YOU AND I
— with kyla.
Bah oui moi j'aimais bien cette Kyla et je la trouvais très bien comme ça, je savais pas trop ce qu'il lui était arrivée mais j'pense que c'est que du bénéfique pour elle. Faut croire que j'avais un type pour les amies aussi, ça craint haha. Je me mettais à rire quand elle me parla de la Lady Gaga que j'aurais pu faire dans mon fauteuil roulant cette été, mon dieu j'en riais encore rien que de l'imaginer. « Mais pourquoi tu m'as pas donnée cette idée quand tu m'as aidée ? » Dis-je d'un air presque effarée pour ensuite sourire, au fait j'étais à mon combientième verre ce soir ? Parce qu'il fallait que je calme ma bonne humeur là. Je fronçais ensuite légèrement mes sourcils en voyant le visage de la brune changer, comme si quelque chose l'a tracassait, enfin je me plantais peut-être du coup je décidais de lui montrer une photo d'Oscar comme elle me le demanda. « Souhaite moi bon courage ! » Dis-je amusée quand elle disait que mon fils allait faire des carnages. Ça j'étais bien d'accord vu que c'était flagrant que c'était un futur beau gosse, merci les parents. D'ailleurs notre conversation s'envola sur le papa et j'pouvais pas m'empêcher de le critiquer, c'était plus l'entente avec mon ex alors bon. « Mais c'est exactement ça, il est beau mais rien de plus. » Dis-je amusée comme si j'venais d'enfin comprendre le mystère Royce. Mais elle m'expliqua que ce n'était que de l'amitié entre eux, tant mieux alors si ils arrivent à être amis, ce n'est que du positif. Elle me parla ensuite de Delilah et j'avais juste envie de sourire, mais disons que j'étais assez désespérée pour cette fille en entendant ça, fin évidemment que je m'en doutais mais maintenant j'en étais sûre. Faut passer à autre chose dans la vie chérie. « Evidemment que je m'en doutais, maintenant qu'il est libre super toutou approche pour attraper son bout de viande. » Dis-je amusée en levant mes yeux au ciel, y'avait vraiment aucune once de jalousie, je trouvais juste ça ridicule en fait. « Bonne réponse. » Lui dis-je d'un sourire en coin quand elle disait que personne ne pouvait lui dire quoi faire de sa vie et c'était exactement le genre de chose qu'il fallait comprendre pour réussir. « Oh m'en parle pas, j'suis en pleine overdose là. » Dis-je d'un air assez désespérée pour ensuite me poser sur l'un des canapés, autant être assise si on voulait parler pendant des heures. Et mon dieu si elle voulait plus de détails sur ma vie sentimentale il va lui en falloir du temps parce que faut dire que c'était le bordel dans mes sentiments et puis j'ai clairement trop ouvert les cuisses aha, je sors.