Close your eyes baby ■ Solweig&Ethan

Du temps s'était écoulé depuis la dernière fois ou j'avais partagé un moment avec Solweig, j'avais eu le temps de réfléchir également à ma relation avec Arwen. J'avais bien pesé le pour et le contre et j'avais enfin fait un choix. Je ne pouvais plus faire souffrir Arwen avec l'histoire de Solweig, car même si je me forçais à ne pas y croire, j'éprouvais finalement quelque chose pour elle. J'étais donc redevenu célibataire et je n'avais pas le temps d'en profiter que j'allais déclarer ma flamme à une nouvelle fille. J'avais si peur qu'elle s'envole et de toute façon j'étais sur de moi, dans le sens ou il était peu probable qu'elle me dise oui. Mais j'avais tout de même préparé le coup. J'avais loué une chambre à l'hôtel et pris soin de recouvrir le sol et le lit de pétale de rose rouge. Ce soir je ferais ma déclaration, ce soir je serais seul pour un long moment ou heureux pour la vie, façon de parler.

Cette fille n'était personne d'autre que Solweig Baker, cette fille que j'avais rencontré dans les grandins du stade d'Harvard, que j'avais dédaigné dès les premières minutes. Cette femme allait peut être devenir ma copine... Peut être, car la dernière fois que l'on s'était vu elle m'avait bien fait comprendre qu'elle avait guérie, mais j'y croyais toujours peut être qu'elle re succomberait à moi, si je ne tentais pas je m'en voudrais à vie. Je lui avais de toute façon donné rendez vous en bas du chalet des filles vers 21h. Je m'y rendais, mon ventre était noué, mon coeur battait de plus en plus vite à chaque kilomètre de franchi. Puis arriva le moment tant redouté et attendu à la fois, j'apercevais Solweig seule, fumant une cigarette en bas des escaliers. J'avançais jusqu'à elle et me gara en plein milieu avant de la rejoindre armé d'un bandeau. " Bonjour Solweig ! " lui lançais je d'un ton innocent alors que je lui préparais une surprise qui lui plairait ou alors pas du tout. Et en un rien de temps j'attrapais sa cigarette la jeter a terre pour l'écraser,puis je lui bander les yeux. " Fais moi confiance je t'emmène quelque part " lui murmurais je au coin de l'oreille. Je la portais alors à bout de bras et la déposa sur le siège avant. Si jamais quelqu'un m'avait vu on aurait bien pu croire à un kidnapping. " Surtout ne le retire pas avant que je te le dise d'accord " je démarrais le moteur et parti à toute allure tout en gardant un oeil sur cette chipie.

Solweig s'agitait pas mal dans les premiers virages puis elle finit par se montrer sage jusqu'a destination. Je la portais de nouveau hors de la voiture tout en restant silencieux mais elle commençait à être impatiente "Bon qu'est ce que tu me prépares encore Ethan ?" je l'attrapais par la main et lui disais en chemin " T'inquiètes pas c'est plutôt agréable si on y réfléchis " oui car elle serait flatté que je l'aime même si ce n'était plus réciproque. J'avançais à l'intérieur de l'hôtel, nous prîmes un ascenceur et nous voila enfin devant la suite, je fouillais dans ma poche arrière de mon jean pour attraper le pass, lachant la main de Solweig. J'ouvrais la porte et la conduisait à l'intérieur.

Le moment tant attendu était arrivé je devais me jeter à l'eau, mon coeur était devenu fou, mes mains étaient moites, ma respiration saccadé. Les bougies dispersaient aux quatres coins de la pièce brillaient encore c'était parfait. " Enlèves le bandeau Solweig " lui disais je, j'avais un genou a terre devant elle, sa main dans la mienne. Solweig regarda d'abord tout autour d'elle émerveillée puis son regard revint se poser sur moi. " Solweig, je l'ai compris trop tard, j'ai compris trop tard la chance que j'avais quand tu m'as avoué que tu m'aimais. Et maintenant je sais que moi je t'aime, tu es celle que je veux à mes côtés malgré toutes nos différences, je te veux..." j'embrassais sa main sans lui demander son avis elle était assez grande pour me repousser." Oui je t'aime Solweig je ferais n'importe quoi pour toi, avec toi " je me relevais attendant une réponse, un rejet.

Les secondes qui séparaient la fin de mon discours et une quelconque réaction de Solweig furent très longue. Je croyais que mes jambes allaient céder tellement je tremblais. Puis je vis ses yeux se noyer de larmes, elle attrapa mon cou glissa une de ces mains dans mes cheveux et m'approcha d'elle. Nous étions très proche l'un de l'autre. Je sentais son souffle et le parfum de son gloss. J'avais finalement bien fait de tout lui avouer, elle avança ses lèvres contre les miennes et les frôla délicatement puis elle m'embrassa passionnément, nos lèvres se chevauchaient j'attrapais son visage pour l'embrasser de plus belle. Notre baiser fut intense et long, Solweig fini par rompre le baiser mais garda ses mains posées sur mon visage et m'avoua enfin "Ethan, tu vois, il n'est pas trop tard, je t'aime plus que tout au monde" je ne pouvais pas être plus heureux qu'à ce moment, j'avais échappé au râteau et je pouvais dès à présent être avec elle. " Tu peux pas savoir à quel point j'ai redouté ce moment, j'avais si peur que tu me dises le contraire... Viens par là " j'ouvrais mes bras et l'envelopper à l'intérieur pour la serrer le plus fort possible.

J'aurais eu envie de pleurer mais je devais me comporter en homme. "Je t'aime " chuchotais-je encore une fois de peur qu'elle ne me crois pas. J'aurais très bien pu m'emballer et commencer à la tripoter mais ça ne venait pas tellement j'étais aux anges. Je desserrais alors mon étreinte pour revoir son visage d'ange. Je mordais mes lèvres et lâchais un petit rire timide avant de passer ma main derrière la nuque comme à mon habitude quand j'étais stressé. Puis je détournais mon regard avant de sauter sur l'énorme lit qui troner au centre la pièce. " Je l'ai fait " me disais je à voix basse, fier de moi.

Solweig ne tarda pas à venir me rejoindre sur le lit, puis elle grimpa sur moi, ses jambes serrant mes côtes. "Donc ça veut dire que maintenant, on peut faire tout ce qu'on veut... en plus t'as sorti le grand jeu dis moi". Elle avait de grands yeux et regardait une dernière fois ce qu'il l'entourer avant de déboutonner deux ou trois boutons de son chemisier. " Je suis à toi Solweig, et une fille comme toi mérite ce genre de chose voir plus " c'est qu'elle commençait à m'allumer et je n'allais pas résister bien longtemps. J'admirais son décolleté ses seins compressaient dans son soutien gorge. Elle les plaqua contre moi pour me couvrir de baisers les uns plus fougueux que les autres. Solweig toujours aussi entreprenante retira mon tee shirt sa poitrine me narguer toujours, débordant de plus en plus de son haut. J'arrachais alors son haut sauvagement, puis passer une de mes mains sous son soutien gorge pour caresser un de ces seins. " T'es magnifique " je passais mes mains dans son dos remontant jusqu'a ses épaules puis je la ramenais tout contre moi, je pu dégrapher ce qui m'empechais d'admirer sa poitrine. Elle était à présent à demi nue sur moi, je balançais son soutif à l'autre bout de la pièce satisfait du paysage.

Mes gestes se faisaient de plus en précis, mes mains descendaient de plus en plus vers ses fesses, j'embrassais sa bouche, la mordais et la lécher dans le cou. Tout s'accélérait, je sentais les mains de Solweig détachait la ceinture de mon pantalon, elle l'enlevait malicieusement tout en me dévorant. Je chopais ses fesses et glissais mes mains à l'intérieur de son jean. Puis n'en pouvant plus d'être dominé sans vraiment pouvoir agir je la retournais et me retrouver enfin au dessus d'elle. Je lui ôtais son jean et me retrouver entre ses jambes, sa petite culotte était toujours la. Je passais ma main doucement dessus commençant de petit vas et viens. J'appuyais parfois et glissais mes doigts sous sa culotte. C'était excitant, palpitant. Je retirais en toute vitesse ce qui me séparait de son corps nu, j'en profitais à nouveau et retournais entre ses jambes, je quittais sa culotte et débutais par de petits coups de langues sur son sexe et glisser un doigt à l'intérieur. Tout était silencieux j'en avais presque honte car nous ne tiendrons pas longtemps aussi sage. J'entendais Solweig soupirer de plus en plus fort, son ventre se contracter, je lui faisais du bien et ce n'était que le début.

Solweig reprit le dessus alors que je lui faisais du bien, elle m'embrassa jusqu'a mon sexe, sans que je ne lui dise rien, elle s'occupa de lui et me fis une fellation. Je mordais mes lèvres à me faire saigner, je tenais sa tête en luttant contre l'envie qui montait de plus en plus en moi. Puis Solweig arrêta et s'allongea à côté de moi, écartant les jambes, comme si elle m'appeler à la pénétrer. Je montais sur elle, et entrer enfin en elle, c'était chaud et agréable, je m'y enfonçais doucement jusqu'au fond avant d'entreprendre de longs vas et viens, augmentant petit à petit le rythme. Je m'appuyais sur le lit les bras en avant à côté de sa tête, je pouvais voir son visage. Je la prenais toujours aussi vite, elle se tordait de plaisir sous mon corps. J'effleurais alors ses lèvres de mon doigt et le glissa à l'intérieur de sa bouche pour qu'elle le suce. Nous étions totalement différent par rapport aux minutes précédentes qui elles étaient toutes romantique. Mais la c'était devenu bestial et puissant. Je cognais mon bassin au gré de mes mouvements. Mon sexe devenait de plus en plus dur et grandissait en elle.

Je commençais à produire des sons, des gémissements. Je peinais à les dissimuler je ne pouvais plus il fallait que j'extériorise. Je me sentais suffisamment à l'aise avec elle pour lui dire n'importe quoi, je la connaissais à force et je me permettais de lui parler pendant notre acte. " T'aimes ça " toujours penché au dessus d'elle, mon sexe dans le sien je l'embrassais dans le cou puis me retira pour embrasser ses seins et les masser. J'avais envie d'une chose, la prendre par derrière ses fesses me faisaient rêver et j'aimais cette position. " Retournes toi s'il te plais " je me redressais sur les genoux, je passais ma main dans mes cheveux les coiffant vers l'arrière. " J'ai très envie de toi " elle s'était elle aussi agenouillée j'avançais alors vers elle pour l'embrasser et la gouter encore et encore.