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Allongée dans le grand lit de Dean, je soupire en passant une main sur mon visage fatigué. Tournant ma tête pour attraper mon téléphone et voir l'heure, je me rend compte qu'il est parti depuis déjà trois heures et qu'il n'a pas prit la peine de me réveiller. C'était certainement que je devais bien dormir. En ce moment, les nuits de sommeils complètes se font rares et surtout les nuits où je dors plus de deux heures par nuit. Je me tourne alors avant de donner une caresse à Clyde qui est allongé au bout du lit. Lui visiblement, ses nuits de sommeils ne sont pas perturbés, pas comme celles de sa maîtresse. Mais qu'importe. Attrapant une chemise de celui qui partage ma vie, je l'enfile avant de me diriger jusque la douche dans le seul et unique but de me réveiller afin de pouvoir aller faire un peu de shoppings dans le quartier italien et pourquoi pas, manger des pâtes. J'ai une envie affolante de pâtes en ce moment, je ne sais pas vraiment ce qui m'arrive. Il faudrait que j'arrête de manger tout le temps, ça en devient assez pénible. Mais bon, au moins, Dean n'avait pas à se plaindre que je ne mangeais pas, lui qui me criait presque dessus quand je prenais deux feuilles de salade au dîner. Courant à moitié nue dans l'appartement, je rentrais dans la chambre pour enfiler une tenue assez simple pour aujourd'hui. Je me mettais aussi en tête de le rejoindre dans son bureau quand il aurait terminé les cours ce soir histoire de lui apporter un café et de lui faire une surprise. C'était un bon programme pour une après-midi. Attrapant mon sac à main après avoir croqué dans un croissant, je descendais quatre à quatre les marches avant de m'enfouir dans le métro pour atterrir au quartier italien une vingtaine de minutes de transport plus tard. Arpentant minutieusement l'allée principale du quartier, mes écouteurs dans les oreilles, je me tournais quelques fois pour voir si je n'étais pas suivie. Un homme me semblait un peu louche, mais je n'en faisais rien, Dean m'ayant dit un bon nombre de fois que je me faisais des idées. Rien qu'à cette idée, je soupirais. Plus j'avançais, plus je me sentais emplie d'insécurité mais je me contentais juste de me tourner encore et encore avant de m'arrêter en plein milieu de la rue, faisant semblant d'envoyer un message.
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C'était une matinée plutôt tranquille que le jeune Basini était entrain de passé. A peine installé dans un nouvelle appartement près du campus -sans pour autant laisser le sien dans le quartier italien- il était parti courir autour du campus un footing matinal, comme tous les matins. Pour lui c'était le rendez-vous à ne pas manquer. Il avait finit par revenir chez lui sa colocataire Kyla dormait encore, il ne fait donc pas de bruit et entre sous la douche pour se rafraichir un peu. Après il doit aller au quartier italien acheter quelques trucs et passer à son appartement du quartier vérifier deux ou trois choses. Il devait donc faire vite et ne pas trop traîner. Même si c'était une petite journée, il espérait quand même avoir le temps d'aller faire du sport au complexe sportif de Harvard en fin de journée, histoire de se dégourdir les jambes et de s'entrainer un peu.

C'est sur les coups de 9 heures qu'il décolle enfin de chez lui en voiture, il route vite jusqu'au quartier qu'il considère entièrement comme "chez lui" et se gare sur sa place de parking attitré et liée à son appartement. Il passe un moment chercher des trucs, régler des problèmes dans son appartement et c'est vers 11 heure qu'il en sort enfin. Bien qu'il fasse froid, il va se prendre un café en terrasse dans le bar du coin et est installé à déguster un délicieux café noir fabrication à l'italienne quand une rousse passe. Ça lui fait tilte, il pense immédiatement à Monsieur Solveig, un mafioso d'Amérique qui lui avait dit que sa fille était dans la même ville que lui et qui lui avait demandé de le prévenir si il la voyait pour savoir comment elle allait. Il lui avait envoyé une photo alors sur son Iphone, Dante retrouve la photo et jette un coup d’œil rapide vers la jeune femme : c'est bien elle, la fille de Solveig. Il finit son café avec hâte et en avait préalablement commandé un à emporté qu'il attrape dans sa main, il salut en italien le patron du bar et se met à suivre la jeune femme à une distance raisonnable en composant le numéro du mafieu. Il y avait peu de chance que de là où elle était, elle entende les paroles du jeune homme mais par précaution, il laisse un message vocale en italien à l'adresse de cette amie de la famille « Ciao signore, come stai? Si tratta di Basini . Volevi che ti dica quando vedo se sta bene . E ' davanti a me nel quartiere italiano e lei sembra fare bene. Cercherò di vedere se riesco a imparare di più . » *Bonjour Monsieur, comment allez vous ? C'est Basini. Vous vouliez que je vous dise quand je la vois si elle va bien. Elle est devant moi dans le quartier italien et elle a l'air de bien se porter. Je vais essayer de voir si je peux en savoir plus.* Il continu de la suivre même après avoir raccroché, étonné de la voir dans le quartier. Il ne l'y avait encore jamais vu. Qu'est ce qu'elle peut bien y foutre ? Quand elle s'arrête, téléphone en main, il tourne dans un des commerce en la gardant en vue seulement du coin de l’œil et repart naturellement quand elle repart. A chaque fois qu'elle tourne, connaissant le quartier par cœur et ses commerces, il trouve une excuse si jamais elle l'accuse de le suivre : je dois passer dans cette épicerie, je dois aller voir Monsieur machin. C'est presque trop facile de trouver une excuse, il n'y a rien de bien sorcier mais elle semble se douter de quelques choses, mais après tout, il peut être un simple passant italien dans son quartier. Elle n'a rien à lui dire. Elle est chez lui, dans son quartier.


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Je n'avais pas l'habitude de venir dans ce quartier, j'étais plutôt habituée à flâner dans les centres commerciaux, à Cambridge, autour du campus ou tout simplement à la galerie. Mais aujourd'hui j'avais envie de pâtes, de nouveautés et peut-être que le quartier Italien pourrait me le donner. D'ailleurs j'avais rendez-vous chez le médecin dans la journée pour qu'il examine ma main bandée suite à une dispute avec un arbre. Ou avec la seule chose qui m'ait été possible de trouver dans cette forêt après ma dispute avec Dean concernant sa paternité. Je n'arrivais pas encore à me faire à l'idée qu'il allait être papa, et que ce n'était pas moi, la fille qui portait son enfant. Mais de toutes façons, je n'en voulais pas. Je ne voulais pas avoir la sensation qu'un autre m'habitait, que j'allais prendre du ventre, et que j'allais finir comme une baleine. Je n'avais pas envie de cela, mais en même temps, j'avais peur qu'il en ait envie et que nos envies et avis divergent sur le sujet. Ce qui pourrait nous mener encore et toujours à une dispute. Et je n'en voulais plus. Plus jamais de disputes, de cris, de larmes. Juste le bonheur. C'était ce que j’espérais du plus profond de mon être.

Tout en étant dans le quartier, je me demandais si Dean était déjà venu y faire un tour et je me disais intérieurement qu'on pourrait y venir pour dîner un soir. Sans prises de têtes, un soir ou je n'aurais pas envie de cuisiner. C'était une solution envisageable et j'y songeais grandement. Peut-être pour le soir de la saint-Valentin ? Oh non, cette fête était bien trop commerciale pour que je souhaite la fêter et je n'en avais pas vraiment envie après tout. J'avais juste envie de passer une soirée calme avec lui. Marchant d'un pas léger dans le quartier, je me tournais presque toutes les trente secondes pour voir si je n'étais pas suivi. Cette sensation d'inconfort m'incommodait fortement et je n'avais pas envie de la vivre tout le temps. Peut-être que je devrais me rendre à la police pour leur dire que j'étais suivie par des malades mentaux pour qu'ils me mettent sous protection policière ? J'envisageais encore une fois cette solution, si jamais je me rendais compte que j'étais bien suivie, je le ferais. D'ailleurs, je me tournais encore une fois après avoir envoyé mon texto et il n'était plus là. Ouf. Reprenant ma marche, je regardais à travers l'écran de mon iPhone s'il était la, et il y était encore. Bon sang. J’accélérais un peu la cadence, et bifurquant dans une petite ruelle qui donnait sur la sortie des employés d'un restaurant, je me cachais derrière un container, à moitié accroupie, prise d'une crise de panique. Je savais qu'il m'avait suivi, mais je ne bougeais pas. J'étais à deux doigts d'appeler Dean, mais il ne viendrait pas. Paralysée, je gardais mon sac à main tout contre moi et je restais cachée « Si vous êtes là, sachez que je suis à deux doigts d'appeler la police, alors restez loin de moi. »
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Ce quartier, il connaissait chaque ruelle, chaque personne qui y vivait. Il avait grandit dans ce quartier alors il connaissait toutes les têtes. C'est pour ça qu'il avait été étonné de voir la jolie rousse dans le coin. Il appelle son père lui annonce qu'elle va bien et finit par remarquer un bandage à sa main. Il se demande comment elle a pu se faire un truc pareil.. Ça ne semble pas saigner donc ça doit remonter un peu. Du moins, c'est ce que le jeune homme suppose. Il tente d'en voir un peu plus mais approcher est trop risquer. Elle pourrait le voir, elle l'a peut être même déjà vu. Il ne sait pas vraiment, où si il en est presque sûr vu ses mimiques mais il continue en prenant juste un peu plus de distance.

Seulement, la jeune femme semble paniquer, elle accélère regarde dans sa direction un bon nombre de fois alors que le jeune homme a ses lunettes de soleil sur le nez exprès pour qu'elle ne voit pas dans quelle direction il regarde. Elle finit par tourner dans une ruelle, celle de la sortie d'un restaurant, celui d'un ami de la famille, Dante hésite un instant avant d'y entrer mais il finit par y aller, de toute façon, elle l'a vu alors bon. Il retire ses lunettes de soleil qu'il accroche à son tshirt et la cherche des yeux. Il entend juste sa voix paniquer derrière une poubelle, quand il se penche au dessus pour regarder, sa tignasse rousse est là, elle serre son sac très fort et semble tétaniser. Elle lui demande si il veut qu'elle appelle les flics. Si elle savait ... Généralement, les flics viennent pas trop par ici, tout simplement parce que tout le quartier se connait et se tait, c'est la mafia qui gère le quartier entier. Donc même si il venait, il aurait eu le temps de l'enlever et la cacher quelques parts, les flics ne pourraient rien faire de plus. A part prier. Il recule cependant de quelques pas, les mains en évidence, pour lui montrer qu'il ne tient ni arme, ni quoi que ce soit qui pourrait la blessée. Si elle panique comme ça, ça doit être pour une raison. S'est-elle mis dans les ennuis ? Si c'est le cas son père devrait être au courant pour pouvoir l'aider. Il reprend alors « Hé, du calme, je ne vous veux aucun mal.. Je vous ai juste repérer il y a quelques pas et vous sembliez paniquer, je suis venu voir si tout allait bien... » Il se place dans son champs de vision histoire qu'elle puisse voir son sourire des plus charmeur, espérant la rassurer comme ça « Ca va ? Vous pensiez que je vous suivais pour quelles raisons ? » ça l'intéressait vraiment : pourquoi pensait-elle être suivis ? Si elle était en sécurité totale, elle ne devrait pas s'en faire.


 
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Je détestais ce sentiment d'insécurité qui m'avait pris au corps quand mon père m'avait dit qu'il ferait tout pour me séparer de Dean et qu'il saurait si j'étais encore avec lui ou non. Mon père me dégoûtait et je n'avais plus envie d'avoir affaire à lui. D'ailleurs, je devrais certainement le voir pour lui rendre son cadeau de noël, une magnifique paire de louboutin et une paire de boucle d'oreille svarowski, vu que j'étais persuadée qu'il me les avait acheté avec de l'argent sale. Salie par son activité et ses délires de mafioso. Rien que d'y penser, j'en ai la chair de poule et j'ai envie de vomir. Pourquoi avait-il si tristement dévié ? Je n'en savais que trop rien et je ne voulais pas le savoir. Je ne voulais pas me mêler de ses affaires, après tout, il était majeur, vacciné et je n'avais rien à dire le concernant. Ce n'était plus un enfant.

D'ailleurs, en me sentait suivie je me giflais intérieurement de ne pas avoir accepté les cours de self-défense que Dean me proposait. Avec le peu d'entraînement que j'ai, je me ferais agresser que je ne pourrais rien faire. J'ai bien une petite bombe de poivre dans mon sac mais c'était la seule chose qui me permettait de me défendre. Note à moi-même : reprendre la boxe. Mais au plus profond de mon être, je me disais que si cet homme me suivait vraiment, il ne pouvait rien entreprendre vu le nombre de personnes présentes dans cette rue. Quoique. Les gens n'en ont rien à foutre des autres, et je me ferais agressée, je suis persuadée qu'on me regarderait, un air de dédain sur le visage, avant de partir. Les gens et leurs mentalités m'insupportaient au plus haut point. Mais l'idée de me cacher derrière une poubelle semblait bonne sur le papier, mais qu'est ce que j'étais venue ici dans une ruelle pas très bien éclairée, toute seule, alors qu'un mec me suivait ? Côté jugeotte, Blackbird, on a vu mieux. Je restais non pas rassurée mais tétanisée, et quand je prononçais quelques mots maladroits, je l'entendais répondre. Sa voix se voulait être suave et douce, mais elle m'effrayait quand même un peu. « Est-ce que ça a l'air d'aller ?! » La voix sèche, cassante, je fermais les yeux pour calmer mes tremblements et pour éviter de l'envoyer balader. « Parce que je sais que vous me suivez, j'suis pas tarée, alors cassez vous, laissez moi vivre ma vie tranquille. » Je me levais alors et le bousculer de ma main bandée pour commencer à partir. Mais étonnement je me bloquais et me tournais vers lui par la suite. « Vous travaillez pour lui n'est-ce pas ? »
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Dans la mafia, tout le monde se connait plus ou moins et les alliances sont plus ou moins définit. C'est ainsi que ça fonctionne. C'est toute une organisation, structuré par des règles et des patrons mais aussi des lois inviolables et des hiérarchies. Plus son organisation est grosse, plus on a de poids et la Camora était devenu depuis peu la plus grosse de l'Italie et sachant que la mafia part un peu de là bas, le réseau de la famille Basini est conséquent. C'est comme ça qu'il avait rencontré Signore Blackbird, lors d'échanges entre les deux organisations. Un gars fort sympathique. Du moins avec lui. Ou peut être n'avait-il pas voulu se mettre le future leader des Basini à dos ? En tout cas, quand il avait su que Dante allait à Harvard, il lui avait demandé de jeter un oeil sur sa fille. Au début, il aurait aimé plus mais Dante l'avait stopper : il ne se mêle pas des histoires de famille. S'assurer qu'elle va bien et qu'elle est heureuse, c'est tout ce qu'il ferait. Pour le reste, il devrait faire appel à quelqu'un d'autre, lui ce n'était pas son genre.

En tout cas, il ne s'était visiblement pas trompé de fille, ses cheveux roux dans un quartier d'italien avait attiré son attention. Surtout que son roux est flamboyant. Elle semble avoir peur qu'on la suive, du moins, il l'a vite conclu en la voyant accéléré et tourner dans une ruelle. Heureusement qu'il n'était pas un ennemie de son père car si ça avait été le cas, elle serait morte à l'heure qu'il est, surtout qu'elle se trouve dans son quartier et que les gens ici le connaisse, quand il passe dans la rue, le jeune Basini est salué par les patrons de café et d'épicerie avec une grande sympathie. Donc personne ne viendrait si jamais elle appelait au secoure. Elle finit par se relever, lui répétant qu'elle sait qu'il la suit. Dante a les mains en vue, histoire qu'elle ne pense pas qu'il puisse la menacer et sa voix se veut poser mais elle ne se calme pas vraiment. Elle voulait visiblement partir. Dante ne la forcerait pas à rester et parler. Si elle ne voulait pas, il n'utiliserait pas la force sur elle. Mais elle se fige et le regarde, lui demandant si il travaillait pour "lui". Il fronce les sourcils. Quand elle dit lui, elle parle de son paternel ou de quelqu'un d'autre ? « Vous pensez que je travaille pour qui ? » Avait-elle des problèmes avec une autre mafia ? Si c'était le cas, il devrait en référé à son père dès que possible pour qu'elle puisse être protéger.


 
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Qu'est ce que cet homme faisait ici ? Pourquoi la suivait-elle ? Tant de questions qui se bousculaient dans sa tête et qui lui donnait envie de se claquer la tête contre le mur. Elle avait l'impression de devenir folle, que tout allait de travers depuis qu'elle avait osé dire à son père d'aller se faire voir. Elle ne pouvait faire un pas seule dans la rue sans qu'elle ait l'impression d'être suivie. Elle se demandait bien quand est-ce qu'elle allait avoir cette sensation d'insécurité dans son corps et qu'elle allait se sentir en sécurité dans cette ville qui l'avait vu évolué. Elle avait l'impression que tout lui tournait le dos au meilleur moment de sa vie, quand elle se sentait enfin à sa place dans sa vie, quelque chose d'autre clochait. Qu'est ce qu'il faudrait qu'elle fasse pour se sentir elle-même ne serait-ce qu'une fois dans sa vie ? Des questions qui restaient définitivement sans réponses. Et dont elle ne trouverait sûrement jamais les réponses sans l'aide de Dean, ou d'une personne extérieure. Peut-être devrait-elle en parler à Noah ? Non, mauvaise idée elle en était certaine.

Qu'est ce qu'elle pouvait bien faire si jamais il l'attaquait dans cette ruelle ? Hurler ? C'était certainement la pire des idées après tout, il pourrait lui faire du mal. Et elle serait incapable d'hurler si jamais quelque chose de mal lui arrivait, elle était déjà bien assez tétanisée pour cela. Son sac à main contre elle, elle était tellement pathétique. Mais elle arrivait à parler c'était déjà cela, elle arrivait à prononcer deux, trois mots qui avaient un sens fort heureusement. Puis de toutes façons, si cet homme lui voulait du mal, il lui aurait déjà fait non ? Elle sentait son cœur qui était au bord de l'explosion mais elle restait lucide, avant de partir. Mais elle se résignait et revenait sur ses pas lentement, lui faisant face. Elle le regardait, le détaillant du coin de l’œil, sans trop de gêne. Et s'il avait un problème, il pourrait aller se faire cuire un œuf. Lorsqu'il osait lui demander pour qui il travaillait, elle le fixait, incrédule. En plus, il la prenait pour une folle ? La croyait-elle stupide au point de ne pas se douter qu'il la suivait ? Elle levait les yeux au ciel, insolente. Puis, elle s'approchait de lui, et sa main s'écrasait sur la joue du jeune Homme « Parce que vous croyez que je ne sais pas que vous travaillez pour mon père ? Sombre idiot. » Et elle le fixait, la mâchoire serrée. « Alors maintenant, je ne le dirais pas deux fois. J'en ai rien à foutre de mon père. Et je resterais avec Dean, que ça lui plaise ou non. »
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La jeune rousse semble perdre patience face à Dante. Elle ne devrait pas. Son père ne lui a jamais apprit à ne pas énerver la mafia et a éviter d'hausser le ton avec un de ses membre. Visiblement elle elle s'en foutait, pourtant si Dante était réellement un sbire de son père, il l'aurait bien vite fait taire. Il continuer de jouer les innocents, fendant d'ignorer de qui elle parlait mais visiblement la jeune femme n'était pas si bête pour se faire prendre au piège.

C'est là qu'elle a commit l'irréparable, sa main vient s'écraser sur la joue de l'italien qui ne bouge pas, histoire de ne pas l'effrayer et qui ne réagit par pour ne pas avoir d'ennui avec son père mais son agacement se lit clairement dans les yeux quand il retourne la tête vers elle, la foudroyant du regard, surtout qu'il estimait franchement ne pas avoir mériter une gifle : pas d'insultes, pas de mouvement brusques. Elle venait de le frapper sans raison. Quelques personnes, face aux bruits se sont d'ailleurs arrêter pour voir ce qu'il se passait mais en reconnaissant Basini ils reprirent tous leurs routes alors le jeune homme, loin d'être content s'approche d'elle « Dis donc la mal élevé, il me semble que Signore Blackbird est plus poli que ça. Et surtout plus malin. Si je suis vraiment un mafieux c'est pas un peu débile de m'énerver en me giflant sans raison ? » quand elle lui parle de son couple, il lève les yeux aux ciels, si elle savait comme lui, personnellement il s'en contre fou. Que Signore Blackbird soit d'accord ou pas avec ça, ça ne le regarde pas. Il souffre un grand coup pour calmer son énervement et sa joue rougit par la gifle. Il ajoute ensuite « Rien à foutre, rien à foutre, vous venez quand même de me gifler sans raison. Et si vous pouviez éviter de m'en foutre une autre, j'apprécierai. Votre paranoïa vous rend violente. Ce n'est absolument pas ce que vous croyez. »

 
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Solveig n'était pas la patience absolue surtout quand il s'agissait d'amour. Non, elle n'était pas patiente, surtout quand elle pensait qu'on la prenait pour une imbécile de première classe, comme cet homme le faisait. Elle ne voulait pas qu'il la prenne pour une débile et elle savait bien qu'il la suivait. Elle n'était pas dupe, et elle savait que cela venait de son père. Cet homme qui la prenait encore pour la petite fille qu'elle n'était plus. Elle n'était plus une petite fille, sa petite fille, elle avait grandi, prit son envol. Et il avait tiré un trait sur leur relation parentale quand il ne s'était pas pointé à la soirée d'ouverture de sa galerie. Et quand il lui avait dit d'abandonner Dean. Son bonheur ne lui importait-il pas ? Il savait très bien que quand on aimait quelqu'un, on ne pouvait pas tirer un trait dessus. Mais visiblement, le décès de sa mère avait fait de lui un autre homme, un homme sans coeur. Et elle lui en voulait terriblement. Il serait sur son lit de mort que cela serait pareil. Elle lui en voudrait toujours, et elle serait capable de lui cracher les pires horreurs pour qu'il comprenne qu'elle le haïssait. Elle le haïssait au plus profond de son être et il allait devoir faire avec. Elle ne voulait plus porter son nom, mais malheureusement, elle le ferait jusqu'à un mariage qui n'aurait jamais lieu, étant donné qu'elle ne voulait, qu'elle ne désirait plus se marier. Alors elle devrait faire avec.

Lorsque sa main venait de s'écraser sur la joue du jeune homme, d'une force qu'elle n'avait décemment pas mesurer. Elle s'en voudrait presque sauf que ce geste, non, elle ne le regretterait pas. Il devrait se rendre compte qu'il s'était attaqué à la mauvaise personne et il se devait aussi de savoir s'il fréquentait son père qu'elle avait malheureusement hérité de son caractère assez trempé comme le disait sa défunte mère. Lorsqu'il la fixait, elle avait l'impression qu'un couteau venait de lui transpercer le corps. Mais elle ne cillait pas et l'affronter, elle affrontait son regard, ses mots. « Et toi, c'est peut-être débile de suivre une fille dans la rue ? Tu fais souvent le toutou comme ça ? » Oui, elle venait de passer au tutoiement et elle s'en fichait éperdument. Elle avait décidé de l'énerver pour voir jusqu'où il pourrait aller. Et s'il était surtout capable de lui faire du mal. Elle aimait flirter avec le danger. Elle avait l'impression qu'il sur-réagissait et elle levait les yeux au ciel, le trouvant pathétique. « Ce n'est pas ce que je crois ? Très bien, continue de me prendre pour la dernière des connes. T'as pas encore compris que j'avais compris ton petit manège ? » Et elle plantait son regard dans le sien, le défiant une fois de plus, et elle se demandait si jamais elle avait déclenché sa colère, si elle allait tenter et défier le diable. Et elle était prête pour cela.

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Visiblement, la demoiselle rousse et son père avait des choses en commun comme leurs impulsivités et leurs impatiences. Dante avait toujours dit au père de la rouquine que ça lui porterait préjudice. Lui, bien qu'il ait le sang chaud des italiens, il fait les choses de manières très réfléchit. Il est toujours prêt à prendre son temps. Il est impatient bien sûr, il aimerait que les choses se fassent vite, mais il est conscient de la réalité et a les pieds sur terre. Et c'est certain qu'à la place de cette impulsive, il aurait réfléchit à deux fois avant de gifler un potentiel mafieux. Déjà l'accusé de la sorte est une erreur car cela prouve qu'elle connait les mafias, ensuite, hurler et agir comme elle l'avait fait était dangereux. Dante aurait très bien pu faire parti d'un gang ennemie, prêt à se venger de Blackbird et pourrait s'en prendre à elle, surtout maintenant qu'elle venait de lui prendre la tête. Cette petite rousse ne devait pas vraiment avoir conscience de la réalité de la vie de son père. Sinon, elle n'agirait pas comme ça et bien qu'elle lui en voudrait elle serait aussi inquiète pour lui et reconnaissante que quelqu'un veille à sa protection.

La gifle reçut, il perd un instant son calme, lui intimant de se calmer. Faut pas déconner, il veut bien être sympa, mais pas gifler, il ne méritait pas un tel traitement. Et c'est surtout d'une imprudence. Il imagine un moment ce qu'il se serait passé si il n'avait pas été un allié de son père. Elle serait déjà au sol car femme ou pas, certains dans ce milieu ne font aucune différence. Ils s'en foutent, ils ne discriminent personne : tout le monde au même tarif. Mais l'insolente ne se démonte pas et continu dans sa lancé *Ah ces sales gosses qui n'ont absolument pas les pieds sur terre et la réalité des choses en tête* pensa-t-il. Il soupire, d'agacement, elle l'agace, elle et ses grandes phrases. Si Blackbird lui avait dit qu'elle était de ce genre, il n'aurait pas rendu service, ça lui aurait évité d'avoir la joue en feu et rougit par le choc. « On prenait simplement le même itinéraire, tu y as pas pensé à ça madame la tête brulée ? » il la foudroit du regard, quel insolente. Ca l'agace, mais à un point. Ce genre de gamine, c'est bien le pire quand il faut veiller sur elle. Elle continue de l'incendier. Il hausse les épaules : qu'elle se démerde avec son père au pire. « Ce que tu as pas compris la nombriliste, c'est qu'il y a pas de manège. Pour ton information, si quelqu'un devait bosser pour un autre entre ton père et moi, ça serait lui. Ensuite, il m'a juste demandé de m'assurer que tu allais bien parce que contrairement à ce que tu penses, c'est pas un monstre ton père et il est inquiet pour toi. Maintenant, démerde toi. Après tout, un père on en a qu'un, si tu veux renier le tien, c'est ton problème. Mais la prochaine fois qu'un gars te suit cours. Et cours vite. Parce que ça sera probablement un de ses toutous cette fois qui voudra t'emmener de force le voir pour que tu lui expliques pourquoi t'as une main bandée. Je suis sûr qu'il sera ravi d'entendre la raison et qu'il réagira en s'énervant quand je l’appellerai parce que toi et lui, vous êtes pas si différent. » Il avait dit ces mots en la fixant et est prêt à la laisser, il sort d'avance son téléphone à carte prépayer pour aller le Signore Blackbird. Pour avoir des conversations privées, étant donné que les portables risques d'être sur écoute, c'est en général par les téléphones prépayer que la mafia passe, un téléphone changé régulièrement. Il aurait presque été triste pour elle, elle reniait son père et elle ne s'en rendait pas encore compte, mais un jour, il lui manquerait. Parce que quoi qu'elle en pense, il a beau mal agir Blackbird, il reste une bonne personne. Il ajoute alors en la regardant « Perso, je vais me prendre un café italien. Joint toi à moi si tu as des questions. Je pense que ton papounet sera pas contre pour que je réponde un peu. Et appel ton fameux copain si tu veux. Je serais ravi de le rencontrer. Personnellement, j'ai absolument rien contre lui et j'en ai rien faire que tu sois avec lui ou pas. Et bien qu'il en dise le contraire, je pense que ton père, c'est pareil. Il veut juste être sûr que sa fille va bien. » Entre mafieux, on se soutient, il n'allait pas enfoncé Blackbird qui était il faut le dire, parfois borderline sur la morale, mais qui restait un homme charmant quand on le rencontrait en ami.

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AVENGEDINCHAINS
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