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«titreàvenir» (sandro&alys)

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Déjà deux semaines qu'un bordel sans nom s'était installé dans notre vie à tous. Ouais, c'était le foutoir total, et tout ça, à cause d'une blague minable de la part de Sandro et Styx. Bon, okay, le fait qu'ils m'aient tous les deux retrouvés dans un petit local presque à poil avec Fygaro dans une posture plutôt délicate n'avait pas arrangé les choses, bien au contraire. Tout s'était cassé la gueule en quelques heures. Bien jouéééé.
Puis finalement, je m'étais enfin décidée à prendre les choses en main, parce qu'il fallait pas compter sur Sandro pour faire le premier pas, le mec étant connu pour son inaptitude à pardonner. Insupportable. Donc, après avoir hésité pendant environ deux heures, je pris les choses en main et partis en direction de sa chambre. Sur le chemin qui séparait les chambres des mecs de celles des filles, je me récitais les quelques répliques que j'avais décidée de lui sortir. D'abord, le plus important, garder son calme. Il me l'avait bien fait comprendre au moins mille fois, ce qui l'avait toujours énervé chez moi, c'était ma capacité à devenir très vite hystérique à la moindre remarque. Et bien non, il se trompait complètement et j'allais le lui montrer en restant d'un calme parfait héhé. Deuxième étape, lui demander posément de discuter comme des adultes de la situation, et troisième étape, baiser comme des fous et retourner ensemble. Mais pour ça, on verrait plus tard, c'était pas urgent. Arrivée devant la porte, je n'hésitais pas une seule seconde, et la poussai de façon énergique et avec beaucoup d'entrain. Bien trop apparemment. En effet, devant moi se trouvait un spectacle qui faillit me faire fondre en larmes de façon assez violente. Sandro sur son lit avec une fille en train de lui enlever son t-shirt, avec un air sauvage. « Oh, pardon. » Je refermai la porte violemment derrière moi pour les laisser vaquer à leurs occupations des plus bestiales. Putain, mais quelle merde.
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Deux semaines sans Alys. Deux insupportables semaines. Il n'arrivait pas vraiment à comprendre comment tout cela avait pu arrivé, aussi vite. Tout ça à cause d'une blague, et d'elle, en dessous de Fy, prête à se faire sauter -n'ayons pas peur de dire les choses telles qu'elles sont-. Du coup, pour oublier tout ça, Sandro faisait la chose qu'il savait le mieux faire : baiser. Avec n'importe qui, n'importe quand, n'importe où. Tout le temps. Ça l’empêchait de penser à Alys, à la trahison de Fy. Certes, il passait un peu de temps avec Styx aussi. Elle était là pour le consoler, comme toujours. Elle savait toujours quoi faire pour qu'il aille un peu mieux. Heureusement qu'elle était là pour lui, sinon il serait encore plus au fond du trou -jeux de mots à part-. Bref. Sandro se trouvait à ce moment même dans sa chambre, avec Jenna. Ou peut être Sylvie, ou bien Charlotte. Il s'en foutait un peu, à vrai dire. L'essentiel, c'était qu'il y avait cette fille dans sa chambre, en train de lui enlever son t-shirt. Alors que Sandro s'apprêtait à faire de même sur elle, il remarqua Alys. Oh putain. Sans réfléchir, il se releva directement. Et, perturbé comme il était, il remit avec hâte son t-shirt à l'envers. L'italien se rua sur la porte pour l'ouvrir. S'il n'en n'avait rien eu à faire d'elle, il n'aurait même pas fait attention à cette coupure, et aurait continuer ses petites affaires. Mais non. La voir l'avait rendu tout drôle. Son coeur battait plus vite que d'habitude. « Qu'est-ce que tu fais là ? »


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J'avais le coeur battant, prêt à éclater avec en prime l'image de Sandro avec cette fille. Autant je savais qu'il se tapait des meufs environ 7 jours sur 7, mais les voir comme ça, c'était juste..trop. Waouh, c'est fou ce qu'il était déprimé le pauvre. Je le détestais de me faire ça, de se foutre à ce point de ma gueule. A peine avais-je refermé la porte que cette dernière s'ouvrit bruyamment laissant passer un Sandro tout choqué, avec les cheveux en pétard et les t-shirt à l'envers. Oh, c'était vraiment pas la peine qu'il le remette, j'étais déjà parti, il aurait pu continuer voyons, franchement! « Qu'est-ce que tu fais là ? » Merci de cet accueil des plus chaleureux. J'étais même pas triste mais juste blessée. J'étais partie tellement motivée, avec la ferme intention de le reprendre, qu'on se remette ensemble et qu'on ne parle plus jamais de cette histoire foireuse. Et bah on peut dire que j'avais été déçue. Ouais, déçue c'était le mot. J'avais vraiment été conne de croire une seule seconde que Sandro m'attendrait, non mais vraiment. Je le regardai droit dans les yeux pour une fois. « Tu vois, moi, contrairement à toi, j'étais venue pour arranger les choses entre nous deux parce que cette situation me pesait. Je voulais qu'on arrete tout ça, et qu'on parle pour que tout redevienne comme avant. Mais j'étais définitivement trop conne. » J'attendais quelques secondes puis ajoutai : « Tu devrais y aller, elle doit t'attendre, ce serait dommage. » Puis je me retournai, ne supportant plus de le voir.
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Qu'est-ce qui lui était passé par la tête. Quel bordel. Quel con. Il ne voulait pas la perdre. Il ne voulait pas qu'elle le déteste. Elle n'avait pas le droit de le détester, c'était injuste. Il voulait qu'elle l'aime, pour toujours. Toujours. Sandro était complètement paumé, et la voir lui avait donné comme une énorme baffe à la figure. Jusqu'ici, en couchant avec n'importe qui, il s'était contenté de fuir le problème. Mais là, Alys était là, en face de lui. « Tu vois, moi, contrairement à toi, j'étais venue pour arranger les choses entre nous deux parce que cette situation me pesait. Je voulais qu'on arrete tout ça, et qu'on parle pour que tout redevienne comme avant. Mais j'étais définitivement trop conne. Tu devrais y aller, elle doit t'attendre, ce serait dommage. » Il n'en revenait pas. Sandro ne savait pas quoi dire Quand elle se retourna, ce fut automatiquement qu'il la retint en la tenant pas le bras. « Attends !» Sandro la regarda dans les yeux. Il ne voulait pas de toute ces filles plus conne les plus que les autres. Il aimait Alys. Mais il avait toujours cette image d'elle et de Fygaro en tête. Il lui fit signe d'attendre deux secondes, se retourna pour ouvrir la porte et dire froidement à l'inconnue. « Remballe tes affaires et dégage ste plaît.» Il n'attendit même pas sa réponse qu'il referma la porte pour reporter de nouveau son attention vers Alys. Il ne savait pas ce qu'il faisait, mais alors pas du tout. « J'me fiche de toutes ces filles...» murmura t-il, même s'il savait très bien qu'elle entendrait. En gros, il n'y avait qu'elle qui importait, mais ça, ce n'était pas sur qu'elle l'ai compris. Il passa une main dans ses cheveux pour les arranger quelque peu.


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J'allais partir mais je sentis le bras de Sandro me retenir fermement et m'obligea ainsi à me retourner pour lui faire face. Okay, il avait quoi à dire ? Tout avait été dit, ou vu plutôt, pour être le plus précis possible. « Attends !» Et maintenant? J'avais plus envie d'attendre. Lui n'avait surement pas attendu et j'en avais marre qu'il me prenne pour une conne. Je fronçai les sourcils quand il me fit comprendre qu'il revenait. Il ouvrit la porte pour virer la fille. J'avais envie d'exploser de rire mais en même temps..je pouvais pas m'empêcher de trouver ça dégueulasse la façon dont il la traitait. Evidemment, cet excès de générosité ne resta pas longtemps puisque je me rappelais quand même qu'elle se tapait mon mec, enfin ex cette grosse pute. Donc c'était bien qu'il la dégage même s'il aurait pu faire ça de manière plus classe.
Il referma ensuite la porte, n'attendant pas que la fameuse fille sorte de la fameuse chambre. « J'me fiche de toutes ces filles...» J'avais envie de le frapper. En pleine face. Avec une chaise. Il s'en foutait mais ça l'empêchait pas de les sauter ! Ouais, trop logique mec, continue comme ça! La colère refit surface parce que pour le coup, il abusait clairement. J'aurais fait la moitié de ce que lui avait foutu pendant ce séjour jusqu'à présent, je me serais faite traiter de prostipute, et il ne m'aurait pas lâchée, mais moi je devais la fermer ? Alors là, surement pas mon grand. « Ah ouais? Alors attends deux secondes, je vais tenter de te comprendre parce que je t'avoue que je suis un peu perdue! Concrètement, et pour résumer très simplement, tu sautes toutes ces filles, mais c'est pour mieux les jeter après ? Mais dis donc, tu m'impressionnes c'est fou. Tu m'étonneras toujours vraiment. Et après, tu vas me dire quoi, que tu m'aimes? Parce que là je te crois plus. » Je m'interrompis quelques secondes non seulement pour reprendre mon souffle, mais aussi parce que j'avais un peu gueulé. « Tu sais quoi? C'est fini. Vraiment. »
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En a peine deux minutes, Alys lui avait sorti ses quatre vérités. Il en revenait pas. Mais ce n'était pas le pire. Le pire, ce fut ses dernières paroles, les pires de toutes. « Tu sais quoi? C'est fini. Vraiment. » Même si ces deux dernières semaines Sandro avait tout fait pour se convaincre que tout était fini entre eux, il n'arrivait pas à s'y résoudre. Et elle, elle venait, et en deux secondes, elle détruirait tout, définitivement. L'italien tenait encore Alys par le bras. Il ne savait pas quoi dire. « Sérieusement ? Tu.. ? D'accord... Si c'est ce que tu veux, Alys. Tu n'entendras plus parler de moi. » Après tout, ça ne devait pas être si difficile que ça de refaire sa vie, si ? D'oublier ? On aime plusieurs fois, après tout... Non ? Sandro faisait tout pour se convaincre qu'il s'en remettrait, sachant pertinemment qu'il ne s'en remettrait jamais. Mais toutes ces conneries, c'était de la faute d'Alys. C'était elle qui avait déconné avec Fygaro. Plus jamais il pourrait lui faire confiance, bordel. Mais là, le petit speach qu'avait fait Alys confirmait que tout était vraiment fini entre eux, que c'était vraiment sans histoire. « D'accord...» répeta-t-il en lui lâchant le bras. Il avait le regard dans le vide. Il se retourna afin d'aller dans sa chambre. Se battre ne servirait à rien, sûrement. Sa main sur la poignée de la porte, il tourna une dernière fois la tête. « Tu sais quoi ? Je pourrais vivre sans toi, Alys. Oui, je pourrai. Le seul hic, c'est que j'en ai pas envie...»
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« Sérieusement ? Tu.. ? D'accord... Si c'est ce que tu veux, Alys. Tu n'entendras plus parler de moi. » Il suffit de cette phrase pour me calmer direct. Il avait totalement craqué ou quoi? C'était comme ça qu'il se battait pour moi? Génial. Je m'étais définitivement faite trop de films, donc j'étais forcément déçue, c'était normal après tout. Mais quand même ! Il s'en foutait totalement ou quoi? C'était nul nul nul. Enfin je sais pas, il pourrait dire que non, qu'il voulait pas me laisser partir, mais pas ça. Pas qu'il était d'accord avec cette décision qui avait été prise précipitamment et surtout sous le coup de la colère, deux minutes auparavant. C'était super chiant putain. « D'accord...» Et qu'il arrête de dire d'accord comme un chien victimisé, ça me rendait folle! Il m'avait lâché le bras et était retourné pour regagner sa chambre. Instinctivement, je l'avais suivi pour n'être séparée de lui que de quelques mètres. Tandis que je pensais que tout était fini et qu'il allait retrouver -ou pas- la fille avec qui je l'avais surpris, il leva la tête vers moi. « Tu sais quoi ? Je pourrais vivre sans toi, Alys. Oui, je pourrai. Le seul hic, c'est que j'en ai pas envie...» Gloup. J'étais partagée entre lui dire d'aller se faire voir, et celle de me jeter dans ses bras pour le supplier de me reprendre. Evidemment cette dernière proposition n'était surement pas envisageable, j'étais pas désespérée à ce point. Mais je décidai néanmoins de faire quelques concessions puisque j'avais conscience que notre couple ne tenait plus qu'à un fil très, très fin. « Parfait parce que j'en ai pas envie non plus. Je pense...qu'il faut qu'on parle, et qu'on arrête de s'engueuler parce qu'on déconne. Ok, j'ai déconné c'est vrai. Mais toi aussi. »
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Cette fille était sûrement la meilleure et la pire chose qui lui était arrivée dans ce monde. Elle le rendait complètement fou, dans tout les sens du termes. Elle l'agaçait à un point inimaginable, mais d'un autre côté, il l'aimait à la folie. C'était comme ça. Certes, dans leur relation, il y'avait sûrement eu plus de bas que de hauts, mais les hauts valaient la peine d'être vécus. « Parfait parce que j'en ai pas envie non plus. Je pense...qu'il faut qu'on parle, et qu'on arrête de s'engueuler parce qu'on déconne. Ok, j'ai déconné c'est vrai. Mais toi aussi. » Sandro lâcha la poignée de la porte, et se retourna complètement vers elle. Il ne comprenait pas trop, car c'était elle qui, il y avait deux minutes, avait stipulé que tout était fini entre eux. Non ? Sa seule envie était de la serrer dans ses bras, et de lui répeter un milliard de fois "Pardonne-moi." Mais non, car ça ferait carrément désespéré. « T'as plus déconné que moi, quand même... » Il n'avait pas pu s’empêcher de sortir ça, il secoua la tête et ajouta « Excuse-moi, j'voulais pas dire ça. Qu'est-ce que tu veux que je te dise, Alys ? Comment on pourrait discuter ? Tu ne me fais même pas confiance...Non, t'es même pas fichu de me faire confiance..»
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J'étais plutôt fière de moi! J'avais dit que c'était de ma faute, et ça c'était la classe. D'habitude, je ne disais jamais o grand jamais que rien n'était ma faute, même quand j'en avais évidemment conscience, ce qui pouvait paraitre fortement égoïste. Mais là, j'avais fait un effort, et j'espérais qu'il soit remarqué voir glorifié, même si je ne comptais pas trop là-dessus. « T'as plus déconné que moi, quand même... » Oh bah. Cimer mec, vraiment fallait pas! Il faisait exprès de m'énerver ou quoi? J'avouais que certes, j'avais peut-etre abusé, mais lui enfonçait carrément le couteau dans la plaie. Heureusement, il ne tarda pas à nuancer ses propos. « Excuse-moi, j'voulais pas dire ça. Qu'est-ce que tu veux que je te dise, Alys ? Comment on pourrait discuter ? Tu ne me fais même pas confiance...Non, t'es même pas fichu de me faire confiance..» Ahhh enfin le vif du sujet ! Il avait quand même fallut un bon quart d'heure des cris et presque des larmes pour en arriver là. Dans le genre pas doués, on était bien placés. Respire Alys, tu respires. Tout se passera bien, tu ne t'énerves pas. « Je te fais confiance tu te trompes. Seulement oui, j'ai douté de toi et de Styx parce que l'histoire avec Orphée a toujours pas été digérée. Donc je me dis que si t'as été capable de te la taper, tu peux aussi bien coucher avec ma meilleure amie, ça te poserait pas tant de souci que ça.» Net et concis, j'appréciais ! « Et toi, c'quoi tes accusations mis à part la confiance?». J'avais l'impression d'etre devant un tribunal plus que devant l'homme que j'aimais, mais c'était une étape obligatoire par laquelle on était obligés de passer si on voulait avancer.
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« Je te fais confiance tu te trompes. Seulement oui, j'ai douté de toi et de Styx parce que l'histoire avec Orphée a toujours pas été digérée. Donc je me dis que si t'as été capable de te la taper, tu peux aussi bien coucher avec ma meilleure amie, ça te poserait pas tant de souci que ça. Et toi, c'quoi tes accusations mis à part la confiance?» Faux, faux, faux. Il ne croyait pas un seul mot de ce qu'elle disait. C'était ahurissant. Il secoua la tête. Sandro avait, dans sa tête, sa version toute faite à lu. Et quand il croyait à quelque chose, il y croyait dur comme fer, c'était compliqué de lui faire changer d'avis et de point de vu.« Tu mens. Tu n'as même pas douté une seule seconde avant de te jeter dans les bras de Fygaro, je me trompe ? Ça ne t'es même pas venu à l'esprit que c'était faux, hein ? Non. J'ai juste l'impression que tu attendais seulement que je t'annonce ça pour être enfin libre. Puis bon sang, combien de fois je vais devoir te le répeter ? Quand j'ai couché avec Orphée, je ne te connaissais pas, ni toi, ni Styx, ni Trunks, ni Fygaro. Sinon je n'aurai jamais fait ça. Pourquoi personne n'arrive à se mettre ça dans la tête, hein ? Et puis pourquoi tu n'arrives pas à comprendre que jamais je ne coucherai avec Styx ? Que jamais je n'oserai te faire ça ? Te faire du mal ?» Certes, il s'était quelque peu emporté sur la fin de son long et beau discours, mais il était en général plutôt fier de lui, il n'avait pas non plus complètement explosé. Bien Sandro, bien bébé.


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