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PILLOW TALK. (+) NEMHAM

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❝ Graham & Nemo ❞
PILLOW TALK.

Était-ce mal si tu osais voir un peu plus loin qu'à l'accoutumée avec lui ? Était-ce trop précipité, démesuré, fou ? Après tout, si tu prenais le temps de te souvenir de tes pensées pas toujours catholiques lors de ta première rencontre avec Graham – et celles d'après – il était probable que tu aies déjà mentionné le fait de toucher ses muscles, d'avoir son corps nu contre le tiens, et de le voir tout sexy devant l'autel. Mais peut-être était-ce plus facile et bien moins choquant à l'époque, tes réelles chances de voir tes fantasmes qui se réalisent étant plutôt proche des zéros pour cent contrairement à aujourd'hui où tout était différent entre vous. Tu pouvais avoir peur de faire ce genre de remarque, lorsqu'on savait que votre couple n'existait que depuis un peu plus de trois mois officiellement et sept mois officieusement. Pourtant, tu connaissais maintenant plutôt bien Graham pour supposer qu'il ne prendra pas ses jambes à son cou, déguerpissant de terreur face à un futur des plus sérieux qui devenait trop proche. « Évidement. » Tu disais dans un petit rire, un sourire attendri alors qu'il avouait aimer l'idée d'être l'homme de ta vie. Moi c'est toi que j'aime, tu pensais, ta bouche ne formant pourtant pas ces mots qui brûlaient tes lèvres depuis tant de semaines – alors tu espérais au fond de toi qu'il les lise dans tes iris lorsque vos regards se croisaient, afin qu'il sache, même sans l'entendre de ta voix. Tes doigts parcouraient son front, attentif à ne pas toucher ou appuyer fortement sur ses multiples blessures visibles, ne souhaitant pas lui ajouter de la douleur alors qu'il te disait déjà avoir mal à la tête. Tes lèvres se plissaient d’inquiétude, alors que tu avais du mal à te sentir complètement inutile face aux maux de personnes auxquels tu tenais, ne jamais savoir quoi faire afin de pouvoir les aider. Ton pouce caressait doucement le dos de sa main qu'il serrait dans la tienne, un mince sourire rassurant sur ton visage après avoir appelé l'infirmière. « Ça va aller mieux, ok ? » Tu assurais doucement, même si tu n'en savais vraiment rien, et que tu croisais juste les doigts afin qu'on puisse lui dissiper rapidement son mal. Il montait ensuite sa blouse – qui ne laissait plus rien à l'imagination maintenant qu'il se foutait presque à poil – pour te montrer ses muscles qui n'étaient en rien faux, et tu lui rappelais bien que ce n'était en aucun cas de lui que tu parlais mais du vrai Captain America pour cette fois. Il était évident qu'il ne te croit pas même quand tu disais la vérité, et tu levais tes mains en l'air, secouant vivement ton visage alors qu'il osait dire que tu essayais de te rattraper. « J'me rattrape pas, c'est toi qui m'a mal compris. » Tu insistais alors qu'il rabaissait sa blouse. Tu n'aurais jamais pu sérieusement dire que ses muscles à lui étaient faux, toi qui passait ton temps à poser tes mains dessus lorsque tes yeux ne suffisaient plus. Tu exigeais ensuite un bon pour câlin illimité au prochain Noël – histoire de ne jamais plus avoir de frayeur de te les voir refuser lorsque Graham se sentait d'humeur joueuse – et chiante haha. « Tu sais que je serais malheureux sans ça. » Tu disais dans un sourire en coin, et puis heureusement que tu savais jouer de tes charmes pour le faire accepter, tu te sentirais mal si tu n'avais aucun petit pouvoir sur lui. Tu t'asseyais à ses côtés, et tu soupirais d'aise alors que tu passais un bras lâche autour de son ventre, sentant son menton contre tes cheveux bruns. « The Clown ?! » Tu t'exclamais dans un rire étonné, relevant tes yeux pour pouvoir admirer son visage. « Mon dieu, j'sais pas trop quelle image ça renvoi ça. Soit tout le monde se moquerait de moi avec mon gros nez rouge, soit les gens seraient trop effrayés par mon costume. » Tu riais, t'imaginant déjà en train de te balader dans les rues sombres de Boston, te faire rapidement tabasser par quelques citoyens qui passaient parce que lorsqu'on était petit on trouvait les clowns drôles et stupides, et lorsqu'on grandissait on finissait apeuré par leurs allures trop joyeuse et fausse, visage dissimulé derrière un masque, cachant ses réelles attentions tel un serial killer. Et toi t'étais censé être un super-héros, pas terrorisé la ville comme le Joker. L'image des clowns de côté, le blase n'était pas si mal que ça comme ça faisait référence au petit poisson et à ta nature de grand comique – joke. Un petit toquement se faisait entendre quelques minutes plus tard, et l'infirmière entrait, alors que tu te redressais légèrement. « Bonjour. » Tu saluais dans un petit sourire, avant de montrer le grand malade. « Il a mal à la tête... » Tu disais, ta phrase semblant finir en suspension, puisque tu imaginais qu'elle connaissait son travail et que tu espérais qu'elle aide Graham le plus rapidement possible.
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This pain, this dying, this is just normal. This is how life is. In fact, I realize, there never was an earthquake. Life is just this way, broken, and I am crazy for dreaming of something else.

Être l’homme de la vie de Nemo, un beau titre n’est-ce pas ? J’ignore si j’aurais un jour l’opportunité d’être cet homme, celui qui sera parvenu à le rendre heureux sur la durée et pas seulement pendant une poignée de mois. L’avenir est incertain mais il s’agit aujourd’hui de mon vœu le plus cher. Le mec est arrivé de nulle part en boite de nuit et n’est jamais reparti depuis. Bon, il s’est peut-être éloigné quelques temps lorsque les questions se sont mises à m’assaillir sur ma propre sexualité mais il n’a jamais quitté mon esprit pour autant. Je ne sais pas comment il fait ça, il a probablement un pouvoir magique, ou peut-être est-ce son naturel, c’est ce qui m’a fait craquer en premier. Il n’a jamais eu peur de balancer des conneries, il n’a pas été effrayé à l’idée de se frotter au mauvais buisson et de tomber sur un cactus bien piquant, il y est allé au talent. Force est de constater que du talent il en a à revendre et pas qu’en dessin. Mes yeux brillent d’une lueur inépuisable lorsqu’ils se posent sur cette personne hors norme et mon palpitant continue de se la jouer capricieux, une vraie diva qui se met à battre la chamade dès que Nemo est dans le coin, dès que ses yeux s’aventurent sur ma personne, dès que mes pensées s’affairent à lui rendre justice et à combler le manque qui nait dans ma poitrine lorsqu’il est loin de moi. Mon cœur n’est pas le seul à battre la mesure, mon cerveau serait en train de mettre à exécution un plan diabolique visant à m’exploser le crâne pour prendre la fuite que cela ne me surprendrait même pas. J’ai mal à m’en frapper la tête contre les murs mais je tente de donner le change malgré tout, je n’ai jamais été branché par les longues complaintes, d’autres sont plus à plaindre que moi, Isaac par exemple, je me demande comment il va, il était sacrément amoché, Jules et moi on en a bavé pour lui porter secours. Il est inquiet, je parviens aisément à le lire dans ses yeux et j’ignore comment le rassurer, je n’ai jamais été doué pour cela non plus. « Ce qui ne te tue pas te rends plus fort ! » Je ne compte pas mourir d’un mal de tête. Inutile de le prévenir que la raison pour laquelle je reste ce soir en observation c’est pour que les médecins puissent prévenir une hémorragie interne ou une quelconque complication. J’suis obligé de me foutre à poil pour exhiber mes gros muscles, vive la chemise d’hôpital, et le voilà maintenant en train de lever les mains en l’air et d’hocher la tête en signe d’innocence. Genre il parlait de Captain America et pas de moi, genre ! « Mouais… » Je concède, perplexe, occupé à recouvrir ma peau dénudée de cette maudite blouse tout sauf pratique. Je sais bien qu’il faut des ouvertures partout pour qu’ils aient juste à tirer dessus en cas de pépin pour la défaire mais tout de même… Je n’aurais rien sur la peau que ce serait pareil, je me sentirais presque moins à poil si j’étais complètement nu. Dans quel état serait-il si je le privais de câlin ? Je ne préfère même pas y penser, j’serais le premier à en souffrir ! La preuve ? J’suis le plus heureux des hommes lorsqu’il vient se blottir contre moi deux secondes plus tard, je caresse ses cheveux tendrement tout en recherchant le parfait pseudo de superhéros pour lui, the clown. Clown comme le poisson, Clown comme sa personnalité, il n’arrête jamais de faire le con, tant mieux, son second degré me fait craquer. « Oui, oui… The Clown ! » J’suis content de ma découverte, fier de ma bêtise. Je n’avais pas du tout imaginé son costume mais maintenant… Je suis pris d’un fou rire incontrôlable, celui qui fait bien travailler tes abdos et te pousse à te tordre en deux à la recherche d’une quantité d’air suffisante pour reprendre ton souffle. « Jt’imagine en Bozo le clown maintenant et… Merci pour cette image ! » Je me sens obligé de préciser, en référence à l’une de mes peurs les plus secrètes. « J’refuse que tu rentres à l’appart avec ton costume cela dit… J’ai peur des clowns depuis tout gamin ! » Qui l’eut cru ? Le mec musclé qui flippe devant un putain de costume de clown. Une infirmière nous interrompt et je lui adresse un sourire en guise de bonjour. Nemo prend les devants et je l’observe en action, être le parfait petit-ami attentif et inquiet, un sourire bête ne cesse d’élargir mes lèvres tandis que l’infirmière prend le relais. « Vous avez mal à la tête ? Sur une échelle de 1 à 10 ? » Me demande-t-elle en glissant sa main sur mon front pour vérifier les hématomes. Difficile à dire, je ne veux pas inquiéter mon chéri mais je me dois d’être honnête malgré tout. « Je dirais… Huit ! » Elle acquiesce. « Je ne suis pas surprise, vous avez pris un sacré coup sur la tête. Je vais augmenter votre dose de morphine, vous risquez de somnoler après cela, il vaudrait donc mieux que vous vous allongiez. »  
NEMHAM  
( MADE BY WILD HEART. )  
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❝ Graham & Nemo ❞
PILLOW TALK.

T'étais un homme paradoxal, qui pouvait rester des mois entiers sans savoir s'ouvrir véritablement et lâcher les petits mots qui pourtant ferait tant plaisir à ton cœur, et puis parfois tu pouvais déclarer ton amour infini d'une manière un peu détournée, indiquant clairement que tu voulais ce qui se passait entre lui et toi, que tu ne souhaitais pas être qu'un membre passif de cette relation, et qu'au vu des sentiments que tu avais pour lui, ça ne te dérangerait nullement de voir aussi loin que l'éternité en sa seule compagnie. Peut-être aurait-il fallu que tu fasses un peu plus attention à ce que tu osais dire. C'était de grandes déclarations, aussi innocentes et sincères étaient-elles, mais putain que ça faisait du bien de te relâcher parfois et de laisser ta bouche parler pour toi-même. C'était si bon à dire, c'était si bon à sous-entendre – comme un fantasme qui pourrait sans aucun problème devenir réalité. Comme si c'était si simple, d'être l'homme de la vie de Graham, et qu'il soit le tien en retour. Un sentiment si libre s'emparait de toi à la seule possibilité que cela devienne une déclaration encore plus solide un jour, un aveu qui compterai encore plus dans le duo que vous formiez ensemble. En attendant, avant de te mettre à genou et de faire une proposition qui ne serait pas forcément la bien venue compte tenu de te famille, tu profitait du simple fait qu'il soit là, vivant, devant toi, malgré les blessures et les hématomes, assez en forme pour te répondre et pour te taquiner, même avec un mal de crâne qui semblait le déstabiliser un peu plus les secondes qui passait. Mais il était fort, et le temps que l'infirmière arrive pour l'aider avec ça, tu essayais de croire en ses capacités pour tenir et supporter le mal, puisque comme il le disait, ce qui ne te tue pas te rends plus fort. T'espérais juste dans ce genre de moment avoir un espèce de don à la Charmed, comme les êtres de lumières, ou comme les loups-garou dans Teen Wolf qui pouvaient atténuer la douleur de l'autre en la faisant passer dans leurs propre corps. En tout cas, même cloué dans un lit d’hôpital, il n'en perdait pas son humour, ni ses beaux muscles qu'il n'hésitait pas à te montrer, avant que tu montes sur le matelas à ses côtés et que tu viennes enfin contre lui, tes longs doigts dans ses cheveux blonds, alors que tu fu l'erreur d'exiger un nom de super héros toi-aussi – mon dieu, et voilà ce que son imagination te sortait. The Clown. Tu ne savais pas trop comment le prendre. D'ailleurs tu grognais, alors que tu demandais un peu plus de précision sur cette idée du clown, et qu'il commençait à s'éclater de rire tout seul, des images sûrement très cocasses prenant forme dans sa caboche. Tu voulais lui enfoncer ton dos dans ses côtes à répétitions jusqu'à ce qu'il reprenne un peu son sérieux, mais tu ne pouvais malheureusement plus utiliser cette forme de vengeance contre lui maintenant que ses côtes étaient déjà bien bleuies par les coups, alors tu faisais le boudeur, enfonçant ton index contre sa joue non touchée. « Dis-moi que j'suis bien plus mignon que ce Bozo, je refuse d'être associé à ce clown tout moche ! » Tu rouspétais – mais il était tellement beau à rire à grand éclat, totalement libre malgré les bêtises qui sortaient de sa bouche et insouciant, que tu ne pouvais pas vraiment détester son imagination un peu trop fertile et méchante à ton égard si ça te donnait l'occasion de le voir si heureux comme ça pendant quelques instants. Tu lui tirais ensuite la langue quand monsieur décidait qu'en fait tu ne pourrais pas rentrer dans ton costume de super-héros car il avait peur des clown depuis qu'il était petit, et tu haussais les épaules, reprenant tes caresses dans ses cheveux. « Tant pis pour toi. C'est toi qui a décidé qui sera mon alter-égo héroïque. T'inquiète pas, avec le temps et l'habitude de me voir en Bozo, je suis presque sûr qu'au lieu d'avoir peur au moindre clown que tu croiseras, t'en deviendra attiré par eux. » Tu lui disais avec ton grand sourire qui cachait tes dents – il y en avait bien qui aimaient pimenter leur relations en se chauffant dans certains costumes, que ce soit d'un métier dont l'uniforme était important ou d'un personnage disney qu'on aurait envie de sexualiser et de rendre moins innocent ; alors tu supposais qu'il y en avait sûrement dont la seule de vue d'un maquillage de clown était un turn-on terrible. Heureusement, l'infirmière arrivait avant que tu ne commences à te demander s'il y avait des vidéos pornographiques sur le net contenant des clowns, et tu la laissais faire son travail après lui avoir indiquer la raison de sa présence, ne pouvant pas faire grand-chose d'autre. Tu mordillais légèrement ta lèvre alors que Graham indiquait une douleur de huit sur dix – et il aurait pu te le dire avant, t'aurais évité de l'embêter à lui parler s'il avait si mal et souhaitait du calme. Tu regardais la femme s'exécuter sur la dose de morphine après avoir expliqué ce qu'elle allait faire, et tu la remerciais, avant de te rapprocher une nouvelle fois de ton chéri. « Huit hm ? » Tu lui disais dans un haussement de sourcil réprobateur, avant de soupirer doucement, et de poser tes fesses sur la chaise. « Allonge-toi et dors, je resterai là, promis. » Tu murmurais, ta main attrapant la sienne avant d'y déposer un baiser sur le dos de celle-ci.
© LOYALS.
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