Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLorsqu'un pauvre et un riche perdent tout, le pauvre ne peut que se réjouir car il a moins perdu que le riche.
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Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout, le pauvre ne peut que se réjouir car il a moins perdu que le riche.

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Cole & Charline ಇ Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout
Tu n'es ni bourgeoise, ni riche pourtant aujourd'hui tu abores une robe de couture et des chaussures de marque. Tes cheveux sont parfaitement coiffés. La mine parfaite de la petite fille à son papa. Tu te regardes quelques instants dans la glace avant de sentir un vent de dégout. Cette fille, tu ne la connais pas. Tu ne lui ressembles pas du tout pourtant tes études t'ont montré que l'implication était souvent le moteur même de la comédie. Aujourd'hui, tu allais jouer une pièce de théâtre. L'habitude, il t'arrive parfois de douter de toi et de ne plus savoir vraiment qui tu es. Tu le ressens autour de toi. Ta personnalité en prend en coup mais tu continues à vouloir jouer la justicière. Tous ces jolis habits sont l'espoir même d'intégrer l'élite d'Harvard. Tu te fonds dans le monde des requins en espérant pouvoir les voler plus facilement. Tient toi prêt de tes amis mais encore plus de tes ennemis. Citation souvent reprise par ton père, lui-même voleur. Tu fronces les sourcils et tu finis par arborer ce sourire espiègle et sarcastique que tous les riches possèdent. Tu n'as peut-être jamais gouter au luxe mais tes qualités te fondent parfaitement dans le paysage. Il y a plusieurs semaines. Tu as fait la connaissance de Cole. Un connard dans toute sa splendeur. L'enfoiré à abattre et faire taire rapidement selon toi. Tu finis enfin par lâcher ton miroir du regard et tu prends ton sac. L'horloge te rappelle à l'ordre. La soirée avait sans doute commencé. Les riches aiment se faire désirer sans doute pour cela que tu avais une bonne vingtaine de minutes de retard. Tu appelles un taxi et tu lui ordonnes de s'arrêter bien avant l'adresse indiquer. L'hôte de la soirée n'était autre que Cole Wildingham. Tu arrives sur les lieux et tu te diriges vers l'entrée. Magnifique comme la plupart des choses qui entourent l'étudiant. L'hôtel est plein, les robes de soirée fusent et les coupes de champagne déferlent. Tu approches du bar de l'hôtel et tu prends une coupe. De là, tu ouvres l'oeil avant d'apercevoir ce cher et tendre accompagné de deux demoiselles. Tu t'avances et tu finis par lui sourire. « j'aurais cru que tes goûts étaient plus prononcés... » ton venin coule doucement, tu es une garce et tu l'as toujours été. « Cette soirée est réussie, je devrais te féliciter mais laisse-moi gouter le champagne avant. » tu fais un petit clin d'oeil avant d'apporter le verre à tes lèvres. Tu fais une petite moue et finalement tu dis. « Cristal Brut 1990 par Louis Roederer, je dois dire que c'est un excellent choix » et oui, en plus d'être une arnaqueuse. Tu connais à la perfection les marques de champagne. T'avais toujours eu du mal à comprendre comment on pouvait dépenser plus de 17000 euros pour une simple bouteille... Tes connaissances restaient néanmoins un atout qui tu espères plaira à ton cher hôte.

Copyright Clochette
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 Ce soir, réception organisée par mes soins, et dans le lot de mes invités, c’est finalement sur deux ravissantes blondes que mon attention s’était reportée. Je les écoutais échanger sur la terrible météo du moment, me passant dans ma tête un film torride où j’utilisais une méthode plus que discutable pour les réchauffer, me retenant néanmoins d’évoquer cette technique à voix haute, gardant pour moi ces pensées impures. Mon petit porno mental fut néanmoins interrompu par une voix familière, celle de Charline justement, qui naturellement commença par critiquer mes goûts. « Je vous laisse un instant… » m’excusai-je alors auprès de mes deux interlocutrices avant de me tourner complètement vers la nouvelle venue avec un sourire amusé. « J’ai toujours préféré les brunes de toute façon… » Mon regard la scruta un instant de haut en bas : robe de qualité et loubout’ aux pieds, elle savait trompé son monde Charline. Jamais je n’aurais pu croire qui se cachait vraiment derrière ses airs snobinards. Cela faisait déjà plusieurs semaines que j’avais fait la connaissance de la brunette, me laissant berner par ses allures et son comportement, moi si sélectif concernant le choix de mes fréquentations et amis, j’avais naturellement cherché à me renseigner sur les origines de la jeune femme, mais sans franc succès. Cela ne me rendait que plus intrigué par cette riche mystérieuse et éblouissante jeune femme. C’était donc tout naturellement que j’avais invité ma nouvelle –amie- à se joindre à moi pour cette petite soirée, ayant privatisé pour l’occasion l’un des plus grands et prestigieux hôtels de la ville. D’ailleurs, elle voulait goûter le champ avant de donner son verdict final. « Ca va de soit. » acquiesçai-je avant de l’observer tremper ses lèvres dans sa coupe et attendant donc qu’elle commente. Bluffé. « Je vois que j’ai à faire à une connaisseuse. » Je trempai moi même mes lèvres dans ma coupe, régalant mes papilles de cet or liquide. Parce que clairement, vu le prix d’une bouteille, c’était ce terme qui le décrivait le mieux. « Alors j’ai le droit au tampon soirée réussie ça y est ? Je gagne quoi d’ailleurs pour le succès de ma réception ? » lui lançai-je avec un regard équivoque, rêvant déjà de lui ôter sa robe… C’est que j’avais délaissé mes deux précédentes cibles pour elle, j’espère qu’elle en avait conscience. Et moi j’étais déjà tout aveuglé par ma nouvelle amie, incapable de voir clair dans son petit jeu.
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Cole & Charline ಇ Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout
Molière, tu devais ton cinéma et ta repartie à ce cher monsieur. Sans ce grand monsieur, la comédie serait restée dramatique. Elle n'aurait jamais existé et la tromperie n'aurait pas pointé le bout de son nez. Un homme avait eu le pouvoir de changer la société et tu lui devais beaucoup. Ton talent, tu le maitrisais à la perfection. Intelligente, tu avais les dons de t'acclimater rapidement au monde qui t'entoure. Le jour = bourgeoise. La nuit = arnaqueuse. Tu virrais souvent du tout au tout. Tu as toujours été quelqu'un de complexe à comprendre. Loin des idéaux déjà fournis par la société. Tu te bas pour ta singularité au risque d'enfreindre des lois qui te dépace. Le regard des deux intrus s'attarda sur toi. Magnifique sirènes, trop belle, trop commun. Elle ne dérogeait en rien aux règles. « Je vous laisse un instant... » un sourire satisfait emplissait tes lèvres. Voilà qui était plus convenable. Tu attirais son attention, tu attisais sa curiosité et tu animais ses désirs. « J'ai toujours préféré les brunes de toute façon... » ton regard se plisse et tu lui fais doucement. « Tant mieux, j'aurais été déçu du contraire. ». Ces lieux ne te ressemblaient pas. En fait, ici, rien ne te ressemblait vraiment. Tes connaissances en champagne surprirent ton hôte. Dans ton monde personne ne prêtait attention à la marque du champagne pourtant ici tu paraissais incollable. « Je vois que j'ai à faire à une connaisseuse. » Tu posais ton verre sur le bar et tu pris appuyé dessus. « J'aime les bonnes choses » tu lui fais un clin d'oeil avant de finalement te mettre à rire. Les bonnes choses ? Tu ne les convoitais pas vraiment. Disons que tu avais l'impression de régulariser une société biscornu. Tu convoitais cette richesse pour le redistribuer à des personnes qui en avaient réellement besoin. Cole ne manquait de rien. Il était le parfait petit bourgeois à la vie tranquille et un peu trop remplie. Je bus une nouvelle gorge du champagne.« Alors j'ai le droit au tampon soirée réussie ça y est . Je gagne quoi d'ailleurs pour le succès de ma réception ? » pourquoi devait-il toujours avoir une récompense ? Encore une attitude de vieux bourgeois. Tu plisses les yeux et tu finis par afficher un grand sourire. Doucement tu te pinces les lèvres et tu lui fais : « ma présence... ? non ? c'est une jolie récompense mais je dois avouer que j'admire tes goûts. Tu as effectivement le droit au privilège de bonne soirée. » ton regard se repose une nouvelle fois sur les demoiselles qu'il avait lâcher, il y a quelques secondes. Doucement et en grimaçant. « Il semblerait qu'elles n'aient pas compris que tu allais finir ta soirée avec moi. »

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 La brune dégageait ce mélange de classe, de mystère et d’élégance qui ne faisait qu’accroitre un peu plus mon intérêt déjà bien aiguisé. Je lui glissai ma préférence et elle reconnut que c’était mieux ainsi, que le contraire l’aurait déçue. « Ou alors tu aurais changé de couleur de cheveux… » Une coloration juste pour s’attirer mes faveurs ? Oui, j’étais suffisamment égocentrique pour croire une fille capable d’une telle chose juste pour mes beaux yeux. Les papilles connaisseuses de la demoiselle reconnurent rapidement le breuvage proposé pour la soirée et j’étais impressionné. Grand passionné d’œnologie, vins, champagne et liqueur, j’étais sincèrement épaté par cette annonce directe et juste du grand cru servi. Charline se contenta de me répondre qu’elle aimait les bonnes choses. « Je constate ça… Tu as de bons goûts… » Et sa récente amitié avec moi n’en était qu’une preuve supplémentaire. Oui j’étais complètement dupé, scotché, persuadé que la demoiselle devant moi venait du même monde, que l’on était sincèrement en train de nous lier d’amitié donc naturellement, je renchainais, un peu taquin, la cherchant un peu, souhaitant flirter… Il aurait été dommage de laisser filer une occasion de mettre la jolie brune dans mon lit. Je réclamais donc une récompense pour le succès de ma soirée, ce à quoi elle me répondit que sa présence ferait l’affaire. Ok, je n’étais donc pas le seul à avoir un égo surdimensionné. Sa réponse m’arracha un rire. Son regard un peu perçant se posa un instant sur mes anciennes interlocutrices, et elle commenta alors. C’est vrai qu’elles rodaient toujours autour de nous les deux blondes. Peut être n’avais-je pas été le seul de nous trois à me jouer un petit scénario érotique pendant notre discussion. Je reportai bien vite mon attention sur la brune. C’était elle qui était clairement devenue ma cible de la soirée. C’était que j’ignorais qu’en vrai, c’était moi la cible… « Finir la soirée avec toi ? Donc ma récompense c’est vraiment ta présence alors ? Jusqu’au bout de la nuit ? » Jusque dans mon lit sous entendu par là… Et rien qu’à cette pensée, mon sourire s’élargit un peu plus.
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Cole & Charline ಇ Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout
« Ou alors tu aurais changé de couleur de cheveux... » stupidité, tes cheveux étaient très bien. Pourquoi les femmes avaient-elles ce besoin de changer pour plaire à leur homme ? Tu n'avais jamais vraiment compris cette théorie. L'excentricité se lisait une nouvelle fois sur le visage de ton hôte. Tu pouvais parier qu'il n'avait pas l'habitude d'entendre le mot non dans la bouche de ces amies et prétendante. Misérable. Tu te contentes d'afficher un simple sourire, le silence est pour toi la meilleure des reparties et tu ne te vois pas mentir là-dessus. Tu ne t'imposes aucune règle, tu essayes juste de survivre dans un monde qui pour toi est loin d'être parfait. « Je constate ça... tu as de bon goût. » tu affiches un sourire satisfait, tu venais d'attirer toute son attention sur toi. Le piège se refermait et tu maitrisais à la perfection les éléments. Ces pensées n'étaient plus un mystère. Le mystère ici s'était toi. « c'est gentil... mon père a insisté pour que j'apprenne à apprécier les bonnes choses » menteuse, ton père n'était qu'un ivrogne et voleur. Par mal chance, tu as hérité de tout ça. Tu aurais aimé qu'il t'enseigne les bonnes choses de la vie mais tu as dû l'apprendre par toi-même. Tu détaillas ensuite le costume de Cole. Il n'y avait rien à redire, il connaissait à la perfection les codes de la mode. D'un simple coup d'oeil, Cole s'avérait être un homme charmant. Il ressemblait même beaucoup aux hommes que tu avais l'habitude de convoiter. Sarcastique, malsain, manipulateur, séducteur. Difficile de ne pas être attiré par ce genre de spécimen. Seules tes idées noires t'amenaient à vouloir le tromper, à lui donner une leçon dont il se souviendrait sans doute toute sa vie. Il arrêta son regard sur les donzelles du fond. Mes demoiselles, vous voilà détronnées. « Finir la soirée avec toi ? Donc ma récompense c'est vraiment ta présence alors ? Jusqu'au bout de la nuit ? » tu te mets à rigoler. Voilà que tu venais de lui implanter l'idée sans le moindre effort. Tu lui plaisais, s'était évident. Tu sors ton paquet de cigarettes et tu lui en proposes une, qu'il prit avec grand plaisir. Tu saisis ta cigarette et l'allumes avant de relâcher la fumée blanche. « Pourquoi, tu aimerais la terminer avec moi ? » sans rire, la réponse tu la connaissais très bien. Et rapidement, ton visage s'approcha de Cole. Tu lui susurras quelques mots. « dit moi, ça en vaudrait la peine ? je ne voudrais pas gâcher cette amitié naissante » tu lui fais un clin d'oeil et tu lâches rapidement un petit rire. N'empêche que tu aurais au moins le privilège de t'entretenir seul avec lui.

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  Elle ne commenta pas ma remarque taquine sur le potentiel changement capillaire qu’elle serait capable d’opérer rien que pour moi. Mais on est d’accord que –qui ne dit rien, consent- ? Donc en gros, pour moi, sa non réponse signifiait qu’elle m’adorait au point de se teinter en blonde platine. Ou du moins je me plaisais à le penser avec mon égo surdimensionné. Je partageais un peu, la flattant à mon tour sur son bon goût, flatterie facile puisqu’elle était à MA soirée, en MA compagnie, donc son bon goût c’était donc porté sur ma petite personne. Apparemment, son père l’avait bien éduqué. « Ca doit être un homme très sage alors. Je le connais peut être ? Tu ne m’as jamais parlé de lui, de ce qu’il faisait ? » demandai-je avec un ton plus posé, plus doux, laissant un instant de côté mon ton pompeux et mon air prétentieux. C’est qu’au fond de moi, je me disais que son omission d’information sur son paternel était peut être volontaire, peut être qu’ils étaient fâchés, peut être même qu’il était décédé. Le décès de mon propre père restait l’épreuve la plus difficile que j’aie eu à affronter dans toute ma petite vie dorée, alors forcément, si il y avait bien un rare domaine où j’étais capable de sincère compassion, c’était celui là. Mais il n’en restait pas moins que cette question était également animée par une vraie curiosité. Celle d’en apprendre plus sur cette brune intrigante. Elle me plaisait de plus en plus, je ne cherchais même pas à m’en cacher. J’attrapai la cigarette qu’elle me tendait alors, cherchant à en savoir plus sur la suite de la soirée, jusqu’à quel point comptait-elle me tenir compagnie. Et alors qu’elle me demandait si j’aimerais vraiment finir avec elle, mon regard la jaugea, s’attardant sur les courbes attirantes que sa robe mettait merveilleusement en valeur, prenant le temps de répondre, comme si je réfléchissais, comme si ce n’était pas déjà tout vu, comme si la simple idée de partager mes draps avec elle ne me filait pas déjà des crampes sous la ceinture. Sauf que devant mon petit manège de réflexion feinte dont elle n’était pas dupe à coup sûr, elle s’amusa à allumer un peu plus la flamme. S’approchant elle me susurra à me demander si ça en valait la peine, taquine, évoquant notre amitié naissante qui serait mis en péril avant de m’adresser un clin d’œil accompagné d’un rire, visiblement amusée de mes insinuations et mes invitations équivoques. « Tu sais que je peux être ami et amant… » C’était deux casquettes que j’étais absolument prêt à porter, surtout avec elle. Ma main se posa alors sur sa taille, l’attrapant pour l’attirer à moi et répondre ainsi à son autre interrogation en lui soufflant au creux de l’oreille : « Et pour ton information, oui ça en vaudra la peine… » Prétentieux. Sûr de moi. Il n’était pas question que je laisse la demoiselle me troubler…
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Cole & Charline ಇ Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout
« Ça doit être un homme très sage alors. Je le connais peut-être ? Tu ne m'as jamais parlé de lui, de ce qu'il faisait ? » t'aurait presque envie de t'enterer vivante. Tu ne sais pas ce que sa fait d'être aimé et élever par un parent. En réalité, tu as toujours été incapable de mesurer l'affection que tu avais pour ton véritable père. Il allait falloir mentir, une nouvelle fois. Inventer un autre mensonge pour combler le véritable manque en toi. Un sourire léger, tu reprends ta coupe de champagne et tu finis par répondre. « Un homme très sage. Tu n'as pas idée... » en réalité, il n'avait rien de sage. L'escroquerie, tu le devais à lui. Il t'avait tout appris. Comment voler ? Comment te jouer du genre humain ? Comment attiser la curiosité ? Alors non, ton père n'avait rien d'un sage. La sagesse ne coulait pas dans ses veines et malheureusement tu en avais hérité. « Oh, je n'aime pas parler de ma vie. J'ai toujours l'impression d'ennuyer le monde avec mes histoires. Et puis le mystère est bien plus attirant. Tu trouves pas ? » dis-tu en plaisantant. Voilà la première vérité de la soirée. Tu n'as jamais aimé parler de toi et ceux même dans la vie réelle. Tu aimes garder les choses secrètes au péril parfois de tes amitiés et relations. Tu as toujours su mettre un mur entre ton histoire et la réalité. Une sorte de protection face au monde extérieur. « En réalité, il vit en Grèce avec ma belle-mère. Je dois avouer qu'il me manque beaucoup mais bon ma vie est ici » tu hoches la tête. Ta comédie n'était pas seulement basée sur le mensonge, il y avait une part de vérité dans tes paroles. Une vérité qui demandait à être trouvé et décortiquer parmi tous ces mensonges. La réalité avait au moins le mérite de te garder sur terre. Rapidement, le brun répondit à tes avances. « Tu sais que je peux être ami et amant... » voilà une bonne chose. Et pour tout vous dires, tu l'avais su dès le premier regard. Cole était un homme curieux et prétentieux. Faite mine de vous intéresser à lui, battez des sils et son regard se portera sur vos formes légères et généreuses à la fois. Il avait l'impression d'être un inconnu face à toi mais en réalité, tu avais épié ces moindres faits et gestes. Les mains masculines du jeune homme se posèrent ensuite sur ta taille rapprochant vos corps. « Et pour ton information, oui ça en vaudra la peine... » Un sourire vicieux s'affiche sur tes lèvres. Tes mains se posèrent sur le haut de son torse et tu finis par dire. « Je dirais que c'est tentant ! » Tes mains remontent pour finalement se loger derrière le cou du jeune homme. « mais avant ça, j'aimerais une danse ! » autoritaire, tu lui prends la main et tu l'attires sur la piste. Piste qui se trouvait relativement pleine d'invité. « Fait attention de pas me perdre » tu te mets à rire et tu commences doucement à bouger ton corps.

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  Elle porta une nouvelle fois la coupe à ses lèvres avant de me répondre. Un geste qui aurait pu trahir son malaise devant le sujet de son paternel ? Probablement, mais mes doutes étaient bien trop endormis, j’étais déjà charmé et buvais ses paroles sans percevoir à aucun moment les mensonges qu’elle pouvait y semer. Elle éluda le sujet de sa famille et mes questions en concluant qu’elle n’aimait pas parler de sa vie. « Tu ne vas pas m’ennuyer Charline… » tentai-je de l’encourager. Mais elle préférait le mystère, ce qui eut malgré tout pour effet de m’intriguer quelque peu. Sa tendance à fuir mes questions et le fait que j’aie trouvé si peu d’information sur elle lors de mes petites recherches… J’allais devoir en découvrir davantage, mais pour le moment la seule chose qu’il me tardait de découvrir, c’était la taille de son bonnet. Je concédais donc : « Le mystère alors… » Et elle le cultivait très bien.  Devant mon air intrigué, elle lâcha néanmoins quelques brides d’informations. Son père vivait en Grèce, avec sa belle mère. Un remariage donc. Naïvement, je remis son envie d’éviter le sujet sur ça et le fait que ce dernier lui manquait. Je l’écoutais, portant mon propre verre à mes lèvres pour une nouvelle gorgée de boisson avant d’entamer une discussion bien plus tendancieuse. La conversation vira en effet rapidement au flirt, et de mon côté, j’étais déjà quasiment conquis par la brune. Je n’hésitais donc pas un instant à entrer dans ce jeu de séduction, vendant mes compétences d’amant autant que celle d’amis, mes mains allant s’ancrer sur ses hanches pour rapprocher nos deux corps, impatient déjà de l’étreinte vers lequel mon esprit pervers s’imaginait déjà que nous allions… Ses mains glissèrent dans mon cou, et mes prunelles scrutèrent un instant sa bouche avec envie, résistant à la pulsion de fondre sur cette dernière sur le champ. Nous étions en pleine réception, entourés de convives, l’étiquette avait sa petite importance ici. Charline n’était pas le genre de filles à se laisser embrasser sauvagement en public. J’allais devoir contenir ma fougue, du moins jusqu’à ce que l’on se retrouve seul. Elle me confirma son rang en me réclamant une danse. Allons-y donc… Ma main dans la sienne, elle me conseilla de prendre garde à ne pas la perdre parmi la foule. « Aucun risque… » Mes yeux ne la lâchaient plus et la voir commencer à bouger en rythme avec la musique ne faisait qu’augmenter mon désir pour elle.  Je fis alors un petit signe au DJ. Ma soirée. Mon DJ. Je commande. Et le ton de la musique changea aussitôt pour une plus douce, plus lente, plus sensuelle aussi… Mettons nous en condition. Ma main droite saisit la sienne, mon autre glissa dans le bas de son dos, et je l’attirais à moi. Aucun risque de la perdre ainsi. Mon regard se planta dans le sien alors que je commençais à la faire tournoyer sur la piste.
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Cole & Charline ಇ Lorsqu'un pauvre et un riche perdent tout
L'argent et la luxure avaient ce don de rendre l'homme aveugle et sourd. S'était bien connu et Cole ne dérogeait pas à la règle. Il faisait partie des pires. Sarcastique, incontrôlable et immature. Ces adjectifs le classifiaient parfaitement. Il était la victime parfaite. Trop concentrer sur la taille de mes seins, il ne voyait là aucun mal. Terrible erreur que de filtrer avec le diable. Tout était parfaitement calculé, le mystère suscitait la curiosité mais défoulait les envies. Tu l'avais toujours su, il te faisait le même effet. « Tu ne vas pas m'ennuyer Charline... » bien sûr que si. Les histoires ne t'intéressent pas, le pouvoir anime le sang dans tes vains. Les secrets sont pour toi comme l'argent, la source de tes menaces. L'argent ne rend pas les choses plus attrayantes, les secrets par contre font de vous un homme de pouvoir. S'était comme ça que tu voyais les choses. Cole n'était plus un inconnu pour toi. Tu l'avais parfaitement cerné tandis que lui restait à la traine. Loin derrière toi. Un fin sourire se dessine et tu ne réponds pas avant de finalement lâcher quelques fines informations. « Le mystère alors... » le mystère était d'ordre. Tu lui réponds. « Ce mystère a au moins le mérite d'attiser ta curiosité et sincèrement... c'est ce que je veux » Attirer toute son attention sur moi. Oubliant de tenir sa garde pour le rendre plus vulnérable. Penser comme un homme et vous aurez ce que vous voudrez. Et sans prétention, tu penses que t'avais obtenu de lui toute l'attention nécessaire. La musique berçait les lieux, tu approchais doucement de la piste et lui ordonna de ne pas te perdre. Des mouvements lent et sexy s'ensuivirent. Amadouer l'homme avec votre silhouette et le voilà plus exciter que jamais. Ces informations, tu les tenais de ton père et de ton vécu. Tout était calculé à la perfection, et tout se déroulait parfaitement. Cole n'était aujourd'hui qu'une marionnette contrôlée par tes propres soins. L'idiot parfait. Il s'approcha de toi et ordonna au DJ de changer de musique. Tout ce monde était contrôlé par cet homme. Sa main prit la tienne et il t'attira à lui. Un sourire fin se dessina sur tes lèvres avant de te les pincer légèrement. « Eh bien il faut croire que tu sais te faire écouter. » faite lui croyait ce qu'il a envie d'entendre. Tes mains se posèrent sur ses épaules. « je crois que nous avons quelque chose à faire... tu ne penses pas ? » un fin sourire se dessina sur tes lèvres avant d'approcher ton visage du sien et d'y déposer un tendre baisé au creux de son oreille. « Tes invités peuvent se passer de toi pendant quelque minute ? »

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  J’acceptais la part de mystère qui semblait s’imposer lorsqu’il s’agissait de Charline, fier néanmoins des quelques info récoltées ce jour, à savoir que son père vivait en Grèce avec sa belle mère, des choses que j’aurais bien le temps de vérifier plus tard puisque j’aimais temps filtrer mes fréquentations. Pour l’heure, elle avait raison : elle avait piqué ma curiosité, même pire que ça puisque j’étais désormais captivé, déjà quasiment conquis, encore plus lorsqu’elle avoua que c’était ce qu’elle avait cherché. Si je lui plaisais autant qu’elle me plaisait, il se profilait une nuit des plus croustillantes à l’horizon. Et ça commença par une danse. Mes yeux la contemplèrent un instant alors qu’elle ondulait de manière lascive, laissant présager tout de sa souplesse et de son agilité pour notre future danse horizontale, et lorsque je l’eus bien dévorer du regard, je fis signe au DJ et la tonalité changea, musique plus douche, ambiance plus romantique, pensant ainsi marquer des points. Je l’attirai à moi et je crus à son sourire et à sa réflexion que c’était le cas, que j’avais marqué des points et qu’elle était impressionnée, complètement dupé que j’étais par ses talents de comédienne et si enclin à me croire admiré et aimé e toutes aussi… Mon égo me perdra. Après quelques minutes de danse l’un contre l’autre, elle me souffla avec un sourire qu’on avait autre chose à faire. Mon sourire s’élargit à mon tour, des étoiles plein les yeux, réfléchissant déjà dans quelle chambre j’allais l’entrainer, dans quelle position j’allais l’allonger… Son baiser fit s’affoler mon pouls, un long frisson remontant tout le long de mon échine. Ma main dans le bas de son dos glissa un peu plus bas, rêvant déjà de lui arracher cette robe… Elle n’allait pas avoir besoin de me le demander deux fois, mes invités n’avaient qu’à se débrouiller. « Quelques minutes ? Je vais peut être paraître prétentieux mais il va nous falloir quand même plus que quelques minutes ma chère… » Elle m’avait pris pour qui ? Un éjaculateur précoce ? Je m’écartais, gardant sa main dans la mienne et je commençai à l’entrainer vers les ascenseurs menant aux suites.
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