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« break free. » cole et anna.

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 « Tu crois que parce que tu as fini… Ha non pas –fini- excuse moi c’est vrai, je corrige, -abandonné- tes études, tu es forcément plus mature que moi, plus adulte ? » Et là, s'infiltre sur ma langue une envie suprême de lui cracher un « Mais n'importe quoi. » face à cette connerie qu'il vient de me glisser. Il est sérieusement en train d'insinuer que la maturité se mesure aux nombres d'années durant lesquelles on a pu ou non fouler les sols de cette foutue université ? J'en viens à penser son esprit encore plus sinueux que le mien, et ce n'est pas peu dire lorsqu'on connaît l'ampleur de ma propre folie. Hystérie que je cultive sans même le maîtriser. Alors j'en hoche le visage, de façon négative, de droite à gauche, au presque ralentis, encore hallucinée par ce qu'il vient de me sortir. « Non. » Je réponds tout d'abord à sa question. « Mais si tu es capable de penser que tu vaux mieux parce que t'arrives à enchaîner quelques bons résultats. » Quelques « A », je termine le fond de mes pensées, en oubliant Alan, l'espace d'une seconde, peut-être de trop, c'est vrai, mais tant pis, je m'y risque. « C'est que t'es encore plus con que ce je le pensais. » Une véritable débilité qui lui pend au nez.

La soirée n'est pas prête de se terminer, je le sais, étant donné que simplement une quinzaine de minutes me séparent de mon arrivée, mais à ses côtés, je jure que le temps a bien du mal à passer, surtout lorsque la conversation s'étiole sur la proximité que je peux avoir – ou pas – avec Alan lorsqu'on est censé se retrouver tous les deux dans les mêmes draps. Il gagne en assurance, lorsqu'il se perd à dire qu'on ne se touche pas, et j'augmente ma candeur, puisque parfaitement consciente de l'impact que quelques phrases bien placées peuvent avoir sur les hommes et leurs masculinités. Si simple à amadouer. Grand loup … ? Tu parles, je vais te bouffer. C'est bien pour cela que je me fonds en lubricité, que je lui offre un secret que je ne partage pas avec Alan, mais plutôt avec Clay, sauf que cela n'a pas d'importance, il suffit juste que la force et l'érotisme de mes mots fassent leur chemin dans les songes de son esprit que je désire soudainement libertins. « Je n’en crois pas un mot… » Nos visages sont bien trop proches pour deux personnes qui ne peuvent pas se voir, mais à son égale, je n'en bouge pas d'un centimètre, je reste là, à ressentir presque son souffle sur moi, ayant parfaitement horreur de cela. Camouflant les nausées que notre rapprochement peut provoquer, pour choisir de lui montrer un tout autre aspect de ma personnalité. Celui que j'ai, dans l'intimité. Insatiable et dévergondée. « Tu as tort. » De ne pas me croire, parce que je suis assurément de « perversité » la définition, que j'aime trop aller vers les chemins de ma propre perdition. Furtif et calculé, mon regard s'égare sur ses lèvres, tend à faire naître dans les méandres de son âme, idées pernicieuses à souhait. Je soupire alors, relevant mes pupilles pour aller chercher les siennes, et souffle « Soumise et pourtant indomptée. » Le parfait alliage, la meilleure façon de jouer. Et allant accrocher mes phalanges au col de sa chemise, comme je le ferai si je me voulais par lui à l'aube d'être prise. « Je n'en finirai pas de te hanter. » Ma prétention n'a aucune limite, je le sais, comme cet échange, joute, dans laquelle nous venons de nous lancer. « Obsédé, par l'envie d'à nouveau me toucher. » Je lâche le tissu, craquant un sourire, aussi coquin que mesquin. « Frustré, par les étudiantes et leur banalité. »
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 Débat sans fin. C’était n’importe quoi selon elle, de penser que je valais mieux qu’elle à cause de quelques bons résultats. Je secouais la tête pour expliciter mon discours : « Je ne dis pas ça Anna : je dis qu’abandonner ses études ce n’est pas une très grande preuve de maturité. » Et puis elle allait faire quoi de sa vie sans diplôme : bobonne d’Alan ? Je n’y croyais pas une seule seconde. Annalynne, pour le peu que je la connaissais, n’avait vraiment pas le parfait profil pour finir femme au foyer. « Et puis d’abord tu as arrêté pour faire quoi ? » Qu’est-ce qu’elle faisait de ses journées, l’intrigante brune ? Encore une info qu’elle refuserait surement de me donner, encore quelque chose qu’il me faudrait découvrir par moi même…
Et l’instant suivant c’est de sexualité, ou plutôt l’absence de sexualité, qu’on en arriva à parler. Je les pensais abstinent, m’amusant même à la provoquer en l’imaginant du genre à attendre le mariage, et c’est tout en provocation qu’elle vint me souffler à l’oreille l’affirmation contraire, m’avouant même des pratiques quelque peu surprenantes… Défiant mon interlocutrice du regard, j’affirmai alors ne pas en croire un mot et elle ne bougea pas, ne cilla pas, restant là, à quelques centimètres de moi. J’avais tord de ne pas la croire, et lorsque ses doigts vinrent se saisir de mon col, j’eus un imperceptible mouvement de recul mais me repris : je ne voulais pas laisser entrevoir à la demoiselle l’impact de ses mots, de son attitude… Il était dur de rester de marbre à la description des effets qu’elle se targuait d’avoir sur…  sur qui d’ailleurs ? Parlait-on toujours d’Alan ? J’en doutais pour le coup et d’ailleurs lorsqu’elle relâcha mon col, mes doigts vinrent s’y replaçait pour le réajuster, comme pour reprendre ma contenance. Et c’est mon tour d’essayer de la déstabiliser : « Alan n’a jamais été très fan des étudiantes… » affirmai-je alors avant de demander : « On parle de qui là Anna ? » Parce que clairement, elle m’avait convaincu avec son petit numéro. Je la voyais parfaitement jouer les libertines, j’avais juste du mal à retrouver l’empreinte d’Alan dans tout ce qu’elle me décrivait… Il y avait quelqu’un d’autre dans sa vie, son petit speech venait de m’en convaincre.
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 « Je ne dis pas ça Anna : je dis qu’abandonner ses études ce n’est pas une très grande preuve de maturité. » Et moi le fait qu'il n'arrête pas de me juger, ça commence sérieux à taper sur mon système nerveux. On est fait dans le même bois, lui et moi, je le sais, parce que je suis la première à le faire à son sujet. Mais il doit aussi savoir, que mon orgueil n'a pas son pareil, alors ses phrases, j'ai bien envie de lui faire ravaler. Trouver de quoi le faire taire une bonne fois pour toute serait sans aucun doute, une merveilleuse idée. « Et puis d’abord tu as arrêté pour faire quoi ? » Je reprendrai Omnicom, quoi qu'il m'en coûte, avec ce foutu mariage, alors en quoi ça peut l'intéresser ce que je fabrique de mes journées. Cependant me vient en tête une légère envie de le tenter, après tout, ce pourrait être possible que la situation me fasse doucement rigoler. Alors sur fond de défit je lui offre une occasion. « Tu n'as qu'à me suivre, un jour, et tu verras. » Te complaire mais aussi ; « Parfaire ton rôle de petit chien. » C'est un brin poussé, je le sais, mais c'est le risque et les paroles blessantes qui me font vibrer.

On se fond alors, dans une conversation à double tranchant, parler de nos, non, mes, pratiques lorsqu'il s'agit d'intimité. J'use encore de provocation, quand proche de lui, je lui dépeints le tableau de mes capacités à affoler les hommes et de connaître d'eux, tous les secrets. Lorsque je m'éloigne finalement, c'est avec un fin sourire que j'observe ses doigts se placer là où les miens se tenaient. Cherche à retrouver un minimum d'aplomb, et de ce fait, galvanise ma propre satisfaction. J'aurai au moins réussi à le perturber. « Alan n’a jamais été très fan des étudiantes… » Qu'est-ce que j'en sais ? Il est certain qu'il est plus au courant que moi de ce sujet, et forcément, je sais par avancer que c'est de cette manière qu'il va me piéger. « On parle de qui là Anna ? » Et j'en soupire, face à sa question à laquelle dans le fond, je ne m'attendais pas. De toutes les conclusions qui pouvaient se trouver dans sa tête, j'en aurai préféré une autre que celle là. Celle de me voir encore une fois, avec un autre que son meilleur copain. Il est, mon fiancé, si chiant que ça au lit, putain ? Et lui, son pote, il n'aurait pas juste pu se contenter de m'imaginer dans ses draps entrain de crier ? Au moins, j'aurai eu moins de mal à me sortir de ce petit bordel dans lequel je me suis moi-même plongé. Non, me serait contenté de quelques conseils au sujet d'une main qu'il se devrait d'utiliser. J'en bois un nouveau verre, pour prendre le temps, et avale, avant de lui adresser la parole une nouvelle fois ; « Les pirouettes, c'est bien beau. » Net, il est doué dans l'art des mots. « Mais clairement, t'es en train de m'accuser de quoi ? » De le tromper, de passer mon temps avec un autre, et d'adorer ça ? Il a raison, bien évidemment, mais Clay en plus d'être mon amant est mon plus beau secret. C'est railleuse, au final, que je lui dis. « Je voulais juste voir si tu pourrais te taper la fiancée de ton pote. » Good job, t'as passé le test de la fidélité en amitié. S'il y en avait réellement un à réussir, cela va de soi.
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