you're still on my shit list ✩ charline

Le monstre est de retour, tu peut le sentir, rien qu'en voyant ses quelques messages. Tu connais son mode de fonctionnement et tu sais comment l'attraper. T'avais pas piger au début, après ta réconciliation avec Maxwell, les choses ont commencer a redevenir normale, mais tu voulais être sure que ce soit normale. Alors tu avais piraté son téléphone – quoi ? les meilleurs amis ne font pas ça ? Faut me passer l'amitié pour les nuls alors. Quoi qu'il en soit, à l'aide d'un petit logiciel de rien de tout et d'une bonne vingtaine de minute, tu arriver à transférer tout ses appels et tout ses messages sur ton portable, et dans fouler, entre les filles qu'il drague, et ton nom mentionner à plusieurs reprise après le mot cette pute de, tu es tomber sur le nom d'une certaine jeune fille : Charline G. Au début, ça t'as sembler trop facile pour être réel, ça aurait pu être n'importe qui, bien que Charline ne soit pas LE prénom aimer par les gens en générale, il était tout de même aimer et des gens pouvait l'utiliser, mais il semblerais qu'après plus de recherche sur cette jeune femme, elle soit d’origine anglaise, avait un penchant pour les vol à l'étalage et rechercher activement des clients sur lequel déverser sa haine. Te fallait plus de dessin supplémentaire, le monstre été de nouveau là, et il arrivais à se faufiler entre les gens que tu aimes. Tu était un peu sur le cul, et sans attendre tu as décider : d'agir. Tu lui a donc envoyer un message sous le numéro de Maxwell, plus précisément « J'ai des trucs à dire, assez important qui serais trop long à expliquer par message, tu peut me retrouver au Starbucks après la fermeture ? Entre la porte de derrière, ce sera ouvert , à tout de suite. » tel une vrai petit pro, tu as donc mis tout le piège en place, fermer magasin après que tout les autres employer soit partit et actuellement, tu es sous le comptoir à attendre que Charline débarque dans la grande salle, en éspérant qu'un clochard ne se soit pas faufiler derrière elle.

Tes journées étaient longues et souvent très chargées. Ton emploi du temps n'égalait sans doute pas celui du Premier ministre américain mais il te demandait du temps. Tu étais en train de servir un hamburger frite lorsque ton téléphone se mit à vibrer. Tu jettes un rapide coup d'oeil avant de voir apparaître son numéro. Un numéro que tu connaissais pas cœur et qu'il était impossible de t'enlever de la tête. Tu avais pourtant essayé en retirant son numéro de ton répertoire mais rien n'y changeait. Tu ne l'avais pas oublié. Tes sourcils se froncèrent « J'ai des trucs à dire, assez important qui serais trop long à expliquer par message, tu peux me retrouver au Starbucks après la fermeture ? Entre la porte de derrière, ce sera ouvert, à tout de suite. » Tu remis ton portable dans ta poche avant de prendre les assiettes vides des tables voisines. Tu n'avais pas pris le temps de répondre tout simplement parce qu'il te fallait un petit temps de réflexion. C'était bizarre, étrange même. Néanmoins, Maxwell venait de piquer ta curiosité. Rapidement, tu lui réponds un simple « ok » Tu t'avances vers ton patron et doucement tu lui dis : « Éric... est-ce que je peux quitter le service plus tôt, j'ai un petit problème et il faut que j'aille le régler tout de suite ? » tu étais une employée plutôt exemplaire, tes nombreuses heures supplémentaires pouvaient en être la preuve. Il hoche la tête positivement et tu quittes le café. Tu prends le bus jusqu'au Starbuck. Une fois arrivée, tu suis les instructions et tu rentres par la porte de derrière. L'endroit est calme, trop calme. Tu fronces les sourcils « y a quelqu'un ? » c'est bizarre... rapidement un visage sort de sous le comptoir. Tu sursautes et rapidement : « BORDEL MAIS TES MALADES ! Qu'est-ce que tu fais ici Alaska ? » t'as du mal à comprendre.

Tu le savait, tu le sentait venir, c'est comme les chiens qui sente l'odeur de la pluie avant même qu'elle tombe, toi tu le sent l'odeur des emmerdes avant qu'elle commence. Elle fait quelques pas dans l'endroit vide, en observant autour d'elle. Rien n'avait changer, elle était toujours aussi grande, aussi fine, aussi brune, aussi jolie, aussi diabolique. Tu la regarde un cours instant, en félicitant ton instinct d'être toujours là pour toi. Tu bondit ensuite de ta cachette pour lui faire face. « TOI ! » dis-tu en bondissant de sous le comptoir en faisant des gros yeux. Tu lui balance ensuite des serviettes dans le visage, comment est-ce qu'elle ose remettre les pieds dans ta vie – indirectement, mais tout de même – après tout ce qu'elle vous avez fait subir ? « La vie de qui est-ce que tu es venue ruiner cette fois-ci ? » dis-tu en gueulant presque, fin non tu gueules vraiment, heureusement que c'était vide de vie par ici, et que personne ne pourrais vous voir vous prendre le bec. T'avais déjà penser à ce moment, ce moment ou tu la retrouverais pour lui cracher ta haine à la face, mais après des années à marmonner tout ce que tu aurais voulu lui dire d'horrible, tu te retrouve à cours d'argument en la voyant ici, devant toi. « Moi qu'est-ce que je fais ici ? Mais c'est plutôt à toi de me rendre des comptes. Pourquoi t'es ici ? Quel relation tordu est-ce que tu fais subir à Maxwell ? Et surtout quand est-ce que tu vas te décider à arrêter de ruiner la vie des gens qui t'entoure ? » les rages des années passer commence à sortir, petit à petit.

Celle-là, tu ne l'avais pas vu venir. Persuadé de tomber nez à nez avec Maxwell, tu n'avais pas vu la supercherie venir. Tu avais foncé tête baissée dans un problème qui n'était pourtant pas le tient. Une serviette s'écrase rapidement sur ton visage avant de finalement apercevoir l'auteur de cette mascarade. Alaska. Petite Granger était dans les parages prêts à déferler une nouvelle fois son venin sur toi. Tes yeux se révulsèrent. « La vie de qui est-ce que tu es venue ruiner cette fois-ci ? » tu te mets à rire avant de la regarder droit dans les yeux. Voilà que tu venais de comprendre. Elle était la source de tout ça, celle qui t'avait envoyé un message. Les raisons ? Tu ne les connaissais pas encore mais quelques choses te disaient que tu allais rapidement être mis au courant « Tu te fiches de moi Alaska ? » Difficile de ne pas reconnaître les traits d'une Granger. Tous pareil. Elle semblait énervée en faite, pas si différente de la dernière fois. Vous vous comprenez plus depuis des années. Tu ne fais d'ailleurs plus aucun effort. « Moi qu'est-ce que je fais ici ? Mais c'est plutôt à toi de me rendre des comptes. Pourquoi t'es ici ? Quelle relation tordue est-ce que tu fais subir à Maxwell ? Et surtout quand est-ce que tu vas te décider à arrêter de ruiner la vie des gens qui t'entourent ? » tu t'avances rapidement vers ta petite sœur et tu lui balances à ton tour ton venin. Quelle stupidité. « Que je te rende des comptes ? Quelle mouche t'a piqué ? Depuis quand je dois te rendre des comptes... » tu te mets à rire. Bizarrement tu voyais là une ressemblance avec tes parents. Tes salopards de parents. « Tu ne changes pas ! Tu te comportes toujours en gamine Alaska. Occupes-toi de tes affaires veux-tu ? Tu n'es pas capable de tenir une relation sereine avec ton copain alors vient pas me reprocher des trucs que tu fais également. Et puis ma relation avec Maxwell ne te regarde pas. Tu fais chier Alaska ! » elle faisait chier, s'était pire que sa. Elle arrivait à t'emmerder à la moindre occasion. « Je bossais là et à cause de tes conneries, j'ai dû quitter le boulot plus tôt alors excuse-moi de te dire ça mais celle qui ruine la vie de l'autre c'est certainement pas moi ! » t'était méchante mais après tout, tu avais déjà pris assez de gant avec ta sœur.

« Tu te fiches de moi Alaska ? » tu secoue la tête nerveusement, non, ton temps été assez précieux pour ne pas le gacher en sa présence, tu fronces les sourcils et hausse les épaules, d'un ton non-chalant. « Je pense que tu doit savoir, que je rigole jamais quand ça te concerne. » parce que tu nous a abadonner ? Parce que ton bonheur personnelle compté plus que celui de ton entourage ? Parce que Charline, tu es a toi seule, la preuve vivante que l'égoïsme n'est pas génétique. Tu restes sur tes gardes alors qu'elle s'approche pour te fixer, tu essaie de ne pas montrer ta peur, bien qu'elle est bien là, et lui tiens tête. C'est révolue le temps ou elle été la reine de tout, à présent toi aussi tu peut hurler que tu as élever deux gosses alors que tu aurai pu vivre une vie de loubard comme tes autres amies. Mais elle répliques, et elle en sait vachement sur toi. Certaine vérité t'arraches même une grimace, qu'est-ce qu'elle en sait de Lucas d'abord ? Tu fait un pas à ton tour. « Dès lors ou tu commences à t'approcher de MON entourage, ça commence à devenir MES affaires. » parce que même si Maxwell est le plus con, des cons de cette planète, il reste tout de même ton ami. Mais madamde n'a pas finit, elle a une tartine à te dire, et ton a presque le souffle court en la voyant et entendant toutes les choses qu'elle a garder pour elle depuis toutes ses années. « Je t'interdis de parler de ma relation avec Lucas. C'est pas le sujet. D'ailleurs je t'interdis de parler de Lucas tout court, tiens toi loin de lui, loin de Maxwell, loin de tout ce que tu pourrais détruire du bout de tes doigts. » dis-tu en t’énervant à ton tour, tu prend un souffle et relève une mèche. QUOI ??? C'est toi la ruineuse de vie, tu fait non de la tête, un air énerver sur le visage. « Arrête d'esquiver le sujet Charline, j'en ai rien à foutre que tu te fasse viré, ça me ferais même le plus grand des plaisirs. Mais j'veux que tu me dise QUEL EST TA RELATION AVEC MAXWELL ? » dis-tu sur un ton plus calme cette fois-ci, séparant chaque syllabe de la fin de phrase.

« Je pense que tu dois savoir, que je rigole jamais quand ça te concerne. » malheureusement, tu le savais et mine de rien. T'espérait vraiment à une grosse blague de sa part. Tes histoires t'appartenaient et Alaska n'avait pas à mettre le nez dedans. Tu l'avais jamais voulu, ni même impliquer dans tes problèmes. Tu finis par soupirer fortement, laissant le silence s'installer. Qu'est-ce qu'elle pouvait t'énerver, son caractère te m'était en rogne. Tu croisais les bras contre toi, attendant la nouvelle attaque de ta petite sœur. Elle arriva très rapidement, elle était énervée et effrayée. Allez savoir pourquoi ? Tu n'allais pas la bouffer juste la mettre face à sa réalité. « Dès lors où tu commences à t'approcher de MON entourage, ça commence à devenir MES affaires. » depuis quand tu t'étais rapproché de son entourage ? Tu t'étais toujours renseigné sur Alaska, à savoir, quelle était sa situation mais sincèrement ses amis ? Tu n'en avais rien à faire. Tu ne voulais pas de ta famille alors que ferais-tu avec ses amis ? « Arrête ton chard, ma relation avec Maxwell est aussi vieille que le doudou que tu gardais pour dormir ! Ce fait quatre ans alors me bassine pas avec sa... » Tu décides de te reculer pour finalement t'asseoir sur une des banquettes. Tu enlèves ton écharpe et tu la regardes une nouvelle fois. « Je t'interdis de parler de ma relation avec Lucas. Ce n'est pas le sujet. D'ailleurs je t'interdis de parler de Lucas tout court, tiens-toi loin de lui, loin de Maxwell, loin de tout ce que tu pourrais détruire du bout de tes doigts. » le même refrain. Les années passaient mais ses mots restaient intacts. Tu lèves les yeux au ciel et tu finis par lui dire méchamment. « Tu n'as rien compris ! Je me fiche de tout ça. Fais ce que tu veux, sors avec qui tu veux mais ne m'emmerdes pas avec tes conneries. Je ne suis pas la seule imparfaite de la famille ! Occupes-toi de tes problèmes et je m'occupe des miens. C'est clair, non ? » tu étais méchante, sec même. En réalité, tu ne pensais pas vraiment ces paroles. Tu avais juste envie quelle te fiche la paix et qu'elle vive sa vie loin de toi. Alaska était tout rouge, énervé par ton comportement. Tu n'étais pas la grande sœur parfaite, elle le savait et tu le savais aussi. « Je n'esquive pas le sujet ! Ce sujet ne te regarde juste pas » cette conversation tournait en rond et pour être honnête tu en avais déjà marre. Tu te lèves et te diriges vers la porte. Tes sourcils se froncèrent lorsque tu constata qu'elle était bloquée. « Tu as bloqué la porte ? » machinalement tu portes tes mains sur ta tête en regardant ta petite sœur. Tu la fixes du regard. « Ouvres moi dépêches-toi ! »

 « Arrête ton chard, ma relation avec Maxwell est aussi vieille que le doudou que tu gardais pour dormir ! Ce fait quatre ans alors me bassine pas avec sa... »  tu roules des yeux, pourquoi parler de monsieur pantoufle en ce temps de crise ? Et comment t'es censé savoir tout ce qu'il y a entre eux, étant donner qu'elle t'avais littéralement éradiquer de sa vie en quitter le foyer familiale ? Tu fronces les sourcils et enchaîne sur le fait qu'elle dise que tu ne sais pas géré une relation. Bien sur que non, les relations humaines comparer aux maths ne sont pas étudier en cours, faut prendre beaucoup de facteur en cause et ça c'est la vie qui est censé te l'apprendre, mais entre une mère nymphomane et un père qui enchaîne les prostituer, la notion même de couple est un peu difficile à définir. « N'ose même pas dire que tu fais partit de la famille, parce que c'est pas le cas. » dis-tu en lui coupant la parole. « C'est mes histoires aussi à présent, si ça concerne Maxwell. Alors arrête de tourner autour du pot Charline et répond : quel est votre relation ? Pourquoi est-ce que tu es dans ses numéro favori ? Et pourquoi est-ce que tu rappliques direct quand il te demande de le faire, en posant même une demi-journée de congé. » beaucoup de question et très peu de réponse. Mais ta reste, reste une Granger, elle se lève donc et trouver un moyen de partir. Sur le coup t'es tout aussi choquer PARCE QUE MERDE LA PROTE DE DERRIERE DEVAIT PAS ETRE BLOQUER. Tu la pousse et tire à ton tour. RIEN. C'est bloquer de l'extérieur, tu racles ta gorge et utilise tes deux mains, toujours RIEN. Panique pas, panique pas. « Oui, je l'ai bloquer et je suis la seule à avoir la clès, tant que tu ne m'a pas répondue. » c'était faux, totalement faux, mais tu ne devait pas montrer la panique sur ton visage, et le fait que tu commences à chercher ton portable dans tes poches pour appeler au plus vite les pompiers. « Personne ne sors d'ici, tant que tu n'as pas été honnête avec moi. Tu me doit bien ça, Charline. » et tant que les pompiers ne viendrons pas nous sauver surtout.  

« N'ose même pas dire que tu fais partie de la famille, parce que ce n'est pas le cas. » sans déconner ? Tu t'étais éloigné de tout ça. C'est toi qui avais pris la décision de les garder éloignés de toi. Tu ne le regrettais pas une seule seconde, vu les circonstances. Tu te portais beaucoup mieux seul qu'accompagner. « C'est mes histoires aussi à présent, si ça concerne Maxwell. Alors arrête de tourner autour du pot Charline et répond : quelle est votre relation ? Pourquoi est-ce que tu es dans ses numéros favoris ? Et pourquoi est-ce que tu rappliques direct quand il te demande de le faire, en posant même une demi-journée de congé. » rendre des comptes t'énervait au plus au point. Tout était si compliqué et voilà que ta relation avec Maxwell revenait sur le tapis. Tu ne lui réponds pas, tu ne lui accordes aucune attention. La fuite était la plus sage des décisions. Avant de finalement te rendre compte que la porte était fermée. Tu la fusilles du regard candit quelle t'explique. « Oui, je l'ai bloqué et je suis là seule à avoir la clé, tant que tu ne m'as pas répondu. » Tu finis par soupirer longuement et tu portes tes mains sur le dessus de ta tête. Elle te donnait mal à la tête. Un vrai petit démon. Aussi chiante que toi. « Personne ne sors d'ici, tant que tu n'as pas été honnête avec moi. Tu me dois bien ça, Charline. » Rapidement tu retires ton écharpe et ton bonnet pour les mettre sur la table et là tu commences à lui dire. « QUOIIIII ALASKA ? TU VEUX SAVOIR ?! » tes yeux se posent sur elle et tu lui dis : « on est sorti ensemble y quatre ans, je les trompe ! Aujourd'hui, il m'en veut et moi je m'inquiète toujours pour lui. TU VEUX UN DESSIN MAINTENANT ? Vas-y fait ton cinéma et tout ton blabla. J'ai merdé, je le sais. Tu veux entendre mes problèmes et bah vas y fait face à ça ! Maintenant OUVRE CETTE PUTAIN DE PORTE »

T'insiste, bien sur que t'insiste. T'es une Granger, t'as besoin de tout savoir, tout sur tout. Et bien que ça ne te serais jamais passer par la tête de demander des comptes à Charline, maintenant si. Quand ça concerne les gens qui t'entour, dont ton meilleur ami, tu avais besoin de savoir ce qui se tramer. « on est sorti ensemble y quatre ans, je les trompe ! Aujourd'hui, il m'en veut et moi je m'inquiète toujours pour lui. TU VEUX UN DESSIN MAINTENANT ? Vas-y fait ton cinéma et tout ton blabla. J'ai merdé, je le sais. Tu veux entendre mes problèmes et bah vas y fait face à ça ! Maintenant OUVRE CETTE PUTAIN DE PORTE » Tu restes ahuris face à cette nouvelle, tes yeux forme des ronds et tu as la bouche béante. SORTI ENSEMBLE ? GENRE EN COUPLE JE T'AIME BLAHBLAH FAIT MOI L'AMOUR BLAHBLAHBLAH. J'crois que tu vas vomir, t'es entrain entrain de les imaginez entrain de baiser et ça te donne le tournis. Tu secoue la tête pour chasser ses idées noirs de ta tête, c'est pas possible, il veut se faire toute le ligner Granger ma parole. « Okay, Okay, je vais devoir m’asseoir pour digéré tout ça. » fin aussi le fait que vous êtes enfermé de l'extérieur et que t'as aucune idée de comment sortir. Mais beaucoup parce que : ILS SONT SORTIT ENSEMBLE ? Faut vraiment que t'arrête de fricoter avec tout les mecs de tes sœurs, déjà Samaël et maintenant Maxwell. Tu restes sur une siège pendant qu'elle s’excite à essayer d'ouvrir cette putain de porte, tu la rejoint une bonne dizaine de minute après ,retrousse tes manches et attaches tes cheveux pour donner un grand coup de pied dans la porte avant de la tiré mais.... RIEN. « Fais chier. » dis-tu en tirant un peu plus en pensant que comme par magie ça aller s'ouvrir parce que t'es vraiment chier. « Bonne nouvelle : je vais arrêter de te poser des questions. » dis-tu en continuant de tirer, tu tâte la porte pour voir si y' a pas un mécanisme, mais rien à faire. Faut ouvrir de l'extérieur. « Mauvaise nouvelle : on est bloquée à l'intérieur mais ma patronne ouvre à 6h30 donc plus que.. 8h petites heures avant qu'elle ne viennent nous sauvez. » dis-tu en finissant par lacher la porte. « Un petit moment sœur à sœur. » dis-tu d'un ton sarcastique avant de te poser sur le canapé, les jambes le long de la table basse. Merde, fallait que ça finisse comme ça. .

Tu avais toujours été très mystérieuse sur tes relations. Tu n'es pas le genre de fille à présenter ton petit copain à la famille et tu n'es tout simplement pas le genre de fille à avoir un petit copain. Les relations sérieuses ont toujours été un vrai bordel avec toi. Trop torturée, tu t'attires bien souvent les foudres de ceux qui t'aiment. Tu fixes Alaska. Elle se décompose sous tes yeux, voilà une surprise. « Okay, okay, je vais devoir m'asseoir pour digérer tout ça. » s'était bien ta petite sœur ça. Digéré ? Tu te mis à soupirer et rapidement tu lui dis : « et toi alors ? Il est qui pour toi Maxwell ? » à toi d'avoir des réponses. Elle avait été servis maintenant tu lui demandais d'assouvir ta curiosité. Un ami ? Tu en doutais drôlement. Son mec ? Tu doutais aussi. Son amant ? Pourquoi pas. Tu décides de retourner vers la porte pour l'ouvrir puisqu'elle ne semblait pas vouloir venir t'ouvrir. Elle s'approcha ensuite et tenta d'ouvrir la porte. Tes yeux se froncèrent pourquoi faisait-elle sa ? Ou était la clé ? Aucun résultat et pour tout dire tu t'en doutais. Elle jura pour ensuite se tourner légèrement vers toi et t'avouer. « Mauvaise nouvelle : on est bloquée à l'intérieur mais ma patronne ouvre à 6h30 donc plus que... 8 petites heures avant qu'elle ne vienne nous sauver. » sauvez était le mot. La soirée allait être très longue. Rapidement, tes mains se portèrent à ton visage et tu commençais à marcher nerveuse. Elle lâcha la porte. « Un petit moment sœur à sœur. » t'avait envie de l'incendier tellement elle t'énervait sur le moment. Quelle idée d'être venue ici, rapidement tu pars dans la cuisine. T'avait besoin de boire et t'espérait trouver une bouteille d'alcool. Un truc pour rapidement te faire plonger dans un sommeil profond. Tu cherches, tu cherches et tu finis par tomber sur ce whisky. Un sourire s'afficha, ce n'était pas le genre d'alcool que tu buvais mais tampis. Tu reviens vers ta petite sœur et puis finalement tu t'asseoir à côté d'elle. Tu retires le bouchon et bois une gorge qui t'arracha immédiatement une grimace. « T'en veux ? » tu lui tends la bouteille. Autant ne pas s'énerver... les heures allaient être longues de toute façon.