you're still on my shit list ✩ charline

« et toi alors ? Il est qui pour toi Maxwell ? » tu hausses les épaules. Tu ne serais le dire, ton meilleur ami ? Ton âmesoeur ? Ou le gars que tu aimerais te faire si t'avais déjà pas Lucas dans ta vie ? Il aurait une étiquettes d'un propable peut être, alors. « Mon meilleur ami.. Il a dit qu'il été amoureux de moi. Après que j'ai essayer de le branler à la lowell house. » moment difficile dans la relation max alaska. Mais tu sais que ta sœur comprend, malgré qu'elle est l'air d'un monstre, tu sais qu'elle connaît les doutes des mots : je t'aime. Et de l'impacte que ça représente dans la vie d'un Granger. C'était pire qu'un coup de couteau, parce qu'on a pas besoin de répondre au coup de couteau, au je t'aime, si. Tu lui fait comprendre que la porte est fermer, qu'y a eu un beug, que ça arrive souvent. Quand c'est comme ça il est assez tôt pour que demande au gardien de venir t'ouvrir, à cette heure-ci c'était trop tard. Tu te pose et cha revient avec une bouteille de whisky, tu esquisses un sourire, elle est toujours aussi fouineuse. « T'aurais pu prendre des muffins aussi, il en reste dans le présentoir. » dis-tu dans un rire alors que tu prend la bouteille, pour en boire une gorger. Ça sent comme ton père, quel douce enfance. Tu pourriez lui reprochez tout les malheurs qui te sont arriver, mais tu n'en a pas envie, tu es trop fatigué pour te disputé, alors vaut mieux en profité non ? « Comment ça fait alors d'être son propre chef ? » dis-tu en buvant une autre gorger. « Je suis un putain d'handicapé sentimentale. La faute au Granger, j'aurais peut être dur faire comme toi et juste m'évaporer. Peut être que j'aurais été capable de dire au mec que j'aime que je l'aime. » tu laches un rire et te lève pour aller chercher le panier de cookie, t'en feras d'autre avant le lever du jour, la patronne verra rien.

« Mon meilleur ami... il a dit qu'il était amoureux de moi. Après que j'ai essayé de le branler à la Lowell house. » mes sourcils se levèrent. Non pas que tu étais surprise de ce genre de pratique mais disons plutôt qu'il t'était presque impossible d'imaginer ta sœur en train de branler ton ex petit ami. En réalité, tu avais envie de vomir. Les années avaient passé et Alaska n'avait plus rien d'une petite fille. La petite fille que tu avais finalement élevée, une grande partie de ton temps. Une de tes mains se porta sur ton front. « merci pour cette superbe vision... » Maxwell était donc décidé à se faire toutes les Granger. Enfoiré. Un fin sourire se dessina sur tes lèvres. « Tu devrais faire attention à Andy... » t'avait presque envie de rire même s'il n'y avait rien de drôle. Les nerfs. Il était amoureux de ta petite sœur. Bizarre et sincèrement celle-là, tu ne l'avais pas vu venir. Après avoir cherché pendant quelques minutes une boisson rafraîchissante. Tu t'installais à ton tour sur le canapé. Tu tends la boisson à ta petite sœur et tu gardes le silence. « T'aurais pu prendre des muffins aussi, il en reste dans le présentoir. » Tu n'avais pas faim et en réalité, tu ne cherchais qu'un échappatoire à tout sa et l'alcool était ta seule et unique chance d'accélérer le temps. Tu n'étais pas doué pour ce genre de chose. Parler, te justifier sur ton choix, argumenter sur les raisons du pourquoi tu les avais abandonné. Alaska ne te le demandait pas mais tu savais pertinemment que la question lui rongeait le cerveau. « Comment ça fait alors d'être son propre chef ? » sa fait qu'on ne fait de mal à personne. Voilà tout. La solitude était bonne à prendre. Alaska bu une gorge avant que je lui prenne la bouteille des mains. À mon tour de boire. Tu t'apprêtais à répondre qu'en Alaska déboula tout ce qu'elle avait sur le cœur. « Je suis un putain d'handicapé sentimental. La faute au Granger, j'aurais peut-être dû faire comme toi et juste m'évaporer. Peut-être que j'aurais été capable de dire au mec que j'aime que je l'aime. » une grimace s'afficha sur ton visage avant de la regarder. Alaska n'allait pas et tu pouvais le sentir. Elle se leva rapidement pour aller chercher des cookies. Tu ne parlais pas et tu ne savais pas quoi dire. « En fait... sa ne t'aurait pas bien aidé ! Ça ne m'a pas aidé... » au que non bien au contraire, tu t'es éloigné de tout le monde et tout sentiment. « Tu as la chance d'avoir quelqu'un qui tient à toi, je suis bien placé pour savoir que l'amour sa craint mais tu devrais au moins essayer de lui dire. » conseil d'une grande sœur absente.

 « merci pour cette superbe vision... Tu devrais faire attention à Andy...  » tu arques un sourcil avant de lâcher un rire incontrôlée. Loin de toi l'idée de rire avec ta sœur en parlant de mec, mais il fallait tout de même dire qu'elle avait raison. Maxwell compte ce faire toute la ligner Granger, c'est qu'à un moment il va bien falloir qu'il aille tâte Andy. Tu roules des yeux pour faire genre que tu es épuisée par sa débilité, mais au fond ça te fait rire. Et puis, si vous vous disputez pendant 8h une de vous va finir par vouloir tué l'autre, non ? « Andy est pas bien en ce moment. Tu savait qu'elle se fait passer pour un mec ? Elle traîne en bermuda et elle a mis qu'elle avait un pénis sur son dossier d'inscription, elle a pas eu de bourse, mais un chef d'entreprise friquer lui paie son année, va savoir ou elle a trouver ça, faut être une Granger pour trouver ce genre de plan tordue. » t'avais piraté son compte pour voir où ça en été et effectivement, y avait plein de truc qui co-ordonée pas, mais elle refuser ton aide, alors tu as décidée de ne pas t'en mêler. Tu te redresse pour aller prendre un cookie au trois chocolat avant de te poser dans le canapé, sans comprendre tu laches une penser profonde qui te rodait dans la tête depuis un moment. Et si toi aussi tu aurait pris la fuite ? Si toi aussi t'avais tout laisser tomber pour vivre ta propre vie ? Tu ne serais pas l'ouragan Alaska si il n'y a personne à blesser autour. Mais elle répond le contraire, tu lèves les yeux vers elle en avalant une gorger de whisky. Whisky cookie, quoi de mieux ? « J'sais pas si tu te rappel de lui. C'était le gars qui vivait en face du supermarcher, Lucas. T'sais ses parents avaient une BMW et il porter toujours des jeans déchirer alors qu'il été riche. » tu laches un rire en imaginant mini lucas dans son jean déchirer à faire le kéké avec ses potes devant le lycée. « Il m'a dit qu'il m'aimais et j'ai répondu.. merci. » tu avales une boucher avant de te tourner vers Charline. C'est un truc de Granger ça ? Pas capable d'assumer ses sentiments ? Si oui, c'est où qu'on fait pour dé-cocher la case, parce que t'aimerais bien assumer tes actes parfois. « J'aurais aimer n'avoir que moi. Plus besoin de penser à tout et à tout le monde, parce que dès lors ou ça me concerne je suis désemparer. J'peut trouver des solutions pour tout le monde, mais dès que le mot Alaska est dans la phrase, je suis juste.. désarmer. » j'aurais aimer être comme toi. Avoir les crans de me péter et faire ma route moi même, mais regarde où j'en suis.

Tu ne regrettais pas ta décision seulement tu regrettais juste la manière don tu l'avais fait. Les choses étaient très différentes et encore aujourd'hui. Tu apprenais de tes conneries. Ta vie était un hama de merde, des merdes que tu accumulais malgré ton bon cœur. Tu ne contrôlais aucune de tes pulsions. La vérité s'était que tu étais une Granger et que tu ne pouvais rien y faire. L'inévitable était bien présent. « Andy n'est pas bien en ce moment. Tu savais qu'elle se fait passer pour un mec ? Elle traine en bermuda et elle a mis qu'elle avait un pénis sur son dossier d'inscription, elle n'a pas eu de bourse, mais un chef d'entreprise friqué lui paie son année, va savoir ou elle a trouvé ça, faut être une Granger pour trouver ce genre de plan tordu. » Tu affichais une grimace, en réalité, tu t'étais rendu compte du problème de loin. Ton contact avec Andy était plus rare mais elle était bien la seule à bien vouloir te pardonner d'être partie. Ta petite sœur revient vers toi, les mains pleine de cookie. Sans lui demander, tu lui piques le cookie qu'elle avait dans les mains et l'apporte à ta bouche. Légèrement chiant, c'est ce que tu étais. « J'sais pas si tu te rappelles de lui. C'était le gars qui vivait en face du super-marcher, Lucas. T'sais ses avaient une BMW et il portait toujours des jeans déchirés alors qu'il était riche. » tu te souvenais bien, une dégaine qui avait toujours entaché l'image parfaite de ses voisins. Tu hochais la tête avant qu'elle ne dise « Il m'a dit qu'il m'aimait et j'ai répondu... merci » ton regard se porte sur ta sœur et là tu ne peux empêcher cette grimace. S'était tout toi ça. Ta sœur était exactement comme toi. Aussi effrayer à l'idée d'aimer quelqu'un. Bizarrement t'avait envie de la consoler mais quelque chose en toi, te disait que tu n'avais pas le droit. Ta main se porta à ton front comme pour éviter qu'elle n'aille se poser sur l'épaule de ta petite sœur. Tu te retenais. Tu finis par te mettre face à elle et tu lui dis : « Ça ne fait pas de toi une handicapé... t'as juste eu peur ! Et tout le monde peut avoir peur en entendant ces quelques mots. Ne te sens pas obligée de lui dire parce qu'il te l'a dit. Dit lui quand tu seras prête, sa aura plus de sens. » conseil d'une grande sœur absente. Ton sourire était crispé et tu finis pas te rasseoir correctement dans le canapé. « C'est toujours plus difficile quand ça nous concerne. On est comme sa Alaska, on n'a pas été gâté par la nature et les sentiments ne font pas partie de nous... » Quelle réalité... tu finis par reprendre la bouteille et tu bois une grande gorgée.

Si c'était pas beau ça. Les granger enfermer, obliger de se parler comme des gens normaux et non des animaux. Tu devient molle, peut être à cause de l'alcool ou juste parce que tu venez de vidé tes tripes sur Charline, et qu'il ne rester plus que les regrets de ses quelques jours avec Lucas qui ont finit en fiasco total. Ta tête contre le fauteuil, tu racontes tes histoires d'amour, sans vraiment comprendre que c'est à charline que tu parles, qu'elle est tout aussi pas douée que toi, et que le seul conseil qu'elle pourrais te donner c'est : lèche lui la couille et attend que ça remarche. Parce que c'est ce que les parents nous en appris, jamais ils ne nous en appris à faire un rendez-vous parfait, être monogame, ou alors ménager les sentiments de son partenaire, les Granger sont fait de feu et de pière et forcement, ils pensent que tout le monde est fait comme eux. Mais à ta plus grande surprise, les paroles de ta sœur sont sensée et plein d'inspiration. « Est-ce que c'est ce que tu devient quand tu boit ? Une femme philosophe qui arrive à cerné les gens ? » tu lache ça en gloussant bêtement et avale une gorger de whisky que tu lui repasse ensuite. Elle avait raison, c'est difficile quand l'amour n'est pas la première chose qu'on nous apprend dans la vie, chez les Granger c'est la survit avant tout. « Tu n'as jamais eu de relation sérieuse depuis que tu es partit ? Tu n'as pas trouver le bouton pour arrêter d'être une Granger sur ton chemin ? » dis-tu en te redressant. Tu a toujours penser qu'en quittant cette maison, Charline avait réussi à changer du tout au tout, oubliant les règles de la maison et ceux de ses habitants. Mais il semble que ce n'est pas le cas, que comme toi, c'est aussi une handicapé de l'amour. « Pourquoi vous avez rompu avec Maxwell ? » dis-tu par curiosité, si Max aime une Granger, je suis persuadée qu'il ne la lacherais pas pour un anniversaire oublié.

« Est-ce que c'est ce dont tu deviens quand tu bois ? Une femme philosophe qui arrive à cerner les gens ? » garce. Ta main heurta rapidement son épaule. En réalité, c'est ce qui t'arrive d'être de temps en temps. Le temps te faisait réfléchir et tes choix ne faisaient que t'endurcir. Tu finis par te mettre à rire et ton regard se pose sur ta petite sœur. « On peut mettre sa sur le coup de l'alcool ! » ne cherchons pas plus loin. En réalité, l'alcool n'y était pour rien. Alaska était ta petite sœur et mine de rien, il t'arrivait de t'inquiéter pour elle-même si tu ne le disais jamais. Tu avais des failles et tu le savais. Alaska en était une. Voilà pourquoi tu la rejetais constamment. Une nouvelle gorgé et un morceau de cookie. Un cocktail qui commençait à faire son effet doucement. Tu retiras ta veste avant de la mettre sur le côté. « Tu n'as jamais eu de relation sérieuse depuis que tu es partie ? Tu n'as pas trouvé le bouton pour arrêter d'être une Granger sur ton chemin. » Alaska semblait persuadé que ma vie était différente. En vérité, elle n'avait pas vraiment changé. Mes démons me poursuivaient, le seul avantage que j'avais s'était de tenir éloigné ma famille de moi. « Non... je les pas trouvais mais je cherche encore. L'espoir fait vivre. Et les relations sérieuses ce n'est pas fait pour moi. » Non le sérieux ne te ressemblait pas. Tu gâchais le moindre soupçon de sérieux dans ta vie. Tu étais comme ça. Tu avalas une nouvelle bouché avant de presque t'étouffer lorsqu'elle te posa la question indiscrète. « Je l'ai trompé... » et là tu te doutais que t'allait une nouvelle fois provoquer la fureur de ta chère petite sœur.

« On peut mettre sa sur le coup de l'alcool ! »  menteuse. Tu savais lire chez les gens, ce petit truc qui fait que tu sais quand ils mentent. Tu lui adresse un mi-sourire, entre le : je sais quand tu ment et le : merci de mentir pour que cette situation ne soit pas awkward un finit par avaler un morceau de coockie à ton tour. « ça te vas bien alors, tu devrait être dans cette état plus souvent. » comme votre père, c'est peut être comme ça qu'il est supportable, imaginer le sobre, il doit être encore plus chiant et cinglé qu'après trois bouteille de whisky. Tu ne sais pas ce que tu fais, c'est peut être le fait d'avoir tout balancer sur elle, et d'avoir écarter le sujet lucas qui fait qu'il revient en force, après que ton esprit soit de nouveau libre. Tu demande des conseilles à ta sœur, sérieusement ? Mais elle semble appliquer à te répondre. Tu a toujours penser qu'en quittant les Granger, elle a arrêter d'en être une, mais il semble que non. « Si tu le trouves, n'hésite pas à me dire ou il est. Histoire que j'arrête de chercher aussi. » dis-tu dans un gloussement, ça pourrais être si simple, vous auriez pu avoir des parents normaux et une baraque normal, mais le destin on a décider autrement. Tu lui demander pourquoi ça avait foirée avec Max, son petit mot sur les relations sérieuse, te fait comprendre qu'elle est comme toi, et la raison de la sépération encore plus. « Wow, je pensais être la seule fille infidel de cette famille. Mais j'te remercie, je me sent moins seule a avoir foirée mes relations à cause d'un coup vite fait. » dis-tu dans un fou rire. Alors que les engins des noirs est pas censé être plus gros, donc qu'il n'y a pas a aller voir ailleurs ? « Okay, ce que je vais te demander est vraiment indiscret mais : est-ce que Maxwell est doué au pieu ? » c'était pas le genre de truc à discuté entre sœur, mais tu voulais savoir.

(Invité)