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TAKE OFF YOUR CLOTHES, BLOW OUT THE FIRE, DON'T BE SO SHY, YOU'RE RIGHT. (+) NEMHAM [HOT]

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❝ And I saw God oh yes so much closer. ❞
IN THE DARK I SEE YOUR SMILE.

« Mais ces vidéos-là sont toutes biaisées de toutes manières. » Tu grognais comme un gamin capricieux entre tes dents, parce que de toutes manières, c'était vrai. Ces vidéos n'avaient souvent pas les jeux de mots et l'objectivité nécessaire comme pouvait avoir Epic Rap Battle Of History, qui amenait les fans à encore et toujours débattre dans les commentaires de qui était le vrai gagnant du battle. Dans ceux des princesses, tu pouvais souvent deviner à l'avance qui allait être particulièrement favorisée face à l'autre. Et souvent ça semblait être les nouvelles princesses qui étaient si modernes. Ce qui était tout de même assez hilarant, c'est que malgré ton amour pour les films Disney et Pixar, et malgré ton magnifique surnom que tu portais comme ton prénom à tel point qu'il était devenu comme ta propre identité, c'était lui, Graham, qui allait devoir refaire ta culture sur quelques légendes que tu n'avais jamais vraiment eu l'occasion de voir. C'en était presque triste. « Tu connais pas ma vie ok ? J'me suis fait capturé par des humains, c'pour ça que j'ai raté quelques productions disney comme Toy Story. Tu comprends ? J'avais d'autres trucs à faire de ma vie, comme trouver un échappatoire loin de cet aquarium tout petit ! » Regard devenu mi-noir mi-triste par le fait de devoir déballer les difficultés de sa vie, bras croisés contre ta poitrine en une fausse position de réserve et de renfermement sur toi-même, Nemo et les mensonges théâtraux, une grande histoire d'amour. Enfin, Graham commençait à avoir l’habitude quand tu partais dans tes délires qui feraient presque verser une petite larme au cœur le moins sensible de la planète. Peut-être que l'année prochaine, tu devrais vraiment t'inscrire dans un club de théâtre, rien que pour le fait d'améliorer ton aisance à l'oral, ça devait être super. Tu acquiesçais aux paroles de Graham sur l'ambiance générale du parc et son cadre qui créait une atmosphère romantique et sympathique dans sa globalité lorsque les gens partaient avec leurs enfants, tout le monde pouvait avoir envie de partir à Disneyland, les enfants, les adolescents, les parents comme les papy et mamies, et c'était ça qui était génial, ça regroupait tout le monde pour passer un bon moment. « Mh c'est ça. Puis les gens vont là-bas pour passer du bon temps, créer des beaux souvenirs, pas pour s'engueuler. » Et même si entre certaines personnes ça semblait inévitable même chez Mickey, les gens devaient sûrement compter sur le fait que la féerie allait effacer pour quelques heures tous les problèmes et manies désagréables du quotidien. En tout cas, tu avais toi-même bien hâte de pouvoir aller tout un week-end là-bas avec Graham, et lui faire découvrir les meilleures attractions. Mais avant il y aurait Dubaï, et si voyager tu adorais ça, ce n'était pas toujours facile même entre les confréries d'organiser leur voyages sans se chevaucher et durant les dates qui ne seraient ni celles du Spring Break, ni celles du Summer Camp où il serait trop tard. Tu titillais ton amoureux sur le fait que sa confrérie risquait de fermer s'ils ne se bougeaient pas les fesses, même si t'imaginais la difficulté entre les membres investis qui partaient en pleine année et les bizuts qui ne finissaient pas leur séance d'intégration. Tu arquais un sourcil lorsqu'il avouait, un peu trop confiant, avoir un plan, et tes yeux ancré dans les siens, tu essayais de déceler le vrai du faux. « Un plan ? Encore l'une de ces idées qui implique de la nudité parmi vos membres ? » Tu te moquais volontairement de la ô merveilleuse tradition des enchères winthrops et cabots, qui t'avais créé un mélange d’ennui, d'irritation, d'incompréhension et de jalousie pour la première fois que tu prenais réellement le temps de venir et d'y verser de l'argent – fallait se dire que c'était pour les enfants, même si pour le coup ils auraient au moins pu faire l'effort de trouver une association de soutient aux hommes battus pour être raccord avec le thème des Roses. Le winthrop t'invitait à son tour au voyage de sa confrérie, et tes yeux s'écarquillaient alors qu'il mentionnait le pays désigné. « Au Japon en plus ?? Omg mais ça va être génial ! » Tu t'exclamais fortement entre étonnement et hâte, avant de faire une grimace devant les étudiant qui s'étaient retourné à cause de ta voix, et de t'enfoncer un peu plus dans ton siège. Ils ne comprenaient pas, le Japon quand même, tu n'y étais jamais allé ! Tu faisais remarquer que si tes demandes n'étaient pas romantiques, c'était aussi à cause de l'avion qui ne t'aidait pas beaucoup à rendre le cadre plus posé et intime, loin de là. Des sièges trop petits collés les uns aux autres, la difficulté de savoir où ranger ses pieds tandis qu'on était pas assis confortablement, et l'impossibilité d'entrer dans un petit cocon à part si on décidait de dormir à cause du bruit et de toutes les personnes autour. Tu reposais tes yeux sur lui à ses nouveaux propos, et tu pouffais de rire, alors qu'il avait un grand sourire qui ornait ses lèvres. « Chanteurs mexicains ? » Tu relevais amusé, et intrigué pour le coup. Ce n'était pas forcément ce que tu aurais imaginé pour une demande en mariage niveau fond sonore, comme peureux que leurs voix chantant criardes ne surplombe la tienne émotive de la demande, mais peut-être était-ce quelque chose qu'il apprécierait tout de même – il avait l'air très amusé mais il changera d'avis lorsque tu compléteras ses délires à la lettre. Et vous iriez faire une belle lune de miel à Mexico, il allait adorer pour sûr. Comme il n'était pas heureux de ton côté romantique en avion, peut-être serait-il plus intéressé par celui qui était sexy en avion ? Tu le prenais de court alors que ta main remontait sa cuisse et tu lui offrais un petit sourire comme si de rien n'était, mais qui n'était pas vraiment rassurant alors tu lisais son questionnement dans ses yeux. Ta main s'arrêtait sur son entrejambe et ton sourire s'élargissait alors qu'il te demandait si tu pouvais lui en dire plus, raclant sa gorge comme pour garder une certaine contenance. Voilà qui était mignon. « Je peux t'en montrer plus. » Tu répondais d'une voix basse, appuyant sur le changement de verbe, et cette fois-ci ta main se faufilait dans son short, comme pour avoir moins de tissu la séparant de sa cible. Tu commençais à caresser lentement sa verge à travers son boxer, et ta main libre se glissait sur sa nuque alors que tes lèvres s'approchait de sa bouche, devenant plus possessif dans tes mots et tes gestes. Tu lâchais un soupir d'aise contre ses lèvres après un baiser passionné, et tu riais doucement devant son nouveau challenge. « Si je t'attache de mes menottes à mon lit, et que je te garde toujours toujours toujours enfermé dans ma chambre, ne te laissant jamais sortir, tu ne pourras être que mien non ? » Tu murmurais contre ses lèvres d'un grand sourire, comme si tu ne venais pas réellement d’insinuer une séquestration contre son gré – ce n'était sûrement pas ce à quoi il s'attendait mais s'il voulait jouer, tu avais toi aussi le droit de faire de même non ?
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« Et alors ? Ce n’est pas parce qu’elles sont biaisées que les punchlines ne sont pas à mourir de rire ! » Je m’emballe dans un souffle outré, tu as juste à apprécier le déroulement, la succession de vacheries et la battle sans te prendre la tête sur la victoire de l’une des princesses. On se fiche bien que Katniss soit celle qui remporte la battle face à Hermione. Je vous jure, il faut tout lui apprendre à ce Nemo, notamment en matière de dessins animés et pourtant je ne suis pas passé maitre dans ce genre cinématographique. Au contraire, je ne suis pas le genre de mec qui poireaute des heures devant le ciné le jour de la sortie du dernier film d’animation annoncé, j’aurais plutôt tendance à me les télécharger et à favoriser d’autres films de genre, comme le film d’épouvante par exemple. J’ignore d’ailleurs si mon homme apprécie les films d’horreur, nous n’en avons pas visionné un seul depuis que nous sommes ensemble, il faudra que j’y remédie avec un long-métrage pas trop extrême qui me permettra de prendre la température. Mon plan diabolique est en marche, je vais préparer tout cela dans la plus grande discrétion et le mettre devant le fait accompli un soir. Un rictus accompagne mes yeux qui se lèvent en direction du ciel… Dans notre cas, en direction du plafond de cet avion. Je ne sais pas où il trouve toutes ces bêtises, il a de l’imagination, impossible qu’il puisse en manquer un jour, il ne serait plus le même si tel était le cas. « Et tu as finalement réussi à trouver un échappatoire ? A moins que quelqu’un ne soit venu t’aider ? » Peut-être que les autres poissons ont accepté de lui donner un coup de main, ils ont passé des heures à concevoir un plan intitulé il faut sauver le soldat Nemo qu’ils ont mis en application une nuit pendant que nous, humains, étions en train de dormir. Je concède que Disneyland est l’un des meilleurs endroits pour passer du bon temps avec toute la famille, le cadre peut potentiellement être romantique mais ce n’est pas là-bas que j’irais de moi-même si je prévoyais par exemple d’emmener Nemo pour le plus romantique des rendez-vous. Il aurait droit à la totale, les pétales de rose, les bougies, le repas, la musique d’ambiance, le cadre idyllique… La parfaite panoplie de la surprise réussie pour la personne que l’on aime plus que tout au monde. Ne pas s’entendre parler au milieu des manèges ce n’est pas aussi romantique que cette succession de petits détails qui, assemblés les uns aux autres font mouche. Puisque je n’ai jamais eu l’occasion d’aller à Disneyland je reste particulièrement impatient de partir en week-end avec mon Nemo, espérons que le parc soit à la hauteur de mes espérances. Même si le parc s’avérait être une complète déception, je pense que je serais quand même le plus heureux des hommes parce qu’il sera là, à mes côtés, on partagera ce moment ensemble rien que tous les deux sans personne d’autre parmi nos connaissances pour venir s’immiscer et briser le moment. On pourrait croire le contraire mais nous ne sommes pour le moment pas partis une seule fois tous les deux, rien que nous deux, en amoureux. Il y a eu le springbreak bien entendu mais toute l’université ou presque était là-bas, j’attends avec impatience notre premier voyage, nous retrouver tous les deux loin de toutes nos racines pour pouvoir profiter l’un de l’autre et visiter. Laisser exploser notre amour encore plus au grand jour, loin du divorce de Nemo qui tarde décidément à arriver et loin de toutes nos obligations personnelles. Ma confrérie est en danger, nous sommes à la veille de tous être mis à la porte de notre QG par ce maudit doyen qui n’a rien d’autre à faire de ses journées que de nous mettre des bâtons dans les roues. Je suis néanmoins on ne peut plus confiant, nous ne sommes pas si éloignés de la somme qu’il faut récolter et nous avons encore quelques cartes entre les mains, il ne faut juste pas se précipiter et prendre les bonnes décisions. Je peux sentir une pointe de jalousie dans la voix de mon Eliot préféré lorsqu’il fait allusion à la nudité, le pauvre ne s’est pas encore remis de la vente aux enchères. « Pas cette fois, tu n’auras pas à débourser ton argent pour éviter que je sois acheté par quelqu’un d’autre, pas avant les enchères de l’année prochaine. » Je le préviens, l’œil rieur. Il peut s’en passer des choses d’ici là, j’ignore si les enchères seront reconduites pour une édition supplémentaire, elles le seront surement puisque les associations gardent la tête hors de l’eau grâce à l’argent que nous parvenons à récolter chaque année. J’en profite pour rebondir et l’inviter à notre voyage, de quoi me permettre de le présenter officiellement à mes potes Winthrops qui entendent parler de lui à longueur de journées sans avoir eu l’occasion de mettre un visage sur sa petite tête… Enfin je dis ça mais certains d’entre eux connaissent très bien Nemo, demandez à Jaysaël par exemple, il vous en dira des nouvelles. Sa réaction n’a pas de prix et celle des étudiants nous entourant l’est encore plus, j’explose de rire, incapable de contenir ce rictus qui me serre les tripes en regardant faire un Nemo limite honteux qui s’enfonce dans son siège pour se faire petit. Si on fait l’impasse sur un romantisme qui aurait pu être davantage travaillé, Nemo a pour le moment tout bon. Il sait être là où je ne l’attends pas et parvient même à me surprendre là où je l’attends, l’homme parfait si on oublie de mentionner ses omissions un peu trop régulières sur des sujets capitaux. Il se moque de mes chanteurs mexicains et mérite le coup de poing qui s’abat très rapidement sur son épaule. « Je connais un ou deux groupes mexicaines qui font des merveilles, tu verras ! » Ou pas, je ne veux pas le spoiler avant même d’avoir eu l’occasion de réfléchir à ce que pourrait être ma demande en mariage. Ce jour devra être parfait, autant vous dire que le jour n’est pas encore venu. Le mec se permet de se moquer de ma demande en mariage parfaitement imaginée et il ose en plus me chauffer à blanc alors que nous sommes dans un espace confiné, limité et à la vue de n’importe lequel des passagers. Sa main remonte le long de ma cuisse et j’entame un combat interne entre mes sens les plus primaires et le sérieux que je me dois de maintenir pour ne pas lui sauter dessus maintenant tout de suite. L’enfoiré passe sous mon short et caresse à présent mon pénis protégé par mon caleçon mais pas protégé contre les caresses très appétissantes. THE LORD IS TESTING ME, sois fort Graham, sois fort, concentre toi… C’est le moment de revoir tes tables de multiplication si tu ne veux pas te taper l’érection la plus frustrante de ta vie. « Espèce d’enfoiré ! » J’attaque, boudeur, contre ses lèvres sur lesquelles je m’aventure, avide de proximité et de chaleur humaine avant de tourner la tête pour l’enfoncer dans mon siège et étouffer un soupir d’aise. Ses doigts me rendent fou, dois-je préciser que m’entrainer à la multiplication est un échec ? J’ai une tric d’enfer et peu d’options pour la faire passer. Il me fait à nouveau rire et me permet de faire abstraction un bref instant des vilaines choses qu’il est en train de me faire endurer là-dessous. Il serait donc capable de me séquestrer pour que je ne puisse appartenir qu’à lui, pourquoi pas… « Tu oublies que j’ai regardé des tonnes et des tonnes de films d’espionnage, je serais capable de me libérer sans même que tu t’en rendes compte ! »  
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