Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityFB - i knew the first time we met you'd be kinda hard to forget (Emi') - Page 2
Le Deal du moment :
Pokémon Évolutions Prismatiques : ...
Voir le deal


FB - i knew the first time we met you'd be kinda hard to forget (Emi')

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je ne me doutais pas du tout encore de qui venait de monter dans ma voiture, pour l’instant je pensais juste avoir mes chances avec cette jolie inconnue, puisqu’elle riait à mes avances. C’était quoi le dicton ? Femme qui rit à moitié dans ton lit ? On en reparle dans quelques années, mais pour l’instant c’était ce que je pensais, que j’allais pouvoir la séduire, comme toutes les autres. On parla de nos études, je confiais donc être d’Oxford, parlant de mon futur parcours tout tracé. Elle s’en étonna, me demandant si je ne trouvais pas cette idée ennuyeuse. « Tu trouves que j’ai l’air d’un danseur de claquettes ? » rigolai-je alors. Clairement non, l’étudiant qui se baladait toujours en costard, c’était bien moi. C’était jusque dans mon look que j’avais l’air d’un buisines man débordé. « Non, ce destin me va à merveille. Je suis un leadeur, j’ai hâte de pouvoir faire mes preuves à la tête de l’entreprise familiale. » Pour l’heure, c’était ma mère qui gérait, ma sœur et moi n’étions là que pour l’épauler, la condition pour reprendre officiellement les rennes et succéder à mon père étant de parvenir à décrocher notre diplôme. « Disons que je ne vois pas cela comme une contrainte, mais comme une chance… » Succéder à mon père décédé, qui malgré ses frasques qui avaient éclaboussé la réputation de notre famille, avait toujours été un vrai modèle pour moi et qui me manquait énormément, même si je n’en parlais que peu et que je ne l’avouais pratiquement jamais. La demoiselle me parut d’un autre genre que le mien, avec une soif de liberté et de découverte du monde. Espagnole perdue en Angleterre, une globe trotteuse, un petit électron libre. Je la questionnais quand même sur ses projets après ce petit tour d’Europe, qu’envisageait-elle ? Oxford était une option, ou même Harvard. Mon sourire s’élargit. « Ma sœur jumelle étudie là bas, si jamais un contact aux Etats-Unis t’intéresse. » Pour pouvoir choisir sa faculté en ayant un maximum d’information. Quand elle me demanda mon avis, je répondis : « J’ai eu le choix, disons que j’ai choisi la quintessence des universités anglaise avec Oxford, parce que je suis très attaché à mon pays, je ne voyais pas m’en aller. » Je n’étais pas prêt à laisser l’Angleterre, là où j’avais encore tous les souvenirs avec mon paternel, mais peut être qu’un jour… « Mais Harvard aurait été mon choix sinon, c’est évident. La plus prestigieuse faculté du monde, ça ne se refuse pas. Tu devrais la tenter. » Et je ne disais pas ça uniquement parce que Victoria y était… C’est ensuite en déclinant nos identités que je tiquais sur son nom. Elle me confirma alors, yeux baissés, presque gênée, son statut de princesse… « Enchanté princesse… » répondis-je alors avec un large sourire, ne voulant pas non plus me montrer trop intrusif en voyant qu’évoquer son titre la mettait mal à l’aise. « On peut continuer de s’appeler Emilia et Cole si tu préfères hein… » On allait laisser les –votre altesse- et autre ton cérémonieux de côté si il le fallait, je ne voulais pas accentuer son malaise. Surtout qu’ensuite, elle me parla de son parcours compliqué, de sa maladie, et je compris qu’il s’agissait d’un cancer ce qu’elle confirma d’un hochement de tête. Elle m’expliqua alors qu’elle avait eu une leucémie, qu’elle était désormais en rémission. « Ca explique donc ta soif de voyage… Tu as surement raison d’en profiter. En fait on devrait tous les faire. » Lister les choses qui nous tenaient à cœur et les faire sans plus attendre. La vie était trop courte, c’était ce dont la maladie lui avait fait prendre conscience. Et cette philosophie de profiter, je la partageais à cent pour cent avec Emilia. Le décès de mon père en avait été le révélateur. On évoqua les autres villes dont elle avait prévu la visite, et Londres arriva forcément dans la liste. Ma ville. Je me proposais de jouer les guides : « Ca serait avec plaisir et aucunement une perte de temps… » Sincère, et sans arrière pensée cette fois, comme si notre discussion à cœur ouvert durant ce court trajet m’avait fait soudainement perdre mon ton dragueur. D’ailleurs, les grilles de l’entrée du jardin se dessinèrent devant nous. J’actionnai le clignotant, garai ma voiture sur le grand parking des lieux et sortis pour aller ouvrir la porte de la jeune femme, lui tendant la main pour l’aider à sortir, éternel galant que j’étais. « On y est… »

Oriane  FB - i knew the first time we met you'd be kinda hard to forget (Emi') - Page 2 1001568715  :
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

i knew the first time we met you'd be kinda hard to forget
feat. Colilia
Je viens de monter dans la voiture d'un inconnu et je suis encore bien loin de me douter que ce gars prendra une grande place dans mon cercle amical. A ce moment là, je ne sais pas encore ce que je pense. Peut être qu'on pourra rire ensemble pendant une soirée, peut être qu'on passera une nuit ensemble, que je me laisserai aller à ses avances. Peut être. Tant de possibilité qui me rendent joyeuse. Car aujourd'hui, après un rude combat contre le cancer, les peut être sont des hypothèses probables, potentiels, pas de simple rêve que je prie réaliser au fond d'un lit d'hôpital. Abordant le sujet des études, il m'avoue qu'il va à Oxford et je trouve ça impressionnant. Charmeur, joueur et intelligent. C'est plaisant. Mais au final, il a une tracée, n'est ce pas un peu rasoir ? C'est ce que je lui demande, avec tact, et un sourire, je ne veux pas qu'il le prenne mal ce n'est qu'une question. Parfois, avec ce que j'ai vécu, j'oublie presque que tout le monde n'a pas eu la malchance de le vivre et que certains planifie leurs années à venir sans savoir que la maladie ou la fatalité pourrait les frapper et défaire leurs plans ... La répartie du jeune homme me fait rire. Non, il est loin d'avoir des airs de danseur de claquettes, loin de là. Il confirme ensuite que lui, diriger l'entreprise familial c'est son rêve. Je suppose qu'il a été élevé pour ça après tout. Alors c'est tout bêtement logique, compréhensible. Si j'avais vécu avec mon père, juste lui et moi, je serais le genre de fille avec les cheveux tirés en quatre épingles, habillée comme une nonne et bien loin de ce road trip. Je serais prête pour mon destin. Et pas dans ce délire de vivre tout, tout de suite, sans perdre de temps. « Je comprends totalement. Là, en te regardant, sans te connaitre, juste avec ce que tu dégages, je pense que tu seras parfait dans ce rôle. » oui, il a l'allure, vous savez, celle des hommes d'affaires. Propre sur eux, qui bâtissent des empires. Il a l'air d'avoir l'ambition et la carrure. Il dégage quelques choses de rassurant et de charmeur, avec une pointe de danger et de fougue, tous pour diriger une entreprise quotté à la bourse. Il aura le statut de chef, avec du pouvoir et pour lui, ça sera un honneur, il rendra sûrement fier les gens de sa famille en prime. « Je vais mémoriser ton visage alors dans ma petite tête. Si ça se trouve, un jour en regardant la télé ou en lisant un magazine, je te verrai dans les hommes les plus influents de grande bretagne et je pourrai me vanter d'avoir été invité dans ta voiture. » oui, ça serait probable. Vu sa voiture, son costume, sa famille a la fortune et doit être influente. « Je comprends ce que tu veux dire. Ca sera pour toi une chance de montrer ce que tu vaux. Et ce jour là, ta famille, tes parents ne pourront que être fier de toi. » réussir, c'est un peu le but de tout le monde. On peut tous réussir, dans moulte domaine. Sa vie professionnelle, amoureuse, amicale. La réussite est impérative pour accédé à ce bonheur tant désiré. Chacun trouve son bonheur où il peut. Moi je le trouve dans cette vie de bohème. Elle ne durera peut être pas. On ne sait pas. Mais pour le moment, elle me convient. Je finirai par reprendre mes études et je lui avoue que Harvard ou Oxford sont des options. C'est là que j'apprends que sa jumelle est dans la fac la plus connue des USA. La classe. Des jumeaux prodiges alors. « Oh avec plaisir. Dis donc, ta famille a de la chance, des jumeaux parfait et intelligent. Tout le monde en rêverai. » Après tout c'est tout ce que des parents souhaitent, la réussite de leur progéniture. Oxford et Harvard, c'est de belles réussites. Lui demandant pourquoi Oxford, je ne peux que comprendre, il y a 6 ans je me serai pas vu quitté les USA. Il faut être prêt. « Je comprends. Et puis l’Angleterre, c'est un superbe pays. » il admet quand même que sinon Harvard aurait été son top choice. « Ca serait drôle qu'on s'y retrouve si jamais tu te décides à rejoindre ta soeur. » Et ça me ferait une tête connue dans cette grande usine qu'est l'université américaine. Nous présentant chacun notre tour, il tique sur mon nom de famille. Il s'y connait. Quand il m'appelle princesse, je souris, ça me fait bizarre, j'ai tellement pas l'habitude. Il me propose ensuite qu'on s'appelle par nos prénoms et je réponds alors souriante « Ca me va totalement. Oublions le protocole et les titres. Je ne suis qu'une touriste américaine perdue dans la belle ville d'Oxford. » Je n'ai absolument rien d'une princesse, sauf le nom de famille. C'est inconnu mais finalement, je me livre à lui. Avouant mon combat contre la maladie. « Tu as raison, on devrait tous, la vie est tellement courte ... » et il faut la croquer à pleine dents, pour ne pas finir avec des regrets. Il faut oser et vivre. Je n'ai jamais eu autant envie de vivre que depuis que la mort m'a frôlé. Évoquant un peu les endroits que je compte visiter, il me propose spontanément de me faire visiter Londres, ça serait géniale, un vrai anglais à mon bras, la classe. Je nous vois déjà à Oxford street faire les magasins et à Picadily Circus, nous perdre dans la foule... « Avec grand plaisir alors, on se fera ça. » avoir un compagnon de voyage, ça serait sympa après tout, même pour quelques jours. Et le feeling passe tellement bien entre nous... J'ignore pourquoi, mais je le sens bien ce Cole. J'ai ce pré sentiment, vous savez, celui de le comprendre totalement. Ce pré sentiment agréable qu'on ressent quand on fait confiance à quelqu'un. Je ne le connais pas, mais j'ai l'impression que ma confiance, je peux la lui accorder ... Il finit par se garer devant le parc et je lui adresse un grand sourire quand il m'ouvre la porte et me tend la main pour m'aider à sortir. Je l'attrape et sors, souriante. « Tu es prêt ? Il y a un truc que j'ai toujours rêvé de faire et je sens que tu seras ravie de m'accompagner ... » Oui un truc de ma wish list. Tous ces trucs débiles que je me suis jurée de faire avant de mourir. Il y en a un que je peux faire ici, puisque ça implique une fontaine et qu'il y en a une ici. Alors ci il me suit, je l'entraine dans ma folie, quelques instants, on arrête d'être sérieux et on profite de la vie quelques instants. Le temps de réaliser un voeux. Un souhait. Un moment de folie passager auquel j'ai envie de le faire participer. Il l'a peut être déjà fait, peut être pas. Il refusera peut être, j'en sais rien, après tout, je le connais depuis quoi ? 10 minutes, mais qui ne tente rien, n'a rien non ?


© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 Pour l'instant rien n'était écrit, tout restait à faire. On était juste deux inconnus qui venaient de se rencontrer. Elle, son sourire, son entrain, elle avait ce petit truc qui m'attirait vers elle. Je me disais qu'éventuellement peut être j'allais conclure, parce qu'elle était quand même montée dans ma voiture, c'était encourageant. J'étais bien loin de me douter la place essentielle et platonique qu'elle allait prendre dans ma vie. Un solide pilier de mon existence, voilà ce que l'espagnole était en passe de devenir. On évoqua mon avenir, tout tracé, de chef d'entreprise, d'où mes études ici, à Oxford, sur le sol anglais. L'histoire était déjà toute écrite pour moi, ça pouvait paraitre rasoir, moi je ne voyais que ça pour ma petite personne : le leadeur ship ou rien. J'en avais pas seulement l'air, c'était ce que j'étais et quand avec humour je me comparais à un danseur de claquettes, le rire de la demoiselle résonna. C'était clair que dans mon costard tiré à quatre épingles, c'était inscrit sur mon front : fils de bourges destiné à diriger. Parfait dans ce rôle, c'était ses mots qui firent s'étirer sur mes lèvres un large sourire. "Je peux te signer un autographe à l'avance aussi si tu veux..." proposai-je, flatté par ses paroles qui suggéraient ma future célébrité dans le domaine. J'ajoutai ensuite, reprenant mes airs charmeurs : "Et je te le signe où tu veux..." Bon si je m'amusais à déposer ma signature sur une partie de son corps, pas sûr que cette dernière perdure jusqu'à ce que ce que je passe au JT, mais l'idée de voir mon nom sur son joli fessier, ou au creux de ses reins, ou peut être là, dans son décolleté... Ok Cole, reprends toi tu t'égares. Elle, elle ne rentrait pas dans me même moule que moi. C'était l'imprévu, la découverte, l'aventure qui semblaient l'attirer. Même si elle avait elle aussi d'ambitieux projets, comme ceux de reprendre ses études. Harvard, Oxford, elle avait plutôt des goûts de marque la demoiselle. J'évoquai alors Vic, à Harvard, ma jumelle m'ayant abandonné pour rejoindre le sol américain et la plus prestigieuse faculté du monde pour poursuivre ses études. Un rire s'échappa de mes lèvres lorsqu'elle souligna que ma famille était chanceuse, un rire jaune. Parce que si Emilia savait, que mon père avait roulé des mécaniques auprès d'une pauvre fille sans le sous, qu'il l'avait engrossé, que ce bâtard qui était né de son adultère nous ne l'avions découvert que lorsque le chef de famille était décédé, qu'il lui avait alors légué une partie de l'héritage familial, elle saurait alors, que rien n'était parfait, surtout pas cette famille. "Te fie pas trop aux apparences... Toutes les familles, même les plus cleans, ont dans leur placard bien des squelettes de cachés." Bref je confiais mon amour pour mon pays, mon attachement à la grande bretagne qu'elle comprit, gratifiant ma patrie du qualificatif de superbe. Emilia s'amusa à jouer les voyantes, soulignant que la coïncidence de se retrouver à Harvard en même temps serait amusante. "Peut être que c'est pas pour retrouver ma soeur mais pour te retrouver toi que j'irais à Harvard..." lançai-je de mon ton de séducteur, haussement de sourcils équivoque accompagnant mes mots. Enfin, lorsque je découvris son nom de famille, son statut de princesses, j'étais à la fois impressionné mais également deux fois plus charmé. J'avais tendance à être attiré par le pouvoir, alors autant dire que les têtes couronnées ne me laissaient pas indifférent.  Cole & Emilia, c'était bien ainsi. Et puis avec son look aventurière qui ne laissait rien présager de son titre, son envie de découverte, sa simplicité et son ouverture d'esprit, la demoiselle ne m'avait donné l'impression d'être de celles qui voulait du vouvoiement, des courbettes et des -sa majesté- à tout va. Elle me confirma que je l'avais cerner, me confiant d'oublier protocoles et titres. Je compris mieux sa philosophie, sa vision très carpe diem de la vie lorsqu'elle me parla de sa maladie, son combat contre le cancer et sa rémission actuelle...  Son envie d'évasion prenait tout son sens désormais, et si je pouvais apporter ma pierre, je le ferais, me proposant spontanément de jouer les guides. Mais avant de parcourir Londre, c'est dans le parc d'Oxford qu'on allait se balader. Prenant ma main que je lui tendis de manière galante pour la faire descendre, Emilia me souffla qu'elle voulait faire un truc depuis longtemps et que j'allais être ravi de l'accompagner... "Faire l'amour dans le parc d'Oxford à la plus jolie princesse que je n'ai jamais rencontrée ? C'est mon rêve que tu réaliserais là ma chère Emi là..." plaisantai-je, ayant suffisamment cerner ma jolie touriste en détresse pour savoir que ce n'était très certainement pas ce qu'elle avait en tête. D'ailleurs, une fois descendus de l'automobile et en s'avançant sur le sentier qui arpentait le parc, je repris, plus sérieusement : "A quoi tu penses ? Dans tous les cas, je suis ton homme... Je n'ai jamais su dire non aux jolies filles..."
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)