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Tout peu basculer en un instant ft Swan E. Keynes

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Tout peu basculer en un instant.
Dante D. Basini & Swan E. Keynes

 
 

Après des vacances sous le soleil du Maroc, où Dante avait pu se reposer et se détendre en profitant de bronzé, il était de retour à la grisaille de Boston. Et le soleil lui manquait déjà. Il avait passé une semaine phénoménale : entre les 7 heures de vol un peu poussive rattrapé à merveille par le bar à chicha et à thé où il avait gouté un thé vert typique du Maroc et fumer de la chicha, il avait profiter après une bonne nuit de sommeil des souks où il avait acheté plein de choses en souvenirs, pour ses parents, son fabuleux neveu, pour Crystal mais aussi et pas le moindre : un cadeau pour Swan. La jeune femme n'avait visiblement pas apprécier de le savoir loin et il devait l'avouer, elle lui avait manqué. Peut être était ce parce qu'il la voyait constamment ces temps ci ? A force de la suivre, de la savoir près de lui, peut être que cette distance était la cause de ce manque ? Il n'avait pourtant pas manqué de s'amuser. Surtout avec la suite des activités : après les souks, une après midi détente et bronzage au soleil près de la piscine : le soleil lui avait d'ailleurs donné un teint des plus halé et semblable à son teint quand l'été pointe le bout de son nez et qu'il passe des jours en Italie allongé à la plage pour parfaite son bronzage pour la rentrée. Après cela, la soirée étant libre, il était allé avec son meilleur ami Stuart qu'il appelait Stu' dans le bar à chicha passer du temps entre homme. Le lendemain après son sport matinal et un petut déjeuné des plus copieux, Crystal lui a donné un cours de natation qui s'est vite transformé en cours de récréation. Chamaillant et rigolant plus comme des enfants qu'autre chose. Puis une fameuse balade en dromadaire qui était tout simplement inoubliable : le dromadaire de Dante qu'il avait prit plaisir à nommé Prince Chawi en dédicace à Princesse Chiwa, le petit chihuahua d'Athena, était un vrai paresseux, et en plus de ne pas avancé, il était glouton et attendait toujours qu'on lui donne à manger. Une vraie tête de mule. Dante avait donc rigoler et crier pendant la balade, hurlant à son dromadaire d'avancer en italien. Après un long périple, prolonger à cause de Prince Chawi et de ses pauses, une nuit en Bivouac, un moment somptueux où les étoiles brillaient de toutes beautés. Le lendemain, un Hammam, des plus drôles il faut bien l'admettre : ayant reçu comme mission de se déguisé en héro de jeu vidéo pour son bizutage Dante était entré dans le Hammam en costume et avait attaqué Athena pour la désenvouté, se transformant en confusion général au milieu de jet de farine et jet de projectile d'une arme en plastique, entre les cris d'Athena et les paroles de Dana pour tenter de stopper le jeune homme, le hammam n'avait pas été des plus relaxants pour les jeunes femmes qui avaient finis avec de la farine sur la tête et face à un Dante qui dans son personne, prit dans son rôle était reparti en gambadant comme un joyeux lurons. Arriva ensuite le départ avec un long vol comme à l'allée. Nous étions donc Dimanche et Dante avait hâte de voir Swan. Il ne pouvait le nié.

Après avoir défait sa valise, ranger son appart et appeler ses parents en même temps en enclenchant le haut parleur, le jeune homme a ensuite prit sa douche, assez fatigué il avale un bon café italien pour le requinquer et se prépare pour retrouver Swan pour diner. Ils devaient allé au Kebab, du moins, il lui avait promis, mais il n'avait pas vraiment faim de Kebab, il en avait déjà mangé à Agadir il tenterait donc de négocier pour une autre destination. Sait-on jamais, peu être qu'elle céderait ? Si il lui faisait son beau sourire, il arriverait probablement à ses fin, même si avec elle, rien n'est jamais moins sûr, elle est du genre têtu, une vraie femme a l'italienne, d'un têtu et d'un tempérament, personne n'aimerait croisé son chemin si elle était énervée. Un texto pour lui dire qu'il ne va pas tarder. Mine de rien, ils ne vivent pas vraiment à côté, mais avec sa conduite souple et décontracte, mais surtout rapide, Dante arrive assez facilement au lieu de rendez-vous devant chez Swan. Il connaissait l'adresse depuis longtemps. Depuis le temps qu'il avait commencé à la suivre enfaite. Il avait fait quelques recherches, trouvant ce dont il a besoin sans trop de mal pour pouvoir prendre soin d'elle au mieux. A part ses habitudes et ce qu'il avait pu savoir avec ces brèves recherches, il n'en savait pas plus que ça sur elle, c'était probablement pour cela qu'elle l’intriguait, son côté mystérieux. Il était aussi curieux de savoir ce que sa vie avait été avant. Elle avait cette chance de grandir sans la mafia dans les parages, contrairement à lui qui avait passé son temps à être surveiller et formé pour prendre la relève, pour être un digne Basini. Elle n'était lié à ce trafique que par son oncle, avait pu éviter ce désagrément, alors avait-elle eu une enfance plus heureuse que la sienne ? Que pensait-elle de tout ce système ? L'écœurait-il autant qu'il écœurait Dante ? Le jeune homme bien qu'il y ait grandit, ne pouvait toujours pas accepter certaines façons de faire de la part de la mafia Camora. La violence et le chantage n'étaient pas sa tasse de thé et il faisait tout pour l'éviter. Passons, pour le moment, il était loin d'être au travail et de penser aux horreurs que parfois il devait faire pour contenter les chefs. Non, à présent, il ne pensait qu'à une chose : voir Swan. Savoir si elle lui en voulait encore, car pendant un temps, elle avait eu l'air vraiment fâché et savoir si Alfio avait bien fait son travail en veillant sur elle. Un message pour la prévenir de son arrivée et il fixe la porte d'entrée, attendant une chose : la voire.

 
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La semaine avait été longue, beaucoup trop longue. Le temps avait commencé à s’arrêté à partir du mardi soir, moment où j’avais appris que Dante était partit en vacances au Maroc avec Crystal. Je ne pourrais expliquer vraiment pourquoi le savoir avec elle me rendait dans un état d’énervement aussi grand. Je n’avais pas le droit d’interférer dans ses relations personnelles, nous étions mariés mais pas aux yeux de tout le monde. Nous avions été clairs sur le fait que nous devions jouer la comédie devant nos familles mais qu’en dehors du cercle familial nous avions le droit de voir qui nous voulions. Seulement le fait de le savoir avec une autre que moi m’exaspérait. Alors pour passer le temps je m’étais plongée à fond dans mes cours et plus particulièrement sur mes cours de danse dans lesquels je redoublais d’efforts même si l’intensité de mes prestations était toujours à son maximum. Nous étions enfin arrivé à dimanche sans trop d’encombre à part une grosse cuite le mardi soir où j’avais finit par aller dormir chez Dante. Son père m’avait raccompagnée et c’était inquiété de mon état mais je l’avais rassuré en prétextant que l’absence de Dante était insoutenable. Après tout nous sommes mari et femme donc cette semble plausible et puis elle n’est pas si fausse que cela.

Il était 18h30, Dante n’allait pas tarder à arriver. Il me restait une demi-heure pour me préparer. J’avais enfilé un de mes slim noir moulant, un pull un peu décolleté en maille beige et une paire de bottines basses noires. J’avais laissé mes cheveux retomber sur mes épaules et avais maquillé mes yeux comme d’habitude en ajoutant une teinte rouge sur mes lèvres pulpeuses. J’étais un peu stressée de le revoir, après tout j’avais été plus que désagréable avec lui par sms. Même s’il semblait m’avoir pardonnée je redoutais l’instant où nous allions nous voir. Je savais pertinemment que quand mes yeux rencontreraient les siens, toutes mes craintes disparaitraient comme par magie. Depuis ce fameux soir j’avais besoin de voir en permanence son regard sur moi ou encré dans le mien. Je m’étais habituée à sa présence constante et Alfio qui le remplaçait ne dégageait pas du la même importance à mes yeux, pas le moins du monde. Je ne lui avouerais pas mais il m’avait manqué j’en étais certaine.

Alors que j’enfilais ma veste en daim noire perfecto, mon portable retentit mon prévenir de l’arriver d’un message. C’est lui, il est en bas. Mon cœur se met à battre un peu plus vite, le moment de le revoir est arrivé et ça provoque chez moi des émotions bizarres. Je glisse mon portefeuille et mon Iphone dans mon sac, me regarde une dernière fois dans le miroir et descends les escaliers. Je sors et claque la porte derrière moi avant de voir sa Mercedes noire garée sur le trottoir. Je déglutis avec difficulté, mets quelques mèches de cheveux derrière mon oreille et avance vers le côté passager de son bolide. J’ouvre la porte, lui lance un léger sourire et me glisse sur le siège en cuir. « Salut. » Je n’avais pas osé le regarder tout de suite mais au moment où j’y pense je plonge mes yeux dans les siens. Cette vague de chaleur qui m’avait tant manqué m’envahit, c’est un véritable soulagement. « Ca va ? » Je ne sais pas quoi dire d’autre, je voudrai juste qu’il me fasse taire en faisant n’importe quoi mais je n’ajoute rien et mets ma ceinture de sécurité.
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Ces vacances lui avaient fait changé d'air et surtout, ça l'avait éloigné un peu de sa famille et de ce monde qui devenait lourd à supporter après toutes ces années. Comment continuer de vivre ainsi, sachant qu'il ne partageait pas la plupart des valeurs que sa famille prône ? Mais il n'avait pas le choix. Ce voyage lui avait permis de relativiser. Ce n'était pas la mort, il allait bien, il était en vie, il ne manquait de rien et au final, ça aurait pu être bien pire. Il avait une famille aimante, qui le protégeait et un jour, il le savait il prendrait non seulement le contrôle de l'entreprise familiale qui est propriétaire d'usine de chaussures à la mode italienne et à la classe italienne surtout. Mais il serait aussi le représentant le plus haut gradé de la Camora. Il prendrait la place de son grand père qui l'avait désigné comme héritier direct. Cela avait d'ailleurs créer des tensions au sein du clan Basini : certains cousins auraient eu aussi aimé avoir le rôle. Qui ne le voudrais pas ? C'est le titre le plus prestigieux quand on travail dans ce métier. Bien que peu gratifiant aux yeux des autres, c'est le mieux et le mieux payer en plus de ça. Avec ce titre, on gagne des millions mais on a toutes les responsabilités de la survie du groupe sur les épaules. Et après son grand père, ça serait lui. Donc dans le clan Basini, tout le monde lui devait le respect. C'est d'ailleurs ça qui l'avait sauvé quand il avait fait s'échapper Swan et son amie des mariages. Il avait été épargné parce qu'il était le descendant direct du plus haut Basini et qu'il était élu pour le remplacer. C'est toujours comme ça que son grand père lui avait dit "Dante tu es l'élu, c'est toi un jour qui prendra les reines de tout ça. C'est toi qui sera le chef et tu verras tu adoreras ça. Tout ça, ça sera à toi et tu seras excellent là dedans parce que je t'aurais tout appris, tout ça, ça ne sera pas un secret pour toi. Tout ça, ça sera ta fierté comme aujourd'hui c'est la mienne " Dante n'était pas sûr qu'il en serait vraiment très fière mais il essayait d'être positif, de voir le verre à moitié plein.

19h pile, il est devant chez elle et lui annonce son arrivé par sms. Il est content de la voir, même plus que ça. Il en est presque ... joyeux. Une chose étrange qu'il ne saurait expliquer... Il ne voulait pas admettre la vérité alors il se disait simplement *Dante tu as été inquiet toute la semaine qu'elle ait un problème, la voir te soulage juste, c'est normal après tout, aux yeux de la mafia, c'est ta femme, il n'y a absolument rien de bizarre là dedans*. Il fixe la porte de son regard bleu azure, il attend de la voir, il a presque peur qu'elle ne vienne pas. Il fixe la porte, ne la lâche pas des yeux. Elle doit venir, ils l'avaient prévu, il n'y avait pas de raison qu'elle le plante. Bien que désagréable quelques minutes par sms, elle ne semblait plus fâché alors même si ça serait bien son genre pour se venger de lui mettre un plan, il espère vraiment qu'elle ne le fera pas et qu'elle va apparaitre, que cette foutu porte va s'ouvrir et qu'elle va en sortir. Qu'il va voir sa silhouette chercher sa voiture des yeux. Oui, ça c'est ce qu'il veut. C'est certain.

Elle sort, elle a mis une simple veste alors qu'il fait vraiment froid dehors. Où peut être est ce le fait qu'il revient de quelques jours aux soleils sous un vrai bon soleil et où la température ne baissait que très rarement bas. Son corps s'était habitué à la chaleur et maintenant il avait froid, mais lui en tout cas, bien qu'en jean slim noir, chemise bleu claire et chaussures à la mode italienne en cuire de la marque de sa famille, il avait froid et avait opté pour un manteau un peu plus chaud. Elle cherche la voiture des yeux et la trouve, cette Mercedes noire, elle devait la connaitre par cœur maintenant, même son immatriculation à force de la voir dans le coin. Il monte dans la voiture et Dante la regarde en silence. Elle le salut, il la fixe, il veut qu'elle le regarde, il ne sait trop pourquoi. Elle finit par le faire et ce contact visuel lui fait immédiatement du bien. Elle lui demande si ça va, il détache ses yeux d'elle pour enclencher le clignotant et reprendre la route « Ça va et toi ? » il tourne pour rattraper une avenue et ajoute « Tu veux manger quoi finalement ? » peut être à t-elle changé d'avis ? Ça l'arrangerai bien, il préférerai manger autre chose que kebab.

 
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J'avais du mentir à son père le soir où je m'étais bourrée la gueule avec le whisky le plus fort du bar pour oublier. Il ne devait pas savoir que nous voyons d'autres personnes et surtout que nous jouons la comédie. C'était notre seule solution, jouer la comédie. Et si l'un de nous n'arrivait pas à tenir, et si Dante tombait amoureux d'une autre que se passerait il ? Je savais très bien qu'il était l'héritier des Basini et de tout ce que cela impliquait. Quand son grand père décédera il prendrait la tête de la Camora et ça sans qu'il est en vraiment le choix.  Je ne savais pas comment lui voyait les choses, je me demandais s'il était honoré d'avoir une telle place qui l'attendait ou si au contraire cela ne l'enchantait pas plus que cela. Nous n'avions jamais parlé de tout ça mais de toute manière il n'avait pas vraiment son mot à dire dans tout cette histoire. Et moi, quelle place, quelles responsabilités aurais je dans tout cela ? Actuellement être la femme de Dante impliquait juste de me montre à sons bras devant les autres membre de la famille je doutais qu'une fois qu'il en serait le chef ce serait aussi simple.

Je suis un peu trop tendue et ça doit se voir même si je sais dissimuler mes émotions. Il commence à me connaitre, à savoir quand quelque chose me stresse. Je repère vite la voiture noire, je dois bien avouer que même ce bolide m'avait manqué. J'avais Alfio avec moi toute la semaine mais je ne me sentais pas en sécurité pour autant. J'avais longuement réfléchit sur la manière dont je devais agir avec lui aujourd'hui. Je m'étais préparée à dire des phrases, à adopter une attitude détachée mais je sentais bien que rien ne se produirait comme je l'avais prédit. Je m'avance vers la Mercedes et grimpe à l'intérieur. Je m'y sens tout de suite bien même si je me sens toujours un peu tendu. Je lui demande s'il va bien, histoire d'engager la conversation alors que nos regards se croient enfin. Ça ne devrait pas être permis de ressentir autant de bien, autant de chaleur avec un simple regard, sans aucun contact. Ça va aussi, merci. Il détache son regard du mien pour se concentrer sur la route. Il démarre et me demande ce que je veux manger, je me rappelle qu'on devait prendre un kebab. Un chinois, japonais ça te dit ? j'ai prit kebab hier avec Grace. Je tente un regard vers lui alors qu'il prend la direction du quartier chinois. J'ai envie de lui dire pleins de choses mais rien ne sort d'entre mes lèvres. Comment m'excuser pour cette semaine et lui dire que je suis contente de le voir ? Je ne suis pas du genre à me livrer comme ça, mieux vaut attendre un peu qu'il m'en parle en premier.


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Dante était parti toute une semaine, mais il s'était inquiéter. Habituer à ne pas dormir la nuit, il avait appeler Alfio pendant qu'il surveillait Swan, histoire d'être sûr que tout se passait bien. Sinon, il ne pouvait pas se reposer. Il était inquiet pour elle. En faite, il était inquiet pour elle tout le temps : comment ne pas l'être ? Elle avait réussi à s'engager dans la mafia sans même s'en rendre compte. Alors même si c'était bénéfique pour les familles et les mafia italiennes de la Camora et celle de Swan, Dante ne voyait pas d'un bon oeil le fait qu'elle soit maintenant coincer, condamner a donner une partie de sa vie et de son énergie à la mafia. Surtout que quand on connait toute l'horreur qu'elle peut faire, on a pas vraiment franchement envie de les aider. Comment vouloir aider des meurtrier ? Des personnes qui en font souffrir un tas d'autre et qui cause des morts et des décès ? Quand de sang, on est obligé d'y être on y reste, tout simplement parce que c'est sa vie et qu'on ne peut pas renier mais comment accepter d'y entrer quand on peut rester loin de tout ça ? Comment choisir une vie pareil au lieu d'une vie loin de s'imaginer tout ce qu'ils sont capable de faire dans la mafia ? On en entend parler, mais tant qu'on est pas haut placé dedans , on est rien, rien du tout et on ne se rend pas compte de ce qu'il s'y passe et de ce que ça provoque. On ne se rend pas compte de l'étendu des pouvoirs de la mafia. Quand il aura la tête de la mafia, Dante devra prendre un tas de décision et la plupart lui crèveront le coeur tant il préfèrerait ne pas avoir à les prendre. Il sait qu'il aura la tête qu'il est l'élu de son grand père et ça ne le ravis pas vraiment. Alors il profite à fond de ses dernières années de liberté avant de vendre définitivement son âme au diable personnifier.

Enfin rentré, il veut la voir, c'est probablement sa première idée d'ailleurs. Il rentre en voiture chez lui, avec sa nouvelle super coloc Kyla et défait sa valise, prend de ses nouvelles puis quitte les lieux pour aller la retrouver, même si il a le décallage horaires dans les dents et une envie de dormir monstre, il veut la voir. Alors devant chez elle, il scrute la porte d'entrée, il la fixe, il attend, avec presque de l'impatience, l'impatience de la voir. Elle arrive, elle est habillé simplement mais ça lui va bien, il ne peut le nier. Elle entre dans la voiture et lui adresse un salut. Entre eux, pas de bise, jamais. Probablement parce que de base le jeune italien n'est pas accoutumé à ça et elle non plus, ou peut être que implicitement, un contact physique, ça serait presque trop pour eux qui n'ont des contacts que en se prenant la main pour bouger ensemble dans les diner de mafieux. Elle lui demande comment il va et il répond, lui demandant la même chose. Après cet intense échange entre eux il la quitte des yeux : elle est là, elle a l'air d'aller bien, c'est le principal et il ne peut pas s'attarder sur son regard envoutant de peur de passer pour un clown. Il lui demande ce qu'elle veut manger tout en passant la première de sa mercedes, il a une autre voiture pour les courses de voitures, mais quand il sort, en général, c'est avec celle là et Swan la connait par coeur : la couleur noir, les vitres teintés, probablement par balle, il l'a eu en cadeau pour ses 25 ans l'année dernière. Il l'adore, elle est classe et facile à conduire et Swan a l'air de bien l'aimer aussi visiblement, depuis le temps qu'elle la voit.

Elle lui annonce qu'elle veut manger chinois ou japonnais peut importe. Ca changera Dante du couscous marocain qu'il n'aime que moyennement et qu'il avait mangé toute la semaine : il s'en voulait d'ailleurs, il allait avoir pris au moins 2 kilo en ayant mangé autant là bas. Donc des sushis, c'est très bien, ça lui va, même si il ne va pas souvent dans ce quartier. Il s'engage dans la grande avenue Kennedy et continu dans les ruelles : Boston, il connait par coeur surtout les raccourcies. Il conduit vite de manière fluide vers le quartier chinois. Il repère une place et s'y gare en créneau sans mal. Il lui sourit « Nous y voila, apparemment c'est le meilleur chinois de la ville ! » il n'y était jamais allé jusque là mais pourquoi pas essayer. En général, il évitait ces quartiers à cause des mafias mais il n'y avait pas de raison qu'ils se fassent repérer. Ils seraient comme tout le monde : un couple qui va se promener et manger au restaurant un soir de flemme .... Il descend de la voiture et attend qu'elle sorte pour biper la caisse et qu'elle se ferme.

 
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Quand on parle de la Camora aux gens on a souvent deux réactions. Certains vont être complètement intrigués à vouloir tout savoir, tout connaître et même à pouvoir apercevoir "le parrain" de la mafia. C'est souvent un sujet intriguant voir excitant qui attise la curiosité de chacun. Pour d'autres la Camora n'est rien d'autre qu'une bande de tueurs, dealers qui ne valent pas la peine qu'on leur accorde la vie. J'ai toujours su que ma famille cachait quelque chose, ma mère ne voulait pas que l'on se mêle à eux. J'avais toujours cherché à comprendre pourquoi mes parents refusaient que j'aille passer quelques jours chez mon oncle et ma tante pour pouvoir passer du temps avec ma cousine. Il y a quelques années j'ai compris. Je suis remontée assez loin du côté de ma famille maternelle pour découvrir que mes grands parents, mes arrières grands parents et leurs parents et ainsi de suite descendaient directement de la Camora. Le père de ma mère est décédé quand j'étais petite alors c'est le frère de ma mère qui a prit sa place aux côtés du grand père de Dante. Avant d'être devenue la femme de Dante, j'ai faire quelque recherche pour savoir vraiment qui il sont, découvrir leurs coutumes et leurs valeurs. Seulement derrière un ordinateur on se fait une vision des choses un peu trop souple face à la réalité. Maintenant que je fais de la mafia, que je suis la femme d'un des mafieux les plus importants après son grand père et mon oncle, je comprends tout ce que représente la mafia. Je sais que je devrai avoir peur, que je ne devrai pas apprécier en faire partie mais je n'arrive pas à détester ce cercle. Je fais un travail pourrit j'en ai conscience mais je sens que ça va bientôt changé. Mon oncle m'en a parlé.

Je ne sais pas depuis quand il est rentré à Boston. J'ai dans l'espoir de me dire qu'il est arrivé ce matin et que je suis la première personne qu'il voit depuis son arrivée. J'ai la haine contre cette cabot sans cervelle qui l'a invité. Ne sait-elle pas qu'il est un homme marié ? Je suis bien placée pour dire ça moi, mais bon c'est plus fort que moi de penser comme de cette façon. J'ai juste envie de le voir, qu'on se rassure l'un l'autre, que je lui montre que je vais bien. J'aimerai ajouter qu'il m'a manqué, que je veux que sa voiture noire soit tout le temps derrière moi. Mais ça je ne lui dirai jamais, ça ne sortira jamais d'entre mes lèvres. Je suis trop fière pour avouer ces choses là surtout après lui avoir dit que nous avions le droit de faire ce qu'on veut avec qui l'on veut. Alors que je suis confortablement installée dans le siège en cuir, je lui confie que je préférerai manger des sushis. J'aimerai qu'il me regarde d'avantage mais j'ai l'impression qu'il m'évite un peu et ça m'énerve mais je ne lui montre pas. Il accepte d'un signe de tête et nous emmène dans le quartier chinois et il se gare devant un restaurant. Je crois être déjà venue déjeuner avec Grace mais j'ai un doute alors je préfère m'abstenir de tout commentaire.

Nous descendons de la voiture, je claque la portière alors qu'il ferme la voiture d'un coup de clé. Nous nous élançons vers l'entrée du restaurant tous les deux l'un à côté de l'autre et je ne sais pas pourquoi ni comment mais mes doigts se glissent doucement et furtivement dans ceux de Dante. Je déglutis et ne le regarde pas de peur qu'il se moque de mon geste alors j'ouvre la porte et m'avance vers un des serveurs qui nous accompagne jusqu'à une table à deux. Nous nous installons après avoir retiré nos vestes. Je fais mine de regarder la carte quelques instants et puis finalement c'est plus fort moi. MOn regard cherche celui de Dante et j'ouvre enfin la bouche.Je suis désolée pour cette semaine. Je n'avais pas à t'incendier comme ça. Je ne sais pas si je le pense vraiment car ça me touche vraiment de savoir qu'il ai été avec une autre pendant toute une semaine. Mais par politesse je me dois de lui dire ça.

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La camora ou même n'importe quel mafia est un groupe intrigeant ou terrifiant pour la population. Les gens ne mettent pas longtemps à savoir que les Basini sont supçonnés depuis des années à être dans la camora et que un des cousins de Dante est en prison pour ça. Quand les gens ne savent en général, la réaction n'est pas terrible, ils regardent les Basini bizarrement, ils ne sont pas avenant et te laisserai presque crever si un jour un problème arrive, surtout quand on est un homme... Mais Dante aimait sa famille et même si la police l'interrogeait régulièrement sur ses fréquentations et sa famille, Dante ne disait rien, même en passant un marché, il ne dirait rien, il ne lacherai rien, il ne serait pas la balance responsable de sa chute de sa famille. Il ne voulait pas l'être, en dépit du mal qu'ils peuvent causer, de la souffrance qu'ils font endurer à certains, il ne les balancera pas parce que quoi qu'il fasse, quoi qu'il arrive, ils restent sa famille, et la famille, c'est sacré, surtout chez les Italiens, la famille, c'est un peu la vie. Il n'y a que la famille qui ne trahira jamais un de ses membres si elle connait le sens du mot "loyauté". Il n'y a que la famille qui peut comprendre réellement qui on est. Alors Dante garde sa famille près de lui, il ne veut pas les perdre, il ne veut pas se passer d'eux ou que l'un d'eux aille en prison. Son cousin incarcéré, il va le voir, pas aussi souvent qu'il voudrait, mais il y va. Même dans les prisons, la mafia y est infiltrée alors on y risque pas grand chose puisque la Camora qui regroupe la mafia de Naples et de Sicile et est la plus importante d'Italie y a bon nombre de d'homme, ils sont en groupe et se protègent les un les autres. Mais au fond, Dante espère ne jamais avoir a y aller.

Il était rentré et il avait eu ce besoin de la voir, en plus il lui avait promis. Par message, il lui avait dit qu'ils se verraient le dimanche sans aucun problème. Alors il avait rapidement prit le temps d'appeler sa mère Delia, une maman poule qui s'était inquiéter pour son fiston toute la semaine. Il l'avait appelé avec le Bluetooth dans la mercedes histoire de ne pas perdre de temps et de la voir vite. Il avait été inquiet toute la semaine et avait remercié de l'existence de Whatsapp qui lui avait permis de parler à Alfio même du Maroc sans trop de problème puisqu'il y avait la WiFi dans l'hôtel. Et Dieu merci. Sinon, il aurait baliser pendant ces quelques jours de vacances, mais au final, la savoir bien et en sécurité l'avait rendu sereins et il avait un peu profité de ses vacances quand même.

Elle monte dans la voiture, comme ci c'était une habitude. Elle en avait probablement ras le bol de voir cette mercedes trainer dans le coin, derrière elle enfaite. Ils se regardent un instant et c'est comme ci ils ne s'étaient jamais quitté. Elle lui demande du japonnais alors le jeune homme se concentre sur la route. Il ne voudrait pas avoir l'air bizarre ou être déconcentré pendant qu'il conduit. Ou même se perdre dans ses yeux noisette qu'il aime tant regarder. Comment ne pas les aimer ses yeux, ils sont tellement beaux. Arrivé devant le japonnais, il se gare, sans mal en créneau et les Biiiip des radars de recules se font entendre, mais tellement habituer, il n'y fait même plus trop attention et se gare à l'ancienne, sans assistance en tournant la tête pour voir. Il s'y prend à une fois, sans problème avec aisance et descend de la voiture.

Une fois sorti de la belle bagnole il va à ses côtés après avoir fermé la voiture pour aller dans le restaurant. Il évite ses yeux qui le perturbe et sent ses doigts se joindre au sien et caresser sa main un instant, il ne peut s'empêcher d'en sourire mais ce contact est horriblement court, Dante aurait voulu la tirer à lui pour avoir un vrai contact physique, un de ces contacts qu'ils n'avaient que très rarement. Mais il n'en fait rien. Il entre et il a l'impression que le patron le dévisage du regard mais ne dit rien. Ils s'installent à une table et elle s'excuse de son comportement. C'est vrai que les messages n'étaient pas vraiment agréable mais il ne lui en tenait pas rigueur. Il plante son regard dans le sien et lui sourit « C'est rien t'en fait pas pour ça. Je t'assure, c'est pas grave. » Ca ne l'était pas. Il ne lui en tenait pas rigueur,il avait juste eu peur qu'elle reprenne la route dans cet état d'ébriété et était content d'avoir su qu'elle dormait chez lui. C'était finalement plus raisonnable et son appartement quartier Italie avait eu de la visite pendant la semaine. Le jeune homme jonglait entre ses deux appart : celui du quartier italien, acheté et offert par ses parents pour ses 21 ans. Un appartement dont il ne veut pas se séparer car quartier d'italie c'est un peu chez lui quand même. Et son appart près du campus avec Kyla en coloc de choc. D'ailleurs il s'était pour le moment gardé de dire qu'il avait une colocataire dans ce second appart, au cas où.


 
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Dante D. Basini & Swan E. Keynes

 
 
Je m'inquiète qu'un jour il lui arrive quelque de grave ou qu'il commette un acte impardonnable. Je ne savais pas tout des activités de Dante mais je me doutais bien qu'il devait prendre quelques décisions qui ne me feraient pas plaisir. Je ne vis pas dans le monde des bisounours, je me doute bien qu'il a déjà du tuer un homme ou juste tiré sur quelqu'un. Je sais qu'un jour moi aussi je vais devoir apprendre à manier un flingue pour pouvoir me défendre, et surtout il va falloir que je m'en procure un. Je ne passerai pas par Dante mais par mon oncle. Il serait bien capable de m'interdire d'en garder un sur moi, que c'est trop dangereux blablabla. Mais dans un sens il serait bon pour lui de m'en laisser porter un car il n'aurait plus à me surveiller, je pourrai me débrouiller seule. Mais nous n'en étions pas là, le sujet n'ayant même pas été posé sur le tapis.

C'est fou comme sa présence ou même sa voiture pouvait me procurer ce sentiment de bien être, de sécurité. Nous avions réussit à construire une bulle invisible quand nous étions tous les deux, et pendant toute la semaine notre bulle m'avait manqué. Nous n'étions pas très tactiles tous les deux et je ne l'avais embrassé qu'une seule fois lors de notre soirée de mariage. Nos regards suffisaient à se comprendre et à profiter des instants que nous partagions même si parfois j'aurais aimé plus. C'est sans doute pour cela que j'avais glissé ma main dans la sienne l'espace d'un instant sans même m'en rendre compte. J'avais eu envie de rester comme ça main dans la main pendant plus longtemps mais je ne pouvais, c'était déjà beaucoup trop d'avoir fait ça. Nous ne disons rien sur ce qui vient de se passer, alors que nous prenons place autour d'une petite table. J'en viens à m'excuser pour ce qu'il s'est passé cette semaine et il ne semble pas m'en vouloir puisqu'il me dit que ce n'est pas grave. Il n'ajoute rien de plus, nous prenons nos cartes pour choisir le menu. Je lève la tête vers le comptoir du restaurant et je ne sais pas pourquoi mais je trouve que deux serveurs nous regarde bizarrement. Je secoue la tête, je dois être parano alors je me plonge de nouveau sur les menus.

J'ai fait mon choix et visiblement Dante aussi, nous restons assez silencieux mais nos échanges de regards parlent pour nous. Je pense qu'il est temps que je me lance, que je lui dise ce à quoi j'ai réfléchit toute la semaine. Dante.. On peut pas continuer comme ça, hein ? J'veux pas t'empêcher de vivre ta vie. J'ai décidé d'aller parler à mon oncle. Il faut qu'on arrête ce mariage. Je n'avais aucune envie d'arrêter ce mariage, ça me plaisait d'être sa femme même si c'était à temps partiel. Je voulais qu'il me suive tous les jours dans sa mercedes, qu'il s'inquiète quand je ne réponds pas et qu'on se tienne encore la main dans les réunions de la famille. Mais pour lui ce n'était pas une vie, il n'avait sûrement pas envie de perdre son temps avec moi.
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Tout peu basculer en un instant.
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Être dans la mafia et surtout être haut placé signifie beaucoup de choses... Beaucoup de choses mauvaises à faire, à penser. Dès petit, il a apprit à se battre à désarmé une personne et les arts martiaux. Depuis il continuait avec tout ses amis : 2 à 3 cours par semaines. Histoire de toujours être au top, au cas où un problème arriverait. Dante préférait les combats à main nu, il était bien meilleure, et n'était pas vraiment un grand fana des armes à feux. Mais plus tard, il avait quand même apprit à tirer. Et il s'en sortait très bien. Il faut le dire, c'est un très bon tireur. Il avait plutôt intérêt et avait passé des heures dans la salle de tire de la villa italienne de la famille à Naples à s'entrainer pour être meilleur que les autres, pour bien représenter les Basini et la dynastie des italiens de la mafia. Aujourd'hui, enfant prodige, il touchait la cible à chaque fois, et bien souvent en plein centre. Il allait au centre de tire régulièrement, et faisait toujours les mêmes gestes. Maintenant qu'il était dans la mafia, il était même armée dans sa voiture : une arme dans sa boite à gant, un calibre pas énorme et un gros dans le coffre sous le tapis, dans une malle. Facile de s'en procurer quand sa famille revend de l’attirail de guerre. Chez lui, il avait un flingue dans la règle des 10 pas. Ils étaient très bien cachés, histoire que les invités ne tombent pas dessus par erreur mais il en avait planqué, juste en cas d'attaque. Quand il dormait en Italie, son Nonno faisait 2 dortoirs, deux équipes et un jeux pendant tout le séjour : une guerre de clan. Tous armée de pistolets en plastique avec des billes qui sortent grâce à une compression d'air. Et en pleine nuit, il venait les réveiller en hurlant, pour voir leurs réactions et si ils étaient assez rapide tous, de là, ils en avaient apprit la règle : toujours une arme à porté de main, car l'ennemie est partout.

Mais ce n'était pas parce que Swan faisait à présent partie de la mafia qu'il était prêt à lui en donner une. Encore un couteau, pourquoi pas, mais une arme, faut pas abuser. Elle n'était pas prête. Il ne voulait pas qu'elle porte sur la conscience la mort d'un homme ou le traumatisme d'avoir tiré sur quelqu'un. Il se refusait de lui faire vivre ça et quand l'oncle de la demoiselle l'avait abordé ce sujet là avec lui, il avait été formel : pas d'arme à feux.

Il la retrouve enfin, elle est toujours la même. Il est content, rien que le fait de voir cette porte s'ouvrir et de la voir arrivé dans l'ombre, il ne peut que sourire. Comment ne pas sourire à cette jeune femme. Il est content de la voir. Elle lui avait manqué. Il s'était vraiment inquiéter. Il en était malade que Alfio veille sur elle. Si il lui était arrivé quelques choses pendant son absence, il n'aurait pas supporté. Il ne lui aurait pas pardonné et ça Alfio l'avait tout de suite compris. Surtout que à ses yeux : Swan est sa femme. Swan est Madame Basini. Alors il savait que là dessus, Dante ne pardonnait pas. quand on touche à la personne qu'il aime, il rend la douleur fois mille. C'est ce qui était arrivé à Guissep cette nuit là. Quand les filles s'étaient échappés grâce à Dante. Ce connard avait tué Sarah, Dante le savait depuis un moment, alors il avait décidé de lié la fuite des jeunes femmes pour protéger Swan à sa vengeance. Quand la famille les a retrouvé, eux deux, sans leurs femmes, Dante a eu l'absolution en annonçant qu'ils lui devaient au moins ça pour avoir tué Sarah. Son grand père l'avait fixé cette nuit là, un long moment et lui avait accordé son pardon. Il lui avait laissé la possibilité de sauver Guissepp, il ne l'avait pas fait. Ce Bastardo avait tué celle qu'il avait aimé, il méritait la mort. Après avoir été tabassé par des gars, des hommes de mains, c'est à Dante qu'on a demandé de tirer. Il l'avait fait. Il revoyait chaque nuit le regard de son ancien ami dans ses cauchemars mais dire qu'il regrettait n'était pas vrai. Il l'avait chercher non ?

Une fois dans le restaurant, il sent le regard des serveurs sur lui. Pourtant, il ne vient jamais là, ils ne peuvent pas avoir reconnu le descendant Basini. Swan s'excuse pour son comportement et Dante lui assure que ça va c'est rien. Ils commandent, Dante prend des sushis, Il en mange peu, mais aime bien cette cuisine. Swan choisit aussi et ils passent commandes. Swan commence à parler. Elle lui dit qu'elle va tenter d'annuler le mariage et Dante est vexé de cette révélation de sa part. Pourquoi elle dit ça d'un coup ? Ca veut dire qu'il ne la reverra plus ? Non ... Non ... NON ! Hors de question. Il reprend « Tu veux arrêter toi ? Enfin ... C'est ce que tu veux ? Tu m'empêches pas de vivre ma vie. Tout va bien, la situation me convient. Elle ne te convient pas ? Ca te dérange c'est ça ? » Il est ennuyé et instinctivement pose une main sur celle de la demoiselle comme pour la rassurer, pour qu'elle ne le fasse pas. Il la fixe, plonge son regard dans le sien en espérant qu'elle se ravise. Mais peut être que tout ça ne lui convenait pas, qu'elle voulait voir d'autres gars officiellement ... Il n'en savait rien ...


 
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Il fallait que je lui parle de cette arme à feu, je devais m'en procurer une absolument. Le connaissant et si je m'en souviens bien quand mon oncle avait insinué qu'il allait m'en donner une Dante avait refusé. Depuis nous n'en avions pas parlé. Seulement il n'était pas bête il savait bien que j'avais besoin de ça pour me défendre, tout ne pouvait pas se passé aussi bien que depuis que j'avais commencé. Un jour ça tournerait ma et il s'en voudra de ne pas m'avoir permis d'en avoir une. Je savais ce qu'il pensait de cette histoire même s'il ne me l'avait pas dit, il ne voulait pas que je m'en veuille de tirer un jour sur quelqu'un. Je sais qu'il ne veut que mon bien, qu'il souhaite qu'il ne m'arrive aucun malheur mais un jour ça arrivera j'en suis sûre. Vendre de la came dans des ruelles ne présagent rien de bon surtout pour une jeune femme comme moi. Et puis je me sentirais plus en sécurité au cas où quelque chose tournait mal même si je sais que Dante n'est jamais très loin d'où je me trouve.

Depuis qu'il était partit au Maroc j'avais eu envie de lui dire pleins de choses, de me livrer un peu. Mais avec toutes mes histoires sentimentales ratées j'avais peur que tout prenne une mauvaise tournure. Je n'avais jamais eu de chance et j'avais souvent l'impression de me faire des idées sur ce que les hommes ressentent pour moi. Je tombe toujours sur des mecs qui ne veulent pas en dire trop, qui restent là à me regarder sans rien faire et j'en avais clairement marre de me faire avoir par le premier con. Je ne voulais pas qu'avec Dante ça se passe comme ça, je voyais bien qu'il n'y avait que moi que ça énervait qu'on voit d'autres personnes. Lui il était juste la pour ma sécurité, pour s'assurer que tout aille bien pour moi. Les échanges de regards que nous avions ne signifiaient peut être rien à ses yeux il fallait que je me rende à l'évidence. Je n'étais pas vraiment la dame Basini qu'il attendait. Alors j'avais prit la décision d'aller voir mon oncle pour que l'on trouve une solution, peut être qu'il accepterai notre divorce contre une somme d'argent conséquente, et niveau argent je n'avais pas à m'en faire.

Je lui dis donc ce que j'ai prévu de faire même si je n'en ai aucune envie. C'est mieux pour lui, pour sa vie qu'il s'épanouisse et ne soit pas condamné à être mon mari si cela l'empêche d'avancer. J'avais détourner le regard pour ne pas avoir les larmes qui me montent mais quand il me répond mes yeux vont directement dans les siens comme des aimants. Je ne comprends tout ce qu'il me dit, je ne sais plus quoi penser enfait. Il est peut être temps de dire un peu ce que je ressens. Sa main sur la mienne me donne un peu de force et me rassure. Non.. mais si.. enfin j'veux arrêter pour toi, que tu sois libre de faire tes propres choix sans m'avoir comme boulet. Je marque une pause en baissant le regard avant de reprendre en gardant ma main en dessous de la sienne. C'est moi qui est fait cette connerie de mariage. Toi tu n'y es pour rien.. Je le regarde avec encore plus d'intensité et lâche une dernière phrase tout en retirant un peu ma main. Et je ne supporte pas que tu sois avec d'autres, j'ai envie d'étrangler toutes celles qui te connaissent. Après cette révélation je n'ai même plus faim j'ai juste envie qu'il me raccompagne chez moi.
AVENGEDINCHAINS
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