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I bleed it out | Jaysaël

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I bleed it out  
Jay & Mira

Oui je me doutais bien qu'il sous-entendait Wolf . Je mordille légèrement l'intérieur de ma joue, fixant l'horizon s'étendant devant nous, le regard un peu vide, tandis que je me perds dans mes pensées, haussant doucement les épaules à ses dires, avant de redeposer mon regard sur mes jambes, qui ont rapidement séché grâce aux rayons du soleil. « t'avais pas vraiment l'air très bien ce soir-là tu sais alors... » je relève mon visage vers lui, lui adressant un sourire sans qu'il n'y est vraiment de la joie dedans. Il est certain qu'il va avoir du mal à me prouver que ça lui a vraiment fait du bien, après avoir bu toute la soirée, puis pleurer dans mes bras.« Disons simplement qu'il n'est pas là et … les relations à distances c'pas mon truc... » J'hausse doucement les épaules... je peux pas lui mentir et lui dire que je suis heureuse. Depuis quelque temps, dès que j'évoque le nom de Wolf, j'ai le cœur qui se serre ; il me manque, je suis malheureuse sans lui c'est vrai mais, il a une carrière à présent, qui occupe toute sa vie, et ce serait égoïste de ma part de lui demander de tout abandonner pour moi. «  Je vis une relation avec un fantôme, quelques conversations vidéo sur skype … mais ça me suffit pas à moi ... » J'ai besoin d'une présence physique, des bras autour de moi pour me réconforter, un corps où je peux me coller dans la nuit après un cauchemar ou simplement parce que j'ai froid . Et depuis la st valentin, j'ai pas pu le revoir. Je pousse un long soupir avant de hausser les épaules , le coeur serré et quelques larmes menaçant de s'échapper du coin de mes yeux , rien que de penser à lui... voilà pourquoi je veux pas parler, je suis trop émotive sans doute. « Après c'pour toi aussi qu'ils disent ça, ils s'en foutent eux qu'on te coupe ta jambe ou pas... au contraire ça leur fait un peu de boulot. »ça peut peut-être leur faire faire une petite heure supplémentaire pour faire la fin de mois. «  Donc si tu es sensé te reposé, pourquoi t'es venu faire cette promenade ? » Hum pas très respectueux des consignes selon moi. Je lui adresse un petit sourire, d'un côté je le comprends, être dans un endroit comme celui-ci et être obligé de rester enfermé à l'hôtel sur ordre médical... ouais pas sûr que je respecterai non plus. Je secoue doucement la tête, un sourire aux lèvres. «  c'est ça, bah j'espère que t'attend pas de moi que je te porte jusqu'à l'hôtel pour le retour. » ou que je sois son infirmière personnelle, car dans les deux, il me sera difficile de réaliser ses espoirs. Je vois bien que ça le dérange un peu, qu'il n'a pas très envie de parler de la raison de son avis si catégorique sur la drogue . Pur une fois, je ne cherche pas à approfondir, à chercher à en savoir plus à ce sujet, respectant son silence, en haussant doucement les épaules. Je sais que la drogue peut faire de nombreux dégâts, peut briser plus d'une personne, d'une famille, un peu comme l'alcool ; et ça peut remuer des souvenirs enfouis au plus profonds de nous, que l'on n'a pas vraiment envie de voir resurgir. «  Si ça fait pas longtemps, tu peux toujours arrêté, surtout si tu fumes pas beaucoup... » Il suffit d'un peu de volonté. Je porte ma cigarette à mes lèvres, recrachant doucement la fumée, me souvenant encore de ma première cigarette, alors que j'étais encore qu'une gosse à l'époque. «  Oh on en sait rien... on peut apprendre vite... » dis-je en lui adressant un clin d'oeil, avant d'éclater de rire . « On peut être sage 30 ans et enchaîner les coups d'un soir après hein' ! » je lui adresse de nouveau un sourire, je n'en connais pas... Du moins pas à ma connaissance car je ne sais pas vraiment l'âge de la première fois de toutes les personnes que je connais ... ça reste privé. «  Ouais Docteur House, il est complètement fêlé du cerveau alors si tu crois que c'est des références ça»Une grimace s'installe sur mon visage, je n'ai jamais aimé les séries de médecines, ayant toujours peur de voir une scène avec du sang, des scènes qui semblent parfois si réelles que je préfère éviter de m'y confronter. «  Juste les cours de sciences... les cours d'histoire j'y allais mais je dessinais. » Je hausse doucement les épaules avant de laisser un léger rire s'échapper de mes lèvres . Le lycée c'était pour moi une bonne partie de plaisir , le premier endroit où je m'autorisais quelques, voire beaucoup, de libertés. Les premiers amis... et les premières amours aussi « moi j'aime bien... c'est la difficulté de trouver les notes qu'il faut jouer qui me plaît … et la rapidité aussi ! » Je peux passer des heures sur un morceau à savoir quelle note peut ressembler le mieux au son joué à l'ordinateur . Me dévaloriser... je baisse les yeux sur ma cigarette, faisant tomber les cendres, d'un geste du doigt. Oui il est bien là le problème, avoir confiance en moi, mais le poids de certaines paroles m'en empêche. «  T'as peut-être raison... » je hausse juste les épaules, sans pour autant me mettre à chanter après, car de toute façon, je ne sais absolument pas ce que je pourrai lui faire entendre comme mélodie. «  Et cette estime de ton père... tu l'as eu au moins ? » La fierté d'un parent, j'imagine que cela doit être gratifiant c'est sûr, mais il faut avant tout vivre pour soi selon moi, être fier de ce que l'on entreprend, de ce qu'on devient... mais après je n'ai pas vraiment eu une éducation que je définirai comme « normale », alors la fierté de mon père, je l'ai cherché lorsque j'étais très jeune, et lorsque j'ai compris que, que je ramène un 3/10 ou un 9/10, ça ne lui allait jamais et que j'avais la même correction, j'ai vite laissé tomber. « Hum de ta part pas grand-chose à vrai dire... »dis-je en riant tout en secouant la tête, non mais c'est surtout que j'ai pas d'idée. «  je t'aurai bien proposé de faire un petit plongeon mais avec ta jambe » je secoue doucement la tête, ne tenant pas vraiment à devoir aller le repêcher car il n'arrive pas à nager.

Emi Burton
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J'écoute la réponse de la jeune femme à côté de moi et j'hausse un peu les épaules. "Comme beaucoup d'autre soir depuis janvier j'ai envie de dire…" Parce qu'elle ne m'avait pas vu dans ma phase je ne peux même pas sortir de mon lit et même me débrouiller tout seul, ou encore pire, ensuite quand j'avais carrément abandonné l'idée d'aller en cours, j'avais commencé à séché et je ne sortais que trop peu de la Winthrop house, ce qui me portait pas mal de préjudice au près des professeurs, j'avais eu droit à quelques remarque quand je m'étais finalement à nouveau pointé en cours… L'inconvénient d'être en septième au final… Parce qu'on est moins nombreux que les premiers années et que du coup, les absents se font bien plus vite capté ou même simplement caftés par des compères jaloux ou quoi et comme beaucoup le savent, étant l'assistant du professeur de sociologie, j'ai quelque avantage avec lui, donc il y a forcément des jaloux… M'enfin de toute façon, tout cela est réglé maintenant, donc plus besoin d'y penser ou d'en parler. Car pour le moment, on parle de Mira et de sa relation avec Wolf. Je l'écoute donc, mon regard posé sur elle alors qu'elle m'explique un peu son ressentit. "Et tu lui en a déjà parlé ?" La questionnais-je tout simplement, une question qui peut se vouloir indiscrète, mais en même temps, c'est un peu la base. Il faut qu'elle en parle avec Wolf si elle veut que ça continue entre eux, parce que c'est ça les relations de couples, c'est parler et encore parler, c'est la communication qui fait tout ou presque.  Je la laisse donc continuer de m'expliquer sa situation et la façon dont elle vit sa relation avec le student et cela ne semble pas du tout glorieux maintenant. J'avoue que je ne sais pas trop quoi lui dire parce que finalement, en amour, je suis également un cas désespéré…  Je reste alors silencieux, voyant qu'elle n'est pas des mieux à cause de ces confessions qu'elle vient de me faire. La prendre dans mes bras serait peut-être déplacé, alors je préfère ne rien faire et simplement attendre qu'elle continue de parler ou simplement qu'elle s'apaise un peu… Je suis réellement nul pour consoler les femmes moi…

Je lève ensuite les yeux aux ciels quand elle me répond concernant ma jambe. J'aime pas du tout l'idée de me retrouver amputé, c'est clairement pas un truc qui me tente. "Ouais, je crois que je vais les écouter un peu plus, tu viens de me faire réaliser que si ça empire encore, je pourrais réellement perdre ma jambe et j'ai clairement pas envie de me retrouver encore plus infirme que je ne le suis déjà." Soufflais-je en regardant ma jambe meurtrie, mes doigts glissant dessus pour masser un peu ma cuisse et soulager la douleur encore présente à cause de la marche forcé. J'hausse ensuite les épaules en entendant les questions de Mira… "Tu serais capable de rester enfermée à l'hôtel vingt-quatre heures sur vingt-quatre alors que tout tes potes s'éclatent dehors même si c'est juste une marche qu'ils font ?" Ma question est sincère, et j'ai réellement envie de savoir sa réponse à ma question, pour savoir si j'étais le seul à me dire que c'était juste pas possible de rester sans rien faire pendant des vacances avec des potes et surtout pour visiter comme on le fait là… Fin, je sais pas, j'aurais juste l'impression d'être un lion en cage et ça m'énerverait plus qu'autre chose, parce qu'à ce moment-là, il aurait clairement été préférable que je ne viennes tout simplement pas ici, il aurait simplement fallut que je reste ma gueule à Harvard. Enfin, il me semble… Je rigole alors à sa nouvelle réplique. " Merde alors ! Tu m'as découvert !" Plaisantais-je alors. "Moi qui pensait que tu allais pouvoir me porter comme ça, jouer mon esclave personnel ! Allez, avoue que c'est ton rêve !" Continuais-je de dire pour la taquiner, enfin, surtout pour rire avec elle parce que je n'étais aucunement sérieux. Après tout, elle savait parfaitement que je n'étais pas du genre à me prendre pour un petit prince en mode tout le monde doit m'obéir comme certain membre de la Eliot house savent si bien le faire.

On en est alors rendu à parler de la drogue et donc en quelque sorte de mes frangines, même si je n'ai clairement pas envie de les mentionnés, parce que voilà, j'ai tiré un trait sur les deux, enfin, bien plus sur Leighan que sur Romane, la plus jeune je la tolère encore un peu même si je n'apprécie pas la vocation qu'elle s'est choisie en prenant notre aînée comme modèle… Ne pouvait-elle pas simplement choisir de ressembler à notre mère, qui est un exemple de réussite elle ? C'est au final tout le contraire de Lei' quoi… En fait, je ne comprendrais jamais mes deux sœurs, elles sont tellement pas logique à mes yeux, pas normal… Des vrais extraterrestres pour être plus exacte. Mais bon, là on parle surtout de cigarette et de ma propre consommation étant donné que j'ai fait l'erreur de commencer. J'hausse un peu les épaules. "J'avoue que je n'ai pas réellement envie d'arrêter pour le moment, c'est un peu un moyen de me faire penser à autre chose que ma jambe." Je tourne la tête vers la Quincy pour lui sourire un peu maladroitement. "Je pense que c'est pour au moins me dire que je suis quand même un peu fautif sima santé par en couille tu vois… Etant donné que je n'ai aucun contrôle sur l'état de ma jambe, ou plutôt sur la blessure initiale, le fait de me pourrir maintenant avec la cigarette me permet quand même d'avoir un semblant de contrôle… Je crois." Je suis un peu songeur sur tout cela, parce que c'est quand même quelque chose de compliquer tout ça…

Par contre là, elle me cherche clairement avec ses propos. "Ouais, donc en gros, j'dois comprendre par-là que tu m'prends pour un gamin qui a tout apprit ces dernières années c'est ça ?" Offusqué ? Oui, je le suis probablement un peu, elle sait parfaitement comment je suis et que j'ai parfois, souvent même, un peu trop tendance à prendre la mouche pour un rien comme à cet instant. "J'parie que là, tu penses que j'ai tout appris avec toi c'est ça ? Et que j'te dois tout ?" Je la questionne, en étant un peu blasé par tout cela avant de poser mon regard sur elle, la détaillant un peu. "Fait gaffe de pas attraper la grosse tête en ayant de telle pensée hein." Ne puis-je alors m'empêcher de la clasher un peu pour lui faire comprendre que je ne plaisantais pas réellement avec ça. J'ai clairement pas besoin de quelqu'un qui me fait me sentir encore moins bien maintenant alors que j'ai déjà pas mal de soucis de confiance en moi actuellement à cause de ma jambe et mon état de santé en général. Bref, encore une fois, je me donne un peu en spectacle pour rien… Mais on me changera plus maintenant.

Je fronce alors les sourcils quand elle se permet de critiquer le Docteur house. "C'est déjà bien mieux que Desperate Housewife. C'est moins tiré par les cheveux et surtout moins gnangnan. Sérieux, qu'est-ce qu'on en à foutre de la vie de ses femmes aux foyers hein ? Surtout qu'au final, il me semble qu'elles ne le sont même pas du début à la fin de la série." Je n'avais jamais regardé cette série, même si ma mère elle, elle la regardait, mais du coup, j'avais vu quelque épisode comme ça de la série et j'avais jamais accroché, c'est tellement… Comment dire… Méprisable comme série…  "Je reconnais que House est timbré, mais c'est justement ça qui fait qu'il est génial, il serait un doc comme les autres, la série n'aurait aucun intérêt, tout tourne autour de lui et franchement, même si je détesterais avoir un doc comme ça, il est génial." Non, je ne suis absolument pas fan de cette série, c'est complétement faux…

On en vient alors à parler des cours, un sujet plus complexe, mais en même temps bien plus léger que de parler de série ou même de ma jambe. J'apprécie dans un sens cela, même si elle m'avoue avoir séché pas mal de cours. Je l'écoute donc se justifier un peu en quelque sorte et je rigole. "Et tu dessinais quoi ?" La questionnais-je en me demandant si les dessins qu'elle réalisait avait au moins un rapport avec la matière qu'elle voyant en cours ou si, justement ça n'avait aucun lien comme cela serait le cas pour beaucoup de personne qui dessine en cours par ennui. Le sujet dérive alors un peu du dessin à la musique et je l'écoute, la questionnant un peu sur les instruments qu'elle joue pour tenter de la comprendre et d'en savoir quand même un peu plus sur elle, après tout, c'était dans un sens la première fois qu'on avait ce genre de conversation tous les deux et je dois avouer que c'est assez plaisant de faire ainsi sa connaissance. Je l'écoute donc me parler du pourquoi elle préfère la guitare électrique et souris un peu, même si j'avoue que je n'y connais pas grand-chose la dedans, mais l'entendre parler comme ça, ça donne un peu envie de sourire parce qu'on voit, on sent qu'elle aime clairement ça et que c'est quelque chose qui lui parle. Je lui adresse alors un petit sourire pour essayer ensuite de lui faire comprendre d'avoir confiance en elle et d'accepter le fait qu'on puisse lui faire des compliments sur sa voix, même si je ne l'ai pas encore entendu chantée pour ma part.

Je soupire ensuite en entendant sa question sur mon père… Est-ce que j'ai son estime… J'en sais rien… Je l'ai probablement eu, mais maintenant, avec ce qu'il s'est passé en janvier, je dois avouer que je ne sais pas trop… J'hausse les épaules, fixant l'étendue d'eau devant nous, réfléchissant à tout cela… A ce que mon père peut bien penser de moi à cet instant précis ? J'en sais trop rien fait… Il doit sûrement avoir honte de moi, de ce que j'ai fait ces derniers mois… Je secoue un peu la tête pour tenter de ne pas penser à cela, alors qu'au final depuis tout petit, j'ai toujours tout fait pour qu'il soit fier de moi… Je ne sais pas du tout comment je pourrais rattraper mes erreurs maintenant… Est-ce que je devrais suivre son désir et entrer dans l'armée une fois cette année terminée ? Surtout que de toute façon, je vais la rater, alors à quoi bon me débattre pour tenter de réussir encore après ? "Je ne sais pas." Lui soufflais-je alors, probablement un peu trop pessimiste à cause des derniers évènements… Pourtant, je sais bien qu'il a déjà été fier de moi… Alors, rapidement, je reprends la parole pour justifier un peu tout cela. "Il l'a déjà été… Enfin, je crois…  Non… J'en suis sûr…" Me repris-je en serrant un peu les poings, parce que c'était la vérité, il a déjà été fier de moi. "Quand j'ai été admis à Harvard… Mais je crois… Que ce n'est plus le cas maintenant… Pas avec les derniers évènements… Je ne sais pas comment je pourrais rattraper tout ça…" Finis-je quand même par lui avouer, lui montrant de cette façon ce qui me passe par la tête et ainsi expliquer mon hésitation sur le fait d'avoir oui ou non l'estime de mon père maintenant… Car pour moi, ça c'était quelque chose d'important, parce qu'il avait et a toujours été un modèle pour moi mon père… C'est une sorte de héros à mes yeux, alors il est clair que je veux qu'il soit fier de moi, qu'il me le dise encore, qu'il me le fasse encore comprendre… Mais peut-être que c'est trop demander cela… Peut-être même qu'il n'est pas du genre à montrer cela plus d'une fois, après tout, j'ai déjà eu la chance qu'il le fasse une fois, il n'a plus de raison de le faire une seconde fois maintenant… Sauf… Sauf si j'arrive à sortir majeur de ma promotion en dernière année ici à Harvard… En ayant tout réussi avant, mais est-ce réellement possible à cause de cette année ? Non… Je ne saurais pas… Sauf si je me décide de ne plus avoir de vie sociale à partir de maintenant jusqu'en septembre prochain… Le truc qui est un peu, beaucoup impossible…

On en revient ensuite à un sujet un peu moins… Touchant pour moi, moins personnel alors qu'elle me taquine directement en me disant qu'elle n'attend rien de moi. Je fais alors mine de m'offusquer un peu, me redresser un peu en la dévisageant. "J'vais me vexer, tu vas voir.!" Lui dis-je alors qu'en réalité une dizaine de minutes plus tôt, j'étais vexé contre elle à cause de ce qu'elle avait pu dire, j'espérais donc qu'elle n'avait pas encore envie de me voir prendre la mouche pour rien, surtout qu'il s'agissait encore une fois d'une petite plaisanterie. J'hausse ensuite les sourcils en entendant sa demande. "Ouais non, je préfère éviter." Non pas parce que je n'ai pas envie de nager, j'aimerais bien dans un sens, mais parce que j'ai réellement du mal à montrer ma cicatrice à d'autre personne, je la trouve moche et du coup j'évite de la montrer à tout le monde, parce qu'au final, ce n'est pas joli… Du coup, ouais, la douleur à ma jambe sur le coup est une bonne excuse je crois bien… Puis je ne peux m'empêcher de la taquiner en retour, même si je sais déjà que ça risque de se retourner contre moi à nouveau. "Dis plutôt que t'as envie de revoir mon torse." Quoi ? j'ai bien le droit de me vanter un peu de temps en temps non ? Bien que je n'ai quand même pas usé des termes magnifique, beau, musclé ou quoi pour définir mon torse et ma musculature encore assez marqué.

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Parler de tout ça, de mes problèmes, de mes soucis personnels, je n'ai pas l'habitude. J'ai beau avoir l'air sociable , être capable de parler à n'importe quel client au bar, discuter avec un inconnu dans la rue mais dès que l'on essaie de creuser un peu plus dans ma carapace, je me renferme, j'évite de répondre aux questions, je mets fin rapidement à la discussion. Alors évoquer Wolf alors que c'est un sujet sensible et délicat en ce moment, c'pas forcément évident ; mais j'essaie quand même de mettre des mots sur mon ressenti par rapport à ma relation avec mon petit ami mannequin, foutu boulot de merde ! « ouais, c'est un peu le même ressenti des deux côtés, mais on n'a pas de solution. » Dis-je en soupirant. J'ai cherché j'ai trifouillé dans mon esprit, à chercher une quelconque solution pour sauver notre couple, mais le souci c'est qu'elle n'existe tout simplement pas. On est face à un mur, ou plutôt chacun sur un continent avec un océan entre les deux et des heures de vol qui nous séparent. « C'est son boulot qui fou la merde mais … je veux pas qu'il foute tout en l'air pour moi... » Même si ce n'était qu'une occupation pour passer le temps au départ, je sais que ça lui plaît qu'on s'occupe de lui, qu'on le maquille, de se faire prendre en photo, de jouer les vedettes ; et je n'ai pas envie qu'il renonce à tout ça pour moi, alors qu'il a une carrière qui décolle. Foutre tout ça a l'air juste pour moi... je pense pas que je le mérite. Je passe une main dans mes cheveux, et de l'autre, j'essuie une larme sur ma joue. Je ne suis déjà pas très doué pour les relations amoureuses, Wolf étant le premier avec qui j'ai réussi à avoir une relation stable, pour qui j'avais pour la première fois de vrais sentiments dont je ne doutais pas. « si tu connais quelqu'un qui sait gérer relations amoureuses et distance, ce serait cool que tu me le présentes. » j'essaie de plaisanter un peu , même si le cœur n'y est pas vraiment, mais j'aimerai bien rencontrer celui qui a écrit t que deux personnes qui s'aiment peuvent vaincre la distance... car j'y arrive pas moi ! J'ai même l'impression que la seule façon d'y remédier et de mettre fin à tout ça , d'arrêter les SMS qui me rappelle que c'est la seule manière pour nous de discuter , les conversations skype, qui me font plus souffrir qu'autre chose . Mais je préfère me concentrer sur autre chose , essayer de profiter tout de mêm de mon Spring Break comme je peux même si je suis seule. D'ailleurs je préfère changer de sujet de conversations, me concentrant sur le problème santé de Jay , grimaçant légèrement, rien qu'à l'idée qu'il se retrouve une jambe en moins. « Tu serais beaucoup moins sexy en plus ! » dis-je en lui adressant un clin d'oeil, avant de lui adresser un sourire en coin avant de rajouter. « T'as une chance de guérir, faut pas la foutre en l'air même si ça t'empêche de faire certaines activités pendant quelques mois... c'est toujours mieux que de les faire maintenant et ne plus pouvoir les faire pour le restant de ta vie... » J'hausse doucement les épaules, il vaut mieux se priver d'une chose quelque temps, plutôt que toute une vie . Mais je le comprends, je comprends que c'est difficile de rester immobile, à devoir demander de l'aide à n'importe qui, que ce soit pour ouvrir une porte ou autres, mais c'est pour une durée déterminée de quelques mois « ouais mais regardes tu profites même pas de cette marche, car tu souffres le martyre. » Je secoue légèrement la tête. Pas certaine que c'est le meilleur moyen de profiter de son SB, mais au fond, j'suis par la mieux placé pour en parler, passant le plus clair de mon temps seule, comme en cet instant où je cherchais un endroit calme, éloigné du monde. Un sourire se dessine sur le contour de mes lèvres, lorsqu'il parle d'esclave. « totalement ! Pis je rêve de me marier avec toi aussi, d'adopter des bébés extraterrestres et de vivre dans une cabane en haut d'un arbre à la Tarzan et Jane ! » finis-je en riant, par dire. Surtout en ce moment avec sa jambe, j'aurai la paix en haut d'un arbre !
Je joue un peu avec ma cigarette ou plus exactement, avec la fumée qui en ressort de ma bouche, m'amusant à dessiner de joli rond qui s'évapore en quelques secondes dans l'air . Avoir cette vapeur qui s'échappe de mes lèvres, comme en hiver lorsqu'il fait froid, c'est quelque chose qui m'a toujours plu, je me rappelle encore dans la cour du collège où certains collégiens s'amusaient à faire semblant de fumer des cigarettes à cette période de l'année ; ça fait doucement sourire, l'innocent des jeunes, fumer pour être cool, pour faire partie d'un groupe... « concernant le fait que la cigarette calme les nerfs moi j'y crois pas du tout . C'est surtout dans la tête que ça se passe. »Je considère pas le tabac comme une drogue telle que la marijuana, ou la morphine capable de calmer les douleurs . Je peux très bien avoir une migraine et fumer un paquet de clopes que ça changera rien. Mes sourcils se froncent légèrement, tandis que j'essaie de comprendre les dires du rouge à mes côtés. « m'ouais peut-être... enfin on a tous des raisons un peu bizarres qui nous ont poussé à commencer ! » dis-je en lui adressant un sourire. Mais je le comprends tout de même, ayant moi-même commencé la cigarette pour avoir un certain contrôle sur ma vie. On a tous envie , à un moment ou un autre, de prendre sa vie en main, et c'est peut-être ce passage à la cigarette qui m'a donné envie d'être maîtresse de mon destin, de faire ce qu'il me plaît même si ça déplaisait à l'autre connard ! « Mais non j'ai pas dit ça ! » Dis-je en ne pouvant m'empêcher de rire en voyant son air renfrogné ; pas sûr que je sauve ma cause en faisant ça mais impossible pour moi de me retenir « on s'en fout depuis combien de temps de toute façon, c'pas les années qui comptent c'est ça que je veux dire ! » dis-je en lui adressant un sourire tout en haussant doucement les épaules, essayant de cette manière de le calmer un peu . «  Oh non, crois moi il y a encore beaucoup de choses que je ne sais pas et que je ne veux pas connaître à ce sujet. » Genre des trucs un peu trop hard le SM tout ça, non merci . J'ai reçu assez de gifles dans ma vie pour savoir que ça ne me procure aucun plaisir. « détends toi, je remet pas en question tes aptitudes dans ce domaine. » lui dis-je en lui adressant un clin d'oeil , espérant que ça lui redonnera un peu plus confiance en lui à ce sujet.
Je porte lentement ma cigarette à mes lèvres laissant un blanc s'installer entre nous l'espace de quelques secondes, avant de recracher de nouveau la fumée en direction du ciel dégagé sans aucun nuage à l'horizon . « il y a eu évolution de la société donc les femmes qui étaient au foyer avant, partent un beau jour travailler. Moi je trouve que c'est cool, de montrer, au contraire, que le mec peut aussi s'occuper des gamins, qu'on peut facilement perdre son argent, se retrouver obligé de louer sa maison, être atteint d'une maladie... » j'hausse doucement les épaules, personnellement je la trouvais pas du tout tirée par les cheveux , c'était une bonne représentation de ce que peut être la vie de certaines personnes. « de toute façon, t’arrivera jamais à me faire aimer une série qui parle du domaine médical. » dis-je tandis qu'un sourire éclaire mon visage, en essayant de m'imaginer avec un médecin comme ce docteur House... je prends encore plus rapidement mes jambes à mon cou. Tout comme c'était le cas lorsque arrivait les cours de sciences : disséquer des grenouilles, souris ou même un œil-de-bœuf... non merci ! Je prenais toujours un malin plaisir, à dire que j'avais oublié un livre dans mon casier, faire un détour par les toilettes, avant de prendre la direction de la sorite du lycée, pour aller me promener dans les rues ou sur la plage. Tandis que je faisais des efforts pour ceux de maths, ce n'est pas le souci que j'aimais pas, dans cette matière, mais plutôt que je ne comprenais pas, je pouvais faire tous les efforts du monde, je n'arrivais pas à comprendre l'intérêt des formules, ni comment les exploiter. Ouais on ne peut pas vraiment dire que j'étais une intello, première de classe. « Pleins de choses. Parfois je dessinais des Mexicains essayant d'entrer en Amérique, la statue de la liberté... ou alors je dessinais le prof, l'élève devant moi ; une robe que j'avais vue dans une vitrine ... » J'hausse doucement les épaules . On peut imaginer le monde d'une autre manière par le dessin, c'est tellement de possibilités « ça t'a jamais intéressé, toutes ses activités qui touche l'artistique ? » Elles sont nombreuses, que ça aille du dessin, à la musique, chant ou encore certains sports comme la gymnastique . Ce n'est pas des métiers aussi reconnu que scientifique ou avocat, mais ça reste des métiers extraordinaires nous apportant du divertissement . Mais vu comment il m'a déjà parlé de son père, je doute que ce soit le genre d'homme à encourager son fils s'il a envie de faire carrière dans le cirque. « Tous les parents devraient être fières de leurs enfants j'imagine... mais dans la pratique c'pas vraiment ça. »dis-je un sourire sans joie au bout des lèvres. Moi non plus, mon père n'a jamais été fier de moi, me le faisant comprendre à maintes reprises, quant à ma mère... je n'en sais trop rien, on ne peut pas vraiment dire qu'elle ait été très présente dans ma vie. « Après... c'est ton avenir, tu bosses pour toi … pas pour ton père... » répondis-je doucement. Les relations familiales c'est franchement pas mon truc, j'ai une vision très différente, par rapport à lui ou même aux autres étudiants d'Harvard .mais je pense pas qu'il est vraiment de bonne réponse à cette question « Épouses une milliardaire et offre lui une berline » je lui adresse un clin d'oeil, espérant, par cette occasion, éviter un conflit par rapport à nos points de vue divergent sur la fierté familiale.
A vrai dire j'avais vraiment aucune idée de ce que je pouvais lui demander, et comme il est en capacité limitée avec ses jambes, cela réduit encore plus les possibilités. « peut-être. » lui dis-je avec un sourire mystérieux aux lèvres. Jay m'a toujours plu physiquement, , c'bien pour ça que lui et moi nous étions sexfriends autrefois. «Et au fait tu as toujours deux filles qui se battent pour toi? »

Emi Burton
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En réalité, être sociable ça ne signifie pas grand chose au niveau de la confiance, on peut sociabiliser facilement sans pour autant être de vrai ami avec tout le monde. Sociabiliser veut juste dire savoir parler, aller vers les autres et être capable d’entretenir une interraction sociale, en aucun cas, il ne s’agit réellement de confiance, de savoir parler de soi. C’est deux choses bien distincte et beaucoup de personnes confondent cela. Être sociable ne veut pas dire faire confiance facilement. C’est juste ne facilité à aller vers les autres. Je sais de quoi je parles, parce que je suis de ce style là, incapable de faire confiance mais a toujours aller vers les autres pour sociabiliser et ainsi leurs accorder un peu de mon temps… Bien que dernièrement, j’ai tendance à parler un peu trop de mes soucis à tout le monde, mais l’histoire avec Lottie me travaille sérieusement, et du coup, j’ai besoin de l’avis de plus d’une personne, j’ai besoin de point de vue extérieur en quelque sorte. J’écoute donc la jeune femme. « ouais, c'est un peu le même ressenti des deux côtés, mais on n'a pas de solution. » C’est sur que son histoire est assez complexe, mais au moins, ils en ont déjà parlé tout les deux. C’est un bon départ en quelque sorte, parce que si elle y réfléchissait toute seule, ça n’aurait rien apporté de bon… “Ce qu’il faudrait, c’est que soit, tu le suives dans ses déplacements, soit qu’ils mettent sa carrière en pose le temps que tu finisses tes études pour ensuite pouvoir le suivre sans toi, sacrifier tes projets… Mais ça reste quand même compliqué…” Ouais, les histoires à distance, c’est quelque chose de vraiment difficile, c’est pour cela que moi, je n’en voulais pas, si la fille avec qui je sors finissais par partir, se déplacer souvent sans savoir à chaque fois quand je la reverrais, notre relation ne pourrait pas durer, parce que j’ai trop facilement de doute en la femme, même si j’aurais confiance en elle, je finirais toujours pas un moment ou un autre me dire qu’elle me trompe peut-être et là, ça n’ira plus… Je préfère à la limite rompre avant plutôt que de finir par nous détruire l’un l’autre à cause de la distance… Enfin, c’est ma vision des choses et je sais que beaucoup de personnes ne pensent pas comme ça du tout… Il y a les adeptes du ‘loin des yeux, loins du coeur’ mais aussi ceux du ‘l’amour ne connait pas les distances.’ La voix de la jeune femme à mes côtés me tirent de mes réflexions. Je reporte mon attention sur elle alors qu’elle me dit ceci. « C'est son boulot qui fou la merde mais … je veux pas qu'il foute tout en l'air pour moi... » Je ne sais pas trop quoi lui dire de plus, après tout, je viens quand même de lui proposer une idée, mais elle vient déjà de la laisser tomber, enfin de me dire qu’elle ne voulait pas cela et dans un sens, je la comprends… Quand on aime quelqu’un on a pas envie d’être un frein pour lui… “Je ne sais pas quoi te dire…” Lui confiais-je alors un peu mal pour elle quand même… Pourquoi en amour, c’est toujours si compliqué hein ? Je ne quitte pas Mira des yeux, voyant une larme coulé sur sa joue… J’ai de la peine pour elle. Vraiment. J’aimerais pouvoir faire quelque chose pour l’aider, pour la soulager un peu, sauf qu’au final, quoi que je pourrais dire ou même faire ne changera rien à sa situation actuelle… Cependant, je passe mon bras sur ses épaules pour l’attirer vers moi afin de lui donner un peu de réconfort, de chaleur humaine pour ne pas qu’elle se pense seule et abandonné par tous à cause de l’absence de son compagnon. Je laisse ma main glisser doucement dans son dos, je n’ai aucune arrière pensé, n’étant pas du genre à profiter d’une situation comme ça. Je l’entends alors parler, me faire une demande… « si tu connais quelqu'un qui sait gérer relations amoureuses et distance, ce serait cool que tu me le présentes. » J’hausse alors un peu les épaules. “Non… Je ne connais personne… Je suis désolé…” Lui dis-je alors doucement tout en la gardant contre moi pour continuer de lui donner du réconfort.

Ayant finalement lâcher mon emprise sur la jeune femme pour la laisser reprendre ses distances après avoir constaté qu’elle allait un peu mieux, je la regarde et lève les yeux au ciel quand elle se moque de moi par ses propos. « Tu serais beaucoup moins sexy en plus ! » Cependant, il ne me faut pas longtemps pour trouver quoi lui répondre. “Ouais, mais au moins, les autres mecs auront un peu plus de chances.” Dis-je en me la jouant un peu prétentieux, en mode tout le monde me veut moi, toutes les filles ne regardent que moi. Bref, je me la joue à la mister parfait, narcissique à souhait. Je lui souris alors. “Même toi tu me trouves parfait, j’en suis sûr.” La taquinais-je alors un petit peu, espérant réussir à la faire un petit peu rire après notre conversation trop douloureuse pour elle. Sauf que rapidement, elle casse mon petit délire de mec trop canon en me ramenant à la réalité des docteurs et des consignes de ceux-ci. « T'as une chance de guérir, faut pas la foutre en l'air même si ça t'empêche de faire certaines activités pendant quelques mois... c'est toujours mieux que de les faire maintenant et ne plus pouvoir les faire pour le restant de ta vie... » Je soupire alors, un peu ennuyé par ces propos. “Je sais… Sauf que c’est assez compliqué de rien faire pendant plus de trois mois quand t’es habitué à bouger et tout… J’en ai marre de rester assis à regarder les autres courir…” En disant cela, je repense alors à ma recontre avec cette jeune femme sur le terrain à Harvard… “Les gens, en sont rendu à croire que je suis un voyeur…” Dis-je pour mentionner cette rencontre assez étrange, bien qu’assez drôle au final. On s’était chercher, comme chien et chat verbalement, pour voir qui avait le plus de répartie et surtout qui irait le plus loin dans les actes ensuite… Faudrait d’ailleurs que j’aille la voir sur son lieu de travaille pour la charrier encore.  « ouais mais regardes tu profites même pas de cette marche, car tu souffres le martyre. »  J’inspire alors profondément. “Oui, parce que j’ai eu la brillante idée d’oublier mes anti-douleurs sinon, j’aurais pu la faire sans trop de soucis je pense…” Bien qu’au final, ça ne soit pas une solution non plus, les anti-douleurs m’auraient permis de continuer la marche sans trop sentir la douleur, du coup, je n’auras pas reposer ma jambe comme il faut et j’aurais réellement pu empirer mon cas… J’en ai marre d’être dans cet état… “Enfin, je vais faire attention maintenant…” Lui avouais-je parce qu’il était quand même temps que je commence à faire attention à ma jambe pour de bon, j’ai déjà trop fait traîné tout ça. Enfin, j’essaie quand même de changer un peu de sujet ou plutôt de rendre ce sujet plus agréable en le prenant un peu à l’humor, la charriant un peu. Sa réponse ne se fait d’ailleurs pas attendre. « totalement ! Pis je rêve de me marier avec toi aussi, d'adopter des bébés extraterrestres et de vivre dans une cabane en haut d'un arbre à la Tarzan et Jane ! »  Je rigole. “Tain ! T’as tout compris à mon rêve ! Je veux trop ça aussi en vrai ! Viens on se marie tout de suite !” Répondis-je sur le ton de l’humour aussi. On peut être vraiment con parfois, mais en même temps, dépeindre un tel tableau, c’est assez drôle je trouve.

Tellement absorbé par notre conversation que j’en oublie un peu ma cigarette, reportant mon attention sur celle-ci, je constate qu’elle se consume seul, la cendre ne tombant pas encore. Je donne alors un petit coup sur le tube de nicotine pour faire tomber la cendre dans l’herbe avant de porter le filtre à mes lèvres pour tirer une nouvelle latte. « concernant le fait que la cigarette calme les nerfs moi j'y crois pas du tout . C'est surtout dans la tête que ça se passe. » Je l’écoute alors et sourit un peu. “En réalité, ce n’est pas la cigarette qui aide à nous calmer, mais le geste que l’on fait quand on fume. On inspire une grande bouffé d’air, enfin, de fumée, mais c’est ce geste qui nous fait nous calmer. C’est un principe en relaxation. La respiration joue un rôle important. La cigarette est donc au final, juste un moyen de matérialisé cette action de prendre une grande inspiration.” Je lui adresse un petit sourire, me demandant si elle comprend où je veux en venir, enfin, plutôt ce que j’explique sans avoir le besoin de faire une démonstration. Ce qui pour le coup, me ferait encore me sentir con une nouvelle fois, bien que cela est dans un sens habituel.  Enfin, maintenant, je lui explique pourquoi j’ai commencé et mon ressentit vis-à-vis de la cigarette.. C’est assez compliqué une nouvelle fois. Pourquoi je ne peux rien faire de simple ? C’est ennuyant. Tirant sur ma clope, je tourne un peu la tête vers Mira pour l’écouter encore. « m'ouais peut-être... enfin on a tous des raisons un peu bizarres qui nous ont poussé à commencer ! »  “Tu as commencé à cause de quoi toi ? Il ne me semble pas que tu me l’ai dit, ou alors, je n’ai pas compris. “ Lui répondis-je assez rapidement assez curieux de savoir pourquoi elle fumait depuis si longtemps au final.

On dérive alors, sur nos expériences en tout genre et je prends un peu la mouche à ses paroles. Elle ne manque d’ailleurs pas de réagir rapidement pour nier. « Mais non j'ai pas dit ça ! » Je relève le regard vers elle, un peu ennuyé d’être prit comme ça pour un gars qui a pas vécu avant d’arriver à Harvard, même si au final, ce n’est pas réellement loin de la vérité. Je ne réponds d’ailleurs rien, la laissant poursuivre toute seule. « on s'en fout depuis combien de temps de toute façon, c'pas les années qui comptent c'est ça que je veux dire ! » Je la fixe alors, haussant un sourcil. “D’accord, alors tu penses quoi de moi à ce niveau-là ? Après tout, on a quand même eu pas mal de relation tout les deux, donc tu peux me donner ton avis non ?” C’était un jeu dangereux que l’on jouait mal, elle pourrait très mal prendre cette question et moi, je pourrais ne pas apprécier sa réponse du tout… Du moins, si elle n’a pas apprécier nos ébats et si elle me le dit cash maintenant… Mais en même temps, si elle n’avait pas aimé, on n’aurait pas été qualifiable de sex-friend il me semble… Une fois aurait suffit… Je la clash alors un peu, pour tenter de la remettre à sa place sur le fait qu’elle ne m’a pas tout apprit, surtout qu’au final, elle était bien loin d’être ma première fois la demoiselle. Mecky s’en serait plus rapproché, mais c’était encore une fois, pas avec elle que j’avais franchit le pas du pécher charnel. «  Oh non, crois moi il y a encore beaucoup de choses que je ne sais pas et que je ne veux pas connaître à ce sujet. » J’hausse alors un sourcil. “Laisse moi deviner. Tu parles de tout ce qui est sado-masochisme ?” La questionnais-je dans un sens, le ton toujours un peu irrité alors qu’elle me dit maintenant de me détendre. Je serre un peu la machoire. « détends toi, je remet pas en question tes aptitudes dans ce domaine. » “Il y a intérêt.” Répondis-je alors simplement en guise de pseudo-mise en garde du si c’est le cas, je te ferais la gueule pour de bon.

On en vient alors à parler de série, dévelopant nos points de vue sur Desperate Housewife avant de finalement mettre cela sur la vie d’aujourd’hui. « il  y a eu évolution de la société donc les femmes qui étaient au foyer avant, partent un beau jour travailler. Moi je trouve que c'est cool, de montrer, au contraire, que le mec peut aussi s'occuper des gamins, qu'on peut facilement perdre son argent, se retrouver obligé de louer sa maison, être atteint d'une maladie... » Je reste silencieux un instant, laissant mon regard alors dérivé un peu sur le lac devant nous. “Je le conçois bien, mais je sais pas, cette série, j’ai jamais accroché. Je ne critique pas le fait qu’elle se rapproche bien plus de la réalité que beaucoup d’autre série que l’on voit à l’heure actuelle, mais j’ai jamais accroché parce que je trouvais que les femmes se  tiraient trop entre les pattes… J’espère réellement que vous n’êtes pas ainsi entre vous en vrai ! A parler sur le dos l’une de l’autre, de critiquer, etc...  Ou même à toujours fantasmer sur le jardinier.” Ouais, je dis un peu tout ce que je sais sur la série, espérant réellement que c’est pas la même chose pour les femmes en vraies, qu’ils sont exagéré tout ça, mais en même temps, ça ne serait même pas étonnant que ça soit la même chose dans la vraie vie. “Ensuite, oui, je suis bien d’accord, on peut facilement perdre tout nous privilège, notre boulot, notre maison et tout, mais aujourd’hui, il me semble que ça devient de plus en plus rare de trouver des femmes au foyer, c’est assez mal vu par la société au final de ne pas travailler, de ne pas être considéré comme une femme active…” Putain… mais on part réellement loin. On est obligé de faire un tel débat maintenant ? On en a pour un long moment de parler de ça, parce qu’il y a vraiment beaucoup de chose à dire surtout si on est pas du même avis… « de toute façon, t’arrivera jamais à me faire aimer une série qui parle du domaine médical. » J’hausse alors un sourcils. “Je parie qu’il y a moyen.” Lui lançais-je alors pour la contredire, même si au final en série médicale je ne m’y connaissais pas trop ce qui allait être un handicap, mais pour ça, je pouvais toujours compter sur mon petit frère qui doit avoir un répertoire plus large que moi dans ce domaine.

Je me permets alors de lui demander quel genre de dessins elle peut bien faire, que ça soit en cours dans le passé ou bien maintenant. J’aimerais bien savoir ce qu’elle voulait dessiné là, si c’était le paysage ou bien tout autre chose. « Pleins de choses. Parfois je dessinais des Mexicains essayant d'entrer en Amérique, la statue de la liberté... ou alors je dessinais le prof, l'élève devant moi ; une robe que j'avais vue dans une vitrine ... »  Je tique alors à son premier exemple. “Des mexicains essayant d’entrer en Amérique ?” Ouais, non, c’est assez étrange dans un sens… J’ai d’ailleurs un peu du mal à imaginer les dessins que ça pouvait bien donné… Parce que les autres, au final, c’était assez basique, bien que cela peut aussi dépendre de son style de dessins, si c’est plus humoristique ou réaliste. “Tu cherchais à faire en sorte que ça ressemble réellement à ton modèle ou tu rajoutais des traits pour en faire une sorte de caricature ?” Finis-je quand même par la questionné, désireux d’avoir ma réponse. Elle s’intéresse alors à moi. « ça t'a jamais intéressé, toutes ses activités qui touche l'artistique ? »  Je rigole un peu, peut-être que mon rire est un peu nerveux, je sais pas trop. Mais je sais pas trop comment lui répondre, parce que j’ai jamais eu la fibre artistique comme on dit et dire à un potentiel artiste que ce n’est pas quelque chose qui nous intéresse, ce n’est pas vraiment la meilleure idée qui soit… Mais bon, il faut bien que je me lance. J’hausse alors les épaules. “Non, pas vraiment. Mon éducation a peut-être jouer la dedans aussi… Vous les artistes vous êtes souvent libre, imaginatif, mais chez moi c’était trop strict, terre à terre en quelque sorte, alors si un jour j’ai peut-être eu l’envie de me lancer la dedans, ça a vite été oublié à cause de l’ambiance à la maison qui n’était probablement pas propice à cela.” Je soupire un peu. “Enfin, je crois.” Rajoutais-je sans même savoir si mon analyse pouvait être juste ou non. “Je pense d’ailleurs que c’est pour ça que je me suis dirigé vers la sociologie, pour étudier, comprendre comment l’environnement social peut influencer la façon d’être.” Parce que oui, même si cela fait sept ans que je fais de la sociologie, je ne sais toujours pas c’est quoi qui m’a attiré dans ce cursus là alos que j’étais dans un sens prédisposé à entrer dans l’armée de l’air pour suivre les traces de mon père.  « Tous les parents devraient être fières de leurs enfants j'imagine... mais dans la pratique c'pas vraiment ça. » La un véritable rire nerveux franchit mes lèvres. Depuis tout petit, j’ai toujours couru après cela, même encore aujourd’hui en réalité, je cherche encore et encore la fierté de mon père, j’aimerais l’entendre me dire encore une fois qu’il est fier de moi, mais avec ce qu’il s’est passé en janvier, je doute réellement que ça soit encore possible...Je soupire un peu. “Dans un sens, il nous faudrait un moyen pour comprendre nos parents… Pour savoir ce qu’ils pensent réellement de nous, parce qu’ils ne comprennent pas qu’on a besoin de savoir, d’avoir leur avis, ou plutôt d’avoir leur remarques positives. Ils sont toujours derrières nous quand on fait une connerie pour nous réprimander, mais quand on fait quelque chose de bien, ils ne disent pas grand-chose…” Dans un sens, c’était cela le problème et je pense que tout le monde s’est fait cette remarque. “Le pire, c’est que je parie qu’on fera la même chose avec nos enfants quand on en aura…” Parce que c’était ainsi, parce qu’il est toujours plus facile de critiquer, que de complimenter… L’homme est mauvais en réalité. « Après... c'est ton avenir, tu bosses pour toi … pas pour ton père... »  Je dois bien reconnaitre que là, Mira a raison dans ses propos, sauf que c’est assez compliqué de faire ça, de zappé l’état on veut la reconnaissance de nos parents, surtout quand ils sont encore derrière nous, qu’ils nous soutiennent  de toutes les façons possible. D’accord, j’ai prit mes distances avec eux ces dernières années, mais je reste quand même fort proche d’eux alors non, je ne pourrais juste pas tirer un trait comme ça sur eux en mode je me fous complètement de votre avis et de ce que vous pouvez bien pensez de moi. Je ne suis pas comme Leighann et je ne veux pas le devenir non plus… « Épouses une milliardaire et offre lui une berline » Je ne comprends pas trop pourquoi elle me dit ça, mais dans tout les cas, ça manque de logique. “Je pense surtout que si c’est elle la milliardaire, que c’est elle qui va m’offrir une Berline. Bien que je préférerais autre chose qu’une Berline.” lui répondis-je alors, parce que je ne me voyais pas trop au volant d’une voiture Allemande, préférant clairement les voitures d’origines Américaine. Après tout, je suis fier de mon pays.

On en vient alors à parler de ce que l’on pourrait bien faire maintenan hormis parler, je la taquine alors sur l’envie qu’elle pourrait avoir de revoir mon torse, je suis alors surpris par « peut-être. » son en guise de réponse. Je reste un moment silencieux à la regarder, me demandant si elle est sérieuse ou non. “A la limite, prend moi comme modèle, je veux voir ton talent ! Et comme ça, tu seras contente.” L’ennuyais-je un peu en prenant son peut-être pour un oui et pas pour autre chose.  «Et au fait tu as toujours deux filles qui se battent pour toi? »  Je grimace alors à sa question. “C’est bien plus compliqué que ça. Se sont mes deux ex. Une me reveut pour avoir une pseudo relation libre et l’autre, elle ne veut plus de moi mais refuse que j’ai voir d’autres filles…” J’hausse les épaules. Ouais, là, je suis pas sortit de l’auberge avec Mecky et Lottie.

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Jay & Mira

Ma relation avec Wolf, un véritable problème soulevant une tornade de sentiments dès qu'il est mentionné dans une conversation. J'ai vraiment beaucoup de mal à en parler sans avoir envie de pleurer ou simplement de maudire son foutu boulot de mannequin. Comme si ça ne suffisait pas qu'il pose à moitié à poils pour des couvertures de magazine, ou avec des mannequins au corps parfait, il faut en plus qu'il fasse tout ça, à des milliers de kilomètres. Ça me bouffe réellement de l'intérieur de voir un an partir en fumée pour ça, alors qu'au fond, il n'a même pas besoin de ce boulot, il ne faisait ça que par amusement au début . Je n'ai pas de solution, plus de solutions, me battre contre une distance, une chose aussi abstraite m'est impossible, je n'ai plus vraiment la force, je commence à en avoir marre de toujours devoir me battre pour avoir ce que je veux . Je suis fatigué par tout ça et je me demande si ça en voit vraiment la peine... « j'ai pas les moyens de le suivre, surtout qu'il ne descend pas dans des p'tits hôtels. » dis-je un sourire sans joie aux lèvres. Le voyage à Paris l'année dernière, un week-end pour la fashion-week auquel il participait. J'ai accepté de l'accompagner, ayant toujours rêvé d'aller à Paris et d'assister à ce genre d’événement mais... rien qu'une nuit à l'hôtel coûtait un mois de salaire, pourboire y compris. Une vie de luxe, que je n'ai pas les moyens de m'offrir malheureusement. Je me mordille légèrement la lèvre en soupirant doucement, je sais que, si je lui demande, il accepterait de m'offrir cette vie, de tout payer pour moi, mais je ne veux pas dépendre de lui, ni même de personne d'autre . Je l'aime, mais j'ai moi aussi des projets, un rêve et je ne peux pas me permettre d'abandonner mes études, surtout que ce n'est pas moi qui les finance « J'ai... j'ai ma vie ici... je peux pas tout abandonner... »Je secoue doucement la tête . Pourquoi dois-je toujours faire des choix ? Pourquoi je peux pas avoir une vie plus simple, avec un petit ami qui serait vendeur au stars Buck du coin plutôt que mannequin internationale, mais je peux pas lui demander de faire un tel sacrifice pour moi, tout abandonner, alors que je suis sûr que sa mère doit être super-fière de lui de le voir suivre ses traces, peut-être que son père aussi, le voyant faire quelque chose d'utile plutôt que de stupides dessins, et moi, je dois être stupide également de m'accrocher à lui alors que tout est fichu. J'hausse doucement les épaules, lorsqu'il me dit qu'il ne sait plus quoi dire... je sais bien, il n'y a pas de solution miracle, je retournais le problème dans les sens, avec ou sans Wolf . Je me laisse doucement aller dans ses bras, profitant un peu de son réconfort, chose qui me manque ces derniers temps : la chaleur humaine, l'impression d'être un minimum soutenue dans cette épreuve. Je pensais pas qu'être amoureuse serait si douloureux. Je lui adresse un sourire, pour le remercier d'être malgré tout là pour moi, avant de doucement me dégager, passant une main dans mes cheveux, souriant doucement à ses dires concernant son sex-appeal « j'ai dit sexy pas irrésistible non plus. » dis-je en riant légèrement, tout en secouant la tête pas vraiment certaine qu'il est toutes les filles non plus à ses pieds « la perfection s'est fade... tu veux toujours être parfait ? » dis-je un sourire amusé au coin des lèvres, tandis que je me décide à me lever, passant une main sur mes fesses pour retirer les poussières s'étant installées dessus, posant mon regard sur la jambe de Jay, un sourire mal à l'aise aux lèvres. « Je comprends, je supporterais pas d'être immobilisé, alors que j'ai mes habitudes sportives, un boulot où je dois être toujours debout … une vie qui bouge alors je sais que c'est compliqué » Après les attentats et ma fracture du tibia, me retrouver immobilisé également à été un vrai calvaire, alors que je n'avais pas une vie si remplie que ça... je peux totalement comprendre son impression d'être à part, de ne pas être capable de faire ce que les autres font, mais ce n'est que temporaire, c'est ce qu'il faut qu'il se dise. Je finis par me rasseoir mais, cette fois-ci, au bord du lac, pour pouvoir y tremper mes jambes, un léger sourire aux lèvres. « Un voyeur ? Bah tu es déjà naturiste alors ça doit pas si grave que ça ... »dis-je en me tournant doucement vers lui, un sourire toujours accroché aux lèvres en me rappelant sa petite promenade nue dans le parc d'Harvard, pour son bizutage. Une réputation de voyeur à côté ce ne doit pas être si grave que ça j'imagine . Des réputations j'en ai eu étant enfant, elles étaient bien pires je trouve, mais bon. Paraît que ça rend plus fort, pas vraiment sûr de ça. Je finis par hausser les épaules à ses dires. Je ne suis pas vraiment certaine que les antidouleurs soient la solution pour autant, ça ne fait que masquer la douleur, et non pas la faire disparaître . Je fais doucement glisser ma main dans l'eau tandis que je lui explique en quelques mots le rêve de toute une vie : vivre dans un arbre. « Non je veux un mariage de princesse moi, faut prévoir ça au moins … 1 an à l'avance ! » dis-je un sourire au coin des lèvres. Le temps de tout préparer pour que ce soit parfait... Enfin surtout le temps que je dessine ma robe et que je la couds. Et ouais je pense que ça doit bien prendre un an; rien que la robe du bal de l'année dernière, qui était simple m'a pris 3 mois. « faudra être patient avant la nuit de noce alors. » dis-je en ne pouvant retenir un léger rire de sortir de mes lèvres

On en vient je ne sais plus comment à parler de cigarette, de bien que l'on ressent en tirer une taffe , en laissant ressortir la fumée qui s'échappe lentement de nos lèvres. Je tourne doucement mon visage vers lui un léger sourire aux lèvres. « C'est vrai que je n'avais jamais vraiment réfléchi à ça .» pour une fois, je pense pouvoir dire qu'il a raison, que c'est certainement le fait de respirer : inspirer et expirer qui nous fait réellement du bien et nous permet de nous calmer. « Mais il y a tout de même un côté addictif, sinon tout le monde réussirait à arrêter de fumer facilement et rapidement. » on sait tous à quel point c'est nocif, mais on ne peut pas vraiment s'en passer. Moi je n'y arriverai pas j'imagine, j'ai trop l'habitude de fumer... D'ailleurs pourquoi j'ai commencé à fumer. « J'ai commencé jeune...je voulais avoir un certain contrôle sur ma vie si on veut... » dis-je en haussant doucement les épaules, sachant que je suis pas très précise alors je rajoute. « Disons que je n'avais pas beaucoup de libertés et beaucoup plus d'interdit, et je me suis dit... « je vais commencer avant que l'ont me l'interdisse, et au pire si je crève d'un cancer du poumon...au moins ce sera mon choix ! » Un acte de rebellons si on veut... » J'hausse doucement les épaules, je voulais que ça soit ma décision, une liberté que je peux enfin m'accorder. Et puis ça a été un peu le début de tout, de mes sorties en cachette la nuit lorsque je faisais le mur pour retrouver des amis, sortir en boîte, les petits vols dans les magasins de fringues pour me rhabiller, bref une vie d'ado. « À croire que je n'étais pas très fréquentable à l'époque. » dis-je un léger sourire aux lèvres, entre ça et le fait que je lui ai raconté tout à l'heure que je séchais les cours... la vision qu'il a de moi va vite changer. Enfin concernant ma vie de débauche sexuelle ce n'est pas vraiment pareil . On ne peut pas vraiment dire que je changeais de mecs toutes les semaines, étant plutôt assez réservé dans ce domaine à l'époque, n'aimant pas trop qu'on me touche de peur que l'on découvre mes bleus et cicatrices sur diverses parties de mon corps. Mais, même si maintenant je suis plutôt tranquille avec ça, ce n'est pas pour autant que j'aime en parler ouvertement, comme là avec Jay qui me demande d'une certaine façon de le noter. « Je vais reprendre une clope je crois. » dis-je en attrapant, mon sac en badouillère dans lequel j'ai foutu mon paquet, tout en soupirant légèrement, ayant peur que la conversation se termine mal au final. « Bah c'était bien... » un léger sourire mal à l'aise s'affiche sur mes lèvres ; ne sachant pas vraiment comment décrire ça avec des mots. Ça aurait peut-être plus simple si je faisais comme certaines filles qui classaient leurs partenaires justement par rapport aux plaisirs qu'il leur donnait. « Non mais t'étais un bon amant, s'il y avait pas eu Wolf on aurait pu continuer... » je ne vais pas lui dire qu'il n'était pas mon seul sexfriend, j'ai un peu peur qu'il le prenne mal ça, ni non plus lui dire que Wolf était encore meilleur, car je commence tout de même à savoir qu'il est susceptible. Je laisse échapper un léger rire, en haussant doucement les épaules lorsque l'on parle de e que j'aime pas vraiment et que je ne veux pas tester concernant le sexe. « Hum ouais... prendre du plaisir en souffrant, c'pas trop mon délire ! » je grimace légèrement, non vraiment pas mon truc. Je me prenais des coups de pied, de poings, et des gifles et je n'ai jamais aimé ça... je trouve ça... un peu immoral même, m'enfin... chacun son délire.

« Oh tu sais les femmes sont très compliqué, alors... » Je tourne mon regard vers lui, un sourire amusé aux lèvres. Les crasses entre filles, les coups dans les pattes comme il dit, on est pas du genre à se faire des cadeaux c'est vrai, personnellement quand c'est les soldes, je suis pas vraiment une bonne Quincy, et j'imagine que, si une fille aurait essayé de mettre le grappin sur Wolf, je n'aurai pas joué les p'tits anges non plus. « vaut mieux que tu ne saches pas tout... la gente féminine doit garder quelques secrets. » dis-je le tout accompagné d'un clin d'oeil , passant doucement une main dans mes cheveux defaits, déjà pratiquement sec grâce au soleil. « Hum ouais, un beau jardinier, avec des beaux abdos ... C'est que dans les films où ça existe ça. » Dis-je en poussant un soupir dramatique un peu exagéré comme elle avant de rire doucement . Je réponds pas par rapport aux femmes active ou inactive, je pense qu'après, c'est la décision de chacune. Il y en a à qui ça plaît de rester à la maison à élever les enfants, et d'autres qui ne supportent pas de rester enfermé . Je me mettrais plutôt dans la deuxième catégorie, ayant déjà un métier à côté de mes études, et comptant bien finir par avoir mon diplôme et travailler dans la mode... mon rêve. Déjà avoir un enfant, n'est pas vraiment dans mes projets futurs. Et concernant les séries médicales. « j'ai horreur des hôpitaux, tout ce qui peut y avoir trait... ça me fait peur... Fais- moi confiance... vaut mieux pas me mettre devant ce genre de série. » dis-je avec un léger sourire aux lèvres . Ça me fait peur, ça me dégoûte, je m'évanouis dès que je vois du sang, même dans une série alors que c'est certainement du ketchup... Je préfère regarder des dessins animé, des Disney, des trucs plus sympas, dans lequel, ensuite je peux tout transformer en dessins, comme lorsque j'étais petite, et que je modifiais leur visage, leur vêtement, leur univers tout simplement. Je rigole légèrement en ne le voyant pas trop comprendre, c'est sûr que mes idées de dessins sont assez originales. « Ouais par exemple , tu mets une feuille en format paysage, vers le milieu, d'environ 1 ou 2 centimètres tu fais le coin d'un mur, et du côté gauche tu représentes le monde mexicain, les sombreros, la pauvreté, le désert, mais les couleurs aussi, les marchés, les sourires aux visages, les familles etc. et du côté droit, les États-Unis, statut de la liberté, les buildings, les marques, les visages froids et austères... et sur le mur, tu mets un Mexicain qui a une jambe de chaque côté. » dis-je mon sourire s'élargissant sur mon visage, en me rappelant mes nombreux dessins, les ayant tous garder dans un énorme porte-vue. « Oh non, les caricatures ce n'est pas vraiment mon truc... j'essaie de faire des dessins réalistes, ressemblant au maximum à la personne en face de moi. » J'hausse doucement les épaules, c'est loin d'être évident, de choper l'expression de la personne, réaliser chacun de ses traits, ses imperfections, les grains de peau etc. « Un jour je te dessinerai si tu veux... si t'as 2 ou 3h devant toi, sans avoir envie de bouger ! » dis-je avec un sourire aux coins des lèvres . Je l'écoute m'expliquer pourquoi il ne sait pas vraiment diriger dans le domaine artistique. Il y en a qui dise que c'est génétique parfois, que si l'un des deux parents aime l'art, l'enfant s'y intéressera d'une manière ou d'une autre, mais j'y crois pas trop. Mon père s'était pas son délire, il y a avait que les maths, les placements d'argent etc. qui l'intéressait, et ma mère … j'sais pas trop à vrai dire: il n'y a rien d'artistique dans le fait de vendre des maisons ? « tu trouves que je suis pas 'terre à terre' ? » demandai-je en fronçant doucement les sourcils en tournant mon regard vers lui ; un peu perplexe ne sachant pas vraiment ce qu'il entendait par là. Après la sociologie, je peux pas vraiment commenter, ce n'est vraiment pas mon domaine.

Parler des parents, ce n'est pas vraiment mon sujet de conversation favori et dire que c'est moi qui suis parti dans ce sujet. J'ai vraiment du mal à cerner ce domaine, n'ayant jamais vraiment eu des parents « modèles », mais qui en a déjà eu au fond ? A priori, pas Jay vu le rire qu'il me sort, d'ailleurs il réussit à me faire doucement sourire également tandis que je l'écoute, haussant doucement les épaules. « ou parfois, vaut mieux même pas savoir. »dis-je d'un air distrait en haussant les épaules, parfois des mots peuvent encore faire plus mal que des coups. Mon père ne me cachait pas vraiment ce qu'il pensait de moi, et enfant, lorsque son avis comptait encore pour moi, cela était encore plus douloureux que la violence physique. « enfin ouais les remarques positives c'est cool. » dis-je me tournant vers lui, un sourire aux lèvres « c'est vrai que, quand on ramène une sale note, c'est la guerre, mais quand c'est une note au-dessus de la moyenne, c'est à peine si on a un 'félicitation' » dis-je avec un petit sourire .
Je lève les yeux vers le ciel encore d'un bleu limpide le soleil continuant de s'élever dans le ciel et d’étendre toujours un peu plus sa chaleur. « bah on reproduit ce que l'on a vu... » c'pour ça que je veux pas d'enfant, je ne supporte pas la violence, mais je n'ai jamais eu de mère, alors je ne sais pas si j'en serai capable, capable d'élever vraiment un enfant. « Mais on est tous différents, suffit de le vouloir sans doute. » dis-je avec un petit sourire, essayant d'être malgré tout positive et optimiste dans cette affaire . « mais non la berline ce serait pour ton père. »dis-je en riant tout en secouant doucement la tête face à ses dires, il n'a vraiment pas compris ce que je voulais dire, enfin je peux comprendre c'était pas très clair non plus. « Pis si c'est super les berlines, beau, classe, rapide. » dis-je un sourire aux lèvres. Ça me manque de conduire des voitures rapides, il faudrait que je pense à passer à l'écurie d'Andrew, pour reprendre du service et conduire un peu des voitures de course. «  ouais compliqué... les relations libre.... ouais que du sexe quoi en gros. » j'hausse doucement les épaules, à partir du moment que c'est libre, il y a pas de sentiments selon moi. « après … si elle veut pas que tu vois d'autres filles..ça cache quelque chose, c'est qu'elle est jalouse. »

Emi Burton
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Je vois bien que la jeune femme à côté de moi est mal… Pas qu'un peu même, et je comprends parfaitement, enfin, partiellement vu que la situation entre elle et moi n'est pas réellement la même… Elle au moins, elle a la réciprocité des sentiments de celui qu'elle aime, même s'il est loin… Moi c'est l'inverse, elle est là tout près, mais je ne peux pas la toucher parce qu'elle ne peut plus me voir… Dans un sens, j'aimerais un peu inverser les rôles, vivre une histoire à distance même si je ne serais pas heureux la dedans, cela serait toujours moins pénible que de vivre ce que je vis actuellement avec Lottie, je brasse de l'air, pour rien, parce que depuis janvier j'ai l'impression de marcher à reculons. Elle ne change pas d'avis sur moi, elle m'en veut à la limite de plus en plus, alors ouais, peut-être que je devrais laisser tomber, mais en même temps, en voyant Mira s'accrocher comme ça à Wolf alors qu'elle souffre semble-t-il autant que moi, même si c'est d'une autre façon, j'ai envie de continuer à poursuivre Lottie un moment, espérant que ça va changer, comme elle sûrement, elle espère qu'il sera bientôt à ses côtés à nouveau… Je soupir alors, en entendant ses propos… "Tu sais, je serais à sa place, je ne te laisserais pas derrière, je ne te laisserais même pas payer l'hôtel. Franchement, je dis pas ça pour le descendre hein, mais si on aime une personne, on ne la laisse pas derrière comme il fait, parce qu'à t'entendre j'ai l'impression que c'est à cela qu'il s'amuse, à te faire attendre, à te laisser courir derrière lui pour qu'il revienne au moins de temps en temps ici. Mais peut-être que je me trompe, et j'espère que c'est le cas." Lui dis-je alors, parce que je ne voulais pas être méchant avec elle ou même simplement méchant, c'est juste que voilà, en tant que mec, moi j'ai des principes et je ne me mettrais jamais en couple pour parcourir le monde en laissant ma copine derrière, ça ne se fait pas, ok, elle a des projets aussi, mais il y a moyen de trouver des arrangements autres que se voir tout les trente-six du mois et encore non ? D'ailleurs, elle me confirme rapidement qu'elle a en effet des projets ici, qu'elle ne peut pas tout abandonner… Je la comprends si Lottie me demandait de la suivre comme ça pour je ne sais qu'elle raison… Je ne pourrais pas, parce que j'ai mon frère ici, j'ai des projets également, je dois aussi penser à ma propre carrière même si je pense que je pourrais très bien m'en sortir une fois cette année de license concrétisé, même si j'ai au final ma License que l'année prochaine… Je soupire un peu à cette pensée, réalisant alors que j'aurais du mal à réussir cette année, je n'en ai pas envie… Je n'ai pas envie de goûter l'échec comme je l'ai déjà dit à la jeune femme à côté de moi… Le souci, c'est que maintenant, je ne sais plus quoi dire à Mira, que rajouter de plus ? Essayer de la consoler ? Je ne sais pas trop, alors j'ai qu'un réflexe, c'est de l'attirer contre moi, la prenant doucement dans mes bras pour tenter de la rassurer, de la réconforter aussi.

Elle se recule alors, un petit sourire sur les lèvres, je préfère cela que de la voir avec des larmes de crocodiles sur le visage, cela lui convient bien mieux. Je réponds donc à son sourire avant de finalement éclaté d'un petit rire quand elle me reprend sur mes paroles. "Arrête ! Je suis sûr que si t'aurais pas Wolf, tu fantasmerais encore sur mon corps d'apollon !" Sinon, les chevilles ça va ? Ouais, elles vont bien, parce qu'elle sait bien que je ne suis pas comme ça, je ne suis pas un vantard, surtout depuis janvier, je suis plus du genre à m'enfoncer tout seul, alors dans un sens, plaisanter comme ça, ça me fait un peu du bien, parce qu'au moins dans un sens, ça me rassure un peu, parce que si elle plaisante avec moi sur tout ça, c'est que je ne suis au final pas si horrible que cela et tout… Bien qu'elle n'ait toujours pas vu l'état de ma jambe, enfin, c'est qu'une cicatrice, mais j'aimerais ne pas l'avoir… Elle gâche tout. Je la fixe alors en entendant ses propos sur la perfection. "C'est fade, mais c'est ce que tout le monde veut, alors si tout le monde veut la perfection, tout le monde me voudra, tu ne crois pas ? Alors oui, j'ai tellement envie de voir des filles se battre pour moi." Continuais-je alors de plaisanter, parce que non, ce n'était pas mon fantasme de voir deux filles se battre dans la boue, je trouvais cela con et surtout très machiste, pourquoi des femmes qui se battent dans la boue, c'est beau ? Hein ? Parce que c'est sensuel ? Si je colle un pain à un gars, est-ce que ça serait plus sensuel si c'est dans la boue ? Je ne crois pas non, alors merde, à un moment il faut arrêter de penser comme ça.

Je relève alors le regard vers Mira qui vient de se lever, suivant ses mouvements de yeux et non, je ne reluque pas ses fesses, juste que voir ses mains bouger comme ça, ça attire juste le regard… Quand elle a fini de se dépoussiérer les fesses, et qu'elle prend la parole, alors là, je regarde à nouveau son visage. "Compliqué…" Dis-je alors à la fin de ses propos. "C'est bien plus que compliqué… Tu te rends compte que je ne peux plus rien faire ? Que cela soit le sport, l'indépendance ou quoi. Je suis obligé de prendre les transports en commun et tout alors que j'ai ma voiture… Rien que ça déjà, ça me gave par exemple, mais le pire, c'est que normalement en fin février, je devais être tranquille sauf qu'au final, ça ne s'est pas fait parce que j'ai fait le con… Alors compliqué non… Difficile et insupportable oui." Lui lançais-je alors, ayant ainsi bien argumenté mon point de vue et exprimé le pourquoi du choix de ses mots plutôt que d'autre comme elle, j'aurais pu simplement dire que c'était compliqué aussi, sauf que ce n'était pas compliqué… Resté sans bouger, ce n'est pas compliqué, c'est ce dire qu'on ne peut pas bouger qui est difficile.

Je continue de suivre la jeune Quincy des yeux alors qu'elle s'approche du lac. "Tu vas quand même pas te baigner ?" Lui lançais-je alors avant de finalement voir qu'elle ne faisait que s'asseoir. Ouais, je viens de parler pour rien, mais en même temps, c'était une idée qu'elle avait eu un peu plus tôt alors peut-être que même si moi, je ne voulais pas, elle, elle en avait envie quand même et au final rien ne l'empêchait de le faire. Je tique alors ses paroles. "Naturiste ?" La questionnais-je alors en lui demandant de quoi elle pouvait bien parlé. Avant de finalement me souvenir de ce bizutage que Joachim m'avait donné, courir nu sur le campus. Parlait-elle bien de ça ou avais-je encore faire des frasques les mois précédents ? Avais-je rejoué le jeu du bizutage avec encore une fois, les idées de Joachim ? Me connaissant, c'était passablement le cas…

Je fronce alors les sourcils en entendant ses propos concernant le mariage de princesse. Waw… Le rêve cliché de beaucoup de fille ça… Je ris alors un peu. "Alors, commençons à le prévoir maintenant, comme ça dans un an, on sera marié !" Lui lançais-je alors pour continuer de rire, parce que je ne comptais pas me marier avec elle, c'était juste un petit jeu que l'on avait entre nous à cet instant, après tout, elle, elle avait Wolf et moi, je voulais retrouver Lottie, avec qui j'étais presque fiancé par nos parents au final… Je rigole alors à ses propos. "Douterais-tu de ma capacité à attendre ? Je peux me montrer très patient." Je n'avais pas réellement d'exemple à lui donner, le seul qui me venait là en tête était assez risqué étant donné que ça concernait ce qu'il s'était passé l'année passée, j'avais attendu un mois pour recoucher avec elle afin qu'elle me lâche finalement qu'elle était en couple… Je n'avais pas réellement bien prit cette nouvelle et je pense qu'elle ne ferait plus deux fois la même erreur avec moi. Enfin, dans tous les cas, ce n'est plus trop possible que ce genre de situation arrive alors bon.

Je rigole alors un peu à ses propos. "Le côté addictif vient uniquement des substances dans la cigarette elle-même. C'est pareil pour le coca par exemple… Tu vas en boire parce que tu as soif, mais tu vas rapidement terminé ton verre au lieu de le siroter, parce qu'il y a quelque chose dedans qui fait que tu désires continuer. C'est pas comme la drogue, enfin, c'est similaire, mais ça modifie pas un capteur dans le cerveau ça au moins." J'hausse un peu les épaules alors que la conversation devient vachement théorique d'un coup… Allez savoir pourquoi je me sens obligé de tout expliquer comme cela alors que je pourrais simplement laisser filer laisser tomber ce sujet qui au final, n'est pas forcément des plu passionnant pour moi, mais en même temps, peut-être qu'il l'est pour la jeune femme ? Je l'écoute alors me raconter le pourquoi elle a commencé à fumer la cigarette. Le principe du contrôle… Ouais, pourquoi pas, c'est un peu comme moi au final, enfin, disons que moi j'ai juste utilisé d'autres termes. Je la fixe alors, haussant les épaules. "Sauf que même un non-fumeurs peut mourir d'un cancer des poumons, alors ça veut rien dire… Mais bon, si tu veux avoir l'impression de pouvoir avoir un contrôle sur ta mort aussi, pourquoi pas." Lui lançais-je alors en m'étirant un peu avant de me laisser retomber en arrière pour me coucher, les mains sous la tête en regardant le ciel. Franchement, m'endormirais bien comme ça, je suis bien. "Ou plutôt que tu as simplement profité d'être jeune pour faire tes expériences en tout genre ?" Lui lançais-je alors suite à ses propos. Mira pas fréquentable ? Vu comment elle est j'avais réellement du mal à me dire que cela est possible, elle est trop douce, trop gentille pour être qualifiable d'infréquentable… S'il y a des gens qui pensent ça, c'est vraiment qu'ils sont cons ou qui comme moi ont une bonne raison de lui en vouloir et de dire cela d'elle.

"Hey ! C'est pas drôle !" lui lançais-je en me relevant alors parce que j'aurais bien aimé qu'elle me donne une note. "A t'entendre on dirait que j'étais pas un bon sex-friend." Lui lançai-je alors, mais rapidement elle m'annonça le contraire. Tant mieux. Je souris un peu, parce que ouais, pour ça, je suis comme tout les mecs, j'aime quand on me complimente sur ça, cependant je n'ai pas envie de me contenter d'un c'était bien, j'ai envie de plus sur le coup. Alors ouais, je vais la faire rager un peu en insistant. J'hausse alors un sourcil. "Juste bien ? Rien de plus ?" Parce qu'en plus la façon dont elle l'avait dit, franchement, c'est pas comme si c'était une évidence pour tout le monde hein, donc ouais, j'ai envie qu'elle en dise plus et rapidement elle le fait me disant que sans Wolf, on aurait pu continuer. "Donc c'était bien mieux que juste bien, tu vois !" Je la charrie une nouvelle fois, la taquinant pour le plaisir, ne pensant pas à mal, je ne pense même pas au fait que ce sujet de conversation puisse la mettre mal à l'aise.

Je l'écoute alors me parler de l'esprit féminin sans rien rajouter, parce que je n'avais pas trop envie de débattre de cela au final. La laissant ensuite m'expliquer qu'elle n'est pas fan des hôpitaux non plus, cependant je ne cherche pas à en savoir plus, parce que je n'ai pas envie de la mettre mal encore une fois, je reste donc silencieux sur ce point après. On en vient alors à parler de dessins, je l'écoute alors, fermant les yeux pour tenter d'imaginer ce qu'elle me dit et au final, c'est assez simple son dessin, enfin, l'idée, pas de le faire. "Ah ouais… ça doit être pas mal comme dessin, fin, galère à faire mais le résultat final devait être beau. Si tu l'as toujours, j'aimerais bien le voir, si c'est possible." Je lui souris alors un peu, espérant que ma demande ne l'a mette pas mal à l'aise. J'hausse ensuite les sourcils en la fixant. "Me dessiner moi ?" Répétais-je ? "Heu ouais, pourquoi pas si tu en as envie, ça me dérange pas, après tout, je commence à bien avoir l'habitude de rien faire alors si je peux me rendre utile, autant le faire et j'avoue que ça me plairait de voir ça. "

"Je n'ai pas dit ça, c'est juste que pour moi c'est pas quelque chose que je pourrais faire à cause de l'éducation que j'ai eu, chez moi on est trop terre à terre, c'est même un défaut en fait…" Soupirais-je parce que parfois, comme à cet instant, ça posait un léger soucis… je n'étais pas du tout artistique alors réussir à expliquer le pourquoi je n'étais pas aller dans ce genre de filière là, c'est assez compliqué dans un sens… Fin, ça pourrait –être facile, mais je m'y prend de façon gauche et Mira me le fait bien remarqué… "Mon père m'aurait sûrement dit que c'est pas un vrai métier si je lui aurais dit vouloir faire des études en art… Tu sais, la vision des militaires est très carrés…" La suite, je ne rajoute rien, je n'avais plus envie de débattre sur Lottie ou même sur les enfants, je ne voyais pas quoi rajouter de plus.

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Jay & Mira

C'est difficile de savoir comment réagir dans ce genre de situation. Continuer à rester accroché à Wolf, à lui être fidèle, à l'aimer et à vivre une histoire d'amour à distance ...ou laisser tomber, mettre fin à une année de relation, de laisser gagner la distance, et d'essayer de reprendre une vie, de tourner la page, de rencontrer peut-être une autre personne, en sachant pertinemment que notre cœur est déjà pris et qu'il faudrait certainement du temps pour qu'il laisse une autre personne y rentrer. Ouais je suis totalement perdue, je ne sais pas comment faire, comment penser, comment me comporter avec un autre homme qui pourrait me plaire. Répondre à ses avances, et avoir ce sentiment de culpabilité qui me hante, ou l'envoyer boulet et le regretter plus tard, car je ne sais pas, si j'aurai encore beaucoup d'occasions de me faire draguer . Ça me fait souffrir de l'intérieur, et à vrai dire, je me demande si je ne préfère pas la souffrance physique, j'ai l'impression que ça cicatrice plus vite, et je m'y connais pas mal dans ce domaine. « Oh non, Wolf n'est pas si goujat que ça... il a pas mal de défaut, mais celui-là non. » dis-je un petit sourire venant chasser durant quelques secondes mes larmes et mon air triste. « Non, payer l'hôtel, il me le payerait sans problème...il m'a déjà tout payé l'année dernière lorsqu'on a été un week-end à Paris... Il me payait déjà beaucoup de trucs, des bijoux … des chaussures surtout... » la plupart de mes paires de luxe proviennent de lui, Wolf connaissait mes goûts il ne m'offrait pas un cadeau par semaine, mais je n'ai pas manqué de petites intentions comme celles-là . « ...Mais je n'ai pas envie d'être dépendante d'un homme, même si je l'aime. Ce n'est pas une vie, accepter quelques cadeaux de temps en temps, ok … mais pas toute une vie payée. Et le suivre, ce serait me restreindre à ça d'une certaine façon. Je devrais mette un terme à mes études, sans diplôme, je pourrai pas faire grande chose de ma vie. »On n'est pas tous prince, ou Princesse avec un trône qui nous attend ou encore l’entreprise de papa à récupérer. Je critique pas, loin de là, mais j'ai plus de chances de ne pas avoir de boulot si je n'arrive pas à décrocher mon diplôme. Il faudrait déjà que je réfléchisse un peu, que j'essaie de faire connaître un peu plus mes créations, peut-être sur internet, faire un site, je sais pas trop, je m'y connais pas trop dans ce domaine-là . Peut-être qu'en retournant sur Harvard, je m'y intéresserai un peu, ça me changera les idées. Un peu comme Jay en cet instant, qui réussit à me redonner un peu le sourire, ayant, d'un seul coup, une forte poussée de narcissique dans son caractère. Je lève doucement les yeux au ciel . « J'aime le changement et pas trop la concurrence, alors même s'il y avait pas Wolf... t'as trop de femmes autour de toi pour moi ! » dis-je en riant légèrement. Non, je n'ai déjà pas trop confiance en moi, trouvant la plupart des jeunes femmes d'Harvard beaucoup plus jolie et belle que moi, ou alors ayant des bien plus belles formes que moi, plus généreuse si l'on veut. Alors Jay... c'est un peu un hasard j'ai envie de dire si on a fini dans le même lit le premier soir, et de fil en aiguille on est devenu sexfriend . Mais depuis que je suis avec Wolf, je me rend compte que beaucoup de femmes tournent autour de lui, qu'il n'a pas mal de succès, et à présent, si je me retrouve de nouveau célibataire, je ne suis pas vraiment sûr d'avoir envie de me battre avec ces filles, les voir jalouses de moi car Jay et moi on serait redevenu sexfriend. Je rigole doucement à ce qu'il dit quand je lui rétorque que la perfection est fade « le souci c'est qu'après, quand tu auras toutes ses filles à tes pieds et dans ton lit... il faudra en choisir une, et une seule... un peu comme le bachelor. » dis-je en éclatant de rire . Il a déjà du mal en oublier une alors devoir choisir entre des dizaines, plus belles les unes que les autres, et ayant toutes quelque chose à offrir de plus interressant que leurs rivales.

Je finis par me décider à bouger mes fesses, commençant à avoir quelques fourmis dans les fesses. L'appel de l'eau est bien trop important pour que j'y renonce, alors je commence par retirer les quelques grains de poussière s'étant installé sur mon maillot de bain et mes fesses, captant le regard de Jay sur ce dernier. « te gêne pas surtout ! » je lève doucement les yeux au ciel, un petit sourire aux coins des lèvres, avant de m'intéresser de nouveau à sa jambe, et son problème d'immobilité. « ok ouais c'est difficile, je peux comprendre que niveau indépendance, ce n'est pas génial, mais t'es fort, tu peux surmonter ça je suis sûre. » dis-je avec un petit sourire. Il a bien survécu à une balle, s'est réveillé du coma alors que certains n'en sorte jamais . S'il a vraiment une détermination à guérir, il trouvera la force de ne plus bouger, de rester immobile encore quelque temps de prendre sur lui, pour pouvoir, d'ici quelques semaines, pouvoir reprendre son indépendance totale. J'hausse doucement les épaules, avant de me diriger de nouveau vers le lac, essuyant une petite remarque de la part de Jay qui se ravise rapidement en me voyant seulement m'asseoir et tremper mes jambes, je lui adresse un nouveau sourire « pourquoi ? T'as peur de ne pas être capable de résister une seconde fois à mon corps de rêve trempé, avec mon maillot de bain, collant à mes formes. » Un clin d'oeil lui est adressé avec un nouveau rire « ouais naturiste... tu te rappelles pas t'être promené nu dans le parc d'Harvard ? » je fronce doucement les sourcils, ne me rappelant plus exactement à quelle période cela c'était passé, et si cela avait été effacé de sa mémoire. « c'était assez drôle quand même. »dis-je en secouant la tête doucement. J'avoue que si j'étais cruelle, je le donnerais bien à mes bizuts ce petit défi, mais je préfère les obliger à défendre des causes animales, ou lutter contre la discrimination de certaines personnes. C'est un peu plus dans l'esprit de la Quincy House.On est des bisounours à ce qui paraît, mais moi je nous vois plutôt comme une bande de p'tit chaton et de chats, un peu comme Les Aristochats, chacun ayant son petit caractère et ses convictions . Et comme dans tout Disney, à la fin souvent il y a eu mariage ; et je dois avouer que le mien, je le rêve depuis bien des années, même si le visage de mon prince charmant restait toujours mystérieux. À 10 ans, il faut dire que je ne me voyais pas avec un mec tatoué de la tête aux pieds, et avec une dizaine de piercings . Et au final ce ne sera peut-être jamais lui à mes côtés devant l'hôtel... mais ce sera pas Jay non plus j'imagine. « un an... ça fait rapidement quand même , on va se laisser encore un peu de temps je crois ! C'pas une décision à prendre à la légère. » dis-je en lui adressant un clin d'oeil tout ceci n'étant que plaisanterie. « quand ça en vaut le coup, on est toujours prêt à attendre ... » dis-je avec un sourire charmeur aux lèvres. Bon on l attend avec impatience mais on l'attend tout de même. Et c'est un peu la même chose avec le sexe, même si ça à plus de complication concernant la frustration et les hormones .

Mes sourcils se froncent doucement à ses dires, le côté addictif de la cigarette, comparé à un coca... Ouais je vois pas vraiment le rapport, mais bon. « Mais le coca, c'est le sucre surtout qui te donne envie de boire de nouveau, un peu comme le sel qui donne soif... non ? » un petit sourire s'installe sur mes lèvres. Je veux pas paraître pour une blonde non plus, mais il me semble qu'on m'a toujours dit ça. « La drogue c'est vachement compliqué je trouve, et je pense que c'est pour ça que les jeunes se rendent pas vraiment compte à quel point c'est dangereux . Parce qu'il est dur de croire qu'une petite feuille sèche d'une plante peut avoir autant d'effets sur le cerveau ... » On y croit pas, on veut essayer tout de même et on tombe dans un engrenage. Personnellement ça me fait peur de voir à quel point certaines personnes tombent vite dans ce cercle infernal, que je ne veux pas me risquer à essayer une seule fois. Ça fait peut-être de moi un coincé ou je ne sais quoi, mais je m'en fiche complètement de ce côté-là . On en vient à parler de comment on s'est tous les deux mis à fumer. L'une récemment et moi, ça date déjà de plusieurs années. Mes épaules se haussent doucement à ses dires : ouais un contrôle sur ma mort . Il ne sait pas à quel point j'avais peur de mourir à cette époque, et à quel point parfois j'en avais envie, rien que pour mettre fin à cet enfer . « j'avais le raisonnement d'une ado tu sais … alors ouais c'est un peu con... » j'hausse de nouveau les épaules, on ne peut pas refaire le passé de toute façon, les choix stupides que j'ai déjà pris, je les assume comme je peux à présent, et j'en assume ainsi les conséquences. Mais ça n'empêche que je continue parfois de prendre des décisions qui ne sont pas forcément les bonnes... « bah je continue à faire mes expériences dans ce cas. » dis-je avec un clin d'oeil, faisant doucement bouger mes jambes dans l'eau, reportant mon regard sur ces dernières. « Je suis très … secrète, tu me connais pas" dis-je avec un sourire au coin des lèvres.

Bon par contre parler de ses performances sexuelles, c'pas trop mon truc pour ma part. C'pas que je suis pas à l'aise avec ce sujet ou quoi, mais, enfin je sais pas trop comment exprimer mon ressenti avec des mots . Peut-être qu'il faudrait que je me mette à lire des romans érotiques ce serait peut-être plus simple pour moi après de lui dire que c'était cool au lit. « Ok alors, je vais essayer d'être plus descriptif si tu veux... » dis-je en levant un peu les yeux au ciel, un léger sourire amusé aux lèvres malgré tout; « t'étais un très bon amant, tu me faisais passer de très bons moments au pieu, t'étais pas brutale, sauvage juste assez … et tu sais très bien te servir de tes mains ... »dis-je en lui adressant un sourire. « ça te va niveau compliment ? » dis-je en riant légèrement

« Je pourrai toujours essayer de le retrouver... mes affaires d'enfances et d'adolescence j'ai pas gardé grand chose... »
Faut dire que dans deux sacs à dos, en pleine nuit, et en essayant de faire le moins de bruit possible, je n'ai pas vraiment eu le loisir de choisir ce que je voulais garder ou non. Les choses essentielles, mes papiers d'identité les trucs du genre, quelques souvenirs, des dessins des CD, quelques fringues également... Ouais faudrait que j'essaie de le retrouver. Mais je peux aussi faire d'autres dessins, comme Jay par exemple « ça ne prend pas une journée non plus 2 ou 3h à peu près je dirai. Bon ça reste long aussi mais on peut faire des pauses. » Je lui adresse un sourire, ce n'est pas si pénible que ça la plupart du temps, on s'imagine mais 3h ça peut passer relativement vite.
J'adresse pour finir un sourire à Jay, comme pour le rassurer du fait que je ne prenne pas mal le fait qu'il ne soit pas artistique, tout le monde ne l'est pas. Tout le monde n'a pas la patience de passer des heures à dessiner ou à composer une chanson ; ce n'est pas quelque chose qui s'apprend j'ai envie de dire, on ne peut pas un jour détester l'art et le lendemain l'adorer selon moi. « Non mais je comprends . Ce n'est pas un métier très stable non plus. Tu peux réussir une belle œuvre et la vendre très cher et ensuite ne plus réussir à attirer les regards sur toi, passer aux oubliettes et être obligé de te reconvertir. C'est les risques du métier... » mes épaules se haussent une nouvelle fois. C'est un risque mais on est au courant, je suis au courant que je peux très bien devenir styliste et ne jamais être reconnu, faire quelques vêtements pour des magasins sans importance ; ou au contraire attirer le regard d'une grande marque, faire une ou deux collections, et avoir la garantie de la marque sur mon CV . J'attrape mon téléphone derrière moi et regarde l'heure, constatant que ce dernier file rapidement. «  On va peut-être commencer à rejoindre le chemin. Je veux pas que tu sois obligé de courir pour pouvoir rentrer avant qu'il fasse nuit. » Avec un peu de chance on pourra rattraper le groupe qui reviendra sur ses pas, ni vu ni connu.

Emi Burton
(Invité)

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