savais strictement rien car je ne le reconnais plus et il était donc difficile de savoir ce qu’il pensait. Cependant je voyais très bien tout l’aura de colère qui l’entourait et c’était justifiable. Mais ‘il me détestait à ce point, cela ne signifiait t-il pas que je comptais toujours à ses yeux ? Après tout l’amour et la haîne sont deux sentiments tellement proches. Et je préférais largement qu’il me déteste plutôt qu’il soit indifférent à ma présence mais à priori j’étais bel et bien devenu invisible à ses yeux. Tentant par tous les moyens de se frayer un passage dans le minuscule couloir, il finit même par me frôler. Un contact physique dont je me serais bien passé car cela eu l’effet tellement prévisible de me donner des frissons. Pendant une demi-seconde, je pensai même à le serrer dans mes bras mais je me ravisai très vite vu que j’étais loin d’être sûre que cela lui ferait plaisir. Il semblait prêt à vouloir me laisser seule ici, se rapprochant dangereusement de la sortie. Une soudaine impression de déjà-vu or aujourd’hui la situation était inversée, c’était bel et bien lui qui me quittait en m’imposant peut être secrètement de faire de nouveau un choix : le laisser partir une bonne pour toute ou bien le retenir. Mon cœur ne cessait de battre la chamade, mais la réponse s’imposait d’elle-même. Je n’avais pas envie qu’il parte mais est ce que lui en avait envie ? D’où la question qui me titillait. " Si tu franchis le seuil de cette porte là-bas, tu n’entendras plus parler de moi, je te le promets mais est-ce vraiment ce que tu veux ? " Une façon de le tester réellement sur ce qu’il ressentait pour moi. Tout au fond de moi, j’espérais qu’il se retourne vite, qu’il ne pose pas la main sur la poignée de la porte mais peut être que le fait d’avoir toujours une place dans son cœur n’était qu’un rêve. J’étais totalement stressé comme je ne l’avais jamais été auparavant et pourtant je me tenais droite.
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La revoir après 3 longues années, ça fou un coup, je n'allais pas lui sauter dans les bras et l'embrasser, je le voulais vraiment au fond de moi mais c'est elle qui a mit un terme à notre histoire pour choisir ses études à ma place, je ne le croyais pas mais avec ce qu'elle avait fait, elle me faisait croire que je ne comptais pas autant qu'elle me l'avait montrer. Elle n'avait jamais été égoïste, pas quand je l'ai connu, pas quand on étaient ensemble mais là, à l'aéroport c'était du pur égoïsme, je n'aurais jamais penser qu'elle fasse un tel choix mais elle l'avait fait et c'est la cause de ma haine envers elle, je ne peux lui pardonner enfin pas encore, elle m'a fait trop mal et le pire c'est que je l'aime à en crevé, on se demande vraiment quel est le mal là-dedans ? Je ne savais plus mais le fait qu'elle soit ici dans le même couloir que moi, je ne savais même pas quoi faire, elle me faisait perdre mes moyens. Après notre rupture, je ne voulais plus tomber amoureux, j'ai rencontré Clého quelques temps plus tard, c'était pas de l'amour fou, jamais autant que celui que je porte à Neva mais j'avais besoin de compagnie et c’est vrai que j'avais des sentiments pour elle mais c'était passager, après qu'elle soit parti, je rencontrais d'autres filles, c'était du sexe sans sentiments, je voulais chasser Neva de ma tête mais je n'y arrivais pas, pas au bout de deux ans de relation intense et passionnelle, je me persuadais d'y arriver sans pour autant avoir le moindre espoir.

Je ne pouvais que la dévisager et la regarder avec cette haine au fond de moi, elle baissait les yeux, je savais qu'elle ressentait de la honte, qu'elle se sentait coupable, qu'elle avait l'impression que tous les remords pesaient sur elle, c’est ce que je voulais, qu'elle ressente ça, elle m'avait fait mal, je voulais qu'elle le vois, j'aurais pu lui gueuler dessus mais ma voix restait neutre avec un léger ton de colère, j'avais changé, je n'étais plus le même, depuis le jour où elle est partit pour tout dire, elle pouvait le voir, je savais qu'elle avait changée aussi mais je voyais toujours la douce Neva dans ma tête, j'avais été trop loin d'elle pour la connaitre tel qu'elle est aujourd'hui et actuellement ce n'était pas du tout ce que je voulais.

J'essayais de passer malgré le faible espace, je la frôlais, je ressentais des frissons malgré cette haine, des sentiments surgissaient d'un coup, de l'amour, de la passion mais toujours cette colère et cette haine, enfin je me perdais dans mes pensées jusqu’à ce que j'arrive à passer devant elle, je lui tournais le dos, comme si elle n'existait pas pour moi et alors que la porte pour sortir se trouvait à quelques centimètres, les paroles qu'elle prononçaient me stoppait net. Si je franchissais cette porte, c'était la dernière fois que j'entendais parler de Neva, étais-ce ce que je voulais ? Non, au contraire mais je ne savais pas quoi dire, ma main était prête à toucher cette poignée mais je faisais retour arrière pour me retourner et la regarder « C'est pas ce que je veux, peut être est-ce la meilleure solution pour avancer... j'en sais rien, donne moi juste une seule bonne raison de rester... » c'était à elle de décider de la suite des événements, à elle de trouver ce qui pourrait me faire rester et après ce qu'elle m'avait fait, ça devait être une très bonne raison.

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Isaac & Nevada ❥

Je ne m’étais jamais préparé à l’éventualité de le revoir un jour. Et puis après tout je le croyais en France et c’est d’ailleurs pour cette même raison que je n’étais jamais retourné dans le pays de mon enfance depuis 3 ans par peur de tomber sur lui. Je pensais qu’après tant d’années, je réussirais à l’oublier mais non rien n’y avait fait. Jamais je n’avais repris contact, pensant que le laissant dans l’indifférence il m’oublierait et inversement. Après tout oublier la lâche que j’avais été en ce moment fatidique devait être facile pour lui mais j’avais bien vu dans son regard que cette histoire passée entre nous deux était toujours ancrée dans le présent. Il me détestait par contre c’était sûr et certain au vu de son comportement. Je ne pouvais pas le blâmer car je le méritais. Et puis s’il décidait de s’en aller, je ne pouvais pas lui en vouloir non plus vu que j’avais effectué cette même erreur par le passé. Cette connerie qui me collait à la peau depuis mon départ de la France, je ne m’en étais jamais réellement remise. Le choix entre Isaac et mes études avait été cornélien mais à l’époque j’étais jeune et je pensais plus à mon avenir pensant que l’amour pouvait attendre, quel foutaise oui. Aujourd’hui, tout cela me revenait comme une grosse claque ! Et j’étais complètement déstabilisé par tous les sentiments que j’avais envers Isaac qui remontaient peu à peu alors que je les pensais bien enfouis. Tout mon cerveau était sans dessus-dessous, j’avais même du mal à tenir sur mes jambes qui étaient devenus de coton. C’est inimaginable, l’effet qu’Isaac avait sur moi. Personne d’autre n’avait su me procurer ce même genre de chose : un amour qui vous passionne mais qui vous détruit lentement à petit feu parce que vous pensez qu’il est perdu à jamais par votre faute.

Et finalement mon ultimatum avait fait de son effet, comme je l’espérais, il avait finit par se retourner, et son visage portait toujours une colère sans nom. Moi qui d’habitude avais tellement confiance en moi, je perdais tous mes moyens face à lui. Je me sentais trop coupable pour oser l’affronter du regard et il faisait tout pour que je me sente de plus en plus mal, c’était difficile mais j’étais obligé de rester là à le voir me haïr plus que tout, comme pour me punir une bonne fois pour toute. Mais bon s’il était là c’était plus un mal pour un bien après tout, j’avais la possibilité de me faire pardonner, effacer toutes mes erreurs et faire table rase du passé s’il le voulait bien sûr. " C'est pas ce que je veux, peut être est-ce la meilleure solution pour avancer... j'en sais rien, donne moi juste une seule bonne raison de rester... " Sa demande me décontenançait et pourtant je n’avais pas trop le temps de réfléchir si je ne voulais pas qu’il parte définitivement de la vie. Moi qui pensais avoir fait mouche en voulant le tester grâce à mon chantage, voilà qu’il avait retourné la situation a son avantage et la balle était donc dans mon camp. Cependant il avait tout de même sous-entendu qu’il ne voulait pas me perdre et j’étais plutôt fière de l’entendre dire cela. Je m’avançai donc à pas lent pour me retrouver à quelques centimètres de lui, de là je sentais même son parfum enivrant mais je devais reprendre mes esprits. " Laisse moi au moins m’expliquer et m’excuser même si je sais que ça n’arrangera rien. Ca te suffit comme raison ? " Ma réponse était vraiment conne même trop ! Mais les mots avaient du mal à sortir de ma bouche et le fait que je sois à l’instant si proche d’Isaac n’arrangeait pas les choses. Et tel un agneau qui se jetait dans la gueule du lion, je me risquai à lui prendre la main, priant pour qu’il ne me repousse pas.
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Je savais que j'allais la revoir un de ces jours mais le plus tard possible aurait été bon, on étaient face à face, dans le même couloir, je ne savais pas comment réagir, ni quoi penser, je ne m'étais jamais préparé réellement à la revoir, je savais que j'allais me retrouver face à elle mais c’est plus facile de dire que de faire et là j'étais un peu démuni et perdu. Je voulais l'oublier, la sortir de ma tête car pour avancer il ne faut pas rester basé sur un fait, il faut dans le pire des cas oublier et tout faire pour avancer mais encore une fois c'était plus facile à dire qu'a faire, je ne pouvais simplement ps la chasser de ma tête, après ce qu'on avaient vécus, après cette relation qui a durer 2 ans, rien ne s'oublie, elle à été mon premier amour, c’est avec elle que j'ai couché pour la première fois, celle à qui j'ai donné le baiser d'un homme amoureux, je ne pouvais pas, c'était plus fort que moi. Elle me lança l’ultimatum, quitter ce chalet et ne plus la revoir ou rester et espérer a revoir, comment osait-elle me faire ce dilemme alors qu'elle avait ce même dilemme à faire il y a 3 ans et surtout comment ose t-elle me dire que si je quitte ce chalet je ne la reverrais plus, ne sait-elle pas à quel point j'ai souffert qu'elle fasse le mauvais choix, ne sait-elle pas qu'elle ma brisé le cœur, elle devrait avoir honte, je devrais sans hésiter ouvrir cette porte et partir mais le problème est là, je l'aime, à un point inimaginable même après ce qu'elle m'a fait, c’est pour ça que je me retournais et que je prenais l'avantage en lui disant de me sortir un argument de taille pour que je reste, il fallait vraiment qu'il soit convaincant.

Je la voyais se rapprocher de moi, même me prendre la main, je ne faisais aucun signes de refus ni de satisfaction, je frissonnais juste, je la voyais réfléchir malgré cet état de honte et de culpabilité, je savais qu'elle voulait que je reste et j'attendais sa réponse, son argument qui allait décider de la suite des choses puis elle se lançait enfin, je devais avouer que c'était pas béton mais assez pour que je reste mais je ne disais rien, je la quittais pour me diriger vers ma chambre, j'ouvrais la porte et je la regardais, avec un très faible sourire « Je crois qu'on sera mieux dans ma chambre si tu veux m'expliquer ? Aller viens... » j'avais décidé de l'écouter, c'était ce que je voulais depuis le début savoir.

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Isaac & Nevada ❥

Le quitter avait été la chose la plus horrible qu’il soit dans ma vie même à côté de ça le divorce de mes parents semblait être une chose de rien du tout. Et qui plus est j’avas mis fait à notre histoire d’une façon froide, sans même une explication. De toute manière il n’y en avait aucune mis à part le fait que j’étais complètement stupide à l’époque en pensant que je réussirai à l’oublier du jour au lendemain. J’étais parti plein de remords et je me souviens même que dans l’avion me conduisant aux USA, je n’avais qu’une envie faire marche arrière mais le mal était déjà fait. La seule chose qui me restait c’était mes yeux pour pleurer un amour que je croyais éternel mais perdu à jamais. Or le destin en décidait autrement aujourd’hui en nous réunissant dans ce couloir. On aurait pu rêver mieux comme lieu de retrouvailles mais je devais me contenter de ça. De toute façon qu’importe l’endroit, ça ne changerait rien à l’issue de la conversation qui suivrait. Je me laissais guider par mes émotions qui avaient pris le dessus sur moi depuis maintenant quelques minutes. J’avais même oser prendre une de ses mains dans les miennes comme pour me donner du courage, comme pour me souvenir de ce que ça faisait d’être auprès de lui, si proche. Qu’est ce que je m’en voulais d’avoir joué à la conne 3 ans auparavant, laissant ainsi échapper la seule personne à qui j’ai donné mon cœur, au point que je voulais m’en taper la tête contre le mur.

Mon argument était peu convaincant, j’en étais consciente à la seconde où les mots étaient sortis de ma bouche, mais aussi bizarre que cela puisse paraître, il me laissa une chance. L’occasion de me faire pardonner s’offrait donc à moi, c’était la première et certainement la dernière, alors je me devais de ne pas la louper. Ma franchise et mon honnêteté serait donc obligatoire si je ne voulais pas le perdre une nouvelle fois. Le voyant décochait un petit sourire, je fus quelque peu apaisé mais aussi tout étourdi car je ne m’y attendais pas. Ca m’avait manqué tellement beaucoup trop et pourtant cette image d’un Isaac souriant, je l’avais gardé précieusement dans un coin de ma tête durant des années. Il s’en était allé ouvrir la porte de sa chambre, cette porte entre ouverte était peut être le signe d’un nouvel avenir pour nous. N’écoutant que mon cœur, je marchais donc pour le rejoindre et entrait dans la chambre alors que celui-ci tenait la porte. Au moment de passer devant lui, j’avais eu un soudain moment de stress qui m’envahit toute entière et comme pour masquer cela je me mis à mordre ma lèvre inférieure. De nature curieuse, j’inspectais la pièce des yeux, une pièce plutôt sobre désordonné comme une vraie garçonnière, il faut le dire. Ne voulant pas trop m’imposer dans cette espace inconnue, je ne pris même pas l’initiative de m’asseoir quelque part. Tout ce qui me tracassait à l’instant était de savoir comment j’allais tout lui dire. Jamais je n’avais préparé de texte au cas où je le reverrais car pour moi cela semblait invraisemblable de le revoir un jour dans ma vie. De toute manière, ça ne m’aurait même pas aidée vu dans l’état de stress total dans lequel je me trouvais. Mais c’est d’un ton empreint de sincérité et de rédemption que j’osai tout de même prendre la parole. " Je ne sais même pas trop où commencer pour tout t’avouer. Et je sais que même un désolé à la fin de ce que tout ce que je te dirais, n’effacera rien mais je tiens quand même à te le dire. Je suis profondément désolé Isaac pour tout le mal que j’ai pu te causer et saches que je n’ai jamais voulu ça pour toi au contraire. " Cela faisait tout de même un bien fou de m’excuser auprès de lui après toute la culpabilité que je n’avais cesser d’amonceler. Je guettais ne serait-ce que le moindre battement de cils d’Isaac ou la moindre expression que je pourrais lire sur son visage.
Codage fait par .Jenaa
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NEVADA & ISAAC
« Pinces moi je rêve »
Le divorce de mes parents, mes 4 ans à L.A, quitter la France pour l'Amérique, rien n'était plus douloureux que ma rupture avec Nevada, elle est partit sans explication, elle a choisit ses études au lieu de notre couple, 2 ans de relation intense, passionnelle, intime et forte, une relation comme ça ne peut se briser et pourtant en partant elle avait brisée mon cœur et notre couple. Jamais elle n'avait été égoïste, jamais jusqu'à ce jour où elle me quittait, je ne savais pas quoi faire, la retenir et l'empêcher de monter dans l'avion, non ce n'est pas ce que je voulais, je voulais le meilleur pour elle, briser ses rêves, je ne pourrais jamais donc je l'ai laisser vivre son rêve, entrer à Harvard, me laisser et faire comme si ces 2 ans de relation n'avaient été que passager. Après ces 3 années, je ne pensais la revoir que dans un certains temps, car oui je savais qu'un jour où l'autre j'allais la revoir, Harvard comme choix d'université n'était pas fait au hasard, c'était parce qu'elle y était donc au fond de moi je voulais la revoir mais là, face à face dans ce couloir, je n'arrivais pas à chercher mes mots, je n'arrivais pas à avoir la moindre idée claire, elle me faisait perdre tous mes moyens, j'étais partagé vis-à-vis d'elle entre un profond amour et une profonde haine, c'était deux fois plus difficile comme situation, je l'aimais et je la détestais, j'essayais tant bien que mal de gérer même si c'était plus que dur.

J'étais prêt à quitter le chalet mais elle me lançait un ultimatum, quitter et ne plus la revoir ou rester et encore la revoir, elle oser me demander ça alors qu'il y a 3 ans c'était le même ultimatum, sans que je le lui pose, elle à fait son choix toute seul, je retournais l'avantage en ma faveur lui disant de trouver le bon argument pour que je reste sinon je n'allais pas hésiter à ouvrir cette porte, entre temps elle s'était rapprocher pour n'être qu'à plus de quelques centimètres de moi, je commençait à sentir mon cœur battre de plus en plus vite, je voulais l'embrasser et lui en coller une, toujours partagé puis elle prenait ma main m'expliquant son argument, elle m'expliquait le pourquoi de son départ et je restais, sans dire un mot, je la quittais pour ma chambre et une fois la porte ouverte, je lui disais de venir, j'avais choisis de l'écouter au lieu de partir et de la perdre pour toujours. Elle se décidait à venir et entrer dans la chambre, elle ne s'asseyait pas, elle restait là, debout, remplie d'anxiété, de stress, de peur, elle avait ce sentiment de culpabilité qui lui traversait le corps, je refermais la porte et j'étais enfin prêt à entendre ce que j'aurais aimer entendre avant qu'elle parte.

Sa voix était l'élément révélateur de tous ces sentiments en elle mais je sentais de la sincérité, je savais qu'elle ne trouvait pas une excuse pour me retenir, non, son explication venait du cœur, je le savais, je savais quand elle mentait ou non, je lis en elle comme dans un livre ouvert et là, c'était la page vérité qui était en train d'être lu. Je l'écoutais avec cette attention que je n'avais jamais eu, elle parlait d'une traite, enfin ce n'était pas l'explication à proprement parler, c'était un avant-gout, elle s'excusait pour tout, mais ce n'est pas simplement en s'excusant que tout se répare, je croisais les bras en m'adossant à la porte et une fois son monologue terminé, je m'exprimais enfin « Ce qui est fait et fait, tu m'as lâchée pour ton égoïsme, c'était ton choix, j'ai accepter d'entendre ce que tu aurais pu me dire avant de partir alors tes excuses et tout on verra plus tard, dis moi ce que je veux savoir c'est tout... » j'avais abandonné le ton neutre, c'était un ton dur et sec que j'employais à présent, je la regardais dans les yeux, je n'allais pas être patient, elle ferait mieux de se dépêcher.

© R@m1 & Sara
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