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Annaël ► I'm not a sexual predator

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Elle me prend pour un pervers, alors je me la joue ainsi, pour qu'elle me foute un peu la paix, parce que si je rentre dans son jeu, on en aura plus rapidement fini de ce débat qui commence déjà à bien me faire chier. Je déteste les femmes et leur parano de croire que tous les mecs les reluques ou même encore que leurs copains est obligé de regarder une fille qu'elle estime plus belle qu'elle… Elles se persuadent toute seule de connerie, sans tenir compte de notre avis, de notre vécu. Elles nous attribuent pour la plupart, souvent, voir même tout le temps des gestes que l'on a pas, comme à cet instant, cette femme qui me prend pour un pervers… Non, mais sérieusement quoi… Faut arrêter la fumette parfois… Enfin, je souris un peu en entend sa réponse alors que je viens de critiquer un peu son manque de poitrine. Je ne réagis cependant pas à ses paroles, étant donné qu'elle cherche à me faire mal en me traitant par sous-entendu d'handicapé mental. Comme on dit souvent, on répond aux abrutis par le silence, alors je ne dis rien, me contentant simplement de lui sourire dans l'unique but de lui faire comprendre que c'est elle l'handicapée de service là et non pas moi, même si j'ai les béquilles et la jambe en vrac. Bien qu'en fait, non, elle ne me traite pas d'handicapé mental mais bel et bien d'impuissant et cela, je le constate en voyant son regard se poser sur mon entrejambe. J'hausse les épaules à ce constat. "Ouais, pour bander sur une femme comme toi, j'ai forcément été touché là aussi." Ironisais-je en sous entendant pour le coup qu'elle n'était clairement pas bandable du tout, ce qui au final, s'accorde avec ce que je dis depuis tout à l'heure en la critiquant. Enfin, dans tout les cas, ça ne s'arrête pas là, je continue de la provoquer et quand sa réponse vient, je ne peux réprimer un petit rire. "Que ça ? Cela n'est pas un problème pour moi." Après tout, depuis tout petit, j'avais reçu un entrainement militaire, ou presque à cause de mon père, entraînement que j'avais complémenté d'une formation de garde du corps, alors il est certain que je sais me battre et que ce n'est pas un petit flic avec ses quelques prises qui va me faire peur, bon ok, l'état de ma jambe n'aide pas réellement à cela actuellement, mais il est certain que si je voudrais réellement rappliquer chez elle, je pourrais le faire sans être trop inquiété par monsieur le policier comme elle dit. Je l'écoute ensuite et rigole à sa proposition. "Fait gaffe, ou encore une fois, je pourrais te prendre au mot et je suis certain que même si mon joli minois est abimé tu voudras quand même de moi." Lui rétorquais-je en me levant de mon siège pour me mettre debout, tenant ma béquille dans ma main pour m'approcher d'elle. "Je ne banderais peut-être pas, mais je n'aurais pas besoin de cela pour te faire gémir et crier." Lui dis-je alors, mon regard bleu planté dans le sien, pour continuer de la provoquer encore. Me tenir maintenant si proche d'elle pouvait s'avérer dangereux, mais en même temps, c'est de cela que l'on parle depuis tout à l'heure, du risque et de la provocation, alors oui, là, je la provoque clairement en me tenant si près d'elle.
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Alors que je lui fais part de mes doutes au sujet de ses capacités, sa réaction première n'est pas sans me faire à nouveau sourire, un haussement d'épaules, suivis d'une nouvelle pique. "Ouais, pour bander sur une femme comme toi, j'ai forcément été touché là aussi." Et là, j'avoue que c'est l'envie de rire qui me prends, tant petit à petit j'en viens à apprécier son mordant. Non content d'être un voyeur, il en devient un très bon jouteur. Enchaînant de sa répartie, et tentant de me provoquer comme il se doit. J'ai toujours été encline à m'entendre avec les personnes susceptible de me tenir tête et celles avec lesquelles je peux user du même ton, ce doit sûrement refléter mon minime complexe d'infériorité, celui que mon père n'a de cesse de provoquer. La conversation s'étiole sur mon adresse, et j'en viens à lui révéler, que mon voisin, un flic mal léché – avec lequel non officiellement j'aime m'amuser – ne serait pas content de le voir débarquer. "Que ça ? Cela n'est pas un problème pour moi." J'en secoue le visage, parce que si je fais preuve de confiance en moi, il en est de même pour lui, et je le vois dans ses mots-là. Et d'ailleurs j'y réponds, en ironisant un tantinet. « T'aimes le risque. » Pour ce que j'en sais, je crois juste que nous venons d'établir entre nous une nouvelle manière de parler. Celle de défier, provoquer. Ce pourrait se montrer amusant, bien qu'à la longue, assurément ennuyant. Parce que bien des fois trop dociles, les étudiants. Mais c'est prise d'une quelconque folie, et d'une infime envie, que je lui donne finalement rendez-vous au Nirvana, persuadée, que de toutes les façons, il ne le fera pas. Après tout, pourquoi aller rechercher une fille qui à la première rencontre s'est fourvoyée à son sujet. L'a accusé à tort sur ses activités. Cependant … il me surprend en répondant ; "Fait gaffe, ou encore une fois, je pourrais te prendre au mot et je suis certain que même si mon joli minois est abimé tu voudras quand même de moi." Je craque, encore, étire mes lèvres, fends mes joues d'un sourire. Moi ? Vouloir de lui ? N'importe quoi. Même si le jeu pourrait me plaire, il n'en reste pas moins une vérité, je ne suis pas libre, alors pour ce qui est de sa certitude, je me permets d'en douter. C'est à ce moment qu'il se lève de son piédestal, et si j'aurai pu en avoir un mouvement de recul, j'en reste de marbre, l'observant alors qu'il s'approche avec candeur, presque à ma hauteur. "Je ne banderais peut-être pas, mais je n'aurais pas besoin de cela pour te faire gémir et crier." Des mes dents, j'en viens à mordre mon inférieure, tout en continuant à le jauger, tandis qu'il se permet de – trop près – me regarder. Un soupir me prend, et je croise mes bras contre moi, une nouvelle fois. Non pas en signe de faiblesse, mais plutôt pour démontrer que je n'en perds pas de ma contenance au vue de son changement de comportement. Alors c'est faussement innocente que ma voix résonne à son intention. « Gémir ? » Puisqu'il parle de ne pas bander, je m'estime en droit de demander. « On parle de plaisir ? » Aucun tabou, c'est ce qui fait l'essence de cette conversation après tout. J'en plisse les paupières, incline le visage et dis « Crier ? » Là encore, je feins la naïveté, en pure insolence. « Dis pas des choses que tu ne pourrais pas honorer. » Il en faut plus qu'une belle gueule pour m'effrayer.


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Mon regard bleu planté dans le sien, je viens de prendre place en face d'elle, en continuant de la provoquer. Je l'écoute alors, un léger sourire sur les lèvres alors qu'elle me provoque à son tour, me pensant incapable de lui donner du plaisir. Il ne faudrait pas qu'elle croit que parce qu'elle est plus âgée que moi, que forcément elle a plus d'expérience que moi dans ce domaine, surtout que pour le coup, je la vois bien être une fille, non, pardon, une femme très frigide, elle a du perdre genre sa virginité à sa majorité ou un peu avant. Fin vous voyez, le genre de fille qui désirait attendre son prince charmant ou quelque chose comme ça, bien qu'en même temps, en vue de son caractère, elle aurait plutôt été dans le trip, je veux pas de mec, je finirais avec cinquante chats, mais pas de mec, parce que j'en veux pas. Mais bon, là, je me fais une idée probablement très erronée de la réalité, même si j'avoue que ça pourrait être drôle qu'elle soit réellement comme ça... Après tout, madame semble se croire trop parfaite alors ouais, les mecs, elle a du être désireuse de s'en passer longtemps. Enfin, il faut que j'arrête de m'égarer.
Je continue donc de la regarder, soutenant son regard un léger sourire sur les lèvres. "Mais je me ferais un vrai plaisir de te montrer cela quand tu veux." Je souris un peu en coin, m'approchant un peu plus d'elle encore, au point qu'elle puisse sentir mon souffle sur ses lèvres. "Je pourrais même tout de suite si cela te dis." Je porte alors doucement ma main à son visage, laissant ainsi mon index et mon majeur caresser doucement sa joue. Un geste un peu trop présomptueux, mais qui en même temps s'avère être placé au bon moment, enfin, il me semble, après tout, elle ne cesse de me provoquer, alors il est peut-être temps de lui faire comprendre que tout cela n'est pas obligatoirement que des paroles en l'air ? Que je pourrais réellement la faire crier ou même gémir sans soucis si elle le désire, bien qu'il est clair qu'elle ne l'avouera pas. Du moins, il me semble. Mais en même temps, j'espérais qu'elle allait m'étonner, qu'elle allait encore faire preuve de cette répartie que je commence à apprécier dans un sens, parce que même si au début, je ne pouvais accepter cela parce qu'elle me provoquait, maintenant que je suis rentrer dans son jeu, bien qu'elle n'en ai point le contrôle, je dois dire que c'est clairement bien plus appréciable.


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Il donne à notre, nouvelle, proximité une autre dimension, puisque j'ai cette étrange impression qu'il n'en fini pas de se rapprocher. Alors j'en esquisse un sourire, en réponse au sien, le taquine en paroles, doute encore de ses capacités. De ce qu'il pourrait faire, et chez moi, provoquer. Cris et gémissements, j'en déduis qu'il possède un égo bien trop grand. Mais ce n'est pas pour me déplaire, d'un quiproquo, on en vient à avoir une de ces discussions dans lesquelles je suis devenue experte, depuis que je bosse au Nirvana. Etre draguée de façon aussi directe n'est pas des choses qui me font peur, et au contraire, lorsque je ne suis pas au sein de ma famille guindée, je me plais à penser, que mes propres mots sont de ceux qui peuvent heurter, choquer. C'est avec assurance, qu'il m'affirme ; "Mais je me ferais un vrai plaisir de te montrer cela quand tu veux." Mon visage en oscille un tantinet, face au fait qu'il se contredit tout seul, comme un grand, et ça me fait doucement rire pour l'instant. Mais il continue de braver les limites de la bienséance en s'approchant plus que de raison, j'en plisse encore les paupières, pour tenter de déterminer, ce qu'il s'apprête à faire afin de me déstabiliser.  "Je pourrais même tout de suite si cela te dis." Me faire crier, là, tout de suite ? Cependant mes interrogations s'en trouvent avortées par le mouvement qu'il se permet d'avoir à mon égard. Sa paume se relève, ses phalanges m'approchent, presque trop lentement, comme si durant cette fraction de seconde que l'acte prend, je m'octroyais le droit de décortiquer l'instant. Et puis … ce contact. Deux doigts posés sur ma joue, glissant, de cet événement en résulte ma mâchoire se resserrant. Crispée malgré moi, parce qu'il prend le contrôle d'une situation alors que j'ai horreur de m'en délester. Habituée depuis gamine à tout maîtriser. Et avant de ne la perdre complètement, cette maîtrise, je relève ma propre main, pour aller enserrer de mes doigts, son poignet. Fermement. J'éloigne de ma peau la sienne. Déterminée à ne pas me laisser bouffer par un homme que je voulais juste, à la base, accuser. J'en souffle, pareille à lui, contre son visage et le fait qu'il soit encore trop proche de moi. « Ici ? » Je me fais maligne, pour me positionner en grande gagnante de notre joute verbale. Et mes mots l'attaquent, comme le synonyme d'un « T'as que de la gueule, gamin. » « Contre les gradins ? » Ma main relâche à ce moment la sienne, quand je feins la perte de ma respiration, plutôt douée, en terme de simulation, et c'est en un sourire que je me souviens de la démonstration que j'avais proposé à Clay, il y a quelques mois. « Alors qu'on pourrait nous surprendre ? » J'en mords ma lèvre inférieure, décale mon regard sur le côté, cet endroit imaginaire où il pourrait me sauter. Après tout, c'est vrai, je n'étais pas la seule à avoir choisi le terrain pour venir m'entraîner, bien que la soirée s'entame de plus en plus et que les gens sont en train de déserter. « Tu crois vraiment que je pourrai me laisser tenter ? » Comme une vulgaire prostituée ?


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Je continue de la provoquer, parce que c'est clairement ce qu'elle veut et peut importe si à cause de cela, je passe pour un sale con et que je l'insulte en même temps de prostituer ou même de fille facile, étant donné que je ne compte pas lui donner de fric en échange du plaisir et des cris que je pourrais faire franchir ses lèvres. Je souris donc, quand elle répète après moi le ici, un sourire amusé, suivit d'un acquiescement de la tête pour lui dire que oui, je pourrais, tandis qu'elle précise encore le lien, en vue de la présence des gradins. "Oui, ou alors, on pourrait aller chercher un peu d'intimité dans les vestiaires." Répondis-je assez rapidement, après tout, il n'était pas inhabituel d'entendre des rumeurs sur des personnes qui couchent dans les douches ou même les vestiaires tout simplement, c'est même un lieu assez courant pour cela semble-t-il, même si personnellement, je ne l'ai jamais fait, ayant au final, trop de respect pour mes partenaires... Bien qu'en fait, c'est simplement qu'actuellement, je ne m'en souvient pas, mais en réalité, je l'ai déjà fait, avec Mecky dans les vestiaires lors de notre soirée Candy Crush, mais là, en même temps, on avait pas d'autre possibilité, la Winthrop House et la Cabot House étant assez loin vu que l'on était pas sur le campus et surtout, de base si on s'était enfermé là, c'était pour s'engueulé par pour coucher ensemble...

Je rigole alors un peu en entendant la question de la jeune femme, réellement amusé par cela. "Quoi ? Tu n'aimes pas le challenge ?" C'était assez drôle dans un sens. Je la nargue alors un peu, après tout, elle vient quand même de me tendre une sacrée opportunité. "Ou bien, c'est parce que tu sais que je vais te faire crier trop fort ?" Perche tendue, perche saisie comme on dit. Je ne sais pas trop si cela va lui plaire, mais en même temps, fallait pas me dire ça. Je ne la quitte donc pas des yeux, ne manquant ainsi aucune de ses mimiques, que cela soit le fait qu'elle bouge ou bien même simplement qu'elle se mordille la lèvre de cette façon, comme pour peut-être tenté de m'aguicher ? J'en sais trop rien sur le coup, mais tout ce que cela fait au final, c'est juste m'amuser encore plus, mon sourire ne quittant d'ailleurs pas mes lèvres. J'écoute alors sa question. Se laisser tenter ? Est-ce qu'elle pourrait être de ce genre-là ? Sur le coup, j'en savais trop rien, mais en vue des rôles que l'on jouait l'un l'autre à cet instant, si je venais à lui dire non, elle me dirait oui et inversement. Je croise alors les bras, la détaillant alors de haut en bas avant de finalement faire un petit mouvement de tête. "A toi de me le dire." Finis-je par simplement dire, lui coupant ainsi l'herbe sous le pieds pour l'empêcher de me contre-dire comme elle aurait probablement voulu le faire. Bien que j'aurais pu entrer dans son jeu et profité de cela en disant non pour qu'elle me dise oui et ensuite la prendre au mot, sauf que je ne suis pas un vrai pervers et que donc, je n'aurais rien fait... Cela aurait donc été en ma défaveur, tandis que si maintenant, elle vient à me dire oui d'elle-même, la question ne se pose plus.


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"Oui, ou alors, on pourrait aller chercher un peu d'intimité dans les vestiaires." L'intimité, c'est un concept qui m'est encore un tantinet étranger, lorsqu'on sait que mon père a passé des années à me la retirer. Tout comme ma liberté. Sur mes lèvres, s'ovalise un sourire, parce que je me considère comme gagnante à ses dires, quand je pensais, qu'il n'avait que de la gueule, je n'en étais pas loin. Etant donné, qu'il n'a pas le cran de me faire hurler – comme il s'en croit capable – contre ces fameux gradins. Et lorsqu'il m'entend le provoquer au sujet de ces voyeurs qui pourraient nous surprendre, il reprend de son aplomb en un rire tente de se défendre. "Quoi ? Tu n'aimes pas le challenge ?" De me faire prendre, là, maintenant ? C'est ce qu'il appelle un challenge ? Moi encore une fois, j'appelle ça, un foutu jeu d'enfant. "Ou bien, c'est parce que tu sais que je vais te faire crier trop fort ?" Sur l'instant, j'ai presque envie de lui cracher au visage la définition du mot prétention. Si elle peut me plaire, elle est aussi dans les limites de m'emmerder. En clair, de cette dernière, il ne faut pas en abuser. Je le pense déjà un peu trop drogué à l'adrénaline qu'elle semble en lui provoquer. Et de ma peau je retire sa main, parce que notre proximité est en train elle aussi de me rendre un tant soit peu irritée. Jouer avec le feu est un passe temps qui paraît me galvaniser, mais il ne faut pas trop prendre ses désirs pour la réalité. Mon coeur se trouve déjà ; et se complaît, dans un ailleurs bien assez compliqué, je n'ai pas encore prévu de le rendre impossible à gérer à cause d'une histoire de coup de queue bien placée. Entre mon destin et Clay, je n'ai pas besoin d'un étudiant qui ne s'est pas gérer avec mesure l'arrogance alors que je l'accusais de démence. "A toi de me le dire." Alors tout dépend de moi ? Ca en devient presque trop simple à présent. Ca en perd de son intérêt, de son côté joueur bien que je l'ai accusé d'être voyeur. J'en incline le visage, feins d'être dépitée, presque déçue face à ce côté intrépide qu'il ne semble pas pouvoir assumer. Je suis de celles qui contrôlent en amont, pour se laisser dompter, de celles qui aiment voir leurs jolies bouches de pétasse être fermées. Ma mâchoire soudain se serre, tandis que je le gratifie d'un bruit conduit par ma joue et le semblant de grimace que je lui sers. « Dommage. » Mes paupières se closent pour affirmer la suite de mes pensées. « T'aurais presque pu me donner envie. » Reine des mensonges, prêtresse de ses nuits. Celle de l'homme qui officieusement partage ma vie. « Mais ... » Les joutes verbales ne suffisent pas, surtout lorsqu'on ne les tient pas jusqu'au bout, tu l'apprendras. « Je réitère. » Un sourire, garce à souhaits. « T'as pas ce qu'il faut. »


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Jusqu'à présent, je me la jouais encore sympa, tenant compte de mes principes, mais elle me pousse à aller plus loin, me forçant dans un sens à pousser le vice jusqu'au bout parce que je n'ai pas envie qu'elle pense que j'ai que de la gueule. Je la fixe, la dévisage alors qu'elle vient de repousser ma main de son visage. Amusé ? Je semble l'être, mais au fond, j'en ai marre, marre qu'elle me prenne juste pour un petit con comme elle le fait. Je suis entré dans son jeu pour me moquer d'elle, mais là, c'est plus l'inverse qui se passe, alors j'avoue, être tenté de réellement lui faire peur, car même si ma jambe est plus faible, plus douloureuse, je ne doute pas d'avoir plus de force qu'elle pour réussir à la maitriser un tant soit peu pour lui faire peur et ainsi lui faire ravaler sa fierté mal placée. Je la provoque cependant encore un peu, pour voir jusqu'où elle est capable d'aller, mais elle se ravise, ayant peut-être peur de se brûler les ailes ? Non, que dis-je, elle joue des pirouettes, battant en retrait pour revenir à la charge. Je soupire alors, exaspéré unpeu par ses propos et le fait qu'elle me sous-estime tant. Je souffre déjà moi-même d'un cruel manque de confiance en moi depuis janvier, alors je n'ai pas besoin d'entendre une fille, que je ne connais au final ni d'Eve, ni d'Adam me parler comme ça et me rabaisser de la sorte au rang de voyeur et maintenant, de petit prétentieux qui n'a rien dans le futal. Parce que là, c'est clairement ce qu'elle fait. Je m'approche alors d'elle, brisant une nouvelle fois la distance entre elle et moi pour la bloquée contre la barrière dans son dos, apposant une main sur sa hanche et l'autre sur sa gorge, non pas pour l'étrangler, mais juste l'empêcher de trop bougé, je la regarde dans les yeux. "On va voir si je n'ai pas ce qu'il faut. J'ai fini de jouer maintenant, alors passons aux choses sérieuse beauté." Lui lançais-je alors, ma main descendant de sa nuque pour s'aventurer vers sa poitrine et la caresser doucement, mon regard toujours plongé dans le sien. Attendant ses réactions, voir comment elle pourrait réagir, mais rapidement, je me bouge, approchant mon visage du sien dans l'intention de clore ses lèvres des miennes et ainsi l'empêché de faire encore aller sa langue de vipère. Après tout, qu'est-ce qui m'empêchait de jouer comme ça avec elle ? Après tout, elle me provoquait depuis le début non ? Il est donc normal que je finisse par jouer ainsi et tant que je ne pousse pas le vice trop loin, elle ne pourra aucunement m'accuser de viol ou je ne sais quoi d'autre. Parce que j'avoue que ça me ferait bien chier d'avoir des emmerdes avec les flics en plus, j'en ai déjà assez à cause de ce qu'il s'est passé en janvier…
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Et après ma phrase, j'envisage déjà, de tourner les talons et de rentrer chez moi. Enfin, chez lui, chez Clay, le même flic dont je lui parlais qui ne serait sûrement pas satisfait de voir un autre homme – en plus d'Alan – débarquer dans ma vie. Et puis … A la vérité, ce n'est pas du tout comme si j'en voulais. Une œillade lancée autour de nous, j'avoue ne plus du tout avoir l'envie de courir. Déjà de par notre étrange discussion au sujet de son possible voyeurisme et de la tournure des événements, c'est drôle un temps, de jouer avec des enfants. Mais je préfère de beaucoup l'amusement des grands. Mais de mon inattention en résulte quelque chose à laquelle je ne m'attendais pas. C'est trop rapidement qu'il vient placer ses doigts sur moi. Autour de mon cou, qu'il maintient avec force, et j'en crache un soupir, de surprise, d'énervement, de peur aussi sûrement. Je regrette la nuit tombée, je regrette mon indépendance qui m'a conduite jusqu'ici. Presque mes envies de libertés. "On va voir si je n'ai pas ce qu'il faut. J'ai fini de jouer maintenant, alors passons aux choses sérieuse beauté." Je n'aime pas le goût de ses mots, la lueur dans son regard. Ce que présage ses amorces de mouvements, cette main qui descend, son visage qui se rapproche, et l'envie de vomir qui se répand de ma gorge à ma bouche. Ma paume s'élève alors, encore une fois, pour avorter au plus vite cet effleurement avant même sa réelle naissance. Ne supportant pas qu'un autre homme que Clay me touche, qu'il prenne vraiment mes paroles de vipères comme une invitation. Quel con. Sa débilité me frappe encore plus, lorsqu'il se croit en droit de pouvoir avancer son visage un peu trop proche, c'est donc à cet instant même que mes propres gestes se font furtifs, que ma jambe se replie, que mon genou va se loger dans son entre jambe, avec une véhémence incontrôlée, espérant le faire boiter pour de bon cette fois, et mon visage se détourne du sien, de sa surprise, je me dégage de son emprise factice. Dégoûtée, et m'en voulant d'avoir joué, mes pensées toutes à Clay ... décalée sur le côté, je me permets de lui balancer une gifle allant heurter son épaule, quand ma bouche s'ouvre afin de hurler. « Espèce de connard. » Et pourtant, j'en ai connu pleins, à ne pas en douter. Mes mains à l'unisson vont encore frapper son corps, du plus fort que je le peux. « Faut te faire enfermer. » Depuis quand une insulte à la virilité est une incitation à un presque viol salivaire ? J'ai horreur quand on ne fait pas les choses à ma manière. « Taré, en espèrant t'avoir vraiment émasculé. » Et me retourne, parce que je ne vois absolument plus de raison de rester, autant me tirer, n'étant pas fanatique des rapports non consentis, étant, de plus, maquée.
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Alors qu'elle se la joue provocatrice depuis le début, je décide de réellement jouer son jeu, poussant le vice trop loin, au risque de me prendre des coups, de me faire insulter, mais je lui ai dit, je la ferais crier rien qu'avec mes doigts, que je n'aurais pas besoin de plus pour faire raisonner le son de sa voix de façon bien plus présente. Je bouge alors, ma main glissant sur son visage et je vois directement que cela lui déplait, tant mieux, elle arrêtera peut-être de se la jouer provactrice comme cela dans le futur, parce que moi, j'irais pas trop loin, mais un autre, un vrai pervers lui, il l'aurait déjà été violenté voir même plus... Ne comprend-elle pas qu'elle peut être très mal ? Enfin, j'ai décidé de lui donner une petite leçon là, de lui faire comprendre que je pourrais tout à fait être sérieux. Je laisse donc ma main dérivé de sa joue vers sa poitrine, mon visage s'approchant du sien dans le but de lui faire croire que je veux l'embrasser, lui mettre la pression. Elle bouge, un coup... Un grognement franchit alors mes lèvres alors que je me penche encore plus vers elle sous la douleur. Elle vient de chopper mon services trois pièces en plein, ma main se retire de sa poitrine pour venir se mettre par réflexe et par désir de protection devant mon entre-jambe. J'ai d'ailleurs les yeux qui brillent, des larmes de douleur étant montée. Elle ne m'a pas loupé la charogne. Je ne l'écoute même pas m'insulter, me hurler dessus. J'en ai rien à foutre qu'elle m'insulte là. J'ai mal. Je relève le regard vers elle, un regard sombre, noir. J'ai envie de lui en coller une pour la douleur qu'elle vient de me procurer, mais je ne frappe pas les filles, elle a de la chance. Je ne cherche donc pas à la retenir quand elle part après m'avoir encore insulté. J'ai plus rien à lui dire non plus, mais putain, ça elle me le paierait un jour, d'une façon ou d'une autre... Elle aurait juste pu me repousser, me frapper sur la main ou me coller une gifle. Putain, j'étais pas si menaçant que ça. "Putain de charogne." Crachais-je alors une fois la jeune femme loin de moi pour ne pas qu'elle puisse l'entendre. Je risque d'avoir mal un bon moment là...
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