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«titreàvenir» (sandro&alys)

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Pendant que je parlais, je voyais Sandro secouer de la tete d'un air désabusé. Quoi, j'avais pas le droit de dire ce que je pensais là encore ? Puis le discours commença. Déjà, il commençait fort avec son " tu mens" que j'avais envie de foutre dans son cul. Je mentais pas ! Et puis il m'accusait clairement de fantasmer sur Fygaro ou c'était quoi le délire ? Est-ce qu'il fallait que je lui rappelle pourquoi j'avais failli coucher avec lui ou il commençait peu à peu à l'intégrer? Merde quoi. Comme si dès le début j'avais eu envie d'une chose, qu'on se sépare. C'était bien pour ça que j'avais pris mon courage à deux mains pour aller le voir dans sa chambre, pour le surprendre avec une autre meuf, ben voyons. Tellement logique. La fin était déjà plus sentimental et me rappela pourquoi j'aimais tant Sandro. Il était vraiment trop mignon parfois. Et parfois trop con aussi, fallait pas l'oublier. « T'as pas l'impression de carrément abuser là, surtout quand tu dis que soit-disant j'attendais que ça, qu'on rompe? Mais attends, c'est pas moi qui ai sauté la moitié de Vermont dès le lendemain de notre rupture, si? » Aller, va répondre à ça, bouffon. Il avait tendance à foutre tout le problème sur mon dos, alors que je persistais à dire qu'on était tous les deux responsables. Un discours digne d'une adulte oui oui ! « Bon, j'en ai marre de toutes ces disputes, je te jure ça me tue. A la base j'étais pas du tout venue pour ça. A la base, j'étais venue pour qu'on se remette ensemble, mais apparemment c'est pas dans tes priorités, loin de là. »
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Oké, le coup du "c'est pas moi qui ai sauté la moitié de Vermont dès le lendemain de notre rupture, si?" était pas gentil du tout. Mais alors pas du tout. Sandro était comme ça. Dès qu'il avait un problème, dès qu'il se sentait seul, dès qu'il allait mal, il s'échappait de ça, et oubliait en sautant sur tout ce qui bougeait. Du pur Sandro Di Mancini. Et là, ces deux dernières semaines, il en avait eu tout simplement besoin. Parce que sa petite copine, enfin, son 'ex' l'avait presque trompé. Et ça plus d'une fois maintenant. Certes, ce n'était pas vraiment tromper-tromper. Mais pour lui, c'était tout comme. Que ce serait-il passé si lui et Styx n'étaient pas intervenus l'autre jour, dans les locaux du personnel ? Ils auraient sûrement franchi le cap, sans aucun doute. Et ça, ça le dégoûtait, ça le rendait malade. « Excuse-moi, j'ai voulu prendre ton exemple. T'avais pas l'air si effondrée que ça quand tu te trouvais à fourrer ta langue dans la bouche de Fygaro.» Et bim. Bien sûr, tout était de sa faute, toujours. De toute façon, cette discussion ne les mènerait nulle part. Comme toute les discussions d'"adultes" qu'ils avaient pu avoir dans le passé. « Bon, j'en ai marre de toutes ces disputes, je te jure ça me tue. A la base j'étais pas du tout venue pour ça. A la base, j'étais venue pour qu'on se remette ensemble, mais apparemment c'est pas dans tes priorités, loin de là. » A ces paroles, le visage de Sandro n'afficha plus cette air renfrogner qu'il pouvait avoir depuis le début. Il soupira. Pardonner ? Il en était incapable. Oublier ? Il en était incapable. Mettre cette histoire de côté ? Il en était sûrement capable, ça.« On peut pas rompre comme ça tout les mois... J'en peux plus. T'as pas le droit de me faire ça à moi, à nous. J't'aime, bordel, j'suis raide dingue de toi, j'arrête pas de penser à toi, mais... » Bien sûr, il y avait un mais. Il y avait toujours un "mais", toujours.« Mais j'pourrai pas supporter une rupture de plus... Alors si t'es pas capable de réfléchir avant d'agir, autant arrêter tout tout de suite.. » Bien Sandro, bien bébé.
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« Excuse-moi, j'ai voulu prendre ton exemple. T'avais pas l'air si effondrée que ça quand tu te trouvais à fourrer ta langue dans la bouche de Fygaro.» Oh le salaud. Comme si les deux choses se valaient! C'était même pas comparable ce que j'avais failli faire et ce que lui avait du faire environ 3000 fois en deux semaines. Je préférai ne pas répondre et me contentai de secouer la tête à mon tour et de lever les yeux au ciel. Si je répondais, toute chance de me remettre avec lui serait certainement nulle et j'étais pas venue pour m'engueuler. « On peut pas rompre comme ça tout les mois... J'en peux plus. T'as pas le droit de me faire ça à moi, à nous. J't'aime, bordel, j'suis raide dingue de toi, j'arrête pas de penser à toi, mais... » Là-dessus, je baissai les yeux. C'est vrai qu'on pouvait pas continuer à rompre comme ça, c'était inutile et ça faisait beaucoup trop mal. J'attendais la suite de son raisonnement qui s'annonçait beaucoup moins joyeuse. « Mais j'pourrai pas supporter une rupture de plus... Alors si t'es pas capable de réfléchir avant d'agir, autant arrêter tout tout de suite.. » Je relevai la tête cette fois-ci. J'aimais pas encore une fois l'accusation qu'il avait faite: "réfléchir avant d'agir gnagna" euuuh, c'était qui le gamin de nous deux qui s'était amusé à dire qu'il avait couché avec ma meilleure amie, en me connaissant et en sachant comment j'allais réagir? Alors qu'il arrête un peu. Et puis il parlait toujours tout le temps de lui, comme si moi j'aimais ça les ruptures et tout le bordel. « Non mais oui je suis d'accord avec tout ce que tu dis. Seulement arrête de dire les choses comme si j'étais la seule fautive. Alors ouais je t'ai dit j'ai fait la conne mais t'es pas tout blanc non plus. Toi aussi réfléchis avant d'agir. » Pfou, ça faisait du bien de vider un peu son sac. Néanmoins, ayant conscience que j'avais été peut-etre un peu dure surtout qu'il avait dit qu'il pensait toujours à moi et tout, je me rapprochai de lui prudemment pour lui prendre doucement la main. « Mis à part tout ça, tu me manques à un point pas possible. » Bien Alys, bien bébé.
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Oui, il l'aimait à la folie. Oui, il était malheureux quand il était loin d'elle. Oui, il passait ses journées à penser à elle. Oui. Mais il préférait mettre fin à leur relation plutôt que de continuer de cette manière. C'était impossible à vivre, autant pour lui que pour elle. Du moins, pour lui. Toutes ces ruptures le tuait à petit feu. M'enfin, c'était la vie. Tout ça, c'était peut être un signe. Le signe qu'ils n'étaient pas fait pour être ensemble. Que ça ne marcherait jamais. Putain. « Non mais oui je suis d'accord avec tout ce que tu dis. Seulement arrête de dire les choses comme si j'étais la seule fautive. Alors ouais je t'ai dit j'ai fait la conne mais t'es pas tout blanc non plus. Toi aussi réfléchis avant d'agir. » Certes, c'était un peu de sa faute. Un tout petit peu. Mais il avait fait clairement beaucoup moins de conneries qu'elle. Ça, c'était clair et net. « J'ai jamais dit que tu étais la seule fautive. On a déconné tout les deux, ok. Mais il faut vraiment que t'arrêtes de faire tes vieilles crises de paranoïa.» Puis elle s'approcha pour prendre sa main. Ce à quoi il ne s'attendait pas du tout. « Mis à part tout ça, tu me manques à un point pas possible. » Oh bah. WTF ? Alys Delacroix aurait-elle un coeur, finalement ? Blague mise à part, Sandro serra sa main et plongea son regard dans le sien. Cette envie de l'embrasser le démangeait atrocement, mais il ne pouvait pas se permettre, pas maintenant. L'italien caressa sa joue doucement. « Toi aussi tu me manques atrocement, Alys... J'en peux plus d'être loin de toi... » Bien Sandro, bien bébé.
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« J'ai jamais dit que tu étais la seule fautive. On a déconné tout les deux, ok. Mais il faut vraiment que t'arrêtes de faire tes vieilles crises de paranoïa.» Et alleeeer! Fallait vraiment qu'il arrête de se croire dans un combat surtout! Il abusait grave. Pourquoi est-ce qu'il ne disait pas que j'avais raison, juste une fois dans sa vie? Pourquoi est-ce qu'il était obligé de critiquer chacune de mes paroles en me renvoyant à mon hystérie (inexistante) et ma paranoïa (inexistante aussi). Putain mais lui dès qu'il pouvait me dévaloriser il le faisait. C'était fatiguant et surtout chiant et lassant à la fin. Qu'il me laisse un peu tranquille avec ça! Je ne pris pas la peine de répondre encore une fois, sinon le ton allait dangereusement monter et il allait se barrer comme il avait tendance à le faire dès qu'il y'avait un problème entre nous. Je me contentai de soupirer pour marquer ma lassitude face à la situation.
Puis, la séquence "tendresse et mélancolie amoureuse" fit son apparition. Après mon rapprochement vers lui, à ma grande surprise, je ne me pris pas un gros vent mais au contraire, il serra ma main dans la sienne et planta son regard dans le mien. « Toi aussi tu me manques atrocement, Alys... J'en peux plus d'être loin de toi... » Oh oui Sandro, oh oui bébé (hihi) ! J'avais le droit de l'embrasser direct ou il fallait que je me contienne un peu? Je passai mes bras autour de son cou. J'avais l'impression d'être de retour aux moments dits "normaux", c'est-à-dire ceux pendant lesquels on ne s'engueulait pas et étions trop mignons. «Je t'aime. » Finalement, après mille ans d'attente insupportable, je me rapprochai un peu plus pour l'embrasser. Un baiser tout doux et tout mignon. J'ajoutai cependant en riant, « Tu noteras quand même que c'est moi qui ai pris l'initiative de venir jusqu'à ta chambre alors qu'on faisait la gueule ! »
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Alys passa ses bras autour de son cou, et il ne put s'empêcher d'afficher un sourire sur ses lèvres. Sandro passa alors ses bras autour de sa taille pour la rapprocher de lui. C'était juste bizarre, avec elle tout était différent. Toujours.«Je t'aime. » Son sourire s'agrandit. « Moi aussi, encore plus.» Il la serra contre lui tout en lui rendant son baiser. Comme si tout était revenu en ordre. Était-ce le cas ? Sûrement. Bordel, qu'est-ce que ça lui avait manqué, le goût de ses lèvres, le contact de sa peau. Et son rire, oh son rire. « Tu noteras quand même que c'est moi qui ai pris l'initiative de venir jusqu'à ta chambre alors qu'on faisait la gueule ! » L'italien rit à son tour. Certes, c'était une grande première, il fallait l'admettre. « Je prends note, je prends note... "Le changement, c'est maintenant." c'est ça ?» Sandro lui fit un clin d'oeil. Il avait prononcé en français le slogan du nouveau président de la France, de son horrible accent. Slogan qui était toujours accompagné de la belle tête de Flamby sur les affiches. Après un sourire, Sandro l'embrassa à nouveau. Il fallait bien qu'ils rattrapent le temps perdu.
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« Moi aussi, encore plus.» Ah ça surement pas mon garçon ! En plus c'était vrai. Je doutais qu'à ce moment-là personne puisse dépasser l'amour que j'avais envers lui. Sans déconner. Je me rendais compte que c'était vraiment l'homme que j'aimais et non pas seulement "un mec". La preuve, je revenais toujours vers lui même après de nombreuses crises et disputes. Si ça c'était pas un signe franchement! J'étais en train de penser à nos futurs enfants ( deux garçons et une fille appelés Enzo, Elias et Alys junior), lorsque Sandro rit à son tour. Mon bébé qui riait sincèrement, ça faisait plaisir. Je l'avais pas vu rire comme ça depuis très longtemps, du moins c'était l'impression que j'avais, et ça faisait du bien! « Je prends note, je prends note... "Le changement, c'est maintenant." c'est ça ?» Il me dit un clin d'oeil qui me donna envie de lui sauter dessus immédiatement. Cependant, je n'avais pas manqué, évidemment, de remarquer le petit exercice de français qu'il avait fait en référence à Flamby, nouveau président frenchy ! Ca avait du le marquer cette histoire parce qu'il avait quand même retenu le slogan, et en français s'il vous plait! Et le fait que son accent soit aussi pourri le rendait encore plus adorable. J'avais envie de le bouffer tout cru. A mon plus grand plaisir, Sandro m'embrassa à nouveau ce à quoi je répondis avec plus de ferveur. « Je préfère quand c'est toi qui le dis plutôt que Flamby je t'avoue..T'es plus sexy. » Ce qui n'était pas très difficile en même temps...Je l'entrainai ensuite vers sa chambre, et, tout en ouvrant la porte, priai pour que la meuf se soit cassée. Trop dommage, elle était toujours là, en soutif, les yeux scintillants de désir. J'allais la baffer sérieux. Néanmoins je préférais que Sandro se charge d'elle c'est pourquoi je lui adressé un regard appuyé. Cimer le romantisme.
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La tenir dans ses bras lui avait manqué, c'était fou. Ca faisait un bien immense. « Je préfère quand c'est toi qui le dis plutôt que Flamby je t'avoue..T'es plus sexy. » Il rit à nouveau, amusé. Etre plus sexy que le président français...quel honneur. « Encore heureux, j'aurai du soucis à me faire sinon...» Clairement, même. Après tout, peut être que toutes les françaises fantasmaient sur leur président... Il faudrait qu'il fasse part de cette réflexion à Styx, pour en avoir le coeur net. Sandro se fit entraîné à l'intérieur de sa chambre où, malheureusement, la femme se trouvait toujours, sans son t-shirt. Pourquoi ne s'était-elle pas cassé dès qu'il lui avait demandé ? Elle devait croire que c'était un jeu, ou une merde dans le genre. Il soupira, et secoua la tête. « Nous avons été subjugué de votre présence fortuite, mais si maintenant vous pouviez dégager votre cul de cette chambre, nous vous serons très reconnaissant. » La tête de la femme était excellente, à mettre dans les annales. En fait, il ne savait même pas si elle avait compris, mais elle ramassa tout de même son t-shirt, et avant de quitter la chambre avait glisser un petit papier -contenant sûrement son numéro- dans la poche arrière du jean de Sandro.

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« Encore heureux, j'aurai du soucis à me faire sinon...» Je ris à cette petite blagounette, pleinement heureuse pour une fois, n'ayant aucune plainte à émettre. Si on pouvait rester dans cet état d'euphorie amoureuse pendant un voir deux ans, j'aurais pas été contre. Malheureusement c'était clairement impossible et la seconde suivante me le confirma. En effet, une grosse pute se trouvait assise sur le lit de MON Sandro, attendant gentiment qu'il la baise. J'avais envie de lui faire bouffer son soutif quasi inexistant et o combien vulgaire qui cachait à moitié les obus qui lui servaient de seins. A sa place, vu leur taille, je les cacherais mais elle, elle les exhiber de manière provocante.Sale tepu va. Pour une fois j'avais gardé mon calme et n'avais rien dit et pourtant, ce n'était surement pas l'envie qui manquait, croyez le. Heureusement, Sandro avait très bien compris le message et s'empressa de la virer. « Nous avons été subjugué de votre présence fortuite, mais si maintenant vous pouviez dégager votre cul de cette chambre, nous vous serons très reconnaissant. » Je ne pus réprimer un rire assez sadique, surtout en voyant la gueule qu'elle tirait mais elle se décida finalement à bouger son gros cul mal proportionné du lit. Et bon vent! Cependant, je ne manquai pas de remarquer que la bouffone avait déposé un mini papier dans la poche arrière de mon copain. Ok, alors là ma grande, tu rêves. Ma tolérance avait des limites. Je pris le fameux papier où était écrit son minable numéro et le réduisis en miettes sous ses yeux choqués. « Reve pas trop. Je lui suffis amplement. Donc maintenant, toi, tes obus et ton cul plus gros que ta tête, vous dégagez immédiatement et vous revenez plus. Jamais. Merci d'avance. » Elle se décida finalement à partir. Enfin ! Je me retournai vers Sandro, l'air un peu surprise. « T'as pas trouvé mieux? Nan sérieux, moche, grosse, vulgaire..Dégueulasse quoi. » Mais ne voulant pas terminer sur cette note peu réjouissante, je l'entrainai jusqu'au fameux lit du péché (ahah) et le poussai pour qu'il tombe dessus, puis je m'asseyais sur ses genoux, pour me retrouver dans ses bras. «De toutes façons, t'as plus besoin de personne maintenant. »
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