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« peindre l'air du vent. » evan et anna.

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Sur son dos, avec affection, je laisse ma paume le caresser, laissant une nouvelle fois ma marque sur sa peau, avant de me lever de ce lit qui nous est bien trop commun à présent. En récupérant mes affaires, trainant ça et là, je me décide à le laisser dormir encore, puisqu’il est rentré tard après mon propre service, à cause de son boulot, que je l’ai maudit de l’avoir fait, qu’entre deux disputes, il a fallu se réconcilier, je m’éloigne en direction de sa cuisine, où sur sa cafetière, engin qui date de la guerre, je laisse un post-it, amusée. « Faut remplacer cette antiquité. Boulot à 11h, passe quand tu auras émergé. » Un coup d’œil sur l’horloge digitale se trouvant sur le décodeur de sa télé, j’entrevois que j’ai encore presque trois heures avant de bosser. Alors je sors de son appartement, traverse le pallier pour accéder au mien et je me dirige dans la salle de bain, et en quelques minutes, je me prépare afin d’aller me défouler, puisque j’ai le temps. Prendre mon service aussi tôt n’est pas coutumier, à la vérité, c’est un horaire assez rare que j’essaie tant bien que mal d’éviter, mais parfois, le fait est que l’on n’a pas vraiment le choix. « Chacune son tour, Anna. » c’était bien ce que m’avait dit le patron avant de m’imposer ce timing à la con. Short, débardeur ainsi que baskets enfilés, je me regarde un instant dans le miroir afin de nouer mes cheveux en une queue de cheval que rapidement, je tresse pour être certaine de ne pas être gênée par cette chevelure que j’ai bien souvent du mal à dompter. Et c’est a pas rapides que je sors de mon appartement, attrapant un taxi à la volée, et lui demandant de me conduire jusqu’à un endroit où j’aspire à du calme avant de me perdre dans le chaos du Nirvana. Arrivée à destination, je paie mon voyage, et sortie de la voiture, je glisse dans mes oreilles une paires d’écouteurs branchés à mon cellulaire. Mode aléatoire activé, je commence à courir, petites foulées. Bien vite, je suis un sentier qui longe la rivière, mes prunelles attirées par ceux qui déjà sur l'eau s'amusent à pagayer. Un instant perdu, dans les abysses infernaux de ma vie. Un acte empreint de liberté, que je devrai surement commettre plus souvent. Courir pour oublier l’enfer délicieux dans lequel je me laisse graviter.
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« J’accepte de ne pas tout savoir et reste ouvert à toutes les occasions d’apprendre. »
Je m'étais levé tôt ce matin avant d'aller travailler il me restait quelques heures je décidais donc de faire du jogging afin de me réveiller comme du monde. Je me souvenais de ma rencontre avec Sanaa une jeune fille qui habitait la même maison qu'Ornella je me sentais tellement mal après ce petit incident et pourtant ça ne devrait pas, mais faut croire que ça nous arrive de faire des erreurs. J'avais hâte d'en parler à Ornella elle trouverait ça tellement marrant lorsque je lui rencontrais cette petite mésaventure. J'enfilais un pantalon jogging une camisole et ma veste. J'enfilais mes souliers et je m'échauffais avant de faire mon travail. J'enfilais mes écouteurs et je sortais de la maison et je verrouillais derrière moi. Je m'échauffais à nouveau et tranquillement je commençais à courir et je me dirigeais vers Charles River un endroit qui semblait être super de la manière que les gens en parlaient. Curieux, comme je l'étais je décidais de m'y rendre. Ce n'était pas très loin de la maison, donc je pouvais très bien y aller à pied. J'avais hâte de voir ce petit côté de pays afin de voir si les gens de Harvard avaient raison. Je ne pense pas que j'allais rencontrer des gens à une heure pareille la plupart du monde était encore couché ou bien il prenait leur petit café tout simplement. Je n'avais rien dit il avait quelques personnes qui y couraient il faut croire qu'il y a des gens comme moi qui sont matinaux.

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« J’accepte de ne pas tout savoir et reste ouvert à toutes les occasions d’apprendre. »
Sous la mélodie de la bande originale d’un film démodé, je continue mes foulées tandis que mon rythme de course devient petit à petit régulier. Sans aller trop vite, sans être trop lente, je cale mes enjambées afin de ressentir les battements de mon cœur trop torturé. Longeant toujours la rivière et sans plus regarder ce qu’il se passe autour de moi à présent, laissant le fil de mes pensées s’étiolant sur la courbe de cet aparté que je me permets de m’octroyer. Et perdant mon attention, je ne réalise pas, que mon pied va se flanquer dans ce qui s’apparente à une flaque de boue, ou ce qu’il en reste en tous les cas. Alors tant bien que mal, tandis que je commence à glisser, comme une débutante qui n’a jamais couru de sa vie, je m’accroche à ce que je peux, espérant de ne pas tomber de cette façon-là. Il s’avère que mon point d’encrage est un jeune homme qui n’a rien demandé. Mes phalanges se referment rapidement sur le tissu de la veste qu’il porte, étouffant un cri, et espérant que cela suffise pour ne pas abimer mes genoux contre l’asphalte pleine parsemée de graviers.

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« J’accepte de ne pas tout savoir et reste ouvert à toutes les occasions d’apprendre. »
Je m'arrêtais un petit moment pour reprendre mon souffle. J'avais du cardio, mais parfois j'avais besoin de m'arrêter un peu. Me connaissant j'allais recommencer à courir. J'avais envie de voir Ornella, mais elle était occupée avec les études et les examens allaient bientôt commencer. J'en profitais un max avant d'aller travailler. Je m'étais arrêté et je regardais au loin. Sans m'en rendre compte une jeune fille s'agrippait à ma veste. La pauvre je ne savais pas ce qui s'était passé elle allait tomber quelque part ou je ne sais quoi. Je l'arrêtais de mes mains puissantes il n'était pas question que cette fille se blesse ou bien se blesse les genoux. La pauvre elle était trempé une chance qu'il ne faisait pas froid aujourd'hui elle aurait pu faire de l'hypothermie, mais bon la journée était bonne. Je ne l'avais jamais vu dans mes cours sans doute qu'elle étudiait ailleurs ou je ne sais quoi, mais bon j'adorais mon travail. La jeune fille avait eu la peur de sa vie je l'a regardais et je m'adressais à elle.Est-ce que sa va vous n'êtes pas blessée ?

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« J’accepte de ne pas tout savoir et reste ouvert à toutes les occasions d’apprendre. »
Et mes ongles s'ancrent un peu plus dans le textile, s'accrochent et me retiennent, j'en clos les paupières, sûrement d'appréhension du fait de voir mon corps heurter le sol prochainement. Mais au lieu de ressentir le choc s'infiltrer dans mes jambes, c'est sur le haut de mon être que je ressens une pression, des paumes retenant ma chute. M'empêcher de couler, ou plutôt, de m'égratigner. Et j'en grogne – ou presque – de surprise, me redressant tant bien que mal en prenant appuie sur lui. Puisque ces mains appartiennent à quelqu'un, à mesure que je reprends mes esprit, mon regard s'éparpille sur lui, jusqu'à remonter à ses prunelles dont la couleur, une seconde, m'interpelle. Je tente une esquisse de sourire, lorsqu'il me donne le droit d'entendre sa voix. « Est-ce que sa va vous n'êtes pas blessée ? » J'en crache un soupir, et ne sais le définir comme soulagé ou pas, puisque j'incline le visage avant de lui répondre « Il semblerait que non. » Etant donné que je suis toujours debout, et que cela est, dans un premier temps, grâce à lui plutôt que grâce à moi. Même si je me félicite d'avoir eu la jugeote de me rattraper à ce que j'ai pu. Alors je reprends un peu de mon assurance, et le lâche quand je réalise que mes doigts le tenaient toujours, ils vont se glisser dans mes cheveux attachés, en tirant sur ces derniers afin de resserrant l'emprise de l'élastique, et lui dis ; « J'ai du glisser. » Comme si j'avais vraiment besoin de me justifier, après tout, il a surement du le deviner. J'en relève les prunelles vers le ciel, et me demande si je dois m'excuser de l'avoir non intentionnellement bousculé. Peu importe, puisque je ne le ferai pas, dans tous les cas, qui me connaît que les excuses ce n'est pas fait pour moi, de ce fait, je me contente de lui lancer. « Bref, bonne journée. » Joignant mes mains entre elles, et m'apprêtant à me détourner, pesant le pour et le contre au sujet de courir à côté d'une rivière et sa fichue humidité.

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« J’accepte de ne pas tout savoir et reste ouvert à toutes les occasions d’apprendre. »
J' espérais vraiment que cette jeune femme n'ait rien. Il avait rien de plus gênant que de glisser devant les gens qui se trouvaient dans ce parc Je suis sûr que la plupart du monde riait de cette chute à l'intérieur d'eux-mêmes. Elle aurait pu vraiment se faire mal ou même se casser un membre. Cette femme s'adressait à moi en disant qu'il semblerait que non qu'elle n'était pas blessée. Une chance ce n'était pas l'idéal de courir dans un parc près d'une rivière à cause de l'humidité. J'aurais très bien pu tomber moi aussi, mais je dois avouer que j'étais quand même solide sur mes jambes. Elle s'adressait à nouveau à moi en disant qu'elle avait dû glisser. Je l'a regardais et je m'adressais à elle en souriant. Je dois l'avouer que c'est toujours dangereux lorsque tu cours dans un parc près d'une rivière on ne sait pas à quoi s'attendre, mais vous auriez pu vous faire mal en glissant. La jeune femme n'était pas obligée de se justifier ce n'est qu'un accident. Elle reprit la parole en me souhaitant bonne journée j'aurais bien aimé poursuivre mon trajet avec elle si elle le voulait. Je l'a regardais et je m'adressais à nouveau à elle. Merci vous aussi, mais j'aurais bien aimé terminé ce parcours avec vous si vous le voulez bien entendu.

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« J’accepte de ne pas tout savoir et reste ouvert à toutes les occasions d’apprendre. »
Et sa gentillesse naturelle me saute au visage lorsqu'il sourit et répond à mes quelques paroles glissées en guise de justifications. « Je dois l'avouer que c'est toujours dangereux lorsque tu cours dans un parc près d'une rivière on ne sait pas à quoi s'attendre, mais vous auriez pu vous faire mal en glissant. » C'est d'un hochement de tête que je lui concède la véracité de ses mots. Le problème premier n'étant sûrement pas la rivière, mais plutôt mon inattention, cependant, je me dois d'être sincère et forcément, toutes personnes me connaissant pourra le dire, je ne suis pas du genre à me positionner en tant que coupable, peu importe la situation, alors condamner le court d'eau comme il vient de le faire, concrètement, ça me va. « Mais vous étiez là. » Je parle sur le côté, sans le regarder, dérangée, oui, totalement même parce que n'aimant pas cette idée étrange de lui devoir quoi que ce soit parce que c'est sur sa veste que je me suis raccrochée pour ne pas, sur le sol, m'étaler. Alors c'est presque en étant polie que je lui souhaite une bonne journée, étant donné que celle ci vient à peine de commencer, commençant à dévier ma trajectoire de son être, m'apprêtant à reprendre ma course, en faisant, ce coup ci, plus attention. « Merci vous aussi, mais j'aurais bien aimé terminé ce parcours avec vous si vous le voulez bien entendu. » Intriguée, je me retourne vers sa personne, courir avec un inconnu n'est pas forcément dans mes habitudes, loin de là même. Étant solitaire jusqu'aux bouts de chacun de mes doigts. Alors j'en passe ma langue sur mes lèvres, en le jaugeant, le jugeant de mes prunelles ébènes et je la fais claquer finalement, avant de l'interroger sur un détail qui semblerait être en train de me tarauder. « Est-ce que tu comptes me découper dans un coin ? » A le traiter de potentiel psychopathe j'en délaisse le vouvoiement. Et c'est joueuse que je continue sur ma lancée … « Parce que si c'est le cas, assurément, ma réponse est non, tu vois ? » Manière détournée de lui indiquer que sa présence à mes côtés, si elle est des plus innocente, elle ne me dérange pas. Enfin, pour l'instant, n'est-ce pas, on ne sait jamais avec moi, lunatique comme personne d'autre avant moi.

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« J’accepte de ne pas tout savoir et reste ouvert à toutes les occasions d’apprendre. »
La jeune femme aurait pu très bien se faire mal si je n’aurais pas été là. Une chance que j’étais là pour l’arrêter sinon je pense que je m’en serais voulu. Les gens s’étaient moqués d’elle ce n’était pas gentil de leur part, mais bon il faut croire qu’il s’en contre fichait. La jeune fille s’adressait à moi en disant que j’étais là et je l’a regardais et je m’adressais à elle. Oui vous auriez très bien pu vous faire mal. Si j’étais un psychopathe je l’aurais sans doute laissé tomber sans l’aider à se relever je n’étais pas comme ça loin de là, mais disons que la plupart des filles auraient peur de rencontrer un homme comme moi surtout lorsqu’on ne le connait pas. Elle s’adressait à moi en disant si je comptais la découper dans un coin et que si c’était le cas sa réponse était non. Je ne pouvais pas m’empêcher de sourire elle n’avait pas à s’inquiéter je n’étais pas un psychopathe simplement un être humain qui aimait courir et qui enseignait à Harvard. Je l’a regardais et je m’adressais à elle en souriant. Ne vous en faites pas je ne suis pas un psychopathe je suis simplement un être humaine qui aime courir et qui enseigne à l’Université d’Harvard. Je suis Evan Hasting professeur d’histoire et de géographie. Bah quoi valait mieux qu’elle soit au courant tout de suite sur de qui j’étais non. Peu importe si elle ne voulait pas courir avec moi je n’aurais qu’à poursuivre ma course seul avant d’aller travailler.

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Un instant, ses prunelles s'attardent sur ma personne, avant de le voir se remettre à s'exprimer. « Oui vous auriez très bien pu vous faire mal. » J'en fronce les sourcils, on ne va pas non plus tergiverser sur ma maladresse pendant des heures et des heures, puis d'accord, je lui ai concédé que grâce à lui je suis encore debout, mais question merci, je ne peux pas mieux faire. Alors autant passer à autre chose, après tout, il n'y a pas mort d'homme, enfin, mort d'Anna, si je voulais jouer sur les mots, comme à chaque fois. Alors il en vient à me demander s'il peut m'accompagner, et personnellement j'en deviens très vite suspicieuse à son sujet, certes il vient peut-être de m'aider, mais il pourrait être n'importe qui quand moi je ne le suis pas. Ce serait bien drôle demain de voir les gros titres s'il s'en prenait à moi. « L'héritière terrible d'Omnicom abattue dans la matinée. » Bon d'accord, ou peut-être juste frappée, mon père aimerait, pas vrai ? Je divague en pensée tandis qu'il se décide à me donner enfin l'information dont j'ai besoin pour lui donner mon aval au sujet de m'accompagner. « Ne vous en faites pas je ne suis pas un psychopathe je suis simplement un être humaine qui aime courir et qui enseigne à l’Université d’Harvard. » Enseignant donc, forcément, je n'ai plus vraiment peur de lui, et tous mes scénarios étriqués s'effacent directement de mon esprit. Je pense du coup à Dean, imagine qu'il doit le connaître, peut-être même Clay, puisqu'ils semblent tous avoir traîné ensemble au moins une fois. « Je suis Evan Hasting professeur d’histoire et de géographie. » En clair, il doit s'emmerder toute la journée, mais je ne me permets pas de le préciser, chacun son métier. Mes mains vont quelques secondes se poser sur mes hanches, et je le regarde, mal polie, je m'amuse à le faire de haut en bas, de ses pieds à son visage, plusieurs fois, lui laissant penser que je plus qu'en train de le juger. Et puis mes mains se relâchent, tombent au bout de mes bras ballants, avant de lui dire simplement. « Et bien Evan Hasting, professeur d'histoire et de géographie ... » Parce que ça m'amuse le fait qu'il se soit senti obligé de me sortir son curriculum vitae. En un sourire, je commence à reprendre mes foulées, avant de me retourner et de lui lancer. « J'espère que vous tenez le rythme. »

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Je n’aimais pas trop parler de moi, mais parfois c’était bien de dire aux gens que je rencontre qui j’étais. Je n’étais pas psychopathe, ni schizophrène et j’en passe. J’étais simplement un être humain comme tout le monde, mais je pouvais comprendre cette fille qui voulait savoir qui j’étais. Si cette fille ne voulait pas de compagnie je finirais mon parcours seul il n’y avait rien là. Son visage me disait quelque chose, mais bon je n’arrivais pas à la replacer sans doute que c’était une copine de Clay parce qu’il m’avait parlé d’une fille aux cheveux noires et aux yeux bruns. Peut-être que ce n’était pas elle il m’avait dit qu’elle s’appelait Annalynne, mais bon ce n’était pas grave si ce n’était pas elle. Elle s’adressait à moi en me demandant si je tenais le rythme. Je ne voulais pas la décevoir, mais je tenais très le rythme. Cette fille recommençait à courir en me regardant et je dis de même je n’ai pas eu la chance de lui répondre qu’elle était déjà partie. Je l’ai suivi à mon tour et après ce parcours je n’aurais qu’à rentrer à la maison prendre une bonne douche et aller travailler en prenant un café en chemin. J’allais la rejoindre et je voulais savoir en quoi elle étudiait je m’adressais à elle. Vous étudiez en quoi mademoiselle?

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