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There is no remedy for love but to love more. pv Sloan (a)

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There is no remedy for love but to love more.
C'était la première fois que je décidais de participer au spring break organisé par l'université. Ce qui présageait quinze jours de pur bonheur, du moins je l'espérais. Après un voyage éprouvant, les portes du paradis s'étaient ouvertes devant moi. Tout était très différent de Cambridge ou d'Athènes. Le chili... était magnifique. Les paysages étaient sublimes. Les journées s'organisaient doucement. Mes yeux s'ouvrirent doucement et une grimace s'afficha immédiatement sur mon visage. Ma main se plaça dans mon dos. Quelle merde ces lits de camp. Canopy Village n'avait rien d'une chambre luxieuse. Tout était très sommaire ici, loin des chambres à 400$ la nuit. Mon regard s'attarda sur la dizaine d'étudiants qui partageaient ma chambre. Un calvaire difficilement supportable en période de vacance. Je me redressais difficilement, décidant de quitter ma chambre pour rejoindre la piscine de l'hôtel. Je me dirigeais vers la salle de bain avant d'enfiler un maillot de bain et une petite tenue sobre. Voilà qui allait faire l'affaire. Je partis de ma chambre et sortis du bâtiment. Mon attention se porta rapidement sur les bâtiments d'en face. Les Nawelpi Lodge, les meilleures chambres de l'hôtel. Le luxe a l'état pur. Et bizarrement, ces chambres me faisaient rêver. Une bonne nuit de sommeil dans un lit douiller, voilà des mois que je n'y avais pas eu le droit. Je levais les yeux au ciel avant de finalement commencer ma petite marche vers l'accueil de l'hôtel. Une fois arrivée, je m'arrêtais à l'accueil. Je devais changer de chambre. Ces lits de camp ne me convenaient pas du tout et j'avais vraiment besoin de dormir. Je faisais la queue lorsque mon regard s'attarda sur une silhouette que je connaissais très bien. Sloan au bras d'une demoiselle. Ils semblaient proche, très proche, aussi proches que je l'étais avec lui. Et l'idée ne me plaisait pas. Une pointe d'amertume se dessina même sur mon visage. Il ne m'avait pas vu et fort heureusement puisque je décidais de dévier le regard pour reporter mon attention sur la personne qui se trouvait devant moi. La file d'attente avançait doucement. Une fois devant le comptoir. J'affichais un sourire et lui fis : " Bonjour... j'aimerais savoir s'il était possible que je change de chambre. Je suis dans le bâtiment Canopy Village et j'aimerais savoir s'il reste des chambres à 100$ ? " il regarda dans son ordinateur tandis que mon regard se reportait sur l'Eliot. Un furtif coup d'oeil et voilà que nos regards s'étaient croisés. " alors mademoiselle... nous n'avons plus aucune chambre à part des Nawelpi Lodge ?" à 400$. Hors de question. J'affichais une grimace tant pis pour le dos.
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Sloan avait hésité à participer au Spring Break, se disant que finalement un peu de changement ne pourrait pas lui faire de mal. Le jeune homme était parti dans une optique bien à lui, profiter de la vie et qui sait, peut-être concrétiser deux ou trois choses. La déception fut immense lorsqu'il comprit de Charline n'était pas vraiment du même avis. La brunette s'était enfui de leur soirée, sans même prendre le temps d'attendre qu'il se réveille. Elle était partie comme une voleuse, comme si la soirée qu'ils avaient passés n'était pas réelle. Pourtant Sloan se souvenait parfaitement du rapprochement dangereux qu'ils avaient eu. Il lui avait envoyé quelques messages auxquelles Granger n'avait pas répondue. Sloan ne comprenait absolument rien. Il avait beaucoup misé sur ce rapprochement, il semblait avoir tout perdu. Il aurait voulu savoir quelle suite ce rapprochement pouvait avoir, si seulement ils allaient restés amis ou pas. Silence radio de la part de la jeune femme. Sloan ne l'avait pas encore croisé ici, il ne cherchait pas trop à la voir d'ailleurs. Elle semblait tellement distante, il ne la reconnaissait pas. Le beau brun passa les premiers jours à se questionner sur Charline puis il laissa tomber. Après tout, il était au Chili et il se devait d'en profiter. Il partageait la chambre avec Lou sa meilleure amie, les filles étaient plutôt open ici, il allait s'en mettre plein la vue. Et par cette phrase, il ne parlait pas que du paysage. Le jeune homme avait trouvé refuge dans les bras d'une jolie brunette qu'il avait rencontré la veille. Il ne s'était absolument rien passé entre eux et d'ailleurs la fille semblait un peu trop collante à son goût. Une cabbot, une nouvelle arrivée. Un passe temps pas trop désagréable. Le jeune homme ne tarda pas à rejoindre la belle brune en bas de l'ascenseur, ils allaient partir découvrir la ville. Sloan semblait détendu mais restait néanmoins préoccupé. « T'as pas trouvé plus court ? » lança ironiquement Sloan à la fille qu'il avait en face de lui. Il rigola légèrement pour se foutre de sa gueule, la brunette ne semblait pas avoir compris, elle rigola aussi. Cette dernière était vêtue d'une jupe ras la salle de jeu, on ne pouvait pas plus court. C'était assez vulgaire d'ailleurs. Sloan n'aimait pas ça la vulgarité et quelqu'un qui le connaîtrait un peu, saurait que ce genre de poupée superficielle n'est pas sa came. Bref, sans plus tarder, la jeune femme pris le bras de Sloan et ils avancèrent en direction de la sortie de l'hôtel. Le beau brun tourna la tête vers sa droite et croisa malencontreusement le regard de Charline. Son coeur se souleva quelques secondes avant que Granger ne tourne sa tête. Perplexe, Sloan s'arrêta de marcher obligeant l'autre bimbo à en faire de même. Elle lui lança un qu'est ce qu'il y a désobligeant. « Vas-y j'te rejoins, j'ai oublié un truc dans ma chambre. » dit-il avant d'enlever la main de la brunette. Elle la regardait comme une conne. « J'en ai pas pour longtemps. » dit-il avant de faire signe à la fille partir. « Quelle conne ! » grogna-t-il avant de reporter son attention sur Charline. Elle était au guichet, Sloan s'approcha légèrement. Il entendit la conversation. Le réceptionniste lui proposait une chambre dans cet hôtel. Le beau brun savait pertinemment que Granger ne mettrait pas ce prix là pour une chambre d'hôtel mais après tout, elle avait le droit au confort autant que lui. Sans trop chercher à comprendre, Sloan arriva à sa hauteur et tendit sa carte de crédit au gars. « Elle va en prendre une. » dit-il sans la regarder. Il afficha un petit sourire au réceptionniste qui prit la carte et qui encaissa sa réservation. Sloan reprit sa carte qu'il rangea dans sa poche. Il se doutait un peu de l'expression faciale de Charline, ça le faisait doucement rire. Il se tourna vers elle. « Amuse-toi bien princesse. » dit-il avant de tourner les talons et partir dans la direction opposée. Elle n'avait pas d'autre choix que d'accepter.
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Mon coude se posa contre le comptoir de la réception avant de mettre mes mains sur mon visage. Ses trois nuits avaient été horribles et mon dos semblait vouloir me dire stop. Dormir dehors était encore moins douloureux que de dormir dans ces lits. Mon regard se releva à ces mots et mes mains se posèrent sur mes épaules. « Elle va en prendre une. » Mes sourcils se froncèrent doucement, ne comprenant pas vraiment la situation. La fille ne semblait pas être venue avec lui et fort heureusement. Il tendit sa carte de crédit au réceptionniste. Je ne fis rien, surprise de le voir ici et complètement désarmer par sa réaction. Je m'attendais à tout sauf à ça. Le réceptionniste lui rendit sa carte tandis que je laissais mes pensées me submerger. Sloan prit sa carte bleue et se retourna enfin vers moi. « Amuse-toi bien princesse. » il ne me laissa pas le temps de répondre qu'il était déjà partie. Il venait de me payer ma chambre... le réceptionniste m'indiqua de me mettre sur le côté. Doucement, j'avançais sur le côté. Mon regard s'attarda une dernière fois sur la silhouette encore visible de l'Éliot avant de s'évaporer dans la nature. « Fait chié... » après plusieurs secondes, je me mis à courir pour aller rejoindre Sloan. Je sortis de l'hôtel avant de m'arrêter. Je scrutais les environs avant de le voir cigarette à la main. La demoiselle était juste devant lui, louchant comme une abrutie sur le visage angélique du bel étudiant. Sloan était de dos et sans vraiment prévenir, je lui pris le bras et fis à la mystérieuse. « Tu permets, faut que je lui parle ! » à vrai dire je ne lui laissais pas le choix à la demoiselle. J'emmenais Sloan sur le côté relâchant ensuite la pression sur son bras. Je me mis en face de lui et je lui fis surprise : « S'était quoi ça ? » je pointais l'entrée de l'hôtel, indiquant ce qu'il venait de ce passé il y a quelques minutes. Mon regard s'attarda sur l'Éliot avant de finalement regarder autres parts. « Tu lui payes aussi sa chambre ? » je me mis à sourire avant de finalement rire nerveusement. J'apportais ma main sur le haut de front reportant mon regard sur l'Éliot qui n'avait encore dit aucun mot. Je me pinçais les lèvres pour retenir les quelques paroles qui me vinrent en tête. « J'aurais pu me débrouiller pour la chambre... ne te sens pas obliger de venir à chaque fois à mon aide Busnhell. » En réalité, il me manquait et mes paroles s'embourbaient une nouvelle fois dans un amas de connerie. La chambre n'était qu'un prétexte. La jalousie me montait aux joues et la demoiselle se rapprocha. « Bon c'est bon vous avez terminé... » mon regard s'arrêta sur l'étudiant. Un regard menaçant et je lui fis : « Non alors retourne d'où tu étais » je me mordillais l'intérieur de la lèvre. La fille regarda Sloan attendant son avis.
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Sloan ne lui laissait pas le choix, Charline était obligée d'accepter. De toute façon la chambre était déjà payée, c'était soit elle en profitait ou soit elle laissait le jeune homme payer dans le vent. C'était à double tranchant et il savait pertinemment que ça n'allait pas lui plaire. Mais bon, dans un sens, elle l'avait cherché, elle n'avait pas répondu à ses messages et l'avait évité pendant des jours et des jours. Sloan savait que Charline dormait dans la rue une bonne partie de l'année, il était clairement hors de question qu'elle dorme dehors ici, ou même dans un gite miteux. Non, elle aussi avait le droit au confort. Le jeune homme venait donc de payer sa chambre, il prit la direction de la sortie sans chercher à communiquer avec Charline. A peine arrivé dehors, Sloan prit une clope qu'il alluma d'un geste mécanique. Il prit une grande inspiration avant de chercher des yeux l'autre Cabot qui lui servait de compagnie. Il la vit au loin, lui faire de grands signes. Il soupira avant de marmonner un vulgaire « Putain ! » Elle avait un joli visage mais ça s'arrêtait là quoi. Un peu conne sur les bords, elle ne présentait aucun intérêt pour le beau brun qui préférait les filles authentiques. Le luxe, le superficiel et l'apparence ne sont décidément pas son fort. Résigné à devoir passer sa journée avec elle, il avança de quelques pas pour la rejoindre. La fille affichait un large sourire, elle semblait conquise. « T'es sure que tu ne veux pas te changer ? » dit-il ironiquement mais tellement sérieusement. Sloan regarda droit devant lui, il ne pouvait s'empêcher de penser à Charline, à la tête qu'elle devait faire. Alors qu'il s'acharnait sur sa clope, le beau brun sentit une main lui toucher le bras. En une fraction de seconde, il fut décalé vers la droite. C'était Granger qui venait régler ses comptes. Oula, elle n'avait pas l'air contente. Elle demanda tout ce que ceci signifiait avant de finalement lui demander si Sloan payait également la chambre de la cabot. Le jeune homme resta silencieux, il se contentait de la regarder et de terminer sa clope. Au moins, elle lui parlait, ils allaient peut-être l'avoir cette discussion. Charline ne semblait pas accepter ce qu'il avait fait. Elle lui reprochait et semblait vraiment choquée par la situation. Non pas peu fier de sa connerie, le jeune homme la laissa terminer de parler. Il allait commenter quand la Cabot se ramena. Charline l'envoya royalement chier. Ohh mais serait-ce une pointe de jalousie miss Granger ? Sloan termina sa clope et jeta le mégot par terre. Il regarda la Cabot. Il avait tellement envie de lui dire bah dégage mais il n'en fit rien. Non, après-tout, il avait peut-être une carte à jouer. Sloan essaya de sourire à la Cabot mais c'était forcé. « Attends cinq minutes, j'en ai pas pour longtemps. » lui dit-il avant de reporter son attention sur Charline. Elle semblait énervée, elle était trop mignonne. Sloan attendit que la Cabot se décale pour répondre à Charline. « Un simple merci aurait suffit Granger. » lança-t-il avant de croiser les bras. Il n'avait pas fait ça par charité, bien au contraire. Il voulait que Carline soit bien, qu'elle passe un bon moment. Pas rancunier le pépère. Sloan gardait son sang froid, il semblait à son tour plutôt distant, ne comprenant pas vraiment la situation. « Pas la peine de se mettre dans un état pareil. » continua-t-il sur le même ton. Le jeune homme tourna sa tête vers la Cabot et lui lança un petit clin d'oeil. Pure provocation. « Faut se détendre hein, on est au Chili là. » finit-il par dire avant d'afficher un petit sourire et de décroiser ses bras. Il mit ses mains dans ses poches en la fixant du regard.
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En réalité, ce matin-là, mes émotions m'avaient submergé. Je me rappelle encore du dernier regard que je lui avais laissé. Un furtif coup d'oeil pour voir s'il continuait à dormir. Sloan en train de dormir, s'était plutôt beau à voir. Son visage était détendu et un fin sourire pouvait se lire sur ses lèvres. Cette image me restait dans la tête. Rien ne s'était passée cette nuit-là à par les milliers de baisés échangés. Depuis, j'avais fait preuve de silence et de discrétion. Mes yeux se posèrent une nouvelle fois sur Sloan. Il termina sa cigarette et il regarda la demoiselle. Un sourire hypocrite s'afficha sur ses lèvres et mes sourcils se froncèrent au même moment. « Attends cinq minutes, j'en ai pas pour longtemps. » La demoiselle me regarda une dernière fois. Elle partit à quelque mètre de nous avant que Sloan ne réponde. « Un simple merci aurait suffi Granger. » il croisa les bras contre lui, référence à ce que je faisais toujours. Je m'obligeais à rester les bras ballants. Dire merci ? Je n'étais pas habitué à tout ça. Et Sloan le savait très bien, s'était toujours moi qui apportais quelque chose et jamais l'inverse. Recevoir en retour était étrange. Il garda ses distances et s'était beaucoup mieux comme ça. Il n'y avait aucune tentation. « Pas la peine de se mettre dans un état pareil. » il avait peut-être raison. Cette carte bleue n'était qu'un prétexte pour cacher ma frustration. Il tourna son regard vers la demoiselle et lui fis un rapide clin d'oeil. J'eu un petit mouvement de recul, le fixant droit dans les yeux. « Faut se détendre hein, on est au chili là. » Je plissais mes yeux comprenant rapidement que ces mots et ses intentions n'étaient que pure provocation de sa part. Il décroisa ses bras et resta immobile devant moi. Je tournais la tête pour finalement prendre la clé que le réceptionniste m'avait donnée juste avant de partir à la poursuite de l'Éliot. J'avançais vers Sloan avant de lui plaquer les clés de ma chambre contre son torse. « J'en veux pas... propose sa à ton amie ! Je me débrouillerais toute seul. » j'attendais qu'il prenne les clés mais il ne fit rien. Aucun mouvement et là, je tournais ma tête vers l'étudiant. « Et toi là-bas, vient voir ! » L'étudiant arriva presque en courant, quelle potiche. Je levais les yeux au ciel avant de lui dire : « tien cadeau ! Tu pourras profiter de lui comme ça, fait gaffe c'est la deuxième fois qu'il amène une fille dans sa chambre d'hôtel... » méchante... ouaiiiiii mais il l'avait cherché. Je tendis les clés à l'étudiante qui la prit rapidement. Connasse. Mon regard se porta sur l'Éliot et je lui fis : « amuse-toi bien Bushnell, je vais à la piscine. Il faut que je me détende »
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Sloan était plutôt évasif dans ses réponses, il ne savait pas trop comment prendre Charline. Elle semblait furieuse et il n'y avait pas vraiment de quoi. Le jeune homme voulait juste la dépanner, rien de plus. La brunette s'approcha de Sloan et lui plaqua les clés contre son torse. Il ne bougea pas, il était hors de question qu'il reprenne les clés, qu'elle se débrouille avec. Le beau brun arqua un sourcil, perplexe. Il ne s'énervait pas, non il essayait de garder son calme. Après tout, il n'était pas en tord dans cette histoire. Il inspira profondément et déglutis. Sloan attendait la suite, il voulait voir sa réaction. Au final, il avait dragué Charline pendant des années, la représentant un peu comme son fantasme, la fille parfaite. Mais que connaissait-il d'elle en réalité ? Apparemment grand chose. Sloan resta silencieux face à la scène, il observait ses expressions, ses gestes plutôt violent. Charline appela l'autre Cabot et lui donna les clés. Elle lui lança un de ces pics. Sloan en restait bouche-bée. Il ne bougea pas pour autant. Abasourdi par une Charline qu'il n'avait jamais vu, le jeune homme plissa les yeux lorsqu'elle lui dit de bien s'amuser. Sloan était gentil mais il ne fallait pas pousser mémé non plus. Le beau brun, tout en laissant ses mains dans ses poches, fit un pas en avant. « Mais tu te prends pour qui Granger ? » dit-il sur un ton froid et extrêmement distant. Le voilà le Sloan délinquant, elle avait réussit à le faire ressortir. A cet instant précis, la mauvaise personnalité du jeune homme prenait le dessus. « Que tu n'apprécies pas pour la chambre c'est un fait. T'es pas obligée d'être agressive comme ça. » dit-il sans la lâcher des yeux. Il ne râlait pas dessus, bien au contraire Sloan était anormalement calme. « Redescends sur terre princesse ! » Le surnom princesse avait, dans sa phrase, un goût amère. Il n'en revenait pas mais ne se laissait pas faire. Sloan fronça les sourcils en voyant qu'il était face à un mur. « Va te faire foutre ! » dit-il avant de passer entre les deux jeunes filles, les bousculant au passage. Sloan prit la direction de l'hôtel, elle l'avait saoulé. C'est bon, il avait donné. Le jeune homme était démuni face à son incompréhension. Il savait Charline indépendante, il n'aurait pas du s'attacher à elle..
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Mon regard scrutait la moindre de ces réactions. Il ne réagissait pas ou du moins encore. Alors que je m'apprêtais à partir, il approcha légèrement de moi et fit : « mais tu te prends pour qui Granger ? » ma respiration s'était légèrement accéléré tandis que mon regard c'était une nouvelle fois durci. J'avalais ma salive. L'exercice était identique. Repousser les gens que j'estimais trop proche de moi. Le dégouté d'une Charline qu'il ne connaissait pas et qui en réalité n'existait pas. Cette fureur, je ne devais m'en vouloir qu'à moi-même. Impossible de supporter la moindre émotion et le moindre sentiment. Toute cette merde me faisait peur et cette relation commençaient sérieusement à alerter ma raison. Sloan semblait énervé, identique à l'homme que j'avais pu voir dans la boîte de nuit. « Que tu n'apprécies pas pour la chambre, c'est un fait. T'es pas obligée d'être agressive comme ça. » agressive ? Mes paroles avaient pourtant l'air de ressembler à une douce poésie. Je me mordillais encore un peu plus l'intérieur de ma lèvre. Mon regard le fixait tout comme il me fixait. Un vrai combat débutait. « Redescends sur terre princesse ! » ce surnom raisonnait lourdement dans ma tête. Et mon regard finit enfin par dévier avant de voir l'étudiante complètement paumée parce qu'il venait de se passer. Furieux. Sloan lâcha un dernier « va te faire foutre ! » avant de nous bousculer sur son passage. Il était sérieux là ? Légèrement choquer, je regardais l'étudiante. Les sentiments se mélangeaient doucement au fond de moi. Furieuse et à la fois mal à l'aise. Voilà qui était ironique. Je m'avançais vers l'étudiante et je lui pris les clés des mains. « finalement, je vais les reprendre ! » je ne lui laissais pas le temps de répondre. Je repartis en direction de l'hôtel tentant par la même occasion de calmer ma respiration. Je passais devant l'accueil pour rejoindre la piscine. Je passais devant l'ascenseur et mon regard tomba une nouvelle fois sur l'Éliot. Mon corps s'arrêta devant hésitant à le rejoindre une nouvelle fois. Je me tournais et finis par entrer dans l'ascenseur. Les portes se refermèrent rapidement derrière moi. Sloan et moi. Voilà qui sonnait comme un avant-goût de déjà vu. Je posais mon sac par terre et lui fis droit dans les yeux. « merci... » je me pinçais une nouvelle fois l'intérieur de la lèvre évitant son regard. Il était tendu et son regard était aussi froid que tout à l'heure. « je ne suis pas une princesse. » non je n'en étais pas une. J'étais loin très loin de l'être. Et pour tout vous dires mon regard se reporta sur Sloan. Soutenant son regard. Je ne savais plus quoi dire. J'avais envie de lui crier dessus mais finalement j'avais déjà bien assez énervé l'Éliot. « tu sais pourquoi la plupart des gens ne m'aiment pas maintenant ! » j'étais comme ça, facilement détestable. Et tellement torturé par ces vieux démons.
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Énervé, choqué, Sloan était en rage. Non pas contre Charline mais plus contre lui-même. Comment avait-il pu croire qu'il pourrait se passer autre chose entre eux ? Inconsciemment, le jeune homme s'était attaché à elle. Après tout, il la draguait depuis des années, cultivant ainsi un vieux fantasme sur le brunette solitaire. Sloan avait été stupide et il s'en voulait. Le jeune homme marchait en direction de l'hôtel, il avançait d'un pas décidé sans vraiment savoir où aller. Il fallait qu'il se calme, qu'il réfléchisse, qu'il fasse le point. Sloan avait un don pour prendre les mauvaises décisions mais là, il tombait de haut. Ah bah voilà ce qui arrive lorsqu'on baisse sa garde. Pour l'instant, il ne chercha pas plus loin, il avançait vers les ascenseurs, bousculant un gars sur son passage. Il était furieux et allait avoir du mal à se calmer. Il n'avait qu'une envie, taper dans un mur ou dans quelqu'un. L'agressivité était à son comble. Une fois devant les ascenseurs, Sloan appuya sur le bouton pour l'appeler. Il manqua de transpercer le mur tant son geste avait été agressif. L'ascenseur ne mit pas trop longtemps avant d'arriver, il grimpa dedans et s'appuya contre la glace au fond. Lorsqu'il se retourna, il tomba nez à nez avec Charline. Son coeur se resserra encore un peu, il fronça les sourcils. Ah non, non, non. Elle l'avait fuit pendant des jours et des jours, hors de question que maintenant elle revienne comme si de rien. C'est bon, Sloan n'avait pas besoin de ça. Le visage fermé, la mâchoire close, il ne la regarda pas. Charline lui lança un timide merci avant d'ajouter qu'elle n'était pas une princesse. C'est le moins que l'on puisse dire. Sloan leva les yeux au ciel. « Ne t'emballe pas, c'est qu'un surnom amical, rien de plus. » dit-il rapidement pour faire taire la moindre ambiguïté. Mensonge Sloan. Il l'avait appelé ainsi au début car Charline représentait plus ou moins sa vision de la femme idéale. Belle, drôle, indépendante, facile à vivre et dans le même délire. Lui avoir dit ça n'était qu'une façon de se protéger, rien de plus. Le jeune homme avait un minimum de fierté et s'être prit une telle humiliation en publique, il ne l'admettait pas. Sloan leva la tête et la regarda. « On s'est juste embrassé, je ne t'ai pas passé la bague au doigt. » dit-il en essayant de retrouver son calme. L'ascenseur s'arrêta, les portes s'ouvrirent. Sloan ne bougea pas, il resta comme un con adossé au miroir, peut-être espérait-il une meilleure fin. « Mais j'ai compris où tu voulais en venir. Je resterais loin de toi, pas de soucis.» dit-il en détournant une nouvelle fois son regard de celui de Charline. Les portes se refermèrent et l'ascenseur redescendit. Quelqu'un en bas avait du appuyer sur le bouton. Journée de merde !
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En réalité, mes émotions devenaient totalement contradictoires. Je ne savais plus vraiment quoi faire et pour la première fois depuis bien longtemps je ne contrôlais plus rien. Il ne répondit pas et à ma grande surprise. Il resta silencieux. Le silence ennivrait tout l'ascenseur à en être mal à l'aise. Il ne me regardait même pas. « Ne t'emballe pas, c'est qu'un surnom amical, rien de plus. » ma tête se leva légèrement vers le haut avant de hocher la tête. D'accord. N'exigeant pas plus de détail, je ne fis rien gardant un silence troublant. Tout était très bizarre et les beaux jours de notre relation semblaient s'être évaporé. Sans était frustrant. Je me mordillais ma lèvre intérieure. Quelle merde. Mon regard se releva pour voir à quel étage nous étions. « On s'est juste embrassé, je ne t'ai pas passé la bague au doigt. » peut-être mais je l'avais senti ce désir... cette tension... qui nous avait unis pendant ces deux soirées. Et tout ceci n'avaient rien d'anodin. Les portes s'ouvrirent finalement. Mon regard soutenait celui de l'étudiant. Allait-il quitter l'ascenseur ? A vrai dire je n'en savais trop rien. Tout était très flou depuis quelques jours. Il ne bougea pas et les portes se refermèrent. « Mais j'ai compris où tu voulais en venir. Je resterais loin de toi, pas de soucis. » je me mis à soupirer longuement. Qu'il pouvait être énervant quand il si m'était. Je me retournais vers la porte, dos à Sloan. Ma voix s'échappa néanmoins. « Qu'est-ce que tu peux être casse-pied quand tu t'y mets... le truc que tu sais pas Sloan, c'est que je n'ai pas pour habitude de coucher ou même d'embrasser mes amis. Ceux avec qui je couche ou que j'embrasse ne font pas partie de ma vie et de mon quotidien. Toi, tu y fais partie alors excuse-moi de ne pas savoir gérer la situation... » je repris mon sac pour le mettre sur mon épaule. J'attendais que les portes s'ouvrent. En fait, j'avais juste envie de courir dans la piscine pour me noyer. « T'es pas le seul à ne pas savoir gérer tes émotions Bushnell ! »
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Rien, Sloan ne comprenait rien. Il semblait impuissant face à la tournure que prenait cette conversation. Il mit ses mains dans ses poches et baissa la tête. Intérieurement, il était super mal. Cela ne pouvait pas se finir comme ça, surtout pas après les deux soirées qu'ils avaient passés ensemble. Tant d'émotions, d'excitation, de désir pour rien. Non, hors de question. Le jeune homme s'était attaché à elle et ne voulait pas la laisser partir, pas aussi facilement. Et pourtant, lorsque Charline lui confia qu'elle ne couchait pas avec ses amis. Sloan haussa un sourcil de dépit. Voilà ce qu'il représentait pour elle, un ami. Ok, comment passer pour un moins que rien en deux soirées. Il déglutit en l'entendant dire qu'il n'était pas le seul à ne pas savoir gérer ses émotions. Ok. Au moins, elle semblait clair, elle ne voulait pas aller plus loin avec lui. Quel con. Non mais franchement, pour se mettre dans des situations de merde, il était le premier. Quand je vous dit que Sloan n'est pas fait pour l'amour. J'sais pas, il n'y a pas le droit, c'est comme une malédiction que l'une de ses ex lui aurait envoyé. Charline s'était placée face aux portes. Le jeune homme ne pu s'empêcher de la regarder de haut en bas. Il était en rage que ça se termine ainsi. Il ne savait pas exactement ce qu'il ressentait pour elle, ce n'était pas de l'amour ni de l'amitié. C'était étrange et il n'arrivait pas à se l'admettre. Sloan était plutôt faible face à elle et encore plus à cet instant présent. En voyant la brunette prendre son sac, il avança d'un pas et s'arrêta. Il comptait faire quoi là ? La prendre dans ses bras, lui demander pardon ? Impossible, il avait un minimum d'amour propre. Que faire ? La laisser partir ainsi et lui dire adieu à jamais. Impossible. Sloan se trouvait dans une impasse. Il ne savait pas quoi dire, il se surprit à ressentir un peu de stress. L'Eliot recula finalement d'un pas. Les étages défilaient et Charline allait sortir. C'était le moment ou jamais de réagir. Voyant qu'ils étaient arrivés au rez-de-chaussée, Sloan se décolla de la glace et vint appuyer sur le bouton pour bloquer les portes. C'était son truc ça aha. Il se trouvait donc sur le côté de Charline. Il la regardait, il ne voulait pas la perdre. « Qui t'as parlé de gérer tes émotions Granger? » commença-t-il sérieusement. Sloan s'était calmé et ça se ressentait dans sa voix. « Il faut savoir lâcher prise parfois, c'est ça qui est bon. » dit-il, ne la lâchant pas du regard et ne lâchant surtout pas le bouton de blocage de la porte. « Avec toi je ne contrôle plus rien, je ne calcule plus rien, je ne me prends pas la tête. » Oh mais c'est qu'il se livrait le petit Sloan. Il semblait impliqué dans ce qu'il disait. « Franchement ça en vaut la peine. Qu'est ce que tu as à perdre ? » demanda-t-il. En tout cas, Sloan n'avait plus rien à perdre..
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