Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityBonsoir, je suis l'attraction de la soirée. - Thétys & Arwen.
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Bonsoir, je suis l'attraction de la soirée. - Thétys & Arwen.

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Thétys & Arwen

BONSOIR, JE SUIS L'ATTRACTION DE LA SOIRÉE.

Il faisait nuit, normal, il était déjà une heure du matin. Le summer camp était un endroit super, en tout cas, Arwen s'y sentait bien, elle avait tous ses amis à moins de quelques minutes à ses côtés. Elle passait ses soirées avec eux à faire la fête et ses journées à profiter de la chaleur en allant se baigner au lac ou aux falaises. La brune était désorientée, elle ne savait plus quel jour on était, elle se levait tard et se couchait encore plus tard. Ce soir, elle allait avoir une soirée calme pour se reposer un peu, seulement, une fois dans son lit, Arwen n'arrivait pas à trouver sommeil et pour cause, elle avait faim.

La demoiselle n'était pas une très grosse mangeuse. Mais, quand cela arrivait, elle ne se privait pas. Elle avait la chance de pouvoir manger ce qu'elle voulait sans prendre un gramme. Arwen en profitait pour en manger tout un tas de cochonneries. La brune enfila une robe en vitesse et sortit de sa chambre. Elle marchait sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller les autres jeunes femmes avec qui elle partageait le chalet. Elle traversa la dizaine de mètres qu'il y avait à faire dans la nuit en s'éclairant avec son portable pour enfin arriver dans le chalet communautaire, vide. Très vite la demoiselle se retrouva dans les cuisines. Elle commença par fouiller tous les placards à la recherche de nourriture quelconque, mais rien ne lui faisait envie à cette heure. Elle leva la tête pour regarder au-dessus des placards et trouva dans un coin un pot de Nutella. Elle était trop petite pour l'atteindre, mais personne n'allait l'empêcher de l'attraper. Quand la brune avait une idée en tête, elle ne la quittait pas, même si cela devait la rendre ridicule, elle s'en fichait.

Arwen fit un tour sur elle-même et trouva une chaise, qu'elle prit et positionna en dessous de son trésor. Elle monta dessus et se hissa sur la pointe des pieds, les bras levés vers le ciel. Il manquait un ou deux centimètres, mais la jeune femme était sûre de réussir à le toucher du bout des doigts. Si quelqu'un entrée à cet instant, ce n'était pas du ridicule qu'elle allait ressentir, mais plutôt de la honte. Car, quand la jeune femme levait ses bras, sa robe remontait, dévoilant peu à peu ses fesses au premier venu. Mais, à cette heure, qui se rendrait dans la cuisine ?
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    Sans un bruit, le jeune Thétys qui séjournait également au camp entrait dans la cuisine. La clope au bec comme à son habitude. Il était pris de petites fringales nocturnes après des journées si courtes mais riches en distractions. Il ne pensait pas dormir de si tôt, alors il se baladait dans les diverses pièces du campement. Il avait soif, il était à la recherche de quelque chose pour le distraire et lui faire oublier cette chaleur typique des camps de jeunes libidineux qui réchauffaient encore plus cet air ambiant déjà assez torride et irrespirable. Un soda bien frais et bien sucré.

    Donc Thétys entrait dans la cuisine qu'il pensait à juste cause déserte, il marchait d'un pas lent mais décidé. Il y découvrait cette jeune et jolie jeune femme, debout sur sa chaise les bras levés vers un quelconque objet inaccessible, la laissant vulnérable tel un jeune enfant cherchant à atteindre un petit hochet hors de sa portée usant de multiples stratagèmes pour l'atteindre comme sa chaise haute. Dans son honorable quête, elle laissait apercevoir à son insu la naissance de ses fesses qui sublimaient ses jambes paraissant interminables et si douces au toucher. Un spectacle guère désagréable à admirer pour tout jeune homme, et Thétys ne semblait pas s'en cacher. Il restait là, debout, derrière son ingénue victime de voyeurisme. Il ne voulait surtout pas la déranger dans sa tentative de ravitaillement. Après quelques minutes, elle parvint à atteindre et se saisir de l'objet tant convoité. C'est à cet instant qu'il intervint d'un ton désinvolte en claquant la porte de la cuisine dans le but non occulté de faire sursauter sa délicieuse hôte. On en attendait pas moins du jeune Thétys.

    - "Ça va, j'te dérange pas trop la grosse ?" lui dit-il avec un léger sourire en coin, est-ce du à de frivoles pensées ou juste sa fâcheuse tendance à toujours vouloir la taquiner ?
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Elle savait qu'elle allait réussir à l'avoir, même s'il lui manquait quelques centimètres, elle pouvait atteindre son but. Elle y croyait du moins. Ce n'était quand même pas un pot de Nutella qui allait lui résister. La jeune femme était sur la pointe des pieds et ne pouvait pas faire plus, elle avait une main en l'air pour attraper l'objet et une autre qui tenait une poignée de porte de placard afin de se tenir et de s'aider à se hisser toujours plus loin. Elle le toucha du bout du doigt, elle le faisait bouger afin qu'il se rapproche un peu plus du bord. Le pot glissa un peu plus et à la grande satisfaction de la jeune femme, elle attrapa son trésor un sourire aux lèvres. La porte claqua un grand coup, quelqu'un venait d'entrer dans la pièce. Il n'en fallut pas plus pour que la jeune femme sursaute, se retenant de ne pas jurer pour ne pas réveiller les gens qui pouvaient dormir dans les alentours. Arwen se retourna alors, cachant sa trouvaille dans son dos pour faire face à cette personne. Ce n'était autre que Thétys qui était debout, un sourire en coin en train de l'admirer. Il avait dû voir les fesses de la brune et cette idée lui fit piquer un fard. Elle tourna la tête aussitôt pour qu'il ne s’aperçoive de rien et descendit de la chaise.

« Ça va, j'te dérange pas trop la grosse ? », la jeune femme reprit ses esprits afin de faire disparaître les quelques rougeurs sur ses joues et vint lui faire face, les mains toujours dans le dos. « Tu sais très bien que tu ne me déranges jamais mon lapin. ». La demoiselle lui adressa un sourire et déposa délicatement le pot de Nutella sur la table qui se trouvait en face du jeune homme. « Tu vois, j'étais sur le point d'entretenir mes bourrelés. » Arwen s'approcha un peu plus de Thétys pour le regarder de la tête aux pieds, « On devrait peut-être se le partager, parce que ton corps svelte et sculpté comme un dieu n'est plus vraiment d'actualité... ». La demoiselle lui lança un regard joueur avant de se diriger une nouvelle fois vers les placards pour se trouver une cuillère.
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Thétys H. Vasilis a écrit:




    Ils étaient là, face à face, seuls la paisible fraîcheur de la cuisine. Cette sublime jeune fille le fascinait quelque peu, je n'irais pas jusqu'à dire qu'il était troublé, mais les fameuses répliques de cette petite et fragile brune le tenait en respect. C'était instauré entre eux un petit jeu d'attirance-répulsion. "Quelle répartie dis donc. On sent le vécu d'ancienne obèse. Tu veux en parler peut-être" lui lança t-il suite à sa réponse. En matière de cynique et et autre jeu d'ironie, il n'était pas en reste, et elle le ressentait. Il la regardait avec un oeil particulier. Elle allait se chercher un quelconque et banal ustensile afin de se repaître de son trésor si durement acquis. Elle pris une cuillerée. Il ne broncha pas. Elle avait l'air d'apprécier. Elle allait replonger avec délectation sa cuillère dans ce fameux pot, il l'arrêta d'un geste vif en lui dérobant son bien. "On partage ?" répliquait-il avec ce sourire en coin qui l'avait rendu célèbre dans ce camp. Était-ce un sourire sadique comme celui d'un malfaiteur qui savoure avec plaisir le butin de son larcin et encore plus la réaction de sa victime ? Ou juste un petit réflexe de "playboy" ? Elle même n'avait pas la réponse alors qu'elle était en face de lui.


    Il s'asseyait devant elle, plein de désinvolture, il posa lourdement ses pieds sur la table. Elle le regardait. Il sorti une cigarette à nouveau et l'alluma devant elle, comme si de rien. A chaque bouffée, il lui soufflait la fumée sur son doux visage, elle toussotait, il en rigolait. Il était de nature calme, mais là devant elle, il semblait agité. Il s'amusait à la titiller, il gesticulait un peu partout. Il se levait jouait avec la fenêtre entre-ouverte, la fermait, la rouvrait. Il s'occupait comme il pouvait. De temps en temps, il lui balançait les petits objets qui lui passaient sous la main. Il ne semblait pas s'ennuyer non plus. Tout à coup, il revint vers elle, il se rassi en face d'elle toujours, et se rapprochant doucement de son visage jusqu'à un imminent contact qui n'aura pas lieu, il lui lança "Alors, on le partage ce pot ?"
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Et voilà qu'ils étaient repartis. Ils allaient s'adonner à leur jeu préférer et se livrer à une bataille sans merci. Ils ne pouvaient pas s'en empêcher, c'était ainsi depuis longtemps et ça le resterait sûrement encore pour un moment. Ils se trouvaient face à face l'un à l'autre. Ils se regardaient un sourire joueur aux lèvres. « Quelle repartie dit donc. On sent le vécu d'ancienne obèse. Tu veux en parler peut-être. ». La jeune femme ne releva pas, à la place, elle partit calmement en direction des nombreux placards de la cuisine à la recherche d'une cuillère. Une fois trouvé, elle retrouva sa place initiale. Le clame et la patience était ses armes les plus fortes, quelqu'un pouvait s'acharner sur elle, Arwen ne lâcherait pas les morceaux pour autant. La demoiselle se mit alors à lui prêter aucune attention, attendant qu'il vienne à elle. Elle était comme obnubilée par le pot de patte à tartiner et le bien qu'il lui procurait quand elle le mangeait.

« On partage ? ». Il venait de lui prendre sa cuillère sans lui demander son avis. La jeune femme fit un sourire, « Qu'est-ce qui t'arrive, tu es en manque ? ». Elle se redressa et lui reprit la cuillère sagement pour reprendre où elle en était. Il lui servit son sourire en coin en guise de réponse. D'ailleurs, ce sourire avait dû en faire craquer plus d'une. La jeune femme se laissa retomber sur le dossier de sa chaise, les pieds sur l'assise et les genoux contre la table. Arwen tenait le pot d'une main et la cuillère d'une autre. Téthys vint s’asseoir en face d'elle, déposant avec lourdeur ses pieds sur la table. Il avait l'air de comprendre que la brune avait décidé de jouer la carte de la muette ce soir. Du moins qu'elle allait l'emmerder comme il se doit. La demoiselle le regardait amusée alors qu'elle avait fait une pause dans sa dégustation. Le jeune homme prit une cigarette, l'alluma et se mit à fumer devant elle. Il renvoyait la fumée dans le visage d'ange de la brune ce qui la fit toussoter. Il lui arrivait de fumer parfois mais Arwen détestait toujours autant l'odeur, elle ne s'y ferait sûrement jamais. Le bellâtre avait l'air content de lui, il en rigolait du moins. Elle aimait bien le voir s'agiter, comme si c'était elle qui lui procurait cette sensation. Téthys se leva soudain et commença à faire le tour de la pièce, il alla d'abord en direction de la fenêtre et s'amusa à l'ouvrir et à la fermer. Il balançait le moindre objet qui lui arrivé sous la main sur la demoiselle, elle était devenu sa cible.

Quand il en eut marre, le jeune homme s'arrêta. Il reprit place en face d'elle et s'avança de façon à réduire l'espace, si la jeune femme s'avançait, ils se toucheraient sûrement. « Alors, on le partage ce pot ? », elle sentit le souffle du garçon contre sa peau, assez pour lui donner des frissons. Délicatement, elle passa son doigt sur le chocolat et vint caresser la joue du jeune homme avec celui-ci. Elle laissa échapper un petit rire et se leva pour aller derrière un îlot central. Elle tenait encore le pot entre ses mains et le regarda avec un sourire, « Si tu en veux d'autres, tu n'as qu'à venir en chercher ».
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    Il se tenait assis devant elle, elle faisait comme si de rien, comme si elle ne ressentait pas cette puissante et en même temps subtile attraction qu'il y avait entre eux. Cela l'amusait fortement, il gardait constamment ce sourire en coin qui le caractérisait. "Alors, on le partage ce pot ?". Après cette réplique presque susurrée à son oreille qui la faisait frissonner, il la regardait d'un regard profond. Elle était comme troublée, émoustillée. Et comme d'un soubresaut de courage elle lui tartina à l'aide de son doigt un peu de pâte à tartiner sur la joue. Thétys en fut quelque peu étonné, il faut l'avouer. Il faut dire qu'il connaissait la jolie brune pour son incroyable timidité et calme (surtout envers lui). Il va sans dire qu'il en était agréablement surpris. Elle se levait et allait se placer derrière un îlot dans la cuisine, comme si elle était retournée dans sa tranchée après avoir porté le premier et officiel coup qui inaugurait cette guerre des nerfs. "Si tu en veux d'autres, tu n'as qu'à venir en chercher". Il pouffa, ou gloussa. Qui sait si c'était un rire moqueur ou plutôt charmé.

    C'était son tour, il feignait l'indifférence. Il restait donc assis, il ne la regardait plus, il avait détourné le regard pour un spectacle pour qui lequel il simulait l'intérêt. "Enfin un truc intéressant dans cette cuisine !" dit-il les yeux faussement écarquillés devant une colonie de fourmis qui avançait tant bien que mal entre les carreaux de pierre qui faisaient figure de sol. Il se levait en suivant certaine jusqu'à leur butin. "Je vais t'appeler Arwen... toi aussi... Hey Arwen, toi aussi tu es là" toujours en parlant de ces misérables insectes. Il les nommait toutes Arwen afin d'agacer la jeune fille et de faire un joli parallèle entre ces petites créatures si différentes mais qui cherchaient à apaiser leur faim. Il se redressait doucement, regardait le jeune fille dans les yeux, et de son charmant sourire ravageur sorti ces quelques mots "Toi aussi tu étais là ? C'est une réunion de famille ou quoi ? Fallait le dire, j'aurais appelé mes parents...". Là son sourire plein de fausseté, de dédain et de second degré s'effaça, et toujours en regardant la jeune fille, avec un visage plein de neutralité, presque froid et dur et après ce court monologue il leva son pied d'un mouvement lourd et écrasa ses pauvres victimes. Comme si c'était un message qui la destinait, elle.

    Là son sourire revint. Il s'avança vers elle les yeux plein de douceur comme pour la rassurer après ce tragique accident. Il arrivait à sa hauteur. Il se rapprochait dangereusement de son visage, comme s'il voulait l'embrasser ou du moins comme s'il voulait qu'il y ai contact forcé. Ne voyant pas de résistance de sa part, il saisit doucement le pot de pâte à tartiner, et langoureusement lui dit : "Je suis venu le chercher tu vois ? Maintenant je me sers." A l'image du Docteur Jekyll et de son Mister Hyde, il lui arrachait violemment le pot des mains. Il laissa s'échapper un rire qui en disant long. Il était retourné s’asseoir, d'un vif mouvement il agitait le pot, comme pour trinquer, mais surtout pour la narguer. Après une cuillerée, en montrant la petite marque sur sa joue, il lui lança "Il faudra nettoyer ça ma jolie !".

    C'est à cet instant que le téléphone de Thétys sonnait. Qui pouvait bien l'appelé à cet heure-ci ? C'était un de ses amis. Il se levait rapidement mais il n'était pas pressé non plus. En sortant son téléphone il laissa tomber par inadvertance une photographie, plutôt ancienne, en tout cas on voyait qu'elle avait vécu. Sur ce cliché figurait deux personnes. Une femme, plutôt belle, elle devait avoir la trentaine. Tout près d'elle, se tenait debout un petit garçon, il devait avoir 5ans, en tout cas il n'en avait pas plus de 10. Reprenons l'histoire où nous l'avions laissé. Il s'isola donc près de la fenêtre afin de répondre et de ne pas être déranger. Il ne voyait plus la jeune et jolie brune, il n'y prêtait plus aucune attention à ce moment. Il lui tournait le dos, et regardait par la fenêtre, même si en pleine nuit, il n'y avait surement rien à regarder. Il avait son petit jardin secret, et connaissant le jeune homme, il ne tenait pas à en faire profiter sa jeune hôte. Il laissait parfois l'entendre, contre son grès bien entendu. Il ne parlait pas forcément fort, mais cela restait inintelligible. Parfois résonnaient dans la cuisine des éclats de voix. Il semblait énervé, agité tout du moins. Il raccrochait. Il semblait furieux et avant même que l'un des deux brise ce silence, il jeta violemment les objets qui avaient le malheur de lui tomber sous la main, entre autre le pot si difficilement acquis par la jeune femme auparavant. Le pot se brisa et Thétys ne semblait pas vouloir se calmer pour autant.
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Il venait de lui piquer sa tactique. Alors qu'Arwen avait gagné l'îlot central de la cuisine, Téthys se mit tout simplement à l'ignorer. C'était de la triche, mais, la jeune femme ne disait rien. Apparemment, le bellâtre venait à court d'idées. Néanmoins, ça agaçait vraiment la jeune femme. Elle n'aimait pas vraiment que l'on ne lui prête aucun attention, il était devenu totalement indifférant alors que jusqu'ici, il avait été le premier à la taquiner. La jeune femme lui tourna le dos, plutôt déçue, avec une moue boudeuse. Elle préférait donc le laisser seul, après tout, si c'était ce qu'il souhaitait, il allait être servi.

« Enfin un truc intéressant dans cette cuisine ! », suite aux paroles du jeune homme, la brune ne put s'empêcher de se retourner pour admirer le spectacle à son tour. Téthys admirait des fourmis marcher sur le carrelage de la pièce. Il les suivait et s’intéressait à ce qu'elles pouvaient bien manigancer. « Je vais t'appeler Arwen... toi aussi... Hey Arwen, toi aussi tu es là », il avait le don pour agacer la jeune femme. Celle-ci se retourna en vitesse quand il reporta son regard sur la jeune étudiante. S'il voulait la guerre, il allait l'avoir. La demoiselle n'était pas du genre à se laisser abattre si facilement. Elle reporta donc son attention sur le pot de patte à tartiner qu'elle tenait entre ses mains. Elle faisait comme si elle était seule dans la cuisine. Après un long silence, la demoiselle ne put s'empêcher de se retourner pour voir ce qu'il faisait, de peur qu'il fasse quelque chose dans son dos. Il la regarda au même moment, la demoiselle en profita pour lui lancer un regard noir pour lui montrer son mécontentement. « Toi aussi tu étais là ? C'est une réunion de famille ou quoi ? Fallait le dire, j'aurais appelé mes parents... », il avait le sourire aux lèvres, fier de lui. Arwen quant à elle saisit le premier ustensile de cuisine qu'elle trouva et le jeta dans sa direction. Par réflexe, Téthys se poussa afin de laisser passer l'objet à coté de lui sans être touché. Son visage changea, il devint alors froid et avec son pied, il écrasa sans hésiter toutes les fourmis qui se trouvaient sur son passage. Elle avait un peu l'impression en le voyant d'être l'un de ses insectes, comme s'il avait envie de me faire du mal à moi aussi mais qu'il se retenait. Arwen le savait violent parfois, elle faisait attention à ne pas se trouver sur son passage quand il était ainsi. Elle ne savait pas se défendre physiquement et le jeune étudiant pourrait se comporter comme il le veut sans problème.

Elle était toujours aussi furieuse contre lui à cause de cette mauvaise attention. Ce dernier fit un sourire et vint alors vers elle. Il faisait en sorte qu'elle se sente bien. Il devait être atroce avec ses victimes, ses émotions changeaient en quelques secondes seulement. Arwen l’ignora totalement, s'il croyait qu'elle allait redevenir gentille avec un sourire aux lèvres, il se trompait. Il s'approcha de plus en plus prés, un peu comme s'il allait l'embrasser. La demoiselle ne bougea pas d'un pouce, elle savait que ce geste n'arriverait pas. Il posa délicatement ses mains sur le pot, touchant celle d'Arwen au passage. « Je suis venue le chercher tu vois. Maintenant je me sers. » Son souffle percuta le visage de la jeune femme, elle le regardait dans les yeux quand il lui arracha violemment le pot de Nutella des mains. Elle s'en fichait, elle n'avait plus faim. Il ricana et alla se rasseoir à la table en agitant le pot, croyant que cela allait lui faire envie. Il lui montra la marque de chocolat que la brune lui avait fait avant de parler, « Il faudra nettoyer ça ma jolie ! ». La demoiselle sortit de derrière le comptoir et vint s'asseoir devant lui. « Il me semble que tu es assez grand pour le faire tout seul, mon mignon. »

Une sonnerie retentit dans la pièce. C'était le portable de Téthys. Il se leva précipitamment, sortit son téléphone de sa poche et décrocha. Il se dirigea vers la fenêtre et ne prêta plus aucune attention à la brune. Sur le coup, elle s'en fichait. Son regard fut attiré par une photographie qui se trouvait par terre. Il avait dû la faire tomber en sortant son portable. Arwen se leva et la ramassa. On pouvait y voir une femme avec un enfant. Ça devait être lui et sa mère, sûrement. Elle reporta son regard sur le Téthys toujours au téléphone. Elle n'avait pas écouté la conversation, mais elle n'avait pas dû être bonne. Le jeune homme devint alors furieux. Il se transforma alors en tornade et envoya valser les objets qu'il avait sous la main, dont le pot de Nutella. Arwen ne savait pas quoi faire à vrai dire. Elle s’avança de quelques pas vers lui. Il n'allait peut-être pas lui faire de mal après tout. « Tu devrais te calmer... », dit-elle d'une voix douce. Le regard du jeune homme vrilla sur les mains de la demoiselle. « Tu ... Tu as fait tomber ça par terre ». La demoiselle tendit timidement la photo afin que Téthys la récupère.
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Arwen avait ramassé la photographie échappée de la poche de Thétys. Il était déjà furieux par le coup de fil qu'il venait de recevoir et entendre la jolie brunette qui lui disait d'une voix tremblante "Tu devrais te calmer... Tu ... Tu as fait tomber ça par terre" ne l'aida absolument pas à se calmer. Thétys la regardait de tout son long. Le jeu et la rigolade n'étaient plus de mise à cet instant. Fou de rage, Thétys lui arracha violemment le cliché des mains et la poussa fortement en arrière afin qu'elle recule, comme si elle avait franchi une limite invisible entre eux. "Éloigne toi de moi ! Ne m'approche plus !" hurla Thétys à plein poumons. Il se fichait éperdument qu'on puisse les entendre et les réprimander du fait de ne pas être dans leur dortoir à cette heure de la nuit. "Je n'ai d'ordre ou de conseils à recevoir de personne !" dit Thétys d'une voix calme mais cependant les yeux plein de ce qui semblait être de la haine.

Il se sentait comme trahi, voir pire déçu. Il n'y a rien de plus terrible qu'un homme blessé. Il semblait troublé. Il faisait toujours valdinguer les rares et malchanceux objets qui lui passaient sous la mains. Mais petit à petit, il avait l'air de se radoucir. De temps temps, après avoir jeté une cuillère ou un verre à l'autre bout de la pièce, il se retournait vers la jolie brunette quelque peu effrayée. La douceur et l'apparente innocence de la jeune fille le calmait. Il était comme ça. Thétys était un nerveux, un sanguin. Il ne l'a pas toujours été... il l'est devenu au fil de sa vie encombrée de sombres péripéties. D'où il venait, c'était comme une sorte de carapace commune et banale qu'arborait les habitants de ce coin. Retrouvant son sang-froid peu à peu, du moins essayant de le faire, Thétys ramassait un chaise qu'il avait auparavant faite valser à travers la cuisine. Il la plaçait sous la fenêtre, celle-la même qui était la préface de cette crise sans nom. Il s'asseyait dessus, dos à son hôtesse. On ne pouvait voir ce qu'il y fichait. On l’apercevait juste assis, offrant son dos, regardant l'horizon et la nuit qui commençait à pâlir. Au bout de quelques minutes qui semblaient être des heures, il se leva de sa chaise, la rangea doucement sous la table, à sa place d'origine et prévue à cette effet. Là il leva les yeux vers Arwen et d'un regard plein de culpabilité, de bonne volonté et de honte, il lui dit avec un timide sourire "Je te rachèterais un pot de Nutella à la boutique du camp. Désolée ma belle, je me rachèterais à tes yeux, tu n'as juste à me dire comment."
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Ce petit jeu ne la faisait plus rire. Thétys devenait désagréable envers la jeune femme. Cette dernière préférait éviter les ennuies physiques, elle ne pouvait pas riposter face à des coups. Arwen était chétive et n'avait que les mots comme arme. Le jeune étudiant était littéralement en train de péter les plombs. Il arracha la photo des mains de la jolie brune en lui lançant un regard noir avant de la pousser violemment en arrière. Par chance, la demoiselle arriva à rester debout malgré sa maladresse habituelle. « Éloigne toi de moi ! Ne m'approche plus ! ». Elle sentait qu'elle avait quelque chose de mal, et que cette photo, personne n'aurait dû la voir, elle n'aurait d'ailleurs dû tomber de sa poche. Il criait et se fichait de faire trop de bruit. N'importe qui pouvait arriver à tout moment pour voir ce qui se passait et cela énerverait sûrement encore plus Thétys. Sa voix se calma peu à peu, néanmoins, le regard qu'il lançait à la brune était toujours le même. « Je n'ai d'ordre ou de conseils à recevoir de personne ! », Il dégageait tellement de haine. Arwen se sentait trahi, elle n'avait rien fait de mal, il savait très bien qu'elle était une personne digne de confiance, elle était déçue du comportement du bellâtre. À ses risques et périls, la demoiselle décida de riposter. « Tu aurais peut-être préféré que ce soit quelqu'un d'autre qui voit cette photo ! ». La jeune femme avait raison après tout, si ça n'avait pas été elle, ça aurait été une autre personne et il n'aurait sûrement jamais retrouvé cette photo. Chaque personne avait des secrets. Arwen en avait beaucoup, tout comme Téthys. Et la jeune femme avait l'impression d'en toucher un du bout du doigt.

Énervé, le jeune homme tourna le regard. Il fit de nouveau le tour de la pièce, et jeta encore une fois tout ce qui lui passait sous la main. Arwen ne bougeait pas d'un poil de peur qu'il s'en prenne t-à elle. Parfois, il se retournait et lui faisait face. Elle le savait violent et impulsif mais n'avait jamais vraiment assisté à ses crises de nerfs. Peu à peu, il se calmait et la tension retombait. C'est à ce moment que la brune s'autorisa à bouger. Elle commença donc à ramasser tous les objets qu'il avait balancé et à nettoyer le Nutella et les morceaux de verre. Téthys ramassa la chaise qu'il avait envoyée valser et alla s'asseoir face à la fenêtre, tournant le dos à la jeune étudiante. Il regardait l'obscurité sans réel but. Arwen avait fini de tout ranger quand il se leva pour remettre la chaise à sa place. Elle ne le regardait pas, elle lui en voulait. Arwen se dirigea en direction de l'évier pour se laver les mains et c'est seulement quand elle se retourna qu'elle se retrouva en face de lui. Il avait l'air de se sentir honteux, il lui adressa un faible sourire avant de briser le silence, « Je te rachèterais un pot de Nutella à la boutique du camp. Désolé ma belle, je me rachèterais à tes yeux, tu as juste à me dire comment ». Arwen était triste à présent, car les choses auraient pu se passer tellement mieux. Elle le regardait et ne souriait pas. « Tu sais quoi, t'es qu'un connard. Tu t'en prends à moi comme si j'étais de la merde alors que je ne t'ai jamais trahi ou fait de mal et je m'en fous royalement du pot de nutella ». Elle allait sûrement se défouler sur lui. Ces derniers temps, ce n'était pas très bien choisi de s'acharner sur elle, il lui arrivait trop de choses blessantes d'un coup et pouvait devenir plus désagréable que jamais. « Mais t'es un connard vraiment chanceux, parce que je suis une très bonne amie et que je t'apprécie tellement que je vais passer à côté pour cette fois. » Elle avait un regard insistant, elle était fatiguée de tout, elle avait envie de dormir maintenant, parce qu'il était tard et que toutes ses émotions l'avaient assommé. Elle le regarda d'un air triste et désolé, comme si elle n'avait plus envie de se battre et qu'elle s'acclamait vaincu. Elle changea de ton et devint plus calme et douce. « En ce moment, j'ai plus besoin d'un ami que d'un bourreau. »
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    Thétys se sentais mal, il se sentais encore plus désolé de voir que la jeune fille semblait fortement atteinte. "En ce moment, j'ai plus besoin d'un ami que d'un bourreau." Elle lui avait lancé cette réplique avec un ton plein de quiétude, mais Thétys semblait se rendre compte que la limite, il l'avait franchi également. Peut-être plus. Plus qu'il ne voulait l'admettre. Il admettait très rarement ses fautes lorsqu'il était en tort. Mais là il le reconnaissait. Il ne répondait pas. Il ne répondait plus. Tel un enfant que l'on venait de gronder, ses yeux rivés sur le sol. Arwen était une des rares personne, si ce n'est la seule avec qui il ne voulait pas se fâcher. Non pas qu'il en avait peur, cette jeune femme était doté d'un joli physique mais quelque peu chétif pour inspirer la crainte à quiconque. Il avait simplement peur de la perdre, elle.

    Sans dire un seul mot, il la pris dans ses bras. Des instants qui semblaient être interminables. Il ne voulait plus la lâcher. Pour lui, la relâcher, même quelques secondes, desserrer son étreinte était risqué. La jeune fille en profiterait surement pour s’échapper. s’éloigner de lui. Ce n'est pas ce qu'il voulait. "Je te garderais toujours près de moi. J'te lâcherais pas." lança Thétys d'un souffle court.
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