Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityFB - i knew the first time we met you'd be kinda hard to forget (Emi')
Le Deal du moment : -43%
-100€ Pack rééquipement Philips Hue ...
Voir le deal
129.99 €


FB - i knew the first time we met you'd be kinda hard to forget (Emi')

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 Oxford. Il y a deux ans. La conférence sur la crise économique de 1929 venait de toucher à sa fin, je quittai donc le campus d’un pas empressé rejoignant le parking où j’avais garé ma précieuse Roll Royce. Je passais machinalement et affectueusement la main sur la carrosserie du capot, avant d’attraper mes clés pour aller prendre place derrière le volant. Les cours étaient finis pour la journée, j’allais donc rentrer chez moi et pour une fois je m’étais passé des services de mon chauffeur. Parce que oui pour moi c’était chauffeur et voiture privée, j’avais une sainte horreur des taxis multi fréquentés et ne parlons même pas des transports au commun, j’en avais une vraie phobie. J’aimais les belles voitures, et parfois c’était mon petit plaisir de conduire. Aujourd’hui était l’une de ces journées… Je démarrai donc, prenant la direction de mon luxueux duplex lorsqu’une silhouette féminine sur le bord de la route m’interpella. Une demoiselle fluette, aux cheveux courts, le nez sur une carte, semblait un peu déboussolée. Une touriste surement. Je rangeai ma voiture sur le bas côté, abaissai ma vitre et la saluai : « Vous êtes perdue, je peux vous aider ? » Avec un sourire charmeur. Parce que non, je n’étais pas devenu altruiste d’un coup, c’était clairement avec la ferme intention de jouer les charmeurs que je l’accostais ainsi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


 
I knew the first time we met you'd be kinda hard to forget
feat Cole


Flashback - 2014 - Oxford, UK

Je suis sortie de l'hôpital il y a quelques mois maintenant, c'est officiel, je suis en rémission et pour fêter ça, j'ai bouclé mes valises et je suis partie, comme ça, parce que ma vie d'avant ne me convenait plus. Et je peux bien l'admettre : c'est la meilleure décision que j'ai prise de ma vie, parce que je suis en vie. C'est un compagnons de route qui m'a dit que Oxford était une chouette ville à voir et grâce à mes économies et de boulots à droite à gauche, j'avais enfin pu quitter Paris, passer par Londres avant de rejoindre cette jolie ville. J'ai pris le train, je peux pas dire que j'aime particulièrement mais bon, c'est le moyen le plus simple, je prendrais le taxis une fois là bas ou au pire des cas, je me louerais une voiture. Dans le train, le plus agaçant c'est les gens autour, ils sont exaspérants, ça me fatigue ... Et depuis mon cancer, depuis que je suis chauve je veux dire, j'ai l'impression que tout le monde me regarde ... Un sentiment désagréable que je vis au quotidien... Ces derniers mois, mes cheveux ont repoussé, heureusement mais j'ai vraiment hâte de les avoir très long à nouveau, parce que franchement, les cheveux longs, je trouve ça beaucoup plus féminin. Pendant un temps, je m'étais résignée à porter une perruque , mais là, mes cheveux étaient quand même assez présent, je peux pas dire le contraire, je vais pas faire de chichi. C'est après un temps de train inestimable, peut être bien 2 heures de pleure de bébés qu'on est enfin arrivé à Oxford, je suis souriante, heureuse d'être là, je me paye un hôtel non loin de la gare, pas trop mal, je me change, enfilant un jean slim un débardeur et une veste -il fait froid dans ce pays non de dieu !- et c'est partie, je pars me promener, une carte d'Oxford dans les mains je suis une vraie touriste, à marcher carte ouverte, je vais surement me manger un poteau alors je m'arrête dans la rue, carte en face de moi pour essayer de la déchiffrer. Je l'avoue je n'ai jamais lu une carte de toute ma vie, mais je fais genre que je comprends totalement ce qui est dessus, ça me donne l'air d'être une touriste intelligente. C'est alors qu'une belle bagnole de luxe s'arrête à ma hauteur, la vitre s'abaisse, mais moi clairement je suis concentrée à lire ma carte alors ce n'est que lorsqu'une voix masculine s'élève dans les airs que mon regard de pose sur l'inconnu sourire aux lèvres. « Ça se voit tant que ça ? » un petit rire, évidemment que ça se voit que je suis pommée avec ma carte. Je la replie de moitié et demande alors sourire aux lèvres « Sauriez vous où se trouve le Jardin botanique de l'université d'Oxford ? » J'ai entendu que du bien de ce jardin et avoir un peu de paix et un semblant de voiture après ce voyage épouvantable serait une bénédiction.. Je lui adresse un sourire charmant, enfin une tête qui m'est sympathique après tous ces empresser de la ville.

 
Codage par Emi Burton
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
  La demoiselle releva la tête en m’entendant l’interpeller. « J’avoue que la carte m’a donné un bon indice… D’ailleurs je crois que vous la tenez à l’envers… » rigolai-je en observant le plan qu’elle tenait toujours entre les mains. Elle finit de toute façon par la replier, se disant surement que c’était plus rapide d’accepter mon aide et mon sourire s’élargit en la voyant s’approcher. Le piège se refermait. Les touristes étaient toujours des proies faciles, et malgré sa coupe à la garçonne qui ne correspondait pas vraiment au style que j’affectionnais habituellement parmi la gente féminine, la jeune femme dégageait une vraie sensualité et elle me plaisait vraiment. Je continuais donc à jouer les charmeurs en proposant : « Le jardin botanique ? On est vraiment pas loin mais… C’est un peu compliqué à expliquer. Je peux vous déposer ça sera plus simple ? C’est sur ma route en plus. » Et puis un tour en voiture de luxe, ça ne se refusait pas non ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


 
I knew the first time we met you'd be kinda hard to forget
feat Cole


Flashback - 2014 - Oxford, UK

Il faut le dire, avant que cet inconnu se pointe, j'étais clairement dans l'embarras avec ma carte toute moche et illisible. Il me propose de l'aide et je lui demande alors naturellement si la carte a été l'indice crutiale pour le deviner, ce qu'il confirme, m'annonçant même que ... WHAT ? Je tiens ma carte à l'envers ? Là, c'est sûr, je m'en serais pas du tout sortie ... Je rigole en m'en rendant compte après avoir blemi un instant en réalisant qu'il avait raison « Effectivement ! Mon dieu, on devrait nous donner des cours pour lire une carte, ça pourrait aider les touristes perdues comme moi ! » je ris de moi parce que franchement, il y a de quoi rire, je vais pas en pleurer non plus, j'ai tenue une carte à l'envers, c'est la honte mais le ridicule ne tue pas et fort heureusement pour moi d'ailleurs. Je la replie, elle ne me servira à rien, je dois me rendre à l'évidence, je ne sais pas la lire ou la déchiffrer, je ne sais pas faire, c'est pas le drame ultime, je suis sûr que maintenant plein de monde est incapable de lire une foutue carte papier. Après tout, il y a le GPS pour donner la direction, pas besoin de cette méthode de la préhistoire, si ? Je souris au jeune homme, il est charmant. Je m'approche de la voiture pour lui demander l'endroit que je veux voir absolument. Il me propose même de me déposer, apparemment, c'est compliqué d'expliquer, je vais pas refuser, il a pas franchement une tête de psychopathe, il a l'air sympa. Je reprends alors « Je veux bien, merci c'est adorable. Vous me sauvez d'un long moment de galère et de solitude ! » un sourire et je me recule d'un pas pour ouvrir la porte de sa luxueuse voiture avant de monter dans l'habitacle en souriant « Et vous, vous vous rendez où ? » Je dois l'avouer, je ne suis pas d'un naturel timide et il connait bien mon itinéraire, je me permets donc de lui demander le sien. Je dois l'admettre, je sens qu'il me fait un peu de charme, mais c'est flatteur, ça faisait longtemps, en général, les filles chauves ou aux cheveux courts, les mecs font pas la queue pour les avoir.

 
Codage par Emi Burton
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
   Elle se figea un instant avant de porter ses yeux sur le plan pour constater que je disais vrai, que ce dernier n’était pas dans le bon sens. Elle rigola alors, plaisantant en suggérant que l’on devrait tous recevoir des cours pour savoir lire ce genre de carte. « Je peux jouer les professeurs d’orientation si tu as un moment… » me proposai-je alors, avec toujours un petit sourire charmeur au coin des lèvres. C’était toujours pas de la grandeur d’âme, c’était encore une fois intéressé, comme tout ce que j’entreprenais. Elle rangea d’ailleurs son plan qu’elle plia, relevant ensuite le visage vers moi pour m’adresser un sourire, s’approchant ensuite pour me parler du jardin botanique de la fac. Par chance, elle était tombée sur moi, étudiant d’Oxford, donc je savais très bien comment m’y rendre. Mais plutôt que de m’engager dans des explications, autant la déposer là bas. Je justifiais ma proposition en parlant d’explications compliquées, ajoutant que le fameux parc était sur ma route. Cela suffit à la convaincre, et puis je devais avoir une bonne tête. Et puis franchement, vous en connaissez beaucoup vous des voyous en costard trois pièces et qui roulaient en Roll Royce ? Ca avait du jouer en ma faveur c’était certain. Elle me remercia, s’installant sur le siège passager. « De rien, c’est normal. Et puis c’est tout moi, ça… Généreux et serviable. » Gosh, quand elle allait apprendre à me connaître, cette description la ferait surement bien rire. Et puis le propre des gens qui ont véritablement ce caractère c’est qu’ils ne s’en vantaient pas non ? Elle allait surement percevoir que je voulais la draguer à un moment donné mais qu’importe, en attendant je redémarrai direction le jardin, prenant soin de ne surtout pas rouler trop vite pour qu’on ait le temps de faire connaissance. « J’allais rentrer chez moi. J’habite pas très loin d’ici, je suis étudiant à Oxford en fait. » expliquai-je avant de me présenter. « Cole Smythe Wildingham, le sauveur des jolies touristes perdues. » Petit coup d’œil vers elle avant de reporter mon attention sur la route et de demander : « On peut surement se tutoyer non ? Tu es en voyage en Angleterre ? Toute seule ? » Je sondais pour savoir si y’avait pas de petit ami dans le paysage, normal.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


 
I knew the first time we met you'd be kinda hard to forget
feat Cole


Flashback - 2014 - Oxford, UK

Il doit me prendre pour une gourdasse depuis qu'il a vu que ma carte en plus de pas savoir la lire, je la tenais à l'envers.. Mais bon, en même temps, je suis comme ça, spontané et naturel, alors je riais moi même de moi, amusée de ma connerie. Bon sang ce que je me fatigue parfois. Il faut le dire, j'ai beau être surdouée, les cours sont pour moi comme une balade de santé mais alors par contre, lire une carte et avoir le sens de l'orientation, c'est pas mon truc. Moi je suis passée au GPS, à la technologie quoi. J'ai pas envie d'apprendre à lire une carte, ça a l'air barbant... Sa phrase me fait sourire suite à ma remarque : on devrait quand même avoir des cours pour savoir les lires « Si vous avez le temps de me jouer les guides dans Oxford, j'aurais même pas besoin de savoir lire une carte ! » bah quoi ? Ca pourrait être cool d'avoir un vrai gars d'ici pour visiter la ville, surtout si il est charmant. Je m'approche de sa voiture pour être plus à l'aise pour discuter, après avoir fermé ma carte, elle m'encombre trop cette merde. Je l'ai plié à la rache, mais bon, tant pis. Il me propose de me déposer au jardin botanique. Je ne peux que accepter. Il a pas une tête de tueur en série. Il a une bonne tête. Et une belle bagnole. Je pénètre dans le véhicule en souriant « Généreux et serviable ? C'est pas trop chiant de l'être tout le temps ? » c'est vrai, je suis pas vraiment généreuse sauf peut être avec mon temps quand je vais rendre visite à des malades ou autres et serviable... Bon, je le suis pas franchement, ça doit être chiant de l'être constamment. Je n'avais donc pas dit ces mots méchamment mais plus intrigué. Je lui souris pour faire passer le truc. Il parait que j'ai un charmant sourire. Je lui demande où il allait lui, peut être qu'il n'est pas vraiment pressé et qu'il pourra se joindre à moi pour la balade. J'ai besoin d'un peu de verdure après ce long trajet pour venir ici. « Etudiant à Oxford ? Impressionnant. Ca doit pas être simple d'entrer là bas. » Il finit par se présenter avec une plaisanterie qui m'amuse. Il m'adresse un regard que je lui rends avant de dire « Vous devez être bien utile alors ici. Je suppose que plein de touristes doivent se perdre ! » c'est une grande ville Oxford après tout. « Enchantée alors Cole Smythe Wildingham moi c'est Emilia Sophia de Borbón Wilson. » Je donne mon nom de famille en entier. A Oxford, peu de chance qu'il est entendu de la maison de Borbón qui est la famille royale d'Espagne non ? En général, les gens captent pas vraiment. « Bien sûr autant se tutoyer. Oui je suis venue en voyage seule, j'ai décidé de découvrir le monde après des mois enfermés? » j'en avais eu besoin après le cancer et tout le reste de respirer loin de tout, de ma vie, des gens. C'était comme pour pouvoir recommencer à respirer. Je l'avais fais sur un coup de tête mais je ne regrette pas. « Et toi, tu es venu à Oxford pour tes études ou tu y as toujours vécu ? » il avait l'accent anglais quand même donc je me doutais qu'il était originaire des UK au minimum.

 
Codage par Emi Burton
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 Forcément de la voir ainsi si peu adroite avec sa carte, je ne pouvais m’empêcher de saisir l’occasion et de me proposer comme prof d’orientation. Toute opportunité pour draguer étant bonne à saisir. Et puis, la demoiselle m’avait l’air plutôt receptive en fait, puisqu’en retour, elle répondit qu’elle n’aurait pas besoin de savoir lire un plan d’Oxford si je jouais les guides personnels. « Avec plaisir… » J’allais la guider jusqu’à mon lit sans soucis oui oui… C’est avec un sourire charmé et charmant que j’acceptais ce rôle de guide touristique, des idées bien moins sages en tête. Elle monta dans le véhicule, probablement en confiance devant mes airs polis et ma jolie bagnole, me vantant alors de mon côté généreux et serviable, paroles qui auraient probablement fait exploser de rire la plupart de mes proches. Disons que ce n’était pas vraiment les caractéristiques principales de ma personnalité. Mon interlocutrice me questionna alors sur le côté chiant d’être ainsi, et je secouai la tête : « Pas du tout, quand ça me permets de rencontrer de charmantes demoiselles, c’est loin de me déplaire… » Et puis de toute façon, elle allait vite se rendre compte que c’était du baratin. Impossible de passer pour un saint trop longtemps, ma vraie personnalité allait ressortir à un moment ou un autre. Déjà que là, passant en mode drague, elle devait commencer à percevoir que mon invitation n’était pas complètement désintéressée. « C’est l’une des plus prestigieuses facultés du monde c’est vrai. Mais quand il s’agit de son savoir, il faut savoir obtenir l’excellente. » Ok, là, j’avais clairement l’air plus prétentieux que généreux et serviable, j’avoue. Je me repris : « Tu fais ou as fais des études ? » Clairement, pas actuellement, vu qu’elle semblait en vacances avec sa carte toute perdue. Sauf que son nom lorsqu’elle se présenta me fit légèrement tilt. Que voulez vous, quand on venait d’une riche famille on s’intéressait forcément aux héritiers et familles importantes, j’étais d’ailleurs un ami des Windsor. « De Bordon ? » repris-je intrigué, la laissant libre de m’en dire davantage, à savoir si oui ou non elle était apparentée à la famille royale espagnole.  « Des mois enfermés ? Dans une tour en attendant que ton prince charmant vienne te délivrer ? T’en fais pas je suis là maintenant… » tentai-je de plaisanter après ses paroles intrigantes. Je sentais qu’il y avait quelque chose de plus sérieux là dessous. « Tu peux m’en dire plus si tu veux… » Et si elle préférait ne pas en parler, je respectais aussi. « Je suis né et j’ai grandi à Londres. » expliquai-je alors. « Tu connais ? » Peut être que dans son périple, elle y était allée.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Une nuit comme les autres.
feat. Colilia
Ma carte faisait vraiment de moi une paumée de la vie. Je la tenais grande ouverte, à chercher un peu dans toutes les directions et c'est comme ça que cette bonne âme dans sa voiture de luxe s'est arrêtée, engageant la conversation. Quand il me propose d'apprendre à lire une carte, mon naturel prend le dessus et je lui réponds tout naturellement que si il acceptait d'être mon guide, je n'aurais pas besoin de savoir une lire une carte. Après tout, qui lis une carte de nos jours ? Il y a le GPS et tout ce genre de choses. Quand il accepte, un large sourire apparait sur mon visage et reprend « Vous serrez mon sauveur. » parce que clairement sans ça, je vais galérer pendant mon court séjour dans cette jolie ville. Je finis par monter dans sa voiture, il a pas l'air d'être un tueur en série, ça va et je fonctionne énorme au feeling avec les gens. Et ce gars là, je sais pas pourquoi mais je le sens bien. Quand il se définit, je souris, amusée, lui demandant si ce n'est pas chiant d'être le mec un peu trop parfait et sa réplique est parfaite. Ca me fait sourire et bien que je décèle assez facilement son plan, je rentre dedans m'en amusant même « C'est tout à votre honneur. » Quand il m'annonce aller à Oxford, je ne peux qu'en être impressionné, cette université est connue mondialement, il faut pouvoir y entrer. Pour ma part, j'ai fais mes demandes avant de savoir que j'étais malade et mes facilités d'apprentissage m'ouvraient les portes de l'université que je désirais, mais il faut aussi les moyens financiers pour aller à la fac et malheureusement ma mère ne les a pas et je ne compte pas me rabaisser pour le moment à demander à mon géniteur de me donner de l'argent, il m'a abandonné après tout ? En tout cas, c'est toujours ce que je pense pour le moment. « Ca c'est bien pensé. Après Oxford, on a toutes les portes d'ouvertes non ? » le monde du travail est à ses pieds après un passage d'enseignements d'excellence. Il a raison d'en être fier, n'importe qui s'en vanterai après tout. « Je compte reprend l'année prochaine, mais j'en ai fais dans une université de Floride pendant 2 ans. L'année prochaine, j'espère avoir une fac plus quoté. » c'est pas l'entrée qui me posera problème, mais toujours le coût. L'entrée, c'est un peu du gâteau pour moi. Quand on a des facilités, c'est pas la mer à boire. Ce gars me mettait à l'aise et après tout, j'étais loin de tout alors je me laisse à prononcer mon prénom et mon nom de famille premier. Généralement, je dis Wilson, parce que finalement c'est elle qui m'a entre guillemet élevé mais là, je dis le vrai, celui de base que peu savent que je porte. Il semble tiquer dessus, merde, il connait ? J'aurais pas cru. « Exactement, de Borbón » mettant l'accent espagnole qui va bien en disant ces mots. « Tu connais d'autres de Borbón » si ça se trouve, il y a une personne de ma famille dans cette université qu'il connait ou un truc comme ça ! Ou bien, il a juste capté avec le nom de la maison royale d'Espagne, à voir sa réponse. Sa plaisanterie ensuite me fait légèrement rire, il a de l'humour, qui a dit que les anglais sont pas drôle ? « Exactement je n'attendais que toi ! » quand il me propose d'en dire plus, après tout, pourquoi pas ? Je le reverrais sûrement jamais et au pire, je le ferais fuir, il me lâchera là et je reprendrais la lecture de ma carte de cette ville en mode galérienne. « Hmm ... J'ai été à l'hôpital pendant un peu plus de 10 mois, quand on sort d'une maladie, on a envie de profiter d'être en vie de voyager. En tout cas, je l'ai senti comme ça. » je le regarde, presque gêné de ces confidences mais finis par lui sourire, il oserait jeter hors de la voiture une cancéreuse ? Quand il me dit qu'il est né à Londres, je l'envie, Londres c'est génial comme ville « Londres, c'est super comme ville. Je m'y suis arrêtée rapidement avant de venir à Oxford, mais je compte y retourner après mon séjour ici. Il y a trop de truc à y faire. » Ouais, les magasins, les musées, les visites, les balades, Londres, c'est la ville parfaite par excellence, derrière Madrid, ma ville de naissance.


© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le rôle de sauveur m’allait à merveille. Peut être qu’en temps normal, en d’autres circonstances, j’aurais tenté le côté dragueur relou en questionnant la jolie demoiselle en détresse sur la récompense qui serait à la clé de ce sauvetage, mais je me contentais de sourire et de l’inviter à monter à mes côtés. Ce qu’elle fit d’ailleurs. Je me lançai quand même quelques fleurs, glissant un petit compliment par ci par là pour la demoiselle, tâtant ainsi le terrain. Elle semblait plus amusée que véritablement réceptive à mes avances, mais je n’avais pas dit mon dernier mot. Et à défaut de conclure, j’aurais toujours la satisfaction d’avoir fait une nouvelle connaissance. On démarrait, direction les jardins donc, entamant la discussion sur nos études respectives. J’hochai la tête quand elle soulignait les portes qu’ouvrait le fait d’avoir étudié à Oxford, l’une des plus prestigieuses facultés au monde. « Disons que pour ma part, la porte à emprunter est déjà toute trouvée. » Pas de suspense quant à mon avenir. « Je dois reprendre les rennes de l’entreprise familiale. Et pour se faire, je dois obtenir mon diplôme en économie et relations internationales. » D’ailleurs, ça me donnait une excuse en or : « C’est aussi pour perfectionner mon contact avec les étrangers que je viens en tête aux touristes en détresse. » plaisantai-je alors avec un petit rire. Je m’intéressais ensuite à son cursus à elle. Fac de Floride, et pour la suite elle visait plus haut. « Plus quoté ? Comment ça ? Oxford te tenterait ? » Je pouvais toujours actionner quelques leviers et jouer de mes pistons pour la faire entrer ici. Sauf qu’apparemment, vu son nom, elle n’avait peut être pas besoin de moi. Elle corrigea en mettant l’accent, ce qui mit encore plus le doute quant à ses origines. « Je ne connais pas personnellement non, mais c’est le nom de la famille royale espagnole alors je suis en train de me demander si je n’ai pas fait monter une duchesse ou une comtesse dans mon carrosse. » répondis-je alors. Elle était drôle, elle était charmante, elle riait à mes blagues… Le pire avec tout ça, c’est que pour finir, je m’intéressais vraiment à elle, j’en oubliais presque de la draguer. C’est avec une curiosité sincère que je cherchais donc à savoir ce qui l’avait obligé à rester enfermée. Après un petit instant d’hésitation, Emilia reprit la parole, me parlant de sa maladie, de ses 10 mois d’hospit et je grimaçais : « Je suis désolé Emilia. » Et sa coupe à la garçonne prenait soudain un autre sens. « Cancer ? » devinai-je donc. « Tu es sortie d’affaire à l’heure actuelle ? » m’inquiétai-je alors. On lisait parfois des histoires de gens condamnés, qui plutôt de finir leurs jours en soins palliatifs, enfilaient leurs basquets, prenaient leur sac à dos et se lançaient dans un tour du monde, alors j’étais aussi en droit de me questionner même si elle m’expliqua avoir juste besoin de profiter pour voyager. On parla ensuite de Londres, elle y était rapidement passé avant de venir à Oxford et elle projetait déjà d’y retourner. « Si t’as besoin d’un guide… Je connais cette ville comme ma poche. » Londres j’y étais né et j’avais grandi là bas. Les grilles du parc se dessinaient devant nous et je garais ma voiture, sortant ensuite pour aller ouvrir la portière à la demoiselle en grand gentleman.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Une nuit comme les autres.
feat. Colilia
Beaucoup ne prendrais pas le risque de monter dans la voiture d'un inconnu mais moi pour dire vrai, cet anglais est un peu mon sauveur car clairement je suis incapable de lire une carte sans galérer. Mais vraiment. On m'a jamais appris à lire une carte, vous voulez que je dise quoi de plus ? C'est impossible à lire ces petits dessins tout brouillon alors je préfère tenter l'aventure et monter avec cet anglais qui semble gentil, je ne sais pas pourquoi mais je le sens bien. Ses avances m'amusent et je les prends plus à la rigolade, je ne peux pas dire que je ne craquerai pas, ça peut être une possibilité en ce moment, mais avant je veux découvrir ce jardin si réputé à Oxford. Et il ne semble pas contre se joindre à moi. La discussion pendant le trajet arrive sur les études et quand il me dit qu'il est a la fac d'Oxford, je ne peux qu'imaginer le nombre de porte qu'une fac de cette envergure permet. Il ne peut qu'être d'accord avec cette remarque d'ailleurs « Et tu trouves pas ça ennuyeux d'avoir une vie toute tracée ? A moins que tu aimes l'idée de reprendre cette entreprise » certains aiment l'idée d'avoir une vie toute tracée, moi j'ai la chance pour le moment d'être libre, peut être que ça ne durera pas, mais en ce moment, je n'ai pas de contrainte, je suis un électron libre, prêt a naviguer où il le souhaite. La suite de sa phrase m'affiche un grand sourire amusée par sa plaisanterie « Oh je vois, c'est pour les cours. Et bien tu peux ajouter l'Espagne a tes relations alors ! » puisque après tout, je suis espagnole à la base, même si je n'y ai pas vécu bien longtemps. Quand on parle de mon cursus, j'admets que j'ai lâché les cours pendant 2 ans, un besoin vital pour moi, afin de me remettre. De me reconstruire. Mais bien entendu, je vise à présent une fac quoté, pour avoir un bel avenir. « Oxford est bien oui, ou même Harvard. Tu sais, une de ces grandes université où l'elite se rend, ça doit être super d'étudier là bas. Et comme je n'ai pas vraiment d'attache, je peux choisir n'importe laquelle » c'est ça l'avantage à être libre, je n'ai pas de contrainte, pas de parents sur le dos puisque je suis seule, j'ai fuis ma mère, mon père m'a abandonné il y a longtemps et je suis pour le moment loin de m'imaginer que je vais le retrouver bientôt. « Si tu pouvais choisir n'importe quelle fac dans le monde, tu prendrais Oxford toi ? » c'est vrai qu'elle est bien cette fac, elle a l'air connu et apprécié, mais peut être n'y ait-il que par intérêt ? Et il semble ensuite tiquer sur mon nom de famille. C'est bien la première fois que quelqu'un fait le lien sans mal entre mon nom et la famille royale d'Espagne. M'interrogeant, je réponds alors à voix plus basse, comme pour lui avouer un secret « Tu as fait monter une princesse dans ton carrosse. » c'est qui je suis après tout, je suis la princesse héritière du trône d'Espagne, disparu à ses 5 ans, enlevé par sa mère et jamais retrouvé ou en tout cas, jamais retourné au pays, je n'ai pas osé, je sais pas vraiment pourquoi. Je lui adresse un sourire à la fin de ces révélations. Finalement celui qui pouvait avoir l'air d'un simple beau parleur, qui charme les tourismes m'intrigue, il m'intéresse réellement et je me sens à l'aise avec lui, j'ignore pourquoi mais je ne le vois pas uniquement comme un dragueur, non il est plus que ça. Il avait l'air aussi de réellement s'intéresser avec ses recherches pour savoir ce qui m'avait poussé à rester enfermé longtemps et je lui avoue la vérité. Il fait le lien rapidement : mes cheveux et la maladie. J'hoche la tête après le mot "cancer" et réponds après sa dernière question « Oui, une leucémie et je suis sortie d'affaire, j'ai jamais été aussi contente d'être en vie que depuis que je sais que je suis en rémission. » oui maintenant, ma vie a plus de sens, plus de goût, je la veux plus intense, plus jolie, je ne veux plus me contenter de peu, d'où ce besoin de faire un tour du monde. Quand j'étais au plus bas, je m'étais accrochée à cet espoir d'un jour voir le monde. Et quand le sujet dérive sur Londres, il se propose de faire le guide, je lui adresse un grand sourire ravi « Si tu as du temps à perdre, ça serait avec plaisir, j'en serais ravie. » c'est drôle, car finalement, sans même le savoir à ce moment là, la rencontre de Cole allait en partie changer ma vie et j'allais voir en lui par la suite un vrai pilier dans ma vie, un de mes plus proche ami, une personne que j'apprécierai en dépit de son côté parfois manipulateur et qui m'apprécierai en dépit de mon côté peste quelques fois. Si il ne s'était pas arrêter pour aider une pauvre touriste aujourd'hui, je suis quand même sûre qu'on se serait rencontré plus tard, car on est fait pour s'entendre, il n'y a qu'à voir nos premiers échanges pour le comprendre.

Pauliiiiiiiine :heaart::


© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)