Ma faute, MA PUTAIN DE FAUTE. C'est ça que tu pense ? C'est ça que tu veux entendre ? Tu crois que je me sens comment Sage ? Que je suis heureux ? Que je m'amuse ? Que je n'y pense pas TOUT le temps ? C'est ça que tu veux ? Que je te dise que je me dégoute au moins autant que je te dégoute ? Et tu sais c'est quoi le pire ? C'est que je ne suis pas entrain de te contredire. Ouai, c'est ma faute, j'aurais dû être avec toi cette nuit-là. Et y a pas une seule putain de seconde où je n'y pense pas. Je suis DEJA mort à tes yeux. J'ai attendu, attendu, attendu. Nuits et jours, j'ai attendu. Et comme un con, j'attends encore. Alors ferme bien ta putain de gueule sur ce propos, tu peux penser ce que tu veux de moi, je m'en branle. Parce que je t'aime Sage et que je ferais n'importe quoi pour que tu sois bien ! Voilà, je l'ai dis, dans un texto minable à la hauteur de ma médiocrité. Je t'aime, et c'est le seul truc que tu pourras jamais ébranler. Menace moi de disparaitre, insulte moi, dis moi adieu mille fois si ça te chante. Le truc, c'est que c'est toi. ça sera toujours toi. Et si je te laisse tranquille, c'est uniquement parce que tu me l'as demandé. Alors viens pas faire comme si je t'avais abandonné.