lana (banana) ≈ when there was me and you.

WHEN THERE WAS ME AND YOU. Y’a deux semaines et un jour, High School Musical sortait dans les salles. Alors, ne vous méprenez pas, je ne considère pas ce film comme un chef d’œuvre, mais plus comme une sorte de porte pour éviter l’ennui. Et Lana aime bien cette trilogie de films. Ça, c’est parce qu’elle n’a aucun goût, mais ça va, je lui pardonne parce qu’elle est canon et aussi parce que c’est une bonne excuse pour qu’elle vienne jusqu’à chez moi. Non, je n’ai pas acheté les dvds, je les ai loués et c’est l’intention qui compte. Enfin, il fait noir dehors, elle ne devrait pas tarder à arriver et j’ai tout préparé. Y’a du popcorn, ces sucreries préférées et de la boisson. Comment recevoir, un livre écrit par Palmyr Rutherford pour les nuls. Voilà, en parlant du loup, j’entends la sonnette retentir et d’une démarche normale et naturelle je vais lui ouvrir avec mon fameux sourire : je vais bien, don’t ask. « Tu ne pourras jamais dire que je ne fais pas des concessions sur notre amitié après que j’ai regardé HSM. » Elle est prévenue. Je ne veux jamais l’entendre me dire que je ne fais jamais rien pour elle alors qu’High School Musical c’est de mauvais goût pour une fille qui aime les classiques. Bref, je me pousse de l’entrée pour la laisser entrer et je referme derrière elle. « À moins que je m’endorme sur les films, là tu pourras râler. » Un petit rire accompagne mes derniers mots.

WHEN THERE WAS ME AND YOU. Tout ton corps te faisait un mal de chien. En commençant par tes orteils que tu sentait à part jusqu'au bout de tes cheveux qui n'arrêter pas de se prendre dans toute les portes possible et inimaginable. Coupez-les, c'est que ta tête te dit mais ton cœur te dit que c'est bientôt plus la saison des bonnets. Tu passer la porte de chez Palmyr avec un grand sourire et des reste du boulot, bosser au cinéma tu coin ne pouvait que te réjouir pop corn gratuit et quand personne ne regarde tu fouillez dans la pôche à bonbon. « Bien sûr, comme si tu ne voulais pas baver sur Troy Bolton. » tu lache un rire avant de déposer le sac de pop corn sur le lit. Jettez ton pull sur le fauteuil que tu rate et retire ton pantalon. « T'en fait pas, je suis pas d'humeur à dormir. Je suis plus en mode : Netflix and Chill. » tu lui fait un clin d'oeil. C'était ce qui est bien avec Palmyr, pas de prise de tête, pas de dit moi que tu m'aimes, dit moi que la monogamie est pour toi, dit moi que je suis la femme de ta vie. Vous savez ce qui ruine le monde ? Les sentimentales. Tu te promène en slip jusqu'à son placard pour prendre un tee-shirt avant de venir te jeter sur le lit. « Tu m'as manquer ; comment va le monde de Palmier ? » tu attrapes une sucrerie et te câle ton lit, p a r a d i s .

WHEN THERE WAS ME AND YOU.Troy Bolton ? Oh que non. L’acteur est carrément beau, aujourd’hui, mais dans le film ? Non, merci. Je préférerai me taper Gabriella à la place. Que ce soit aujourd’hui ou dans le film, je ne suis pas difficile, héhé. « Tu confonds entre nous deux, c’est normal. Tu te rappelles que tu es celle qui bave devant Bolton. » Et moi, je m’assure que sa bave se retrouve dans un bol que dans mon lit. J’adorai l’idée d’avoir sa propre télévision dans sa chambre, c’est magiquement génial. J’éclatai de rire en me laissant tomber dans mon lit et je secouai la tête suite à son clin d’œil. Palmyr Elsa Rutherford ne pratique pas le netflix and chill. Puis, ce n’est même pas sur netflix. Du regard, je suis Lana se diriger vers mon placard avec son petit derrière bien rebondit et revenir avec mon tee-shirt sur le dos. Typique Milkovich. « Rien, absolument rien. C’est le néant dans ma vie, t’es la première personne que je vois de la semaine. » Probablement la seule aussi. Je n’ai pas envie de voir d’autres humains que ma propre personne et mes colocataires. « Tu m’as manquée aussi, comment se passe la vie de ma petite poupée Hawaïenne ? » Je lui fais un sourire, démarre le film et comme une sorte d’automatisme, ma main va jouer avec ses longs cheveux couleurs blés.

WHEN THERE WAS ME AND YOU.Effictivement, tu lui tire la langue en signe de réponse. « Elle ment Zac, tu était beau et tu le sera toujours. » certes il n'avait pas une tonne de muscle, mais tout de même, de là à dire qu'il n'était pas regardable, heureusement que c'était Palmyr. Palmier qui a fait une tonne d'effort, une vrai soirée romantique, ce qui se rapproche le plus d'un date d'ailleurs, pour la remercier tu lui fait une petite danse ses fesses en slips avant de ricaner jusqu'à sa panderie et revenir de plus belle, vétu d'un beau tee-shirt large toujours en culotte. C'est le soir du netflix and chill, on mange, on bois, on devrait boire d'ailleurs, ce serais pas une mauvaise idée. « On devrait boire un coup alors, porter un toast pour la première personne que tu voit de la semaine. » dis lui adresse un sourire avant de rire de plus belle et coller ton petit corps contre le sien. Elle t'avais manquer, mais surtout parce que tu été en manque totale de contacte humain, tu refuses chaque avance de tout les mecs dégueux qui venez de parlez, juste parce que tu savait qu'à la maison, une gentille Palmyr au cœur d'or t'attendais. « Rien non plus, beaucoup de boulot, beaucoup de devoir, beaucoup de stresse, j'ai besoin de décompresser. Et il semble que toi aussi, t'as pas vraiment l'air dans ton assiette. » tu glisses quelques baiser contre sa machoire avant de descendre sur sa nuque, tes doigts caressant l'elastique de son pas de pyjama. Glissant doucement le long de ses cuisses. Il a pas vraiment raison le cs, y a pas que princesse roycie qui a le droit d'utiliser la douche ikéa.

WHEN THERE WAS ME AND YOU.L’idée de boire un coup à ça me plaît bien. Le seul problème est qu’il n’y a pas d’alcool chez moi. Ou du moins, il y en a plus. La dernière fois que j’ai bu ici, chez moi, c’était avec Samaël. Les deux bouteilles de Tequila se sont vidées rapidement cette soirée-là. Peut-être trop rapidement, mais ça en valait totalement la peine. Donc, voilà, depuis cette soirée, je n’en ai pas rachetée. « Si tu as apporté l’alcool, je ne dis pas non. » Je réponds avec un petit sourire. Ça me fait du bien une présence féminine près de moi, je n’en ai eu depuis un moment. Semblait-il que je préférais celle des hommes et j’avais délaissée celle des femmes, mais ça va, j’allais me rattraper avec Lana. Je lui jetai un petit regard lorsqu’elle relevait le fait que je n’avais pas l’air dans mon assiette. Je ne comprends pas pourquoi elle dit ça parce que je suis devenue une experte à faire croire aux autres que je vais bien. Lana remarque peut-être les détails qui échappent aux autres. « C’est comme ça que tu décompresses ? » Demandai-je, yeux fermés, appréciant le contact de ses lèvres sur ma peau. Je ne me moque pas, j’apprécie. Parce que, du coup, High School Musical sert seulement en fond sonore. C’est typiquement une situation netflix and chill, là. Bref, j’attrapai son visage entre mes mains et je l’embrassai tout en me collant à elle. Je peux m’oublier dans ses bras, pour une autre nuit. « Tu as raison, j’en ai besoin. » Soufflai-je contre ses lèvres après avoir stoppé le baiser pour reprendre mon souffle.

WHEN THERE WAS ME AND YOU. T'aurai dû ouai, prendre de l'alcool au lieu de prendre des humburger, même si niveau calorie ça doit être la même chose. « On finit ça, et après j'irais chercher de quoi faire des cocktails. » par ça tu entend : on finit de se faire des papouilles pendant que Troye montre son talent de basketteur à Gabriella qui elle est trop occuper à résoudre des équations qui semble être trop facile pour une élèves de seconde. Tu passes tes bras autour de ta magnifique Palmyr, recouvrant sa délicate petite nuque de millier de petite baiser, tout en lui adressant un sourire. « Je sais, c'est peu conventionnelle pour décompresser, mais je trouve que faire l'amour est la meilleure des solutions quand la vie nous semble trop difficile, il faut juste trouver un bon partenaire. Un peu comme une partit de tennis. » et palmyr été le partenaire parfait. Tu continue tes baiser en caressant sa tailles du bout de tes doigts, joueuse et tactile, mais tu sentait que quelques choses n'allait pas. Non pas que tu es un certificat de liseuse de penser, mais tout de même, tu connais assez Palmier pour savoir quand les choses ne tournes pas rond. Tu inverse les rôles, te met assise sur sa taille et soulève son haut pour déposer de petit baiser sur sa poitrine puis son ventre. « Alors dit moi, est-ce qu'il y a eu une dispute avec une certaine Zéphyr Van Der Woodson ? Est-ce que c'est la princesse Roycie qui te tourmenta ? Est-ce que c'est ce que CS à dit à ton propos ? Ou alors juste : qu'il n'y a plus d'âme à sauver dans les alentours. Dis moi ce qui te tracasse, Palmyr Elsa Rutherford. Je sais quand ton corps est présent, mais que ton ésprit ne l'est pas. » tu finit par rester comme ça, assise sur elle, la regardant de loins pour essaie de lire entre les lignes.

WHEN THERE WAS ME AND YOU.En gros, je lui ai carrément mon accord pour qu’on puisse passer un bon moment, toutes les deux. Oublier nos problèmes, les choses qui nous stressent pendant un moment. Puis, après, on oubliera avec l’alcool et High School Musical. Sauf que malgré les frissons qui me parcourent à cause de ses doigts sur ma peau et les quelques baisers, elle commence à me poser des questions. Genre, j’ai envie de répondre à des questions. Si je l’ai invitée, c’est justement pour ne pas avoir à répondre à quoique ce soit. Si j’ai envie de parler, je n’ai qu’à toquer à la porte de Samaël. « Absolument rien. Aucune dispute avec Zéphyr, notre relation va bien. Princesse Roycie ne me tourmente pas, je ne lui ai pas parlé depuis des siècles. » Ahem, ouais, ouais. Le hic est que j’essaie de l’effacer de ma vie et je me dis qu’en disant aux autres que je ne le connais pas, ça va fonctionner. « J’en ai à foutre de CS, elle raconte que des conneries et j’ai sauvé toutes les âmes disponibles la semaine dernière. Je vais bien et la seule chose qui me tracasse, en ce moment, c’est Walt, mais ça ne n’est pas nouveau. » Tous les jours, je me tracasse le concernant, mais ça on s’en fout. On retient juste les visites de Princesse Roycie dans mon cachot. « Et toi avec tes dix milles questions. » Je suis sur la défensive, il ne faut pas m’en vouloir. J’ai l’impression que tout ce que je ressens est multiplié par dix. Fin, comme les questions de Lana m’ont soulées, je la pousse légèrement afin qu’elle ne soit plus sur moi et je me relève du lit en descendant mon haut.  « Je n’ai pas envie de répondre à des questions alors laisse-moi tranquille. »

WHEN THERE WAS ME AND YOU.D'accord, d'accord. Rien n'allait, ou tout vas bien ? Tes antennes sont foutue sur le coup, tu sais plus vraiment quoi penser. Tout sembler aller pour le mieux, alors pourquoi cette agréssivité ? Tu te sent prèsque gêner d'avoir poser des questions, alors que tu chercher juste à l'aider. Tu essaie de répliquer, mais pas le temps de dire quoi que ce soit que tu te retrouves mise sur le côté. Une claque aurait été moins douloureuse. « Wow. » dis-tu en te redressant à ton tour. « Il vient de se passer quoi là exactement ? » demande-tu en descendant du lit. C'était peut être pas le jour, les règles tout ça, mais vous aviez le même cycle depuis que tu la connaît et c'était pas avant deux bonnes semaines, alors quoi ? T'avais dit un truc qu'il fallait pas ? Mais encore une fois, tu voulais savoir ce qui se tramer. Tu enfiles ton pantalons et t'assoie au pied du lit, un peu dépité par la situation. Palmyr et toi c'était la simplicité, tu lisait en elle comme elle lisait en toi, comme deux morceaux du même puzzle. C'est pour ça que vous êtes amie, parfois même plus, parce que ça vous arrives d'avoir des orgasmes intellectuelle. « Je vais descendre acheter une bouteille de vin, du rosé ça te vas ? J'ai pas assez pour plus je crois de toute façon. » dis-tu en remettant ta veste, fouillant dans tes poches, vide comme toujours, il doit rester des fonds dans ton porte feuille.

WHEN THERE WAS ME AND YOU.Aucune idée de ce qui vient de se passer. Sur le moment, c’est juste arrivé. Je l’ai juste repoussé, je me suis relevé et je lui ai répondu avec une certaine froideur dans la voix. Peut-être parce que j’en ai marre que les gens me demandent si je vais bien. Ou alors qu’ils pensent savoir lorsqu’un truc cloche dans ma vie. Bordel, je ne crois pas être un livre ouvert. Fin, ma réponse se limite à un simple haussement d’épaules et à un soupir qui sort de ma bouche. Je sais que je devrai lui présenter des excuses sauf que je n’en ai pas envie. C’est normal, hein ? Je regardai du coin de l’œil Lana enfiler son pantalon et s’asseoir au pied du lit, à quelques mètres de moi. Je me sens mal, je n’aimais pas ce sentiment et j’étais désolée de l’avoir attaquée d’une certaine manière. « Tu as besoin que je te donne des billets ? » Demandai-je d’une petite voix en déposant mon regard sur elle. Sauf que je n’attends pas sa réponse que je me redressai et attrapai mon porte-monnaie pour lui donner un billet avec le magnifique visage d’Ulysses Grant. « Du rosé, c’est bien. » Je connais assez bien Lana pour savoir qu’elle n’acceptera pas mon billet alors je lui mets dans la main avec un regard insistant. Je n’ai pas envie de l’entendre refuser, qu’elle prenne, point final. Puis, je la regardai quitter ma chambre et entendre la porte de l’appartement s’ouvrir pour se refermer. Me frottant le visage, je laisse le silence envahir la pièce après avoir fermé la gueule à Troy et Gabriella.

WHEN THERE WAS ME AND YOU.Généralement tu t'en fou de tout le monde, tu t'en fiche pas mal que ta coloc soit trop fatigué de ses soirées gala et danse de salon, comme tu t'en fou royalement que tes copines du boulot soit excité par un concert naze ou la sortit d'un nouveau produit ménager. Tu t'en fou de tout et de tout le monde, alors tu pensais dur comme fer, que ça ferais plaisir à palmyr que tu t’intéresse un peu à elle. Que tu lui demandes comment c'est passer sa journée, si elle allait bien, si le monde de Palmyr tournée rond. Mais apparemment, elle s'en ficher pas mal, elle voulait peut être juste, tiré un coup et passer à autre chose. Tu suppose que c'est le cas, comme tu n'as pas d'autre option de toute façon. Tu enfiles ton jean et remis ton haut et ta veste pour t'apprêter à sortir, elle te file un billet que tu refuses de prendre, mais bien sur, Palmyr reste Palmyr. Tu fait mine de le prendre et le repose enrouler dans la poche de sa veste qui traîner dans le salon. Un jour elle en aura besoin et sera contente de le retrouver là, en oubliant sa provenance. Tu fermes la porte et soupire un bon coup, si tout c'était bien passer tu te serais presser pour y aller, mais l'envie n'y était pas vraiment. Alors t’achète ta bouteilles avec les sous qu'il te reste de ton service et t'as même assez pour remplir ta flasque de whisky. Que tu boit rapidement en montant les étages. Tu rentres dans l'appartement en gardant tes affaires sur toi, et pose les bouteilles sur son lit. « J'vais chercher des verres. » tu t’exécute, et un tire bouchon bien sure, tu reviens en toute vitesse pour vous service. Y avait deux bouteilles : du rosé et de vin blanc, de quoi être bien bourré. Tu lui tend son verre et reste au pied du lit pour boire  le tiens. « Santé. » tu lèves ton verres avant de le boire cul sec, essayant les quelques gouttelette du révère ta manche. « J'vais bouffer un burger, si ça te dit. » tu tire le sachet et lui tend le sien, ça se refuse pas un steackhouse, bacon, morceau d'ognon frie et sauce BBQ. Tu croques le tiens en fixant l'écran, sans le son, Troy a l'air vraiment ridicule à bougeant dans tout les sens.