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Thétys & Arwen
BONSOIR, JE SUIS L'ATTRACTION DE LA SOIRÉE.Il faisait nuit, normal, il était déjà une heure du matin. Le summer camp était un endroit super, en tout cas, Arwen s'y sentait bien, elle avait tous ses amis à moins de quelques minutes à ses côtés. Elle passait ses soirées avec eux à faire la fête et ses journées à profiter de la chaleur en allant se baigner au lac ou aux falaises. La brune était désorientée, elle ne savait plus quel jour on était, elle se levait tard et se couchait encore plus tard. Ce soir, elle allait avoir une soirée calme pour se reposer un peu, seulement, une fois dans son lit, Arwen n'arrivait pas à trouver sommeil et pour cause, elle avait faim.
La demoiselle n'était pas une très grosse mangeuse. Mais, quand cela arrivait, elle ne se privait pas. Elle avait la chance de pouvoir manger ce qu'elle voulait sans prendre un gramme. Arwen en profitait pour en manger tout un tas de cochonneries. La brune enfila une robe en vitesse et sortit de sa chambre. Elle marchait sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller les autres jeunes femmes avec qui elle partageait le chalet. Elle traversa la dizaine de mètres qu'il y avait à faire dans la nuit en s'éclairant avec son portable pour enfin arriver dans le chalet communautaire, vide. Très vite la demoiselle se retrouva dans les cuisines. Elle commença par fouiller tous les placards à la recherche de nourriture quelconque, mais rien ne lui faisait envie à cette heure. Elle leva la tête pour regarder au-dessus des placards et trouva dans un coin un pot de Nutella. Elle était trop petite pour l'atteindre, mais personne n'allait l'empêcher de l'attraper. Quand la brune avait une idée en tête, elle ne la quittait pas, même si cela devait la rendre ridicule, elle s'en fichait.
Arwen fit un tour sur elle-même et trouva une chaise, qu'elle prit et positionna en dessous de son trésor. Elle monta dessus et se hissa sur la pointe des pieds, les bras levés vers le ciel. Il manquait un ou deux centimètres, mais la jeune femme était sûre de réussir à le toucher du bout des doigts. Si quelqu'un entrée à cet instant, ce n'était pas du ridicule qu'elle allait ressentir, mais plutôt de la honte. Car, quand la jeune femme levait ses bras, sa robe remontait, dévoilant peu à peu ses fesses au premier venu. Mais, à cette heure, qui se rendrait dans la cuisine ?
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