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Time to explain (Eden)

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 Le prince charmant d’Abby le retour ? J’avais découvert en janvier que le fameux Eden, celui que mon amie Abby me décrivait comme l’homme parfait, l’avait finalement quittée sans une explication alors même qu’elle était enceinte de lui, de jumeaux en plus, une grossesse qui n’était pas simple puisqu’elle avait commencé par un décollement placentaire, avec tout le stress que cela comportait. Le jeune homme à l’annonce de sa future paternité avait très bien réagi selon les dires de l’époque de la quincy, et lorsqu’elle m’avait appris son départ et leur séparation, j’avais donc eu du mal à comprendre et à y croire. La jeune femme avait opté pour une solution radicale et avait été avorter, ne se voyant pas élever deux enfants seule, sans l’homme qu’elle aimait à ses côtés. Et c’était avec une bouteille de vodka, en pleine crise de colère, se déchainant sur sa vaisselle, que je l’avais trouvée et ramenée chez moi jusqu’à ce qu’elle se calme. Alors quand, quelques semaines plus tard, je découvris le retour du fameux Eden, il me fallait le voir et lui parler pour avoir des explications, espérant que je saurais garder mon calme malgré ma rancœur contre lui. Au fond de moi, je voulais croire qu’il y avait une autre explication que le simple fait qu’il ait pu flipper devant ses futures responsabilités de père. Me voilà donc devant chez lui. Je frappai à la porte et patientai, attendant qu’il vienne m’ouvrir.
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Depuis mon retour ici, pas un jour n’a passé sans que je tente de joindre Abby par tous les moyens, quand j’appelle ca ne répond pas, les sms pareil, les mails c’est encore pire et quand je me présente à sa villa c’est limite si elle n’a pas l’air abandonné, car il n’y a plus âme qui vivent. Mais je n’abandonne pas car je dois absolument trouvé un moyen de la joindre, elle est pire qu’en danger et je refuse qu’elle court le moindre risque, je dois la protégé, je me le suis promis le premier jour de notre amour, que quoi qu’il arrive jamais il ne lui arrivera la moindre chose, que je la protègerai toujours.
Aujourd’hui, je suis dans ma villa qui n’est plus qu’un champs de ruine, tout, absolument tout a été cassé dedans, je sais que c’est Abby, a cause de la rose éternelle que je lui avais offert qui est toujours là mais en mille morceau. J’ai trouvé Bounty dans un refuge, naturellement je l’ai récupéré et il est tout aussi perdu que moi face à l’état de la villa.
Ca sonne, mon cœur ne fait qu’un tour, et si c’était elle ? Je dévale les escaliers et je vais ouvrir mais mon cœur cesse de battre quand je vois qu’il s’agit de Priape, un ami très proche d’Abby, mais peut être que par lui je pourrais lui parler… Je prends une seconde pour reprendre des pulsations raisonnable.

« Bonjour Priape, entre je t’en prie »
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J’en avais parlé en long et en large du garçon, mais au final je ne le connaissais que très peu. J’étais un peu anxieux donc, de venir sonner ainsi à sa porte. Je patientais avec la boule au ventre, espérant que les choses n’allaient pas dégénérer. Le prince avait quand même abandonné Abby alors qu’elle était enceinte, j’allais peut être perdre mon calme pour finir. Mais pour le moment c’était avec une réelle envie de l’écouter, de comprendre ce qui s’était passé, une vraie ouverture d’esprit donc, que j’étais là. La porte s’ouvrit sur le jeune homme et il parut trouver de me voir sur son porche. Il me proposa de rentrer après m’avoir salué. Je fis quelques pas dans l’entrée, où le capharnaüm ambiant, depuis la soirée où Abby était venue tout démolir, était toujours présent, donnant à la villa un aspect de maison pillée, cambriolée, mise à sac. « Tu es rentré récemment à ce que je vois… » commentai-je en voyant donc les débris toujours sur le sol qu’il n’avait pas encore eu le temps de ranger, ou faire nettoyer, probablement. « Je suis désolé de me pointer comme ça ici sans prévenir, tu dois surement avoir plein de choses urgentes à régler… Mais quand j’ai entendu dire que tu étais peut être de retour, il fallait que je te vois, que je te parle d’elle… Abby… »
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Je laisse l’ami d’Abby entrer dans cette demeure encore a sac, cela faisait a peine une semaine que j’étais revenu et j’ai tellement combattu pour essayer de joindre Abby, que je n’ai pas eu le temps ni le cœur a ranger cette villa. Il me parle, je garde le silence en l’écoutant, je l’invite a s’asseoir, laissant Bounty lui sauter dessus pour lui dire bonjour, je lui offre de quoi boire et je m’assois a près de lui.

« Il y a une semaine que j’ai remis les pieds ici, mais avant que tu dises quoi que ce soit, laisse moi parler, après tu pourras me frapper, ou bien d’autre pire choses si tel est ton envie mais laisse moi parler… »
Je le tut quelques secondes, cherchant mes mots, non je ne peux pas le regarder dans les yeux alors je me lève et je m’éloigne un peu de lui, restant quelques secondes dos à lui avant de me tourner de biais pour le voir.

« Mon père est à sa fin, les médecins ne lui donnent que quelques semaines, le soir du nouvel an, j’ai du rentrer en Norvège d’urgence, je n’ai pu prévenir personne, je pensais pouvoir le faire en arrivant, mais rien ne s’est passé comme je l’avais pensé…Tu le sais, je suis l’héritier au trone, et la mort de mon père entrainera mon accession au trône…Le matin on m’a annoncé que je devais me marié avec Marika de Hongrie, une très vieille amie d’enfance, j’ai parlé a mes conseillé, en leur parlant de Abby, de l’amour que j’avais pour elle mais ils n’ont rien voulu entendre, pour eux, elle n’est qu’une gamine instable, incapable d’être auprès d’un roi…Il m’ont retenu prisonnier dans mon propre palais, comme un rat de laboratoire, j’ai essayer de de briser ces fiancaille mais en vain. Pendant plus d’un mois je me suis battu pour trouvé un moyen de dire a quelqu’un la situation pour qu’on ne pense pas d’horrible choses, jour et nuit je pensais a Abby, a nos enfants… »
Je respire puis je m’assois de nouveau a coté de Priape, car l’instant dur de l’histoire arrivait.

« Une nuit, l’une de mes sœurs a pu se faufiler jusqu’à moi et ce qu’elle m’a appris m’a donné froid dans le dos…mes conseillers se sont entretenu avec un certain duc hollandais, je crois que je n’ai pas besoin de te préciser de qui il s’agit, toi qui est proche d’Abby tu connais la chanson…Priape…Il a convaincu mes conseillers qu’en éliminant Abby…je cèderai au mariage et ses bougres sont tombé dans son panneau funèbre…je ne pouvais pas rester impuissant face a ca…alors je me suis enfuie… personne appart toi et une poignée de personne sait que je suis là…j’ai fuis la norvège comme un paria et je suis sur que je suis rechercher mais je devais faire quelque chose…Depuis mon retour j’ai tout fait pour entrer en contact avec Abby, lui expliquer et surtout la mettre en sureté mais j’ai échoué… »
Je ne peux me retenir, je prends ses poignets et le regarde droit dans les yeux.

« Priape..par l’amour que je porte a Abby, fais qu’elle soit en sécurité et que personne ne puisse lui faire de mal…tu es mon dernier espoir de la protéger… »
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  Il m'invita à entrer, à boire quelque chose et je ne pus m'empêcher de me dire qu'Abby me tuerait sur place si elle savait avec qui j'étais et ce que j'étais venu faire. Je fus accueilli par un joyeux bazar. Rien n’avait bougé depuis ma dernière visite, quand mon amie avait tout mis à sac. L'ancien chien du couple me bondit dessus, me reconnaissant, me faisant la fête, et je lui grattai affectueusement le haut du crâne. Eden  m'informa alors qu'il avait une série d'explication à me donner, qu'il fallait que je l'écoute bien avant de l'engueuler ou de lui en coller une. L'envie ne me manquait pas mais d'un autre côté, il avait l'air sincère. Je voulais vraiment l'entendre... "Crois moi si j'étais venu pour te frapper, ce serait déjà chose faite..." Mais ce n'était pas pour autant que c'était tout cuit d'avance. J'étais avant tout un ami d'Abby. Les arguments et explications du garçon avaient intérêt à être solides et recevables... Je l'écoutais prendre la parole, d'abord navré d'apprendre pour son père je ne pus retenir quelques mots : " Je suis désolé Eden pour ton père..." J'écoutais la suite, de plus en plus bouche bée par ses révélations. Un mariage imposé qu’il ne pouvait le contester. Une séquestration dans son propre palais. La vie d’héritier semblait plus que compliquée et ça j’en avais déjà eu un aperçu avec les déboires de la princesse quincy. Il s’installa à côté de moi ensuite pour poursuivre, l’air toujours aussi grave. Et mon expression se changea en colère quand il me confia  qu’un duc hollandais, encore son salopard d’oncle pas besoin de me le dire en effet, avait profité de l’occasion pour commanditer une nouvelle tentative de meurtre sur la jeune femme. « C’est pas possible… » Mes poings se serrèrent de rage un instant, mais je me tus laissant Eden poursuivre la fin de son récit. Il saisit ensuite mes poignets, plantant son regard dans le mien, me suppliant de protéger la blonde : « Eden, bien sûr que je la protégerais, je vais lui dire d’être prudente, de renforcer sa protection rapprochée en augmentant son nombre de garde… Mais… Tu sais que c’est pas la solution sur le long terme. » Et surtout il fallait encore qu’elle m’écoute. En ce moment, elle était au plus mal, et ça je ne pouvais pas le lui cacher. Il avait été cent pour cent honnête, ça allait être mon tour : « Eden : tu connais Abby, tu sais comment elle est. Elle est bouleversée depuis que t’es partie, elle fait n’importe quoi, elle boit à outrance pour d’oublier, elle a mis ta villa à sac… Elle pète un câble… » Je lui confiais cela sans réfléchir à la question de la grossesse de la demoiselle. Etait-il au courant de la décision radicale que la jeune femme avait pris ? « Bref, je ne suis pas sûr qu’elle m’écoute, il faut que vous vous parliez. »
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Je déballe toutes mes explication a l’ami d’Abby, comme je lui ai demandé, il me laisse parler, faisant quelques commentaires entre chaque partie, il accuse les coups au fil de mon récit et moi je me bat avec moi-même pour ne pas éclater comme un petit garçon que je ne suis plus depuis longtemps, il faut que j’essaye de garder une image plutôt forte face a Priape, car si je me montre faible il va se dire que je serai incapable d’être fort pour Abby, enfin vous voyez la chanson.
Il me dit qu’il va la protéger mais qu’ajouter de la sécurité n’est pas une solution a long terme, surtout que le duc est malin. Je hoche la tête a ce qu’il dit, avant de le regarder, me souvenant d’une fois, dans la villa d’abby, je venais la voir, et elle a été attaqué, j’ai même été blessé ce jour là.

« Je le sais Priape, même avec mes garde a moi a ses coté, un jour elle a été attaqué, j’ai même été blessé a l’abdomen ce jour là, il est rusé, surtout que maintenant, il a les hommes de norvège et pour les connaitre par cœur, ils sont redoutables, entrainer a ne pas lâché jusqu’à avoir leur cible… »
Comment je sais ca ? car étant le prince Héritier, j’ai fais un service militaire auprès de ses hommes et je connais leur façon de procédé. Après toutes mes explications, c’est a son tour de me parler, il me parle d’Abby, du faite que je sais comment elle est, je hoche doucement la tête, Abby je la connais par cœur, même pire que par cœur, je commence a avoir peur de ce quelle a pu faire. Et il commence a m’énuméré tout ce qu’elle fait, la villa je le sais puisque je vis dedans, mais quand il parle d’alcool, je pense tout de suite a nos bébés car je ne suis pas au courant de ce qu’elle a fait, d’ailleurs je réagis tout de suite.

« De l’alcool ?? Mais et les bébés…Elle sait que c’est dangereux pour eux… »
Ce regard qu’il me lance, je sens que je vais avoir droit a une révélation auquel je ne m’attend pas. Priape en attendant part sur le faite qu’il faut que je lui parle car il n’est pas sur qu’elle l’écouterai lui. Je secoue la tête, l’air dépité.

« Cela fait une semaine que j’essaye de lui parler, de la voir, je l’ai appelé, je suis aller a sa villa, je lui ai écris des mails, j’ai tout fait, absolument tout, elle refuse tout contact avec moi…Tu es le seul qui peut accéder a elle pour lui parler… »
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  C’était flippant et je me décomposais un peu plus à l’écoute des paroles d’Eden, réalisant le pouvoir que détenait maintenant l’oncle diabolique de mon amie. « Faut qu’on trouve un moyen de la protéger, qu’elle se mette à l’abri qu’elle sorte moins… » J’en paniquais d’avance, parce que je connais Abby, je savais comment elle était, et là, au plus mal, elle avait rempilé avec ses mauvaises habitudes. Je citai l’alcool comme exemple et aussitôt Ed réagit, évoquant les bébés. La surprise se peint aussitôt sur mes traits et je relevai la tête vers lui. C’est ensuite une lueur triste et sincère qui apparut dans mon regard alors que je compris qu’il n’en savait pas, qu’il se ne doutait pas… Il pensait encore qu’il allait être père. Je déglutis, réalisant que ça allait être à moi de le lui dire, puisqu’apparemment Abby avait rompu tout contact avec lui. Mais comment lui dire, par où commencer ?? J’étais crispé. « Eden, je suis désolé. Il n’y a plus de bébés. » C’était surement un peu cash. Ma main se posa sur son épaule en guise de soutien, appuyant un instant avant de reprendre la parole, me faisant l’avocat d’Abby : « Elle était toute seule, elle avait peur, elle était malheureuse… Ca n’a pas été une décision facile à prendre pour elle mais elle ne se voyait clairement pas devenir mère comme ça, sans toi à ses côtés… »
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J’hoche la tête vivement quand il me dit qu’il faut qu’on trouve un moyen pour qu’elle soit en sécurité, mais j’avoue que là, je suis court d’idée car déjà avant j’avais essayer de trouver une solution mais Abby tient a sa liberté, l’empêcher de sortir à son aise c’est comme la faire prisonnière et je déteste ca. Mais passons, car il me parle d’alcool et je réagis tout de suite, dans mon esprit, en retrouvant Abby je retrouverai nos bébé, ses deux êtres que je chéri plus que tout au monde après Abby. Mais je vois son air grave, je commence a avoir peur et Priape lâche la bombe, alors qu’il pose sa main sur mon épaule, je repousse sa main en me levant, ma voix tremble violemment, je suis au bord de la crise d’angoisse.

« Tu plaisantes Priape…dis moi que tu me fais marcher… »
Il se fait l’avocat d’Abby mais je ne réponds plus, je suis dos a Priape, l’écoutant a peine, mon monde venait de s’éffondrer, car je comprends d’Abby a vraiment cru que j’étais parti, moi qui lui avait prouvé tant de fois l’amour que j’avais pour elle. Je suis comme démuni, j’ai perdu abby, nos enfants, ma vie tout bonnement. Un milliard de question viennent dans ma tête a propos de notre couple, de moi, peut être que je ne lui ai pas assez montrer que je l’aimais, ou peut être que j’ai cru trop de chose entre nous. Je sais plus, je suis perdu, s’en ai trop pour moi, je perds pieds, j’ai envie de hurler mais je suis comme paralyser, j’ai envie de tout casser, mais je suis incapable de bouger. Je suis comme une bombe a retardement prêt a exploser. Je tremble, je suis au bord des sanglots.

« Qu’ai-je mal fais… »
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  Edden se leva d'un bond, chassant ma main compatissante sur son épaule. Il s'énerva , me demandant si c'était sérieux, si je n'etais pas en train de le faire marcher. "Je plaisanterais pas avec ça Edden, tu t'en doutes..." Sujet trop important et trop grave. C'est sur un ton triste que je lui soufflai : "Je suis désolé." Il était de dos, tremblant de rage et d'émotions, je devinais son esprit torturé par mille questions et la seule qu'il laissa échapper était : -qu'avait-il fait- pour mériter ça. "Edden respire... T'as réussi à t échapper, Abby est toujours en vie malgré les menaces qui pèsent sur elle... Vous vous aimez, vous pouvez encore vous retrouver j'y crois." essayai-je le rassurer en me levant pour me placer derrière lui, sans néanmoins retenter un quelconque geste de compassion vu que je le sentais à deux doigts d'exploser. Positive attitude. Voilà ce que j'essayais, lui faire voir que les choses n'étaient pas si noires même si il allait devoir faire le deuil des jumeaux qu'il aurait pu avoir avec la jeune femme... Je me doutais que c'était cette révélation qui le chamboulait tant, qui lui faisait tout remettre en question.
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Je commence a me sentir mal, très mal, encore plus quand il me dit qu’il ne plaisante pas, car il ne plaisanterai jamais avec ca, j’avoue lui qui est récemment papa, il s’amuserai pas avec ca. Il essaye de me rassurer, de me remonter le morale mais il y a rien a faire. Je tremble, violemment, ma  tête est sur le point d’exploser, il me dit que l’essentiel c’est que Abby soit en vie et toussa toussa, alors qu’il essaye de me faire respirer mais rien a faire, je suffoque, mes nerfs lâchent, part dasn de violent sanglots, dos a lui comme depuis le début alors qu’il essaye de me dire que tout est encore possible mais là c’est trop douloureux, c’est trop pour moi, j’ai perdu mes forces, ma rage de combattre, je suis en mille morceau. Un trop d’émotion, je suis a deux doigts de la syncope. Les larmes coulent le long de mes joues dans un silence religieux, je craque, tout vient de partir en poussière dans ma tête, la tout de suite j’ai qu’une envie, arrêter cette souffrance en moi. Moi qui ai toujours été un homme fort, un homme digne, je me fissure. Je tourne a peine le visage vers Priape, il voit que toutes mes émotions m’échappent, la cocotte minute est entrain d’exploser et que j’ai besoin de lui pour ne pas partir en live.

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