Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityMAXWAN ৩ J'aurais voulu tenir ta main plus longtemps mais la vie en décida autrement
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MAXWAN ৩ J'aurais voulu tenir ta main plus longtemps mais la vie en décida autrement

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J’sais pas vraiment où il en est. Il a repris confiance en lui, fait face au lendemain comme avant. Les seules marques de blessure sont visibles lorsqu’on lui parle d’Elizabeth, de Maxym ou bien lorsqu’il croise l'une des deux. L’alcool l’aide a être un bon acteur, à cacher ses entailles. C’est un pansement dont il ne cesse d'abuser. Il sait que la boisson ne va pas l’aider, mais c’est toujours mieux pour oublier. Antwan est à l’une de ses soirées, une que sa confrérie a organisée. Cette fois-ci, il a prit le temps de voir si Elizabeth n’était pas dans le coin et ce ne fut pas le cas. Pas de traces d’elle. Alors il a but, encore, encore, faisant semblant d’apprécier la soirée et les pauvres blagues des autres snobs. Il parle, rit, oublie. Jusqu’à c’qu’on lui dise d’aller récupérer une bouteille dans la cave et qu’il réussisse à s’enfermer dedans. La porte s’était refermée derrière lui. Pas moyen de l’ouvrir de l’intérieur. Il ne reste plus qu’à attendre qu’un autre, en manque d’alcool, vienne récupérer une bouteille. En attendant, l’étudiant se cale contre l’un des murs, bouteille en guise de compagnie et portable pour seule lumière. Il n’envoie pas de sms, reprenant gout à la solitude qu’il avait mis entre parenthèses pour la soirée. Comme quoi, le destin s’occupe de le remettre à sa place.
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C'est malsain ce que tu fais Maxym. Ce que tu te fais, à errer dans une confrérie qui n'est plus la tienne, à provoquer ton mal-être en flirtant avec le risque de te faire du mal à nouveau. Et tu as beau te dire que c'est parce que la soirée est bonne, que les invités sont tes amis, on sait toutes les deux que tes intentions ne sont pas si innocentes. Antwan ne donne plus de nouvelles, et tu n'en prends pas non plus. Tu n'as pas le droit. Et j'crois que lui non plus. Tu le sais, ça. La tentation est beaucoup trop grande, et c'est dans la Eliot House que la belle se retrouve, un verre à la main, qui se remplit plusieurs fois. Tout va bien. Tu maîtrises McAllister, t'as presque l'air heureuse, pas atteinte par ce qui te secoue le cœur depuis des semaines. Il y a juste quand tu crois reconnaître l'ancien allié de dos, que la fête s'arrête. La musique ne raisonne plus pareil, les conversations sont superflus. Le regard devient absent un instant, comme cherchant quelque-chose à laquelle s'accrocher. Et tu fonces jusque dans la cave, l'ouvrant avec fracas pour la refermer juste après, le dos collé à la porte. Souffle, inspire, les prunelles closes. Cette porte qui ne s'ouvre pas, quand ton regard s'ouvre sur la source de lumière, et qu'un hoquet de surprise sort d'entre tes lèvres en croisant la brillance des yeux de l'homme. C'est drôle, quand ce que tu fuis est placé sur ton chemin, comme le plus beau bras d'honneur du hasard. Appuie sur la poignée, plusieurs fois, en vain. Tu le sens, le désespoir qui te gagne ? « Putain.. » Réessaye, encore, plus brusquement. Me laissez pas là, j'y arriverai pas.  
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La porte qui s'ouvre perturbe le silence de la pièce. Sa seule possibilité de sortir se ferme immédiatement, tirant un soupir chez l'étudiant. Il se penche pour voir celle qui va lui tenir compagnie pendant les prochaines minutes et reste béa quelques secondes. Wayans n'est pas fou, mais aurait préféré l'être. Il voudrait croire qu'il hallucine, que l'alcool est responsable de la présence de Maxym. La vie se fout bien de sa gueule. C'est si drôle de le voir dans cette situation. Foutu destin qui s'acharne sur eux. Son dos revient se coller au mur froid, ses doigts recupèrent la bouteille. Il doit tenir quelque chose, il doit faire quelque chose. N'importe quoi. Son regard fixe la silhouette dessinée par la lumière du portable. Elle tente de s'échapper. Essaye, mais rien n'y fait. Les eliots ne sont pas foutus d'avoir une porte qui ouvre des deux côtés. « Ca sert à rien. » Ils sont bloqués ensemble même s'ils meurent d'envie de s'enfuir. Moins j'suis près de toi, mieux j'me porte. Antwan ramène ses jambes près de lui. Il voudrait disparaître, faire comme s'il n'avait pas vu Maxym, qu'il ne lui avait pas lancé ces quatre mots.
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Je sais pourquoi le silence. Tu n'as même pas eu besoin de l'expliquer, puisque tu n'en as pas le courage. T'es lâche Antwan, avec moi. T'es qu'un putain de lâche. Finalement, tu l'as toujours été. Tu ne m'as pas dis tes sentiments d'enfance, tu ne les as pas assumé par la suite, et tu me brises, t'assumes même pas que les morceaux de moi là parterre, c'est de ta faute. Alors on en est là, encore. La réflexion arrive jusqu'aux lèvres féminines, qui s'animent d'un sourire amer : « Et ça arrive, encore et encore. » On se veut, puis on se déteste. On se fuit, sans assurance de se retrouver. Et arrêtez de nous dire que la discussion résout tout, c'est parler qui nous a plongé dans ce désastre. « Ca sert à rien. » Je m'énerve toujours dessus, tu me connais. Sans conviction que ça soit utile, mais pour passer mes nerfs. « Ouais, t'as raison, ça sert à rien. » Sauf que je ne parle plus de cette porte. Si tu savais comme elle est mal placée dans la liste de mes soucis, cette foutue porte. Et combien toi, tu es au sommet. Lâchant brusquement la poignée, Maxym s'en écarte, le souffle bruyant, puis s'assoit contre le bois. La colère de la situation, l'emmène à la colère contre l'homme. « Ca sert à rien parce qu'on sait tous les deux ce qui va se passer. Enfin, qu'est-ce que je dis. Ce qui se passe déjà. » La mâchoire qui se serre, et ses billes qui fixent celui qui fut son allié. « Je veux que tu le dises. » Allez, dit-le. Maxym, faut qu'on arrête de se parler. Maxym, tu passes après elle, tu sais bien. Maxym, c'était une erreur, je regrette. Dit-le. N'importe quoi.
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Wayans veut tout sans concession. Faute aux parents qui lui ont mis une cuillère en or dans la bouche dès sa naissance. Il voudrait garder Maxym et Lizie auprès de lui sans en perdre une. S'il n'avait pas été aussi honnête, ça aurait pu se passer ainsi. Il aurait gardé le secret du baiser, n'aurait pas du choisir, ne se serait pas perdu. Faut arreter avec cette manie d'être sincère et de ne rien cacher. Ca brise tout. Il ne fallait pas tomber amoureux. C'est bien la pire destruction possible. On l'a pourtant mis en garde. Il suit les mouvements de la brune vaincue par la porte. On les oblige à se revoir contre leur gré. Il n'y a aucune douceur dans leurs retrouvailles. « Ca sert à rien parce qu'on sait tous les deux ce qui va se passer. Enfin, qu'est-ce que je dis. Ce qui se passe déjà. » Il s'éloigne. Parce qu'il n'est pas foutu de choisir entre les deux. Il n'a pas revu Lizie non plus, preuve qu'il n'a pas pris de décision hormis celle de disparaître un temps. C'est pas aussi simple que ça en a l'air. Peut-être que Maxym n'a pas une place si déplaisante. Elle n'a pas de choix à faire. « Je veux que tu le dises. » Ca ne lui a pas suffit la dernière fois ? Il faut que la vérité transperce son coeur à nouveau ? « Non. » C'est le plus égoïste des mots balancé sans hésitation. « Ne compte pas sur moi. » Les traits sont durs et fixent la femme. Il ne va pas la libérer.
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Nous n'avions jamais été aussi proches, et maintenant, si éloignés l'un de l'autre. On le savait, on l'avait craint, et tout c'était déroulé comme prévu. Toi, incapable de mentir à celle que tu aimes, toi, incapable de me dire que je dois m'éloigner. On savait cohabiter, tous les trois, tous les quatre fut un temps, quand tout restait sous la carcasse. Maintenant qu'il est question de se confronter à cet amas gerbant de sentiments, on est bien moins brillants. Tellement loin de la douceur d'une nuit passée. On est de ceux qui n'avions le droit qu'à une seule. « Non. » Tout ce que tu sais faire Antwan, c'est fuir la situation, en espérant qu'elle se résolve d'elle-même. Qu'on signe le traité de paix, que nos places se trouvent, l'une à ta droite, l'autre à ta gauche. « Ne compte pas sur moi. » Tu l'sais non, que j'arriverais pas à m'arrêter tant que tu l'as pas dis ? « Je le mérite. » J'mérite de l'entendre, pour que je parvienne à l'accepter. « Tu veux la récupérer, non ? Parce que si tu veux la récupérer, tu sais très bien ce que ça veut dire pour moi. » Pour nous, j'ai eu le mot sur la langue, mais mes lèvres l'ont retenu. Ca veut juste dire qu'on existera plus sous aucune forme. « J'peux l'entendre. C'est juste toi qui arrive pas à le dire. » Je sais que c'est dur, et que ça n'a rien d'agréable. Ma voix s'est adoucie, se vautrant dans le pessimisme. Réaliste, surtout.
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« Je le mérite. » Elle le mérite certainement, c'est pas la question. On parle de la laisser s'en aller définitivement. Y aura pas de retour en arrière. Y aura pas moyen de la remettre dans la case de meilleure amie. Elle ne sera que cette fille qu'il regarde à cette soirée, dans ce couloir, celle qu'il regrette. « Tu veux la récupérer, non ? Parce que si tu veux la récupérer, tu sais très bien ce que ça veut dire pour moi. » Bien Maxym, t'as touché du doigt le problème. En choisir une, c'est faire une croix sur l'autre. Parce qu'ils n'ont pas su rester silencieux. Mon dieu qu'il s'en veut pour ça. Il voudrait revenir en arrière et ne pas balancer les mots qu'il a dit ce soir là. Il aurait dû avorter la discussion, s'en aller, fuir comme il a l'habitude. Ses yeux ne regardent plus Maxym. Non pas par honte ni par fuite. C'est pour canaliser ses émotions. « J'peux l'entendre. C'est juste toi qui arrive pas à le dire. » C'est lui le problème. C'est lui le connard de l'histoire, qui fait du mal à tout le monde et qui continue même après les faits. Y a peut-être une raison à tout ça. Il a embrassé Maxym, il arrive pas à la virer de sa vie au profit de sa petite amie. C'est quoi à ton avis ? Une amitié si forte qu'elle en devient douloureuse ou c'est plus profond ? Est-ce que c'est toujours ce même truc qu'il a eu il y a des années ? Cette chose ancré en lui qui ne ne quittait pas ? Ca ne ferait que se recouvrir par d'autres d'émotions, d'autres sentiments, d'autres personnes ? Ca le fatigue. Il en marre de penser à ça constamment. « Alors laisse-moi dans mon silence. » Un soupir puis un regard. Il se sent obligé de parler. « Si c’était aussi simple que ça j’t’aurais laissé dès qu'Elizabeth a commencé à être jalouse. » Alors imagine maintenant. « J'peux pas te laisser partir. Je peux pas. »
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Tu vois, le truc avec toi Antwan, c'est que t'es pas clair dans tes décisions. Ni dans tes actes. Ni dans tes mots. Et moi, j'essaye de te suivre. Tu m'embrasses, tu animes mon battant, tu me réveilles pour finir par t'éloigner, nous laissant, moi et mon idiot de cœur. J'en ai marre de ce ballet où l'on se marche sur les pieds. J'en ai marre de ne partager que des danses qui se finissent. T'as pas le droit de me faire penser que je ne suis pas assez bien pour mériter plus qu'une passade. « Alors laisse-moi dans mon silence. » Oui Maxym, laisse-le dans son confort maudit, ignorer le reste, ne fait pas peser sur ses épaules ta propre peine. « Si c’était aussi simple que ça j’t’aurais laissé dès qu'Elizabeth a commencé à être jalouse. » La belle secoue la tête, lui coupant presque la parole tellement ses mots se précipitent : « Tu aurais éliminé une amie juste pour des caprices ? J'y crois pas. » Ou alors, je ne vaux pas grand-chose, même comme amie. « Elle n'avait pas assez d'argument pour légitimer le fait qu'on doive s'éloigner.. » Le sourire se fait amer. « Maintenant on lui a refilé toutes les cartes, parce qu'on est deux idiots. » Parce qu'on va passer d'une moitié à rien, juste parce qu'on a tout voulu, pendant quelques secondes. Mais moi, je ne regrette pas. Il y a beaucoup de choses que j'aurais faites différemment, dans notre passé, mais pas celle-là. « J'peux pas te laisser partir. Je peux pas. » Tu sais, je l'aime cette idée d'être retenue malgré la logique, contre ce qu'il doit être fait. « Bien sûr que tu peux. Je veux pas que tu la perdes et que tu me détestes après pour ça. » Et dans une contradiction parfaite, Maxym s'est glissée à ses côtés dans le noir. Elle inspire, la tête qui se repose contre le mur, les yeux plongés dans le sombre. « Et on ne peut plus être ami. Je pense que j'y arriverai plus. » J'ai à peine réussi, dans l'année qui vient de s'écouler. J'ai à peine réussi, et je ne savais pas que tout aurait pu être différent.  
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« Tu aurais éliminé une amie juste pour des caprices ? J'y crois pas. Elle n'avait pas assez d'argument pour légitimer le fait qu'on doive s'éloigner.. Maintenant on lui a refilé toutes les cartes, parce qu'on est deux idiots. » Elle a raison. Elizabeth pourrait exiger qu'ils ne se voient plus. C'est légitime comme demande, c'est même la moindre des choses. Tu vois, c'est pour ça que leur duo avait besoin d'un membre réfléchit qui n'agit pas selon ses envies. Quand il failli à son rôle ça donne cette situation. Il a du mal à croire qu'un jour il sortira de cette posture. « Deux idiots. » répète t-il comme un écho. Parfois il se demande pourquoi c'est si compliqué, pourquoi ca lui fait autant de mal. Puis il se rappelle ce baiser, c'qu'il a ressenti, et il comprend pourquoi son coeur n'est pas indemne. « Bien sûr que tu peux. Je veux pas que tu la perdes et que tu me détestes après pour ça. » Elle s'est approchée. Autant se faire du mal jusqu'au bout. « Si je te perds c’est elle que j’vais détester. » Il en est certain. C'est impossible de supporter l'absence de sa meilleure amie du jour au lendemain. Même avec ce qui s'est passé, même s'il y a des tas de choses cachées derrière un baiser, même s'il est déstabilisé. « Et on ne peut plus être ami. Je pense que j'y arriverai plus. » Ces mots. C'est différent quand elle le dit. Alors elle n'y arrivera plus ? C'est fini c'est ce qu'elle en train de dire ? Il prend une longue respiration, son souffle est saccadé par l'émotion, et pince ses lèvres. « Alors c’est fini ? Tu veux plus me voir ? Jamais ? »  
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« Deux idiots. » C'est toi le plus censé des deux, bordel. C'est toi qui nous tient, c'est toi qui me résiste, qui ignore ma présence quand elle est trop insistante. C'est toi qui fait qu'on tenait debout, qu'on était crédible dans notre rôle. Et quand t'as faiblis, j'ai pas su prendre ton rôle. Non, j'en ai profité. Allez, balancez-nous des pierres, mais faites deux tas égaux à nos pieds. « Si je te perds c’est elle que j’vais détester. » Y a pas de gagnants de toute façon, on est tous entrain de se planter. Tous foutus. Et Maxym, elle a abandonné. Allonge ses jambes devant elle, joue avec ses doigts. J'aime pas ça. J'suis pas à l'aise, je déteste cette situation. J'aurai préféré ne pas savoir, j'aurai préféré ne rien ressentir. Et même si je sais mentir à autrui, c'est beaucoup plus difficile de se mentir à soi-même. « Alors c’est fini ? Tu veux plus me voir ? Jamais ? » Un léger sourire se trace, tandis qu'elle tourne ses traits vers lui. Ouais, ma voix calme, ça change. « Je veux te voir Antwan, c'est pas ça. Mais... être amis, faire comme si on était des supers potes, et que ça avait jamais existé ? » Comment tu peux croire que je suis capable de faire ça ? Tu me sur-estimes. « Te voir avec Lizie, comme si j'm'en foutais, et que ça me faisait rien. » Le sourire s'agrandit, mais teinté d'un peu d'amertume. Je te déballe tout, j'arrive plus à manier les faux-semblants et à gérer mon ego. J'ouvre le livre et j'te laisse en arpenter les pages. « Pour l'instant je suis pas sûre de pouvoir le faire. Peut-être plus tard.. j'en sais rien. » Là, c'est encore trop à vif. Quand je pourrais te voir sans avoir le ventre qui se serre, peut-être. Mais pour l'instant, j'arrive rien à éteindre.  
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