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Tout peu basculer en un instant ft Swan E. Keynes

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Tout peu basculer en un instant.
Dante D. Basini & Swan E. Keynes

 
 

Leur rencontre n'avait pas été idylique, digne des comptes de fée ... Si un jour ils sont vraiment ensemble et qu'ils ont des enfants, ils devront penser à raconter leur histoire d'une manière beaucoup plus poétique que "Maman était bourrée, elle était avec une amie. Elle a voulut épouser un italien pur souche et papa était là. Papa n'était pas d'accord, mais ils se sont mariés quand même et papa a ensuite fait en sorte que maman parte loin pour ne pas être retrouver mais maman n'écoute jamais rien, elle est têtu et elle est revenue " définitivement ... Ils leur faudra une autre histoire, bien plus mignonne que celle là, même si aux yeux de Dante elle est déjà un peu mignonne. C'est vrai, le destin les avait réuni pour un mariage plus ou moins désiré et choisit, mais en même temps, la première et unique fois qu'il avait touché ses lèvres, un frisson l'avait parcouru, comme une forme de bien être. Un bien être qu'il ne connaissait plus depuis longtemps. Mais il avait mis tout ce qu'elle avait pu dire sur le compte de l'alcool et pensait être le seul a ressentir ça. Il avait cru un instant qu'elle lui en voulait, mais au fil du temps, de ces échanges de regards, de non dits, leurs relations avait évolué. Ils s'étaient pourtant promis des choses : pas de sentiments, que du business. Dante s'était pourtant promis de la surveiller oui, mais rien de plus. Pas de galanterie, de viens, je te ramène. Juste des entrevues en rendez vous mafieux et rien à l'extérieur de ça. Pourtant, il avait été pris dans son jeu et aujourd'hui, il avait même pensé à lui acheter un cadeau. Un jolie cadeau parce que son anniversaire s'était il y a pas longtemps. Si on l'écoute il met ça en disant "Si les parents demandent, comme ça, elle aura vraiment un cadeau" mais en réalité, il s'était vraiment cassé la tête pour en acheter un. C'est vraiment pas simple de faire un choix d'un cadeau, c'est prise de tête et dur à choisir quand on connait la personne qu'à travers ses réactions et ses regards.

Elle était là, avec lui, dans ce restaurant. Un japonnais, pour changer. Généralement Dante préférait la cuisine italienne. En bon italien, il aimait les plats typiques de l'Italie, les pâtes, les pizza et les plats saints et léger qu'il pouvait préparer. Mais pour lui faire plaisir, ils mangeaient de temps en temps ailleurs. La dernière fois c'était le McDrive, aujourd'hui, c'était japonnais. Au pire, ça le préparait pour le voyage au Japon avec les rouges à venir après le spring break. Un voyage qui l’intriguait. Si il avait a choisir, il ne prendrait pas le Japon comme destination. Il choisirait un pays paradisiaque comme les Maldives ou encore la Thaïlande. Un pays chaud ou il y a de la fête et du soleil. Oui parce que pour Monsieur Basini, le soleil, c'est impératif pour se sentir bien et en forme. Ça rebouste ses batteries, exactement comme quand il va en Italie pendant les mois d'été et qu'il passe des jours allongés sur le sable chaud d'une plage magnifique et inondée d'italien qui viennent comme lui chercher un peu de chaleur et de couleur sur une peau trop blanche pendant l'été.

Une fois installée, la commande en préparation, Dante est assez attentif sur les serveurs qui les dévisagent. Enfin, surtout lui puisqu'il est fasse à eux. Leurs têtes lui sont familières et il cherche d'où. Swan s'excuse pour les SMS, dit qu'elle va trouver une solution pour le divorce et lui explique qu'elle devient jalouse et possessive, mais pour dire vrai, Dante est un peu plus concentré sur les japonnais que sur elle. Mains sur la sienne, il concentre à nouveau son regard et son attention sur elle, s'hurlant dessus intérieurement, parce que c'est vraiment grossier de ne pas écouter la conversation et les paroles de Swan qui ont l'air de lui tenir à cœur. Elle retire sa phrase, mais l’ouïe de l'italien est concentrée ailleurs. Ça sent très mauvais. Il vient d'avoir un flash de souvenirs. Les deux serveurs sont les frères Chang, les même Chang que la mafia chinoise la Triade. Et vu leurs regards vers lui, ils ont reconnu le descendant Basini. Il aurait dû s'en douter. Un troisième gusse arrive et il sait qu'il est prit au piège et qu'on ne le laissera pas sortir. Il reste sereins, il doit faire sortir Swan, ils ne la connaissent pas. Ils ne s'en prendraient pas à une civile. Il se penche vers elle, posant sa main sur sa nuque pour faire en sorte qu'elle se rapproche et lui murmure à l'oreille avec un calme olympien. « Swan .. Reste calme, ne me repousse pas. » Bah oui elle venait de retirer sa main d'entre ses doigts, elle devait être fâché, mais il fallait qu'elle l'écoute « Les deux serveurs sont de la famille Chang, de la triade. Vu leurs regards, ils viennent de me reconnaitre, alors tu vas faire ce que je te dis d'accord ? » son autre main attrape ses clefs de la mercedes et les dépose devant elle, il ajoute « Tu prends les clefs, tu remets ton manteau sans geste brusque quand c'est fait, tu fais semblant de partir furieuse après moi et tu sors de ce get appent. Dans la boite à gant, il y a un téléphone à carte prépayé, tu appel le 1 en numéro abrégé et tu expliques à Alfio la situation, il va venir m'aider et tu restes dans la voiture. Tu ne touches à rien d'autre. » Il se recule un peu pour la regarder dans les yeux, d'un regard interrogateur du genre " message reçu ? " il reste quelques instants, à soutenir son regard, espérant qu'elle ne ferait pas n'importe quoi et surtout qu'elle n'aurait pas idée de prendre l'arme dans la boite à gant. Sa main sur sa nuque glisse doucement et la libère de cet échange quelques peu forcer par l'italien qui avait besoin qu'elle suive ses instructions à la lettre. Alfio devrait arriver d'ici 5 minutes si elle va vite et ça devrait aller si tout le quartier ne ramène pas ici.


 
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Dante D. Basini & Swan E. Keynes

 
 
Je me demande souvent si un jour nous aurions le droit à un vrai mariage. Si nous allions rester dans cette situation pendant toute notre vie ou si un jour Dante m'enverrait bouler aussi si vite que j'étais arrivée dans sa vie. Je m'imaginais souvent la vie en tant que vraie femme de Dante Basini, pas en temps partiel mais à temps plein. Je pensais à quel genre de maison nous pourrions avoir et à la tête de nos enfants que nous n'aurions sûrement jamais. J'avais donc décidé de prendre les devants en me rendant compte que toutes ces hypothèses, tous ces petits rêves ne se réaliseraient jamais. Depuis que nous nous étions embrassés l'autre soir, il n'avait jamais reposé ses mains sur moi, pas même un baiser sur la joue. Ça faisait déjà plusieurs semaines que nous en étions au même point, que je pensais qu'il n'y avait que moi qui pensais à une relation future alors autant mettre les choses aux claires maintenant. Je ne voulais pas prendre le risque de m'attacher une énième fois même si avec lui je ne ressentais pas la même chose qu'avec les autres. Le truc c'est que je ne voulais pas non plus assumer toutes mes émotions ni même peut être mes sentiments à son égard puisque de toute évidence il n'y avait rien d'autre qu'un mariage mafieux qui nous unissait.

J'avais prit mon courage à deux mains aujourd'hui, j'avais enfin réussit à lui sortir ce que je ressentais en plus de lui avoir avouer que j'allais demander à mon oncle d'arrêter ce mariage. Je n'osais même pas le regarder dans les yeux au moment où je lui faisais mes confidences, je me sentais vraiment mal et pas du tout à l'aise. Nous n'avions jamais parler de toute de vive voix, c'était la première fois que j'abordais ce genre de choses avec lui. Alors j'avais retiré ma main de la sienne et mes yeux étaient restés rivés sur les assiettes encore vides. Mais quand je relève la tête vers lui je remarque qu'il ne m'a pas du tout écouté, il ne me regarde même pas enfait. Je sens mon coeur palpiter contre ma poitrine j'ai envie de lui mettre une claque qui va lui montrer que je suis bien présente, et que personne ne se moque de moi comme il le fait. Mais au moment où je m'apprête à lever ma main il s'approche et plaque sa main contre ma nuque pour m'attirer vers lui. Dans un premier temps j'ai envie de l'envoyer bouler mais quand j'entends les mots qui sortent de sa bouche mon corps se décontracte un peu. Je ne bouge pas d'un millimètre, j'écoute ses explications en ouvrant les yeux en grands, je ne panique pas, non ce n'est pas le moment. Je le regarde sortir les clés de sa poche et pendant un moment j'hésite, je ne peux pas le laisser comme ça à leur merci. Je le fixe alors qu'il me lance un regard du genre "pigé ?". J'hoche la tête, les larmes me montent mais je les ravale aussitôt. Je me recule, enfile mon manteau doucement mais pas trop quand même pour la suite de mes actes est l'air crédible. Je me lève le regarde une dernière fois avant de tourner les talons Va te faire foutre, et dis à ta pute qu'elle se cache bien ! Je prends mon sac à la volée et sort assez rapidement du restaurant pour courir vers la voiture. Je l'ouvre, m'enfonce côté passager, ouvre la boite à gant, prends le téléphone et appuies sur la touche 1. Le téléphone sonne une fois et je reconnais la voix d'Alfio, je lui explique la situation et je raccroche après qu'il m'ai dit qu'il faisait au plus vite. J'ai la respiration haletante, je veux retourner là-bas il faut que je fasse quelque chose. Au même moment mon regard ce fixe sur un flingue qui se trouve dans la boite à gant. Je déglutis et me remémore les cours de tirs que je prenais avec mon beau père quand j'étais en pension à New York. Je prends larme dans ma main, le regarde sous tous les angles avant d'enlever la sécurité. Un coup de feu retentit dans le restaurant, des gens cris et moi je m'élance en dehors de la voiture pour retourner là où j'ai laissé Dante.

Je ferme les yeux quelques secondes pour reprendre ma respiration alors que je suis cachée par un pilonne se trouvant devant le restaurant. J'observe ensuite la scène, Dante se trouve derrière la table derrière laquelle nous étions installée, celle ci la protège alors qu'un des chinois est à terre. Les deux autres lui tirent dessus mais il n'a pas l'air blessé. C'est le moment où je dois intervenir alors j'entre dans le restaurant tout doucement, les frères Chang ne peuvent pas me repérer puisqu'ils sont dos à moi. Je me dissimule derrière un pan de mur et après avoir mis mon index sur la gâchette je tire sur l'un des deux et le touche en plein dans l'un de ses reins. L'homme s'écroule mais il a juste le temps de tirer dans ma direction, sa balle frôle un peu mais beaucoup trop mon bras gauche. Je pousse un petit cris, le choc m'a fait tomber parterre. Je saigne, j'ai peur je ne bouge plus et j'attends alors que j'entends des échanges de coups de feu entre l'italien et le chinois.
 
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Dante D. Basini & Swan E. Keynes

 
 

Dante c'était le genre de gars qui, quand une fille lui plait et qu'il a un vrai coup de coeur pour elle se bloque et devient vraiment coincé. Lui qui est plus coureur de jupons et charmeur, avec Swan il perdait ses moyens. Pour lui, le mariage était réelle mais et si pour elle il ne l'était pas ? Sa carapace, sa protection pour ne pas souffrir comme quand Sarah l'avait quitté s'était activée. Il ne voulait pas ressouffrir comme il avait souffert. Il se souvient très bien de ce sentiment, de ce coeur brisé qu'il avait dû porter pendant longtemps, il se souvient de chaque sentiments. Au début, il était éffondré et puis Sarah était revenu vers lui, mais Sarah c'était plus le genre de fille a jouer les électrons libres : elle venait quand elle voulait et elle repartait quand elle le désirait. Dante était là, à l'attendre. Le pire pour lui avait sûrement été sa mort. Cette solitude qu'on ressent quand on se sent seul, le sentiment d'injustice, de vengeance, d'abandon... Il les avait tous ressenti et aujourd'hui, il remontait enfin la pente, il lui avait fallu 2 ans pour commencer à se bouger et s'en bouger, alors il ne voulait pas si c'était pour se retrouver brisé à nouveau. Il préférait se dire que Swan ne ressentait rien pour lui, que pour elle, c'était qu'une erreure et le fait qu'elle lui annonce qu'elle voulait divorcer ne fit que renforcer cette pensée pour lui.

Visiblement, elle voulait s'exprimer, mais Dante était plus concentré sur autre chose malheureusement. Il sentait un danger imminent arriver. Il ne pense qu'à une chose : Swan doit sortir d'ici. Elle doit sortir, c'est impératif. Elle lui sort son speach alors que Dante lui cherche dans sa tête un plan. Il ne saurait pas vraiment dire ce qu'elle lui dit. C'est impoli et grossier, en temps normal, il ne se serait pas permis ce genre de choses. Mais là, c'est un cas d'urgence. Il doit rester concentré. Il se penche en avant et attrape sa nuque pour l'avancer à lui. Il se doute bien qu'elle devait être vexé qu'il ne l'écoute pas, mais il n'a pas le temps de se confondre en excuse. Il lui murmure la situation à l'oreille, lui intimant de sortir d'ici. Ils ne la connaissent pas. Ils vont la laisser sortir, du moins, il l'espère. Les chinois et japonnais sont galants et gentleman eux aussi non ? Ils ne toucheraient pas une femme.

Il finit par la regarder, un de ces regard intenses entre eux. Le genre qu'ils ont tout le temps ensemble. Ce genre de regard communicatif qui veut tout dire. Il veut la savoir saine et sauve. Il veut qu'elle sorte. Elle doit sortir. Bordel, si elle reste, elle sera un dommage collatérale de cette guerre incessante entre eux. Elle doit sortir. Dante ne la laissera pas mourir elle aussi. Elle semble comprendre le message, elle remet son manteau, attrape les clefs de la voiture et joue le jeu. Un dernier regard et elle disparait de son champs de vision. Elle est sortie, elle ira bien. Quel soulagement !

Mais pas le temps d'être joyeux et heureux. Le troisième serveur, qui doit être un cousin Chang va vers Dante avec son arme. Il la pointe sur lui alors que les deux autres vont sûrement faire de même. Cet imbécile lui parle en chinois ou japonnais et Dante prend un air blasée « On est en amérique l'ami ! Ici on parle américain. Je ne comprends pas ce que tu dis. » Un sourire insolent sur le visage et alors que l'homme tourne une seconde la tête pour voir où en sont les frères Chang, Dante le désarme avec habileté. S'en suit un combat à main nu où ils se rendent coup pour coup. En tombant sur une table, il la casse et les coups ne cessent, debout l'un face à l'autre. Il plaque le cousin contre un mur, prêt à l'étrangler quand il entend les Chang derrière lui, lourdement armés l'un et l'autre. Le corps du cousin lui sert de bouclier humain et le pauvre gars tombe par terre en sang, le corps troué de partout et du sang tout autour de lui. Qui penserait qu'on a autant de sang dans le corps humain ?

L'italien n'a pas le temps de s’étaler en pensé, il doit se mettre à l'abri. Il bascule la table où il mangeait avec Swan auparavant et se cache derrière. Par chance, l'arme est juste à côté. Il l'attrape et regarde le nombre de balle dans le chargeur. Quand il passe juste rapidement sa tête au dessus de la table pour évaluer la situation il la voit. Mais qu'est ce qu'elle fou là bordel ? Il lui avait dit d'attendre dans la voiture ! Elle tire un coup de feu avec le calibre qu'elle a dans les mains. Elle tire sur un des deux, dans le reins gauche, pas mal. Mais il tire en sa direction et son frère se tourne aussi vers elle. Dante ne cède pas à la panique et vise, il tire en pleine tête du second qui tombe au sol aussi, mais elle a poussé un cris. Pourquoi elle a poussé un cri ? Qu'est ce qu'il s'est passé ? pas trop loin d'elle et sachant que d'autre mafieux chinois risque d'arriver il court vers elle en criant son prénom et la plaque contre lui. Pour la protéger, il prendrait clairement une balle pour elle. Contre lui il l'attire avec lui derrière la table qui est assez grande pour les cachés tous les deux et lui prend l'arme des mains et remet le cran de sécurité. Elle semble en état de choc et elle saigne. Il attrape des serviettes en papiers encore présente et propre sur une autre table et la met sur sa blessure pour arrêter le saignement et de sa main libre relève le menton de la jeune femme pour qu'elle le regarde « Swan ? Ca va aller ? Respire ok ? Les autres vont pas tarder. Maintient les serviettes d'accord et ne bouge pas... » Il lui adresse un sourire qui se veut rassurant, prend sa main droite et la pose contre les serviettes pour qu'elle les tienne et retire sa main. Il lui embrasse le front, pour la rassurer toujours et les tire reprennent avec de nouveau assaillant. Il pointe l'arme sans cran de sécurité et tire. Il les touche un à un avec une précision sans faille. Il reste calme et concentré pour atteindre ses cibles. C'est comme quand il était petit à l'entrainement, anticiper, respirer et tirer ne pas se laisser distraire. Le dernier des attaquants leurs tire dessus alors que ses deux armes n'ont plus de balle. Alors que clairement ils sont dans la merde, un nouveau coup de feu retenti, celui d'une arme automatique et l'homme tombe à terre. Alfio entre le restaurant et les appel « Dante ! Swan ! Tout vas bien ? Vous pouvez sortir ! Dépêchez vous, je crois que la police va pas tarder ! » Un soupire de soulagement et il se tourne vers Swan, la prenant contre lui il lui demande « Tu peux marcher ? On va t'emmener à l’hôpital, t'en fais pas ... » Il se veut rassurant mais elle perd quand même du sang alors ils doivent agir vite et ne pas tarder...


 
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Nous étions venus ici pour nous expliquer, et notamment pour que je lui dise ce que je comptais faire. Allé trouver mon oncle pour tenter de stopper ce mariage, d'arrêter toute cette comédie. J'avais eu le pressentiment que Dante ne vivait pas pleinement sa vie à cause de moi, qu'il était comme un oiseau enfermé dans une cage. Je voulais juste lui ouvrir cette petite porte pour qu'il soit libre comme l'air. Je dois bien avouer que la démarche que j'allais entreprendre était en désaccord avec ce que moi je voulais vraiment mais je ne suis pas quelqu'un d'égoïste et surtout pas du genre à vouloir forcer les gens à vouloir la même chose que moi. Je venais de lui avouer tout ça et visiblement il n'était pas d'accord avec ce que je comptais faire. Je lui avais ensuite avoué que je ne supportais pas de savoir avec d'autres filles mais il ne m'avait pas écouté, pas une seule seconde. C'est donc à cet instant précis que j'ai compris que quelque chose de grave allait se produire et ça n'a pas loupé. Quelques minutes plus tard je me trouvais dans la voiture de Dante pour en ressortir avec une arme à la main après avoir eu Alfio. Après cela tout va très vite, trop vite pour que je ne puisse réagir assez rapidement. Je venais quasiment de prendre une balle dans le bras, je n'arrivais plus à regarder la scène. J'entendais juste des coups de feux et je ne savais même pas si Dante était encore sur ses deux jambes.

J'aurais pu rester dans la voiture en attendant sagement l'arrivée d'Alfio mais je n'avais pas pu. Je n'avais pas pu attendre qu'il se fasse tirer dessus sans rien faire alors qu'une arme s'offrait à moi. Même si nous étions mariés de force il était mon mari et je me devais d'aller le rejoindre même si pouvait bien me coûter la vie. Alors je n'avais pas hésité une seule seconde, je m'étais caché après avoir tiré sur un des frères Chang. L'autre n'avait pas perdu une seconde avant de braquer son fringuer sur moi et de tirer une balle sur moi qui toucha mon bras. Je me suis recroquevillé dans mon coin attendant que les coups de feux ne cessent. J'entends quelqu'un venir vers moi et je prie très fort pour que se ne soit pas le chinois mais Dante. Quand je sens sa présence à mes côtés tout mon corps se relâche. J'ose un regard vers lui qui regarde mon bras et là je découvre tout le sang qui s'étale sous mon pull. Je sens ma respiration s’accélérer, j'ai peur ça ne fait longtemps que je n'avais pas ressenti ce sentiment. Il me parle mais je n'arrive pas à sortir quoique se soit de ma bouche alors j'acquiesce avec un faux sourire comme pour le rassurer. Dante m'attire vers lui, je ne bouge plus alors que lui se redresse à nouveau pour tirer sur d'autres chinois qui se ramènent, on s'en sortira jamais. Je compresse les serviettes sur mon bras comme il me l'a demandé et j'attends en souffrant en silence. Alors que nous n'avons plus de munitions, une autre arme différentes des autres résonne dans la salle principale du restaurant. Une voix s'élève et nous reconnaissons tous les deux la voix de notre ami italien. Dante se tourne vers moi l'air rassuré et me demande si je peux marcher tout en me serrant contre lui. Oui.. Il essaie de me mettre debout mais avant cela je veux que nous restions assis juste une seconde tous les deux. Je plonge mon regard dans le sien, comme je le fais d'habitude mais avec encore plus d'intensité. Dante. Reste avec moi, sois mon mari à jamais. S'il te plait. Je déglutis, je ne sais pas si c'est la douleur qui me fait dire ça mais je crois que je le pense vraiment. Nous nous relevons et regagnons la voiture de Dante. Il m'aide à m'installer à ma place habituelle et va ensuite prendre la place du conducteur. Nous prenons la direction de l'hôpital.
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Ce repas entre eux aurait dû bien se passer. Ils l'avaient prévu, pour discuter pour se retrouver aussi. Ils l'avaient planifier par SMS pendant que le jeune homme était encore au Maroc à profiter du beau temps et des idées folles de Athéna pour s'occuper comme une super balade en dromadaire qui a part risquer d'abimer les bijoux de famille et le cul ne sert pas à énormément de chose : le désert c'est cool mais enfin, c'est quand même plus chouette de faire du Quad ou un truc du genre. Ca donne plus d'adrénaline. Anyway. Dante voulait en profiter pour mettre les choses au clair avec elle : il ne voulait pas divorcer. Pas maintenant, pas pour qu'ensuite elle soit livré à elle même entouré des requins et des lions de la mafia. Hors de question, juste no way. Le repas devait être cool, il l'aurait convaincu de ça, ils seraient restés mariés, dans leur relation autant étrange que passionné presque et tout aurait continué comme sur des roulettes.

Mais rien ne se passe jamais comme prévu. Dante avait fait l'erreur d'accepter d'aller dans Chinatown, un quartier qu'il ne fréquente pour ainsi dire jamais puisque la Triade est loin d'être une amie des italiens, de vieille rivalité surement peut être même à la roméo et juliette qui sait ? Et lui qui est pourtant attentif quand on lui parle de big deal a décortiquer autant les paroles que le non verbal n'était pour le coup pas concentré sur les paroles de la jeune femme qui pourtant prenait sur elle pour tenter de s'ouvrir à lui et de lui dire les choses qu'elle ressentait en elle. Si il avait écouté, il aurait probablement été surpris mais touché de ses paroles. Parce qu'il le sait, ces paroles sont sincère, elle les pense réellement. Elle a même dû longtemps hésiter avant de lui dire tout ça, ça a dur vraiment l'embêter de ressentir tout ça mais elle ne pouvait probablement pas faire autrement que accepter et lui dire ces mots dans l'espoir qu'il comprenne et partage la même chose. Si seulement il avait écouter, si seulement tout s'était bien passé, il lui aurait dit qu'il n'était pas vraiment fan du fait qu'elle puisse en voir d'autre. Même si sincèrement se caser ne serait pas une chose simple pour lui.

Les choses avaient dérapé et finalement, Dante se retrouvait derrière une table, avec une arme alors que des coups de feu retentissent de tous les côtés. 2 contre 1, non mais franchement, quel injustice ! Pas très faire play. Mais en quelques secondes, tout bascule avec le bruit d'un coup de feu familier, un petit calibre plutôt et un autre qui ne vient pas se cogner à la table en métal. Swan est là, avec une arme, elle n'a pas attendu dans la voiture. Elle est têtu dans le genre, une vrai italienne. Il la met à couvert alors que son coeur bat à 100 000, pour la première fois depuis longtemps il a ressenti ce sentiment : la peur. La vrai peur, intense qui pourrait paralyser n'importe qui. La peur de la perdre. Elle. Elle aurait pu mourir avec un tire mieux cadrer. Une fois à l'abri, il tente de la rassurer. Ce genre de fusillade est malheureusement assez fréquente entre les mafias et ce n'est pas sa première. Tout ce qu'il a à faire, c'est se concentrer, rester focus et tirer. Dans la tête, histoire de stopper l'histoire net; Alors qu'ils sont cuits, plus de munition, plus de balle, une autre retenti, puis une voix s'élève. Alfio. Il a prit son temps celui là. Dante a dû presque tous les abattre, un à un pour sortir vivant de ce piège. Alors qu'il veut l'aider à se lever, Swan le tire vers elle pour lui parler. Il la regard et ne sait pas si c'est la peur qui lui fait dire ça ou la sincérité mais il la regarde avec intensité avant de dire « Je te protégerai toujours, éternellement d'accord ? » Un sourire qui se veut rassurant et ils vont à la voiture. Il l'installe à sa place habituelle avant de monter de son côté et de démarrer. Merde, avec ce sang, il va devoir la mettre à nettoyer sa bagnole. Heureusement qu'il a la seconde, celle de course en rab.. Les sirènes de police s'approchent alors Dante fait signe à Alfio d'y aller et lui, va prendre les ruelles pour sortir du quartier sans être arrêter. Il est concentré sur la route mais inquiet pour son inconsciente de femme qui avait faillit se faire tuer. Un regard intense en sa direction et il demande « Ca va ? Tu as pas trop mal ...? »


 
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Tout aurait pu se dérouler comme prévu, tout aurait pu fonctionner aujourd'hui. Nous aurions pu discuter tranquillement, passer un après midi agréable mais je crois que je ne pourrais jamais avoir une histoire calme avec un homme. Dès que je rencontre un homme que j'apprécie plus qu'il ne le faudrait tout part de travers. Je ne sais pas si c'est parce que j'ai la poisse ou si je ne mérite pas d'être heureuse mais à la longue c'est fatiguant de ne jamais être pleinement heureuse. Alors j'avais essayé de me confier, de lui dire tout ce que j'avais sur le coeur pour être honnête avec lui. J'en avais assez de jouer la comédie je voulais que quelque chose entre nous soit vrai. J'ai l'impression de passer à côté de quelque chose, qu'il y a un truc qui ne tourne pas rond chez moi je ne comprends pas. J'étais entrain de lui dire des choses importantes et au moment des chinois nous attaquent, c'est quoi le problème ?

Tout s’enchaîne ensuite, beaucoup trop vite à mon goût. Je n'ai pas le temps de tout comprendre, les coups de feux fusent dans le restaurant et je me retrouve blessée. Je savais pertinemment que je n'aurais pas du revenir, que j'aurais du attendre dans la voiture mais vu mon caractère têtu il ne fallait pas m'en demander trop. Je crois que c'est une de mes instincts de survie qui a prit le dessus, aller défendre un des miens. je n'avais pas songé une seule seconde au mal que je pourrai avoir, au fait que je pourrais être blessée je m'en moquais un peu sur le coup. Mais me voilà à présent avec un bras qui saigne, dans les bras de Dante qui essaie de me rassurer du mieux que je peux et moi qui lui demande de ne pas me quitter, jamais. Je ne saurais comment l'expliquer mais même s'il me dit qu'il veillera sur moi éternellement rien ne saura plus jamais comme avant. Quand il me relève pour me mettre dans la voiture, des larmes roulent sur mes joues. Je pense que c'est à cause de la douleur mais aussi et surtout par cette situation, par ma situation de fille qui amène la merde partout où elle passe.

Je suis assise côté passager, j'ai l'impression de mieux connaitre ce siège en cuir que Dante lui-même. Il me permets souvent de me détendre, de me défouler quand je plante mes ongles dans ses coutures quand ça ne va pas, de me reposer quand je suis à bout de souffle. Je crois que je suis passée par tous les états d'esprit possibles avec Dante, la colère, la tristesse, la peur, le mépris, être sceptique, l'amour ? Je n'arrivais pas à rester concentrée que sur mon bras qui saignait, à mon autre main qui appuyait fortement sur ma blessure. Les serviettes d'origine blanche étaient devenues rouge pourpre, et si je perdais mon bras ? J'entends la voix de Dante et mon regard se tourne immédiatement vers lui pour s'encrer dans ses yeux. En temps normal je t'aurais dit que non pour faire la forte. Mais là non, je souffre. Je continue d'appuyer tout en laissant mon regard se balader sur mon bel italien qui roule vite, trop vite à mon goût mais c'est pour la bonne cause. Nous arrivons assez rapidement à l'hôpital qui par chance se trouvait pas très loin de l'endroit où nous étions. Dante se gare et sort immédiatement de la voiture pour venir m'aider. Je mords ma lèvre inférieure pour ne pas crier quand je me cogne légèrement dans l'ouverture de la porte. Mettre un pied devant l'autre, je reste juste concentrée là-dessus ni plus ni moins. Nous arrivons dans le grand hall de l'hospice où une infirmière qui nous voit accourt vers nous pour nous prendre en charge. Je laisse Dante lui expliquer, je ne sais pas ce qu'on a le droit de dire ou non. Elle nous conduit dans une pièce vide où ils m'aident à m'allonger sur un lit et elle commence à me soigner. Ma tête se tourne vers Dante, ma main ensanglantée qui appuyait sur ma blessure vient saisir la sienne.

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Tout peu basculer en un instant.
Dante D. Basini & Swan E. Keynes

 
 

Du sang. Il y a du sang partout. Qui pourrait imaginer comme le sang est en quantité dans le corps humain ? Derrière la table, pendant la fusillade, il voit bien le sang de Swan couler auprès d'elle. Son sang. Elle doit même pas faire 65kg et rien qu'avec sa blessure une quantité de sang sort de son corps pour venir s'écraser sur le sol blanc carrelé du restaurant. Les hommes de la triade aussi sont en sang, par terre. Le sang coule, il y en a partout et même avec tous les efforts du monde ou la force de caractère, cette scène ne peut que choquer n'importe qui. Voir ces morts, par terre. Ces morts qu'on a soit même provoquer. Il était passé pendant un instant en mode survie, en mode concentration. Il voulait sortir vivant de cette fusillade et que Swan surtout s'en sorte. Elle était trop jeune elle avait fait l'erreur de signer avec la mafia mais c'était sa seule erreur. Il savait qu'il devait la sortir de là, pour qu'elle puisse avoir la chance de tout avoir : un vrai mari, pas dans les histoires, gentil et drôle, des enfants et tout ce qu'elle pouvait désirer. Il devait la sortir de là et en la regardant un instant tout en rechargeant, en plongeant son regard bleu azure dans le brun des yeux de la jeune femme, il s'est promis une chose : si ils s'en sortent, il la fera sortir de là. Il la sortira de la mafia. Elle ne peut pas continuer à se mettre en danger. Elle doit sortir de ce système pourri où de base elle n'aurait jamais dû entrer. Elle devait partir loin de lui et surtout loin de tout ce monde de dingue pour pouvoir enfin être heureuse et épanoui. Il fallait qu'il la libère de ses obligations pour qu'elle puisse trouver le gars bien sous tous les angles et être heureuse et surtout libre.

Les coups de feux cessent, il n'y a plus que eux de vivant. La voix italienne et masculine d'un ami se fait entendre : ils doivent bouger et vite. Les flics vont arriver et ils sont du genre à arrêter les survivants et ne pas vraiment chercher plus loin. Avec la fusillade, les urgences vont vites se remplir, mais eux, ils doivent bouger et surtout Swan doit être ausculter. Il la porte jusqu'à la voiture. Cette voiture qu'elle connait par cœur à présent à force d'y monter à force de la voir dans le coin. Cette voiture qui est conduite par l'italien depuis longtemps maintenant. Cette voiture dont il devrait changer le siège passager surement pour retirer les tâches de sang. Elle est installée, elle est saine et sauve et  tout devrait aller mais le jeune homme est angoisser. Elle a l'aire d'avoir vraiment mal. Elle doit le détester à ce moment même pour ça. Il était la personne responsable de tout ce bordel ou en tout cas, il se sentait responsable et dans la voiture quand il la regarde, il la voit pleurer de douleur. Il lui demande si elle a mal, même si la réponse ne peut que être oui. Elle s'est prit une balle dans le bras bon sang. Une balle dans le bras. A cause de lui et de ces conneries de mafia. A cette idée, ses mains se crispent sur le volant. Bon sang Swan si tu savais écouter ce qu'on te dit, tu serais saine et sauve, sur ce même siège et Dante serait probablement celui qui est touché. Mais il n'en aurait rien à foutre parce qu'avec toutes les choses horribles qu'il a dû faire, il mériterai la damnation sans concession. Et toi peut être que tu serais libre Swan. Tu serais veuve mais probablement libre. Parce que même si ton oncle voulait de toi, les Basini saurait que Dante te veut hors de ça et ils feraient en sortes que tu puisses partir. Mais non. Swan elle est dans le siège passager, à sa place, avec le bras en sang à cause d'une balle. Et cette image, Dante l'aura gravé à jamais dans sa mémoire et il ne se pardonnera sûrement jamais. Quand elle lui dit qu'elle a mal, il lâche de la main droite le volant pour la poser sur le genou de la jeune femme un instant. En signe de réconfort mais incapable de dire quoi que ce soit de plus. Maintenant il doit trouver une histoire, un alibi. Un alibi pour expliquer ça. Parce que quand une blessure par balle arrive, l’hôpital doit prévenir la police qui vient faire une enquête juste pour savoir si c'est criminel ou non.

Dans le hall, alors qu'elle tien à peine debout, Dante va à l'accueil pour expliquer les choses « Il y a eu un règlement de compte dans Chinatown, on était entrain de se promener et mon amie s'est prit une balle dans le bras alors qu'on passait devant le restaurant, aider la s'il vous plait, elle a besoin d'aide ... » pour que la vérité ne soit pas connu, Dante savait que des italiens étaient passé pour faire le ménage et retirer le sang de Swan avant que la police arrive. L'infirmière semble mordre à l'hameçon et prend la jeune femme en charge. Dante reste près d'elle paniquer et quand elle lui prend la main le sang qu'elle a dessus se repend aussi sur celle de l'italien qui est tétaniser de la voir comme ça. Yeux dans les yeux, Dante lui serre doucement la main pour la réconforter jusqu'à ce qu'un mal baiser lui intime de sortir : ils sont entrain de soigner Swan, lui il peut attendre dehors. Il peut quand même récupérer le téléphone de Swan et lui embrasser le front avant de sortir, foutu littéralement dehors. Du téléphone de la jeune femme, il envoie un SMS aux deux meilleures amis de sa femme : Léo et Grace. * SMS : Ciao, c'est Dante, un ami de Swan, on a eu un soucis dans Chinatown et elle est blessée, si vous pouviez venir à l’hôpital du centre ville, je suis sûr qu'elle apprécierait. Grazie * il ne les connaissaient pas tous les deux, il ne les avait jamais rencontré, lui et Swan ça n'aurait pas dû duré, les sentiments n'auraient pas dû naitre alors ils ne s'étaient présenter que les personnes concernés et au courant du mariage : les parents de Dante, le clan de la Camora et l'entière famille Basini qui est dans le clan et la mafia tenue par l'oncle de Swan. Les amis eux n'avaient pas été présenté à l'autre. Tout simplement parce qu'à ce moment là, ils n'en voyaient pas l'utilité. Dante avait juste voulu les prévenir, peut être pour ne pas être seul ou pour que Swan ne le soit pas. Il s'installe dans un des fauteuils inconfortable de la salle d'attente de l'hôpital, priant pour que la jeune femme aille bien. Autant physiquement que mentalement.

 
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Tout peu basculer en un instant.
Dante D. Basini & Swan E. Keynes

 
 
Je sais ce qui lui passe par la tête. Je sais qu'il regrette ce qui est arrivé et qu'il se dit que c'est sa faute. Je sais qu'il se dit que je n'aurais jamais du intervenir, qu'il se serait débrouillé seul. J'espère juste qu'il ne regrette pas de m'avoir rencontré à cette soirée. Je ne sais tellement pas comment les choses vont évoluer à présent et connaissant Dante il pourrait vouloir s'éloigner de moi pour ne plus m'attirer d'ennuis. Je me maudis de lui avoir demander qu'on vienne manger de le quartier chinois. J'avais entendu parler du conflit entre les deux mafias mais je ne me doutais qu'ils s'en prendraient à deux personnes comme ça en plein dans un restaurant. Mais il faut croire que j'ai été trop naïve, que je ne me suis pas rendu compte de la portée de la mafia et à quel point ça peut être dangereux d'en faire partie. Mais je m'en contre fiche, je me plais dans cette nouvelle famille et surtout à ses côtés.

J'ai perdu beaucoup de sang et je n'ai plus vraiment les idées claires, j'ai peur. Peur de perdre mon bras et de ne plus pouvoir faire mes jolies pirouettes. Mais ça n'est qu'une égratignure,la balle n'est pas entrée à l'intérieur de mon bras elle n'a pas transpercée ma chaire. Nous sommes à l'hôpital et on me prend rapidement en charge. Je suis allongée sur ce lit alors que cette infirmière commence à soigner ma plaie et la seule chose que je désire pendant qu'on s'occupe de moi c'est d'avoir Dante dans mon champ de vision. Je sers sa main contre la mienne et les larmes qui menaçaient de couler depuis un moment franchissent la barrière invisible de mes yeux. Je pleure en silence parce que j'ai mal et sûrement aussi pour tout le reste. Je soutiens le regard de Dante qui se veut rassurant mais aussi inquiet quand j'entends la voix d'un médecin qui lui demande de sortir. Je ne l'avais même pas entendu rentrer. Je sens la main lâcher la mienne doucement et là c'est juste hors de question pour moi qu'il aille attendre dehors. Non, non ! S'il vous plait. S'il te plait Dante ! Je commence à me relever, je ne veux pas rester seule les hôpitaux ce n'est vraiment pas mon truc. Mais Dante est obligé de franchir la porte. Le médecin s'avance vers moi, je m'agite toujours, je veux mon mari près de moi. Il enfonce une aiguille dans mon bras droit qui n'est pas blessé, sois disant que c'est pour me calmer. Je me rallonge et j'attends tout en pleurant. Je me sens partir, mes yeux se ferment et j'entends les médecins dire que j'ai perdu beaucoup de sang. Puis plus rien, je me suis endormie.


 
AVENGEDINCHAINS
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