dante + are you one of my father's minion?

On lui avait déjà dit qu'elle devait canaliser son caractère à la jeune rousse, que cela ne lui apporterait que des ennuis et voilà, ils avaient eu raison. Mais elle s'en fichait, son trait de caractère, cette impulsivité ne la dérangeait pas elle alors c'était ce qui importait. Sa mère lui disait souvent qu'elle avait le caractère de son père et sa bonté, mais elle ne voulait pas y croire, pourtant il fallait bien le voir pour se dire que sa défunte mère avait raison. Une fois encore, Solveig se mettait dans un pétrin sans nom et elle ne savait pas vraiment comment assumer cela, mais elle n'avait besoin de personne pour se sortir de là, elle y arriverait très bien toute seule. Elle savait que l'insolence avait prit part entière de son corps quand elle le frappait au visage alors qu'li n'avait quasiment rien fait. Mais, pour elle, il le méritait. « Oui bien sûr, on prenait le même itinéraire, bien sûr. Prend moi pour une imbécile. » et impunément, elle levait les yeux au ciel quand elle sentait son regard sur elle. Puis quand il entamait son long discours, elle se regardait les mains, insolente, avant de le fixer, un sourcil arqué, comme pour lui montrer que ses mots, elle n'en avait guère à faire. « Qu'est ce que ça peut bien lui faire que j'ai une main bandée ? » La jeune rousse s'adoucissait quelque peu quand il lui rappelait qu'on a qu'une famille. Elle aimerait aussi lui expliquer le pourquoi du comment elle est comme ça, peut-être qu'il comprendrait. Quoique, il n'y a pas grand chose à comprendre. Elle soupirait, passant une main dans ses cheveux et serrait doucement le poing pour dégourdir sa main avant qu'il ne reprenne la parole « Je... Je veux bien prendre un café avec toi alors... » Et elle grimaçait légèrement en rangeant son téléphone portable dans son sac, le regardant du coin de l'oeil elle murmurait « Tu me laisses t'offrir ce café ? Ca me ferait plaisir » Et d'un pas décidé, elle commençait à sortir de la petite ruelle sombre, non sans regarder une nouvelle fois autour d'elle, si elle n'était pas suivie. Saleté d'habitude.

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(Invité)

are you one of my father's minion?

Pour être honnête, Dante la trouve chanceuse, elle échappe à ça, à ce monde où lui est forcé d'être. S'il avait son mot à dire, il ne serait pas dans la mafia, non, il serait à faire le tour du monde ou a finir ses études pour devenir un grand homme, peut être même un flic. Il aurait totalement les capacités intellectuelles et physiques pour en devenir un. Mais non, il est coincé et c'est parce que c'est sa famille qu'il ne s'échappe pas qu'il reste, comme ci ça lui allait, mais si il pouvait choisir, il disparaitrait, il referait sa vie, il tirerait un trait sur tout ça et deviendrait un homme honnête, sans mafia, sans obligation, sans grade à tenir et sans rencontre entre mafieux et toutes ces choses horribles qu'on est forcé de faire parce qu'on en fait partie. Il n'aurait pas a toujours se soucier des autres mafias, surtout des triades qui sont ennemies des italiennes depuis longtemps déjà et il serait bien heureux, dans une vie tranquille, comme un gars normal. Cette fille a de la chance que son père l'ai pas faites entrer dans le système avec lui et il imagine très bien que Signore Blackbirds doit même en souffrir grandement de renoncer à elle. Elle ne s'en rend pas compte pour le moment, mais peut être qu'un jour elle ouvrir les yeux sur ce sacrifice dont a été capable son paternel.

C'était dingue, ce n'était pas une Blackbird pour rien, une tête brûlée, comme le Signore. Ca l'aurait presque amusé l'italien si elle lui en avait pas collé une. Maintenant que sa joue est endolorie par la gifle, il a un peu moins envie de plaisanter. Quand il lui soumet l'idée qu'ils empruntaient peu être le même itinéraire, elle n'est pas dupe. Il sourit suite à ses paroles « Maligne la rouquine, comme son paternel. » elle est insolente et elle a probablement envie de lui en refoutre une et quand il soulève le point de sa main bandée, elle lui affirme que son padré s'en fiche probablement « Qu'est ce que ça peut lui faire ? Je sais pas, tu penses pas qu'il aimerait savoir pourquoi ? Alors ? Comment tu t'es fait ça ? T'as cogné un porc épique ? Ou je devrais plutôt demander ... Pourquoi ? Un autre type louche te suivait ? » Bah oui, autant demander directe pourquoi elle est si parano et essayer de glaner des infos. Elle semble se calmer quand il lui parle de la famille. Ca c'est une chose commune à toutes les mafias : la famille, c'est absolument tout ... Et la voir se radoucir le calme aussi, elle est peut être pas si tête brûlé au final ? Et si elle veut parler, Dante est une des meilleures personnes placées pour comprendre ce qu'elle dit. Quand elle accepta pour le café, il la suit et quand elle regarde autour d'elle il reprend « Tu as absolument rien à craindre dans ce quartier. Tu es la bienvenue ici si tu as besoin de quoi que ce soit. Je suis peut être pas un des toutous du Signore mais je l'aime bien » un sourire sur son visage et il avance vers celui qu'il appel le meilleur café italien de la ville et ouvre la porte pour la tenir à la rouquine

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AVENGEDINCHAINS