(fb) Heartbreak girl || Luska

Repartons en arrière, il y a quelques années en arrière, quand j'avais plus exactement 15 ans. Je n'étais pas à mon avantage, j'étais déjà grand, mince à quelques endroit mais un peu de ventre. Je n'étais pas énorme, loin de là, mais j'avais un corps d'enfant qui devient homme. Dans ma peau d'adolescent de 15 ans, je suis devant le collège, entrain de parler avec mes quelques amis de classe. On parle de tout et de rien, comme d'habitude, il me taquine avec Alaska, ma petite-amie dont la poitrine fait rêver tout le monde. D'ailleurs, ils lui ont donné un surnom : Pamela. La pauvre. Je n'aime pas trop qu'ils l'appellent ainsi, ils le savent, mais ils en ont strictement rien à faire. On attend donc devant le collège, certains attendent leurs mères, d'autres font tout pour rentrer tard. Moi, j'attend mon Alaska, qu'on rentre chez moi, car il faut que je lui fasse écouter un morceau. Plus précisément, une chanson que je viens de terminer. Au loin, je la vois arriver vers nous. Comme toujours, les mecs font des commentaires sur elle, mais moi, je leur fais le regard qui tue. C'est ça, c'est ça, à demain les mecs, je leur dis afin de les faire taire et de les quitter. Les mains dans les poches de mon jean, j'attend qu'Alaska passe le portail de notre collège pour venir me rejoindre.

C'était ça ta vie, cette baraque qui croule sous les mythes et les cafards, ces placards vide, ce vieux canapé miteux, cette odeur constante de clope et de bière, c'était ta vie, et pourtant, tu te porter à merveille. Ce matin, tu as du sécher le cours pour emmener Andy se faire vacciner, douze ans à peine, elle avait déjà eu sa première relation sexuelle et se devait d'être protéger du cancer du col de l'utérus. Tu l'avais donc emmener et sécher les maths et l'anglais. L'après midi ce fût plus calme, les cours, les copines, cette bonne vielle prof qui est là depuis la construction de l'école, ou alors le début de l'humanité. Et ton copain, Lucas, et ses potes ,qui te matte lourdement, peut être que c'est parce qu'à treize ans à peine tu avait une paire de seins hors du commun, ou juste parce qu'ils sont persuadée que plus ils te mattent plus, ils avaient une chance de finir au lit avec toi. « Tu peut ramener Andy ? J'ai des devoir à faire. » aymrick arque un sourcil. « Chez Lucas ? Vous allez travaillez quoi, le physique ? » tu tape sur son épaule en faisant une mine de choquer, ton frère, toujours là pour te rappeler ô combien la gente masculine est chiante. Il te souffle un « protège toi   et tu lui fait un doigt, avant de disparaître dans la foule de gosse impatient de s'endormir devant les dessin animé. Un peu plus loin, une grande frite se démarque, sa tête blonde ,ses quelques points rouge et un sourire qu'il adresse à ta vue. « Watson, bonjour, je t'ai manquer en maths ? » dis-tu en lui adresse le même sourire.

A cette époque là, j'avais un béguin pour ma prof d'Anglais, allez savoir pourquoi ? Apparemment, on a tous une période où l'on bave sur un prof. Mais j'avais mieux, Alaska, une jeune fille plus jeune que moi et pourtant qui était en avance sur son âge, dans tout les sens du terme. L'attendant à l'extérieur du collège, je la vois au loin, se faufiler entre les élèves qui se bousculent les uns contre les autres. Alala, la jeunesse. C'est un sourire aux lèvres que je vois ce petit hamster arriver à ma hauteur. Toujours Granger ! Enfin surtout, de te voir agiter la main pour prendre la parole, dis-je en rigolant, avec ma voix mi aiguë-mi grave, avant de venir l'embrasser. Je peux entendre à ce moment même mes potes rigoler, sûrement entrain de dire des conneries sur nous. On y va ?, je lui demande en attrapant sa main, avant de prendre la direction de la maison des Watson. Nous ne vivions pas loin du collège, seulement à quelques rues. Comment s'est passé ta journée ?, je demande en prenant la parole, ne l'ayant pas vu pendant quelques heures.

Ah oui, quand tu lèves la main et que tout le monde fait des réflexions, comme Hermione Granger, blah blah, très drôle. Tu esquisse un petit sourire même si tu ne trouves pas sa drôle, c'est surement le fait d’entendre sa voix d'enfant qui te fait sourire. Il se penche pour t'embrasse et tu te met sur la pointe des pieds pour attrapes ses lèvres, j'imagine que ton frère te regarde en ce moment même, tu te tourne d'ailleurs pour le voir vous faire un signe. « va chier, aym. » dis-tu avant de te concentrer sur Lucas, ou pas, parce que ses amis sont vraiment lourd. « Je vous emmerde bande de puceaux. » dis-tu leurs faisant un doigt, avant de t'éloigner, la main dans celle de lucas. « Je comprend pas que tu puisses traîner avec ces gars là, ils sont vraiment lourd. » dis-tu en les regardants une dernière fois pour leurs faire un deuxième doigts d'honneur. Lucas été si intelligent, cultivé, doux, que tu ne pouvait pas comprendre comment ça se faisait qu'il soit ami avec de tel boulet. « ça va et toi ? Ma sœur a eu sa première fois hier soir, et on a du l'emmener d'urgence à la clinique, elle a même pas eu ses règles, qu'est-ce qu'elle en sait des désirs sexuelle ? »

Ma petite Hermione Granger, elle est tellement mignonne quand elle lève la main en mode "moi je sais, moi je sais", du coup ouais, ça m'a manqué. Enfin avec elle, je l'embrasse bien qu'on soit embêter par son frère de qui je détourne mon regard, mais aussi de mes potes contre qui Alaska s'énerve un peu. Ne les calcules pas, dis-je en haussant les épaules, alors qu'elle leur fait un beau doigt. Elle est tellement charmante ma petite chérie. Ils sont tout aussi lourds que tes copines qui me glissent des mots doux, dis-je en rigolant, sortant des bouts de papiers de ma poche pour lui mettre dans sa main libre. Nous marchons donc vers la maison, alors qu'elle me parle de sa sœur qui a une vie sexuelle contrairement à moi, jeune homme de 15 ans. Quoi ? Mais attend elle a quel âge déjà ?, je lui demande choqué, alors que nous arrivons à la maison. Appuyant sur la sonnette, la bonne à tout faire nous ouvre avec un immense sourire. Salut Nana, dis-je en la prenant dans mes bras. Bijour misou Watson...ouuuh la belle Grrrrrranger. Ouais, elle n'est pas Anglaise et encore moins Française. Nous montons ensuite dans ma chambre, ou je jette mon sac dans les air, le laissant atterrir où il atterrira.

Plus facile à dire qu'à faire. Parce que merde, ils sont chiant ses potes, surtout le chinois bizarre avec son gros nez, ça se voit trop qu'il veux plonger sa tête entre tes seins et faire brrr. « Ton pote au gros nez arrête pas de me faire des avances sexuelle ! Et ses pas mes copines, c'est des amis de passages. » dis-tu en lisant les morceaux de papier chiffonner : ma culotte est tremper pour toi, lucas ;) - ajoute moi sur msn :$ - trop bien ta nouvelle chanson, tu m'invites pour que je l'écoute ? (a) - et ça se dit copine. Tu roules des yeux, surtout qu'elles hésitent pas à mettre des tonnes de cœur. « J'espère que tu réponds pas à tout ça ? » dis-tu en lui adressant un regard tueur. Ça te fait toujours bizarre de venir chez lui, le fait que toi soit si.. luxueux. Voir sa bonne alors que ta mère pourrait être à sa place, et froler se tapis si propre, c'était toujours quelques choses. Le pire c'est surement cette boule au ventre de rencontrer ses parents par mes gardes, et devoir se présenter avec ses cheveux gras et ses vêtements tacher. Tu le suit jusqu'à sa chambre et t'assoie sur le bout du lit. « Elle a douze ans, et apparemment, celui qui l'a '''rendu femme'' – tu fais des guillemets avec tes mains – en a dix huit. » tu soupires de plus belle, et regarde autour de toi, sur sa table de lit trôner une photo de vous deux. ce qui t'arraches un petit sourire.

Ah, le petit Chinois ouais, je pense aussi qu'il rêve de jouer avec sa poitrine, mais je suis le seul à pouvoir le faire. Enfin, c'est pas grand chose, je bande pas pour ça, quoique...Une fois, je l'ai prit la main dans le sac entrain de se prendre en photo ! J'ai failli lui casser la tête, mais le prof est arrivé à ce moment, je lui dis en secouant négativement la tête. Tes copines de passages font peurs dans ce cas, je lui dis en rigolant, alors qu'elle me demande si je leur répond. Oui, je leur envoie des photos de moi tout nu, je répond à nouveau. C'est vachement mon truc, moi qui n'est pas bien dans ma peau, je ne ferais jamais ça, par contre, dans 5 ans, c'est pas dit....Arrivant à la maison, nous allons directement dans ma chambre histoire d'être seul. Il sait que vous pouvez portés plainte ? Mon père peut vous représenter, dis-je en remontant mes manches, tout en allant chercher mon petit bébé. Je parle de ma guitare là. Bon alors j'ai finit Heartbreak girl, j'informe ma petite-amie, alors que je m'assoie sur le lit et commence à jouer le début de la chanson.

Au moins il est au courant, que le chintok bave littéralement sur toi. Et que t'es presque sur qu'il se branle en pensant à toi pendant le sport, quand ton débardeur cache à peine tes gros nibard. Mais ça c'est leurs soucis à eux, tu n'as pas rentré dans les détails. « Tu aurait dû. Et mes copines sont folle, elles ont fait un skyblog qui t'es dédier et je suis sûre que : lucas watson is my religions, sur facebook c'est elles qui gèrent » dis-tu en déchirant les morceaux de papier, avant de les lancer en l'air. Tu ne comprend pas qu'elles puissent te faire ça. Elles sont censer être tes copines, t'épauler et te soutenir dans ce que tu fait, au lieu de ça elles font tout pour que votre histoire avec Lucas, se finissent le plus vite possible, et qu'elle le récupère pour elle. Tu tapes sur son épaules après sa blague et lui tire la langue. Une fois chez lui, sa bonne te dit bonjour, et tu hoche de la tête pour lui répondre, un fin sourire sur les lèvres, alors que tu te sentait intimidé par tout ce foutoir de riche. Peut être qu'un jour, toi aussi tu aura un piano qui trône dans le salon, enfin, ça c'est quand tu sera marier avec lui, avec deux enfants, et que tu ne pourras t'empêcher de lui dire que tu l'aimes, tout les jours, sans personne pour nuire à votre amour! 'fin faut demander à la toi dans 5 ans ce qu'elle pense de tout ça « On ne va pas porter plainte, on va juste.. laissez couler. » et puis elle est consentante, c'est ça le pire. Tu t'allongue sur le lit, alors qu'il te dit avoir finir sa chanson, un sourire se dessine sur tes lèvres. « Fais moi écouté ! » dis-tu en le regardant jouer avec les fils de sa guitare.

Le pauvre, je suis certains qu'il sera encore puceau dans 5 ans du coup, il prend de l'avance en matant les nichons d'Alaska. Puis bon, faut dire que tout le monde aime les cours de sport pour son petit débardeur blanc. Ah bon ? Tu connais une Lindy ou quelque chose comme ça ? Elle m'a contacté sur facebook, me demandant de faire une vidéo pour elle, dis-je en haussant les épaules. Pour moi ce n'est rien, juste des petites adolescentes. Parce que ouais, je suis tellement pas sur de moi, que je ne conçoit pas qu'elles puissent être folles de moi. Parfois même, je me demande ce qu'Alaska fait avec moi. Dans la chambre, j'agrippe ma guitare, titille les cordes puis m'assoie sur le lit tout en disant à Alaska que jai finit ma chanson. Ok, j'y vais. Hum..Hum...3...4...You call me up, It's like a broken record, Saying that your heart hurts, That you never get over him getting over you. And you end up crying, And I end up lying, 'Cause I'm just a sucker for anything that you do. And when the phone call finally ends, You say, "Thanks for being a friend," And we're going in circles again and again...I dedicate this song to you, The one who never sees the truth, That I can take away your hurt, heartbreak girl. Hold you tight straight through the day light, I'm right here. When you gonna realize, That I'm your cure, heartbreak girl?., je fredonne tout en jouant de la guitare, finissant la chanson quelques minutes plus tard. La chanson terminée, je lève la tête vers Alaska, attendant que madame juge mon travail, en espérant qu'elle ne soit pas trop difficile.

« Connais pas, et toi non plus, alors on ne parle pas au inconnue. » dis-tu en pinçant le bout de son nez. Non ses filles étaient des bouffeuses de mec, leurs hormones étaient en pleine ébullition, et il ne suffirait que d'un quiproquo ou d'une discussion sur de la banane et des donuts pour que ça tourne en partouze géante. Il était hors de question que Lucas s'abandonne à ses choses là, il est loin d'être comme le chinois. Tu te câle à un de ses coussins, et penche la tête pour avoir une vie magnifique sur lui. Ses mots sont doux et la musique aussi, les paroles sont assez simple mais tu peut voir au loin sur son carnet qu'il a longtemps travailler dessus comme c'est assez griffonner. L'air te rentre rapidement dans la tête, et une fois la musique finit, tu as encore envie de l'écoute une deuxième fois, puis une troisième fois, puis une quatrième fois, jusqu'à en être totalement enivrer. « Tu devrait écrire un album ! Ou un Ep ? T'en pense quoi ? Et te faire labelliser. Comme ça on sera riche et on pourras dominer le moooooooonde. MOUAHAHAHAHA » dis-tu dans un rire diabolique, avant de glousser. « Cette chanson est magnifique, j'espère qu'elle n'est pas pour moi ? Parce que je ne t'ai jamais briser le cœur. » 'fin, pas encore.