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Barricadons nous dans cette chambre (Prialya)

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Les vacances enfin ! Ça faisait des semaines qu'avec Talya on ne se voyait presque pas. Entre nos amis et leurs embrouilles, nos soirées avec eux chacun de notre côté pour leur remonter le moral, nos gardes respectives à l'hôpital, les filles, les responsabilités de Talya à la DH, nous passions notre temps à nous croiser. Entre deux bisous volés, deux petits mots doux sur post it, on avait trouvé le temps de se faire une petite saint Valentin ensemble, mais j'étais reparti dés le lendemain pour chercher Leanne... Bref il fallait presqu'on prenne rendez vous pour se voir. Frustration extrême. Autant dire que ces vacances allaient nous faire du bien. D'ailleurs je saisis sa valise dans une main et la mienne dans l'autre, alors qu'on venait d'arriver au niveau du complexe hôtelier de Huilo Huilo et j'annonçai la couleur : "Tu crois que ça le fait si on passe deux semaines enfermés dans notre chambre ?" Oui bon, ça serait quand même dommage de ne pas sortir profiter des paysages chiliens mais c'était histoire de donner la couleur de que j'avais en tête... Pour notre première nuit, j'avais fait la surprise de réserver l'un des bungalows que proposait l'établissement. Un peu plus onéreux, luxueux, loin du vacarmes et brouhaha de l'hôtel. C'était d'ailleurs devant l'un d'eux que l'on arrivait. "On va être un peu perdus dans la jungle..." commentai-je en observant l'environnement ambiant qui entourait le bungalow. "Mais je crois qu'au moins ici va y avoir personne pour venir nous embêter." Je lâchai d'ailleurs les valises, glissai une main sous les genoux de Talya, l'autre sous son bras et la portai comme une princesse pour passer la porte de notre hébergement pour la nuit.
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« Je crois que même enfermée dans une chambre ça sera mon meilleur spring break ! » Je lui fais un clin d'oeil ! En même temps je n'ai connu que deux spring break et le premier a été une catastrophe. Priape a appris mon infidélité le premier jour, j'ai ensuite appris que j'étais enceinte, ça a été le bordel dans mon corps, dans mon amitié avec Matthéo dans mon amour avec Priape... C'était pourri, je garde un mauvais souvenir des vacances de printemps de l'année dernière alors que les paysages étaient aussi à couper le souffle, comme quoi ça ne fait pas tout... Cette année, je m'en fous des paysages, ça ne sera qu'un plus, un plus à partager avec le plus bel homme qui soit... Le mien ! Puis quel bonheur de le retrouver après ces semaines bien chargées, beaucoup trop trop chargées. Je le suivais à travers les petits chemins du parc de l'hôtel pour qu'on se retrouve devant un bungalow. Là, Priape lâcha les valises et me porta comme une princesse. Je m'accrochai à son cou, le sourire aux lèvres, comment le quitter vu le bonheur qu'on allait partager ? « Je vais avoir peur dans la jungle, je vais pas quitter tes bras rassurant... » Hihi, voilà le retour de Talya où l'art de trouver des excuses ! Mais je n'en ai pas besoin pour passer du temps blottie dans les bras de l'homme que j'aime. « On va pouvoir faire tout ce qu'on veut ! Quelle belle idée Monsieur Zacharias ! » J'hausse les sourcils et mes lèvres trouvent les siennes. On va aussi pouvoir se laisser aller en ce qui concerne le niveau sonore. Pas de voisin à ne pas déranger, pas de bébés à ne pas réveiller ! Le pied ! « Vous aviez une idée pour bien commencer notre voyage ? » Tête d'ange, petite bouille innocente, non je ne vois pas du tout où ce début de séjour peu nous mener...

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« J’ai tendance à passer des spring breaks pourris habituellement… Faut que tu m’aides à déjouer cette malédiction. » rigolai-je alors qu’elle soulignait que même si on ne sortait pas d’ici, on allait peut être quand même passer un très bon séjour. Meilleur que l’an dernier en tout cas, sans aucun doute, on pouvait difficilement faire pire. Arrivés dans le bungalow, Talya dans mes bras, elle y resta en brandissant sa peur de la jungle comme excuse. « T’as raison on sait jamais, si y’a des serpents ou des mygales… » rigolai-je en rajoutant une couche en avançant encore un peu plus dans la luxueuse suite. On allait être tranquilles, Talya reprit qu’on allait pouvoir faire ce qu’on voulait, me lançant un regard qui en disait long avant de venir poser ses lèvres sur les miennes. J’essayais de ne pas culpabiliser d’avoir cette pensée, parce que dans quelques jours les petites allaient surement trop nous manquer, mais pour l’heure j’avais véritablement envie que d’une chose : Talya. Et lorsqu’elle s’écarta après ce baiser pour me demander ce que j’avais en tête pour bien commencer notre voyage, je lançais d’abord, avec un rire : « Une chasse au serpent ? » Enfin le seul serpent que je voulais qu’elle attrape pour le moment, c’était celui qui n’attendait qu’elle dans mon pantalon. Je repris avec plus de sérieux : « Je me disais qu’après le vol, le transit tout ça, un petit tour dans le jacuzzi nous ferait du bien. » Petit souvenir de l’Ukraine aussi. « J’ai lu dans la brochure que le bungalow possédait un jacuzzi privatif. »
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« M'en parle pas... Je suis désolée encore une fois... » Je sais bien que l'année dernière, je suis celle qui a gâché son spring break, qui a gâché sa reconstruction, lente et peu certaine, après sa rupture avec Calypso. Je m'en excuse encore et encore même si je suis pardonnée. Enfin je suis censée être pardonnée pour mon écart avec Matthéo mais je me suis jamais excusée pour le Spring Break si ? On va voir les choses sous cet angle alors ! Quand il parle de serpents ou de mygales, mes mains se resserrent autour de son cou, ça ne me fait pas du tout rêver. Je ne suis pas franchement froussarde dans la vie de tous les jours, mais je ne connais pas ces bêtes et si elles restent loin de moi, ça sera mieux, peut être qu'on pourra devenir copines. « Je trouve que le jaccuzzi est une bien meilleure idée que la chasse aux serpents... Et si vous m'y envoyez toute habillée, vous serez obligé de retirer mes vêtements un à un ensuite Monsieur Zacharias. » J'étais tellement contente de le retrouver, tellement bien dans ses bras, en tête à tête avec lui. Oui oui ça nous arrivait, on était tous les deux en train de profiter, de prendre du temps en temps que couple et non entre parents débordés parce que c'était ce que nous avions été ces derniers temps. Des parents débordés, des amoureux frustrés. Il fallait qu'on se rattrape. Ma main se faufila dans sa nuque, dans ses cheveux la resserrant légèrement avant de coller mon front contre le sien : « J'abuse si je dis que je rêvais de ce moment tous les deux depuis des semaines ? » Est ce que ça fait de moi une mauvaise mère ?

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« Y’avait pas une règle comme quoi on devait bannir ces trois mots de nos vocabulaires ? » -Je- -suis- -désolé- On passait notre temps à s’excuser, mais pour le coup c’est avec malice que je décidais de finalement jouer les rancuniers : « Mais t’as raison en fait, je t’en veux tellement qu’il va falloir que tu sois très très créative pour te rattraper cette année… » Des faveurs de ma petite amie pendant deux semaines ? J’allais pas refuser. Je m’amusais à évoquer la faune de la jungle environnante ce qui sembla faire son effet car ses mains se resserrèrent. « Tu vas vraiment plus oser me quitter en fait. » Le bon plan ce bungalow au milieu de nul part en fait. J’optai pour l’option jacuzzi, et l’idée de la plonger toute habillée dans le bain bouillonnant était trop tentante. « Tu l’auras chercher… » répliquai-je malicieusement, resserrant mon emprise sur elle histoire qu’elle n’essaie pas de se détacher de moi alors que j’avançai vers la salle de bain. L’endroit avait été préparé avec soin par le personnel du complexe hôtelier. Le jacuzzi bouillonnait, des pétales de roses flottaient à la surface, des bougies avaient été allumées et il régnait dans la pièce une odeur fleurie et fraiche. « Waw… » soufflai-je en entrant dans la salle d’eau, mes plans de plongeon toute habillée dans l’eau s’effaçant quelque peu devant le cadre et le luxe des lieux. Talya confiait finalement qu’elle avait attendu ce moment depuis des semaines. « Je culpabilise aussi tu sais, d’être là à profiter… Mais elles sont bien là où elles sont. » Les puces étaient avec tonton Emrys, elles allaient passer de superbes vacances. Et histoire de ne pas laisser le cafard et le manque de nos filles nous envahir, je m’approchai du bain pour finalement lâcher ma petite amie dans ce dernier. « Oops… Va falloir retirer tes vêtements un à un maintenant… » lançai-je malicieusement.
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« Compte sur moi ! Ici ou dehors on va profiter de ce Spring Break et se rattraper crois moi ! » Se rattraper des mois de séparation, de notre premier spring break catastrophique et des quelques dernières semaines pendant lesquelles on ne s'est que croisé, ça ne devrait pas être permis tant de frustration entre un couple qui s'aime. « C'est ça ! Je reste pendue à ton cou jusqu'à la fin de ma vie... Ca me va... » Je lui fais un petit clin d'oeil et je dépose ma tête contre son épaule. Je crois qu'il n'y a pas mieux que de passer le reste de ma vie dans ses bras, je suis tellement bien avec lui. Quand je l'ai près de moi, ma balance internet retrouve son équilibre. C'est fou à expliquer mais c'est comme ça, j'ai besoin qu'il fasse le contrepoids toujours, qu'il soit là, qu'il m'épaule, qu'on soit un vrai couple comme on le fait depuis le 15 janvier en fait. J'ai à peine le temps de profiter de ce petit moment lové contre lui et de mes lèvres qui frôlent les siennes, qu'on arrive vers le jaccuzzi et qu'il me lâche dedans. Je me relève dans le petit bassin d'eau, trempée. Je mets mes cheveux sur le côté parce que je déteste en avoir de partout autour du visage et je reste là face à lui. Mon jean me colle à la peau comme pas permis alors que c'était déjà le cas avant, et mon tee shirt blanc... Euh, ben il n'est plus blanc mais bien transparent et laisse entrevoir de la lingerie rouge, parce que oui j'ai bien retenu que le rouge est la couleur qui se voit le moins sous le blanc. « La seule chose pour laquelle tu auras le droit de culpabiliser c'est que je sois malade demain parce que tu as mis trop longtemps à me réchauffer... » Crotte on s'est jamais retrouvé tous les deux à part pour la soirée de Saint Valentin mais il y avait du monde puis l'après, c'était trop court, alors on pouvait bien penser à nous un peu. Je le vis s'approcher doucement et je continuai de lui parler pour faire comme si de rien n'était comme si je n'étais pas troublée par lui et ses intentions, son regard qui me déshabillait littéralement. « Mila et Charlie visitent New York avec tonton Em... Papa et maman visitent le Chili tranquillement en pensant un peu à eux... » Si c'est pas beau ça ! Je me penche légèrement vers lui quand il est tout près de moi et je laisse mes cheveux goutter sur son tee shirt, avant de venir me plaquer contre lui pour qu'il soit aussi mouillé que moi. Mes bras s'entourent autour de son torse et je tente de le faire tomber dans le jacuzzi mais c'est peine perdue, j'ai une force de mouche. Sur le coup ma nullité me fait partir dans un rire franc : « Je viens de foirer ma vengeance, c'était nul... » Il va encore falloir que je nage pour gagner du muscle ! « Je crois que c'est le manque de sport... » Je le regarde avec un sourire en coin puis je me recule pour finalement me mettre au milieu du bain à bulles et retirer de moi même mon haut... Puis commencer à faire descendre mon jean... Dégrafer mon soutien gorge sans pour autant le retirer de sa place... Quoi il a bien dit bain privatif ? Pas comme la dernière fois où on était surveillés !

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 Ce spring break promettait d’être bien meilleur que le dernier, surtout que Talya n’avait pas l’air contre l’idée de rester enfermés dans cette chambre, elle envisageait même de rester pendue à mon cou, et vu son poids plume, je n’étais pas prêt de fatiguer. Sauf qu’en fait, elle avait suggéré une idée séduisante, et je me trouvais finalement d’humeur taquine, alors je la conduisis dans la salle de bain pour un plongeon toute habillée dans le jacuzzi. Elle se releva, l’air pas trop contrariée pour le coup alors que mon regard à moi se perdit bien vite dans la contemplation de ses formes joliment mises en valeur par le tissu mouillé… Des pensées pas très sages commencèrent déjà à germer dans mon esprit alors que mes prunelles s’arrêtèrent sur la lingerie rouge que l’on devinait maintenant clairement sous son T shirt blanc… « T’as mis la lingerie que je t’ai offert pour la saint valentin ? » questionnai-je en la dévorant des yeux avec une lueur d’envie. Je n’avais même pas eu le droit à un défilé après ce cadeau. Ma faute d’ailleurs, j’avais du filer dès le lendemain pour une mission express en Grève avec Dean et Paris pour retrouver Leanne. Je m’approchai doucement avec la claire intention de la rejoindre dans l’eau puisqu’apparemment, j’étais chargé de la réchauffer. Oui les filles étaient à NY, nous au Chili, pas de raisons de culpabilisé, de toute façon j’opinais en hochant la tête et en écoutant à peine, trop troublé par tout ce que la vision de la jeune femme ainsi faisait naitre en moi. Elle s’approcha, se collant à moi en pesant de tout son petit poids, échouant à m’entrainer dans le jacuzzi avec elle ce qui la fit rire, et moi aussi par la même occasion. « Va falloir remédier à ça mademoiselle Blackburn… Une séance de sport avec le coach Zacharias ça te tente ? » Je ne pensais clairement pas à une séance de muscu là, c’était véritablement du sport de chambre que j’envisageais. Et mes paroles devaient être assez éloquentes parce que Talya commença à se déshabiller. Mes mains attrapèrent les pans de mon T shirt qui vola dans la pièce. On allait déjà devoir s’occuper de ses fringues mouillées, autant épargner les miennes. Je retirai rapidement mon pantalon également avant de m’avancer à nouveau vers le bain, tout ça sans lâcher des yeux la demoiselle en plein striptease.

HJ : Pripri et Talya sont trop frustrés, tous nos rps font finir en hide Barricadons nous dans cette chambre (Prialya) 1881463262 et ça te va si je dis que Priape a offert de la lingerie à Talya ? Vu qu'on a pas joué leur st Valentin ?
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« Oui ! » Lui dis je en me mordillant ouvertement la lèvre inférieure. « Je me suis dit que si t'étais fatigué en arrivant, tu ne pourrais pas résister à ça... » Ses intentions étaient claires, il voulait en profiter, profiter d'un moment d'isolement tous les deux pour que nos corps se retrouvent mais il n'était pas le seul puisque j'avais moi même prévu de tout mettre en oeuvre pour le faire succomber même s'il me sortait les excuses de fatigue ou je ne sais quoi. La lingerie qu'il m'a offerte à la Saint Valention, elle est aussi rouge que l'amour et aussi débordante de sensualité qu'un homme peut l'espérer, ce n'est pas pour rien que c'est lui qui l'a choisie. Mais pour pouvoir la voir il allait devoir retirer mes habits qui collaient maintenant à ma peau, enfin surtout mon pantalon. « Je crois que je suis plutôt emballée oui... » Je lui fis un clin d'oeil en envoyant voler mon tee shirt dans un coin de la pièce. Il se déshabilla rapidement sans me quitter des yeux et entra à son tour dans le jacuzzi. Lorsqu'il s'avanca vers moi, je pris ses lèvres assez fougueusement et je l'encourageai à s'asseoir alors que je reculai pour continuer mon petit manège... Mon jean descendit de quelques centimètres mais avec l'eau ce n'était pas facile alors que je faisais tomber l'une des brides de mon soutien gorge, ma poitrine se dévoilant légèrement... Quand la seconde bride dévala mon bras, cette fois, il avait une vue imprenable sur le haut de mon corps, mon intimité n'étant plus que cachée par le bas rouge en dentelle qui n'était pas partie en même temps que mon pantalon. Je me baissai légèrement pour tenter de descendre encore un peu plus mon jean... Doucement comme pour le faire languir mais j'étais plutôt en vraie galère... Finalement après avoir passé les cuisses le jean fila jusqu'à mes chevilles et je le fis aussi voler dans la pièce, mettant de l'eau de partout. Mon regard se replanta dans celui de Priape alors que mes pouces passèrent sous le bas de mon sous vêtement pour jouer avec sans le faire descendre. C'est à ce moment là que je choisis de me rapprocher du jeune homme, prenant ses mains dans les miennes et les écartant de son corps pour faire monter le désir en lui sans qu'il ne puisse toucher. Combien de temps puis je tenir ainsi ? Je ne sais pas.



C'est parfait hihi Barricadons nous dans cette chambre (Prialya) 2511619667 mdr parents frustrés oui Barricadons nous dans cette chambre (Prialya) 166564858
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 « Fatigué ou pas fatigué, je ne risquais pas de résister… » La fatigue n’avait rien à voir avec mon degré de résistance devant l’attirance que je ressentais à l’égard de ma petite amie. Et cette lingerie que je lui avais ouverte, j’étais plus qu’impatient de la découvrir sur elle, la devinant déjà à travers ses vêtements mouillés. C’est donc avec des idées complètement mal placées que je lui proposais une séance de sport particulière m’attribuant le rôle de coach, chose qui sembla l’emballer. Son T shirt vola dans la pièce et je me délectai avec plaisir de la vue qu’elle m’offrait ainsi, sa poitrine merveilleusement soulignée par la dentelle colorée de son soutien gorge. Mes fringues volèrent également et je m’approchai. Talya me fit m’asseoir dans un baiser fougueux avant de poursuivre son effeuillage. Lorsqu’elle se pencha pour retirer lentement son pantalon, c’est sur ses seins que j’en profitais pour lorgner en commentant avec un sourire conquis : « Ils ne mentent pas dans les brochures sur le Chili, le panorama ici est vraiment à couper le souffle… » Pas besoin de sortir du bungalow, moi j’avais la vue que je souhaitais ici, dans cette salle de bain. Le striptease se poursuivit, les doigts de Talya jouant un instant avec la dentelle de sa culotte, la température grimpant un peu plus à l’intérieur de mon corps. Mais ça ce n’était rien, le pire ce fut lorsqu’elle s’approcha et emprisonna mes mains, bougeant devant moi en l’empêchant de la toucher… Délicieux supplice… Elle comptait là non ? Parce qu’au bout de 15 secondes à peine, mes mains s’étaient dérobées des siennes pour venir s’ancrer sur ses hanches et l’attirer à moi, la faisant s’asseoir sur moi.  Je la désirais trop pour me dominer plus longtemps. « Je valide ce choix de lingerie… » Et clairement, mon entre jambe aussi, vu l’état dans lequel je me trouvais après ce petit défilé….
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