Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLorsqu'un pauvre et un riche perdent tout, le pauvre ne peut que se réjouir car il a moins perdu que le riche. - Page 2
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Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout, le pauvre ne peut que se réjouir car il a moins perdu que le riche.

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Cole & Charline ಇ Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout
Tout n'était que comédie. Un baiser et tu sentais déjà l'affolement de l'Éliot. Il te désirait et toi tu ne pensais qu'à la suite de ton plan. L'accompagné dans une chambre, te retoucher les lèvres et l'embrasser à pleine bouchée. Voilà ce que tu avais prévu pour l'étudiant. Un rouge à lèvres spécial qui l'amènerait vadrouiller vers d'autres compter. Tu voulais l'endormir avant même qu'il n'est le temps de profiter de toi. Et ta méthode était des plus simples. Enduire tes lèvres d'un somnifère puissant et le tour était joué. L'Éliot colla un peu plus son corps au tient. Tu sentais le désir monté et tu t'en réjouissais. Il ne te résisterait pas ce soir. Il glissa ses mains vers le bas de mes reins avant qu'il ne prononce ces quelques mots. « Quelques minutes ? Je vais peut-être paraître prétentieux mais il va nous falloir quand même plus que quelques minutes ma chère... » tu ne put t'empêcher de rire. S'il savait, ces minutes étaient bien assez suffisantes pour toi. Tu te pinçais sensuellement les lèvres et tu portais tes mains sur le haut de son torse. « Au diable les heures et les minutes... » un fin sourire s'afficha sur ton visage avant que l'Éliot ne se saisisse de ta main. Voilà que les choses sérieuses commençaient. Tu le suivais d'un pas rapide avant qu'il n'ouvre une porte. Une chambre luxueuse s'offrait à vous. L'endroit idéal. Tu fermas doucement la porte et tu t'approchas de l'Éliot. Une de tes mains se frôla sur la joue de l'étudiant et tes lèvres frôlèrent les siennes. « Attends-moi deux secondes ici et j'arrive. » tu te pinçais les lèvres une énième fois avant de finalement le laisser en suspend. Tu te dirigeas vers la salle de bain et refermas la porte derrière toi. Rapidement, tu posas ton sac sur le meuble de la salle de bain et tu retiras ta robe laissant apparaître de superbe sous-vêtement. Tu t'approchas du miroir et tu pris ton fameux rouge à lèvres. Une fois prête, tu rouvris la porte et te postas devant. Une main sur tes hanches. Voilà qui allait attiser une nouvelle fois la bête. Un sourire fin se dessina sur les lèvres de Cole. J'avais touché un point sensible... j'en étais sûr. " comment tu me trouves ? "

Copyright Clochette
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Non je n’avais aucune idée du sort qui m’attendait, mon esprit imaginant un tout autre scénario que celui qui se profilait véritablement pour moi. Son rire, ses lèvres qu’elle pinçait en me regardant avec envie, l’étincelle dans ses yeux, tout portait à croire qu’elle était parfaitement sur la même longueur d’onde que moi, qu’elle n’aspirait qu’à assouvir ses fantasmes en ma compagnie. On monta aux étages, jusqu’à ma suite, la plus luxueuse de l’établissement. Ses doigts effleurèrent ma joue, ses lèvres les miennes, et elle me souffla alors de l’attendre quelques secondes. Aucun risque que je m’en aille non… Elle disparut derrière la porte de la salle d’eau et j’ôtai pendant ce temps ma veste de costard d’abord, la posant soigneusement sur le dossier d’une chaise, puis je desserrai le nœud de ma cravate avant de l’enlever complètement et de défaire le bouton du col de ma chemise pour être plus à l’aise. La porte se rouvrit sur une Charline bien plus dévêtue. Je relevai la tête vers elle, un sourire pervers étirant aussitôt mes lèvres alors que mes prunelles se délectaient de sa jolie silhouette, ses courbes parfaites superbement mises en valeur par de beaux dessous. « Tu es irrésistible… » répondis-je à sa question, et joignant le geste à la parole, histoire de prouver à quel point elle était désirable, je fondis sur elle, mes doigts dansant sur sa peau, mes lèvres glissant au creux de son cou pour le parsemer de baisers… « Mais tu aurais pu ne rien garder sur toi… » Parce que déjà mes mains remontaient le long de son dos pour venir jouer avec les agrafes de son soutien gorge, impatient de découvrir intégralement son corps.

HJ : Je fais exprès de dire qu'il s'attaque d'abord à son cou vois tu, comme ça ta Charline doit subir encore un peu les mains baladeuses de Cole Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout, le pauvre ne peut que se réjouir car il a moins perdu que le riche. - Page 2 3997999705 mais trop fort le coup du rouge à lèvres piégé, j'adore :devilish: je te laisse donner le coup mortel :frenchkiss:
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Cole & Charline ಇ Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout
Tout était très calculé, l'art de la manipulation devait être pris au sérieux. Tu avais passé la plupart de ton temps à étudier les codes, les astuces qui feraient de toi l'excellente manipulatrice que tu es aujourd'hui. Tu avais comblé le manque de tes parents à ta manière. Les jeux ne t'avaient jamais plus... ce que tu aimais s'était analyser les gens, les comprenez dans toute leur complexité. C'est ce que tu avais fait avec Cole et aujourd'hui, il ne voyait l'image que tu voulais bien lui laisser paraître. Celle de la fille mystérieuse et inaccessible. Tu l'étais mais ta façon de le retranscrire était très éloigné de la réalité. Cole ne te connaissait pas. Tu avais retiré ta robe pour le conduire tout droit à ces fins. Sortie de la salle de bain, son regard détailla la moindre parcelle de ton corps. Il semblait en admiration. Un fin sourire se dessina, ravi de voir qu'il ne se doutait de rien. Tes lèvres embuées de somnifère. Justes sous ses yeux. Voilà où était toute l'ironie. « Tu es irrésistible... » je me mordis l'intérieur des lèvres. Craque. Craque. Il s'approcha et déposa ses mains sur moi. Simuler, fantasmer, voilà la partie la plus dur pour toi. Il approcha son visage pour m'embrasser dans mon cou. Mes sourcils se froncèrent. Avait-il compris ? Ou cherchait-il à repousser un peu plus son désir ? « Mais tu aurais pu ne rien garder sur toi... » tu te mis à rire et tu lui susurras. « Je voulais te laisser le plaisir de le faire. » les mains de l'Éliot passèrent rapidement derrière ton dos et retirèrent les agrafes de mon soutien-gorge. Mes mains se placèrent dans sa nuque pour l'embrasser à pleine bouche. Aucune chance, qu'il n'en découvre plus. Une fois le baiser finit, mon regard scruta celui de Cole. Tout était très vague et sans crier gare, il tomba sur le lit. Tout avait marché, dans un mouvement rapide, tu te rhabillas prenant soin de lui voler les clés de sa voiture, l'argent qu'il avait dans son portefeuille et la jolie montre qu'il portait à son bras. Tu ne plaisantais pas et tu allais gentiment dire à ce fils à papa de se tenir sur ces gardes la prochaine fois. Tu partis de la chambre et te dirigeas vers la sortie de l'hôtel. Bon nuit monsieur Wildingham.

Copyright Clochette


PS : Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout, le pauvre ne peut que se réjouir car il a moins perdu que le riche. - Page 2 1881463262 aaaaaaah un vrai plaisir ce rp Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout, le pauvre ne peut que se réjouir car il a moins perdu que le riche. - Page 2 1881463262 pas mal hein (à la totally spies Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout, le pauvre ne peut que se réjouir car il a moins perdu que le riche. - Page 2 1881463262) et voilààààààà j'espère que cette fin de sujet te plaira (hésite pas si tu veux un autre sujet Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout, le pauvre ne peut que se réjouir car il a moins perdu que le riche. - Page 2 166564858 après tout, elle lui a voler sa voiture Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout, le pauvre ne peut que se réjouir car il a moins perdu que le riche. - Page 2 1881463262)
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