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Je saurais être très reconnaissant (Zoïa)

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 Ce froid sérieusement, ça commençait à me gonfler. C’était quoi le problème des gens contre l’Angleterre ? Parce que honnêtement, à Oxford, j’étais loin d’avoir des crevasses pareilles sur les mains. Bien moins agréable pour caresser les peaux des jolies américaines je vous assure. Et puis surtout, en descendant du taxi, j’avais glissé sur une plaque de verglas et je m’étais tordu le poignet. Me relevant en pestant, mon chauffeur était arrivé à mes côtés un peu paniqué, surtout à cause des noms d’oiseaux que je laissais échapper. Oui, moi Cole Wildingham, le roi du self contrôle et de la politesse à outrance, me voilà qui me mettais à jurer. Ce pays allait avoir ma peau. Charles insista pour me conduire aux urgences. Sauf que cet abruti m’avait emmené au plus proche, et c’était dans une salle d’attente bondée que je me trouvais, avec un air dégoûté l’endroit devant grouiller de virus et bactéries hivernales. Je jetai aux autres patients un regard chargé de mépris à chaque éternuement ou toux malencontreuse. Ce pays allait avoir ma peau je vous le dis. C’est avec un air désespéré que je relevai la tête vers la première blouse blanche qui entra dans la pièce. Sauf que mon expression changea du tout au tout, remplacée par une surprise sincère, en reconnaissant la rouquine avec qui j’avais passé une nuit des plus torrides quelques semaines auparavant. J'étais loin de me douter alors qu'elle était médecin, loin de me douter qu'on allait se recroiser, alors qu'on n'avait même pas pris la peine d'échanger nos prénoms sur le moment. Bref, affronter mon addiction au sexe ou l’insalubrité de la salle d’attente ? Une nouvelle quinte de toux du gosse à côté de moi eut raison de mon dilemme, je me levai brusquement pour faire face à la demoiselle et lui demander de s’occuper de moi, grillant un peu les autres au passage. « J’ai rien de méchant je suis sûr que la consult va aller très vite, je t’en prie faut que je sorte d’ici… » suppliai-je en jetant un nouveau coup d’œil apeuré à la pièce regorgeant de malades.
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Jusqu'où es-tu prêt à aller?

Le froid hivernal s'était abattu sur Cambridge et Boston depuis quelques jours. Rien de bien surprenant à cette période de l'année mais l'hôpital et les urgences plus particulièrement avaient eu besoin de renforts. Il était rare désormais que Zoïa exerce sa science auprès des vivants, mais c'était toujours des pauses aussi fugaces que bienvenues. Vingt quatre heures s'étaient écoulées depuis le début de sa garde et la fatigue ne faisait plus sentir. Pour autant la Rousse savait que chaque pause entraînerait le sommeil, aussi avait-elle décidé de tout simplement ne plus s'arrêter. Les billes passent rapidement en vue les colonnes de dossiers et elle décide d'aller chercher les résultats de labo d'une de ses patientes, histoire de gagner du temps et histoire de changer un peur d'air. Les urgences c'est en général bruyant et elle n'a plus tellement l'habitude de ce brouhaha ambiant. Elle traverse donc que le hall des admissions d'un pas décidé lorsqu'un jeune homme se met en travers de son chemin. Elle prépare son regard de glace et s'apprête à lui dire sagement d'attendre son tout patiemment comme tout le monde lorsqu'elle le reconnaît. Ses yeux s'écarquillent légèrement. « Oh c'est toi. » dit-elle avec un sourire surpris. Disons que leur dernière nuit avait été pour le moins mouvementée. A vraie dire, elle ne se rappelait même pas de son prénom si tant est qu'ils l'aient échangé, mais elle se souvenait parfaitement de chaque parcelle de sa peau. « La compagnie est moins agréable que la dernière fois? » s'amuse-t-elle un peu en haussant les sourcils tout en regardant la longue cohue de patients. « Allez viens, je ne peux résister à un bon amant. » provoque-t-elle tout en continuant son chemin vers un des lits du service des urgences. Elle le regarde s'asseoir et observe furtivement son poignet. Elle le place entre ses propres mains si bien que le Patient pousse un gémissement. « Trop de cabrioles? » nargue-t-elle tout en poursuivant son examen.


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 Elle sembla surprise de me voir surgir devant elle, surement autant que je l’étais de la découvrir ici en blouse blanche. Sa petite question sur mes compagnons de –cellule- enfin salle d’attente mais une prison m’aurait surement fait le même effet, me tira malgré ma révulsion un petit sourire amusé. « Nettement moins agréable… » Et puis lorsqu’elle céda à mes supplications, qu’elle avança vers les lits de consult des urgences en me gratifiant au passage du qualificatif de –bon amant- mon sourire passa d’amusé à flatté. Pas que je doutais de mes compétences en la matière, mais cela faisait toujours du bien de se l’entendre dire, de savoir que la demoiselle avec qui on avait pris son pied avait tout autant apprécié le moment. M’asseyant sur le lit, lui tendant ma blessure de guerre, mon regard zieuta un instant le badge accroché à sa blouse, avant de se perdre un peu dans son décolleté, histoire de bien profiter de la vue avantageuse qu’elle m’offrait malgré elle pendant ce petit examen. « Docteur Rosenbach alors ? » Mes prunelles se relevèrent vers les siennes alors que manipulant mon poignet douloureux, je ne pus retenir un petit gémissement. Pour la virilité on repassera. « Les trottoirs américains. » Voilà le coupable idéal. Et ce n’était pas une référence aux créatures de la nuit qui y racolaient parfois. C’était vraiment le mauvais entretien du bitume arpenté par les piétons que je visais. Pas très viril hein. J’aurais peut être mieux fait de prétendre à un faux mouvement en essayant de faire l’hélicoptère avec l’une de mes conquêtes. Oui j’aurais surement du. Je me rattrapai : « Mais c’est la main gauche, et une chance pour toi je suis droitier… » Petit sourire équivoque. Si elle voulait retenter l’expérience de notre nuit, même avec mon poignet HS, je saurais m’y prendre… « C’est grave docteur ? »
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Jusqu'où es-tu prêt à aller?

Une lueur emplit ses prunelles alors qu'il lui avoue que la compagnie est moins agréable. Le contraire aurait été vexant. Elle l'accompagne ainsi jusqu'à un lit vacant et commence l'examen. « Oui. Mais c'est un peu pompeux, tu ne trouves pas? » Elle n'avait pas tellement l'habitude qu'on l'appelle ainsi et elle n'y tenait pas spécialement. Dans l'esprit des gens, les morts n'ont pas besoin de docteurs. Elle l'écoute tout en poursuivant son examen et un sourire habille ses lèvres « Drôle de cabrioles, je préfère celles de la dernière fois. » Les trottoirs américains, c'était bien moins stimulant en fait. Le destin voulait qu'on se fasse souvent mal d'une manière tout sauf glorieuse et il ne semblait pas déroger à la règle. « D'ailleurs, je ne connais même pas ton nom, ni ton prénom. » se rend-t-elle compte tandis qu'elle lève les yeux sur elle un peu gênée. La dernière fois disons qu'ils se sont un peu sautés dessus et qu'elle n'a pas vraiment l'habitude de revoir ce type d'homme. Les hommes tout court en fait. « Je vais en avoir pour t'envoyer en radio. » assure-t-elle en notant ses observations sur le dossier d'admission qu'elle vient de ramasser. « Je pense que c'est une bonne entorse mais je préfère vérifier. » Et puis c'était la procédure . « Je viendrai prendre de tes nouvelles. » Elle le récompense d'un clin d'oeil en attendant de pouvoir étiqueter le dossier de son nom. Drôle de façon pour se rencontrer officiellement.


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  « Pompeux, mais sexy… » Le fantasme masculin se portait plutôt sur les infirmières habituellement, mais se taper une rouquine sexy en blouse blanche avait aussi son petit côté excitant. Et si mon regard s’égarait un instant sur le décolleté de la demoiselle se fut la douleur de mon poignet qui me rappela à l’ordre. Je n’étais pas ici pour laisser mon esprit divaguer à divers rêves érotiques mais bien pour me faire soigner. J’expliquai donc le pourquoi du comment de ce poignet douloureux, et j’hochai la tête pour approuver son commentaire : « Je m’en serais bien passé, crois moi… » Embrasser le bitume n’avait pas juste blessé mon avant bras, c’était aussi mon amour propre qui en avait pris un coup. C’était d’autant plus gênant que je me faisais ausculter par l’une de mes conquêtes. Et cette dernière avoua, mal à l’aise, qu’elle ignorait mon identité. « Je ne crois pas avoir eu le temps de te les donner en même temps. » Mon nom et mon prénom. Nos bouches avaient été occupées à autre chose que la discussion pour notre défense. « Cole Smythe-Wildingham. » l’informai-je alors, puisque pour les radios il les lui fallait. Et qu’accessoirement, si ça lui permettait de me retrouver pour de nouvelles cabrioles, moi je n’étais absolument pas contre. « Et c’est un peu pompeux aussi, je te l’accorde. » Je ne venais pas de n’importe quelle famille. Le clan S-Wildingham comptant parmi les familles les plus riches d’Angleterre, un portefeuille d’actions dont je n’étais pas peu fier à vrai dire. « Le service de radio est situé où ? » demandai-je ensuite en priant intérieurement pour qu’on ne m’y annonce pas une quelconque fracture. Même si j’étais droitier, je n’avais aucune envie de me voir plâtré. « Tu m’y accompagnes ? » Elle avait surement plein de taf, les urgences débordaient de patients, et pourtant me voilà encore à lui demander une nouvelle faveur, tout ça parce que je n’avais pas envie de rester seul dans les dédales de ces couloirs blancs.
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Un petit sourire en coin habille son visage. Sexy. Bien entendu sexy quoi d'autre? Elle laisse une main errer sur son décolleté et s'accroche à la limite du bouton encore fermé tout en entonnant d'une voix suave. « Et encore tu n'as pas vu mon stéthoscope. » Et que sa main attrape le précieux objet. Autant rire un peu de la situation n'est-ce pas. Cole semblait en avoir besoin puisque c'était son nom et que l'origine de sa blessure était tout sauf glorieuse. C'est sûr que se fouler le poignet en se ramassant sur le trottoir c'est tout de suite moins glamour. Elle réagit toutefois à son nom, elle l'avait déjà entendu puisque elle aussi était habituée à évoluer dans ce milieu de riches influents. « Certes, le prestige d'un nom. » dit-elle avec un petit sourire. « Mais parfois bien lourd à porter. » Et elle en savait quelque chose. Son père était effaré qu'aucun des deux ne reprennent l'affaire, surtout pour ce qui était de Jackson. Les filles c'était accessoire, et ça l'avait toujours été pour lui. Elle se prit toutefois de pitié devant son air de chaton égaré. Rapidement, elle jette un coup d'oeil à la pendule. « Allez, je t'emmène. Je n'ai pas pris de pause depuis plusieurs heures. Suis-moi. » dit-elle tout en lui faisant un clin d'oeil. Mademoiselle complètement indifférente au regard meurtrier de ses collègues, se contente de répliquer de toute la glace dont elle est capable. Si bien que personne ne trouve à redire finalement. Pratique quand on n'a pas de collègue dans les sous-sols, c'est qu'on a pas besoin de ménagement. Elle se retourne narquoise. « Fais attention où tu mets les pieds. » Parle-t-elle du sol? Se moque-t-elle ou est-ce une allusion déguisée à son choix de fréquentation? Il l’interpréterait comme il le voudrait.


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  Je souris à ma séduisante sauveuse du jour qui s'amusait un instant de mes fantasmes... Avant de m'interroger sur mon identité, formalités dont l'on s'était plutôt bien affranchis lors de notre première rencontre. Le poids du nom de famille étant plutôt lourd à porter, voilà la réponse de miss Rosenbach donc, un patronyme qui résonnait familier dans le monde des affaires également. S'appesantir sur un tel thème n'était sûrement pas une bonne idée, vu le soupir de mon interlocutrice. Et puis de toute façon, il fallait que j'aille passer une radio apparemment. Je parvins de mes yeux suppliants, à la convaincre de m'y conduire. Je me levai en grimaçant, un nouvel éclair douloureux venant de me traverser le bras. Elle me conseilla, taquine, de prendre garde où je mettais mes pieds. Instinctivement, mon regard se porta sur le sol pour y vérifier l'absence d'obstacle. On n’était jamais trop prudent. "Je vais faire attention, ne t'en fais pas pour moi..." Et si l'avertissement devait être compris dans un sens plus large, qu'elle se rassure, je savais très bien où je mettais les pieds, et ce n'était pas suffisant pour que la rouquine se débarrasse de moi. "Tu connais la théorie du rôle antalgique du plaisir ?" demandai-je avec un petit sourire équivoque, en la suivant et en profitant au passage pour me rincer l'œil alors qu'elle m'ouvrait la voie. 
Je savais très bien où je mettais les pieds oui, et vers quoi je voulais que cette nouvelle et hasardeuse rencontre avec l'étudiante en médecine me mène... Ca serait dommage de ne pas en profiter après tout.
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C'est étrange de le voir là, de repenser à ce qu'ils ont fait la dernière fois et de se cotoyer dans ce contexte. Zoïa n'est pas du genre à tout mélanger, mais elle doit avouer que cette situation l'amuse plus qu'elle n'aurait penser. Sans doute que la facette charmeuse de Cole y est pour beaucoup. Comme si le jeune homme était capable d'amener une certaine légèreté n'importe où. « Oui je connais bien sûr. » rétorque-t-elle en lui lançant une oeillade amusée avant de continuer son chemin. Bien entendu qu'elle sait qu'il en profite pour se rincer l'oeil mais ça ne l'amuse que davantage. Profite de la vue, c'est cadeau pense-t-elle tout en avançant jusqu'à la radio. Une fois parvenue, la Demoiselle se retourne pour faire face à l'Arrogant. « Si tu es un bon patient, tu auras peut-être une récompense pour avoir tant souffert. » s'amuse la jeune femme tout en laissant une main languir le long de son cou puis s’appesantir au creux de sa poitrine avant qu'elle n'attrape le bras blessé de l'Eliot.« Il faut bien souffrir pour mériter qu'on s'apitoie à ce point. » ajoute-t-elle en arborant un sourire un brin sadique. Jouer avec Zoïa n'est pas sans conséquences tout de même tient-elle à manifester en suppliciant un peu son camarade de jeu. Le Manipulateur radio s'avance pour appeler son patient. « Fais-passer le mien s'il te plaît. » demande Zoïa avec son plus beau sourire. Et de façon surprenante, le professionnel s'exécute, sans doute que l'entendre si polie l'a pris par surprise. Elle passe derrière Cole et le pousse doucement dans le dos avant de murmurer à son oreille. « Sois-sage. Je passe de l'autre côté. » Elle avance ainsi derrière lui et prend place derrière l'appareil à côté du Radiologiste, son regard s'amusant à nouveau alors que le patient doit se préparer pour son examen.


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  C’est avec un sourire et un petit coup d’œil qu'elle confirma que oui, elle connaissait évidemment cette théorie. « C’est quelque chose que j’aimerais bien vérifier… » ajoutai-je alors en la suivant toujours. Le plaisir qui effaçait la souffrance… J’avais hâte de pouvoir tester l’effet antalgique qu’aurait le docteur Rosenbach sur ma petite personne, et déjà rien que d’y penser, mon poignet m’élançait un peu moins. Une fois sur place, je reçus la promesse d’une récompense qui fit s’élargir mon sourire. « Un bon patient ? » C’était pas aux doc de se montrer bons normalement ? Enfin soit, si il le fallait… « Je serais sage. » promis-je alors sauf que la promesse fut soudain bien plus dure à tenir lorsque sa main s’empara de mon bras blessé me soutirant une grimace. « Aïe ! » En tant normal, je lui aurais ronchonné dessus en lui grognant de faire attention, mais pour le coup, je me contentais de froncer les sourcils en retenant mes jurons alors qu’elle semblait s’amuser de la situation, soulignant qu’il fallait souffrir pour mériter l’apitoiement. Je relevais mes yeux vers les siens, la défiant un instant du regard, conscient de son côté dominatrice du moment, et lucide également quant à la dette que je lui devais désormais, pour m’avoir ausculté en priorité, pour me faire passer à nouveau avant les autres pour la radio… J’avais perdu mon droit de protester, même si elle jouait les sadiques à me faire crier en manipulant mon poignet… Je devais penser au moment où se serait mon tour de la faire crier également, d’une toute autre manière… Elle me poussa vers l’appareil et j’écoutais les consignes du manip radio, positionnant mon bras comme il me l’indiquait. Un bon patient on avait dit. Alors me voilà, docile sage et grimaçant. Elle avait intérêt d’être aussi douée que la dernière fois ensuite pour que l’effet antalgique soit efficace… Sinon j’allais réclamer une dose d’anti-douleur classique pour finir.
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Cole était finalement une pause bienvenue dans le tumulte de sa journée. Alors que l'acier de ses prunelles détaillent la stature du garçon, elle se souvient de ce qui lui a plu la première fois. Cette arrogance qui se dégage de lui l'électrise, purement et simplement et ce sont des méthodes bien diversifiées qui lui passent en tête pour le faire taire. Professionnelle toutefois, elle examine avec son confrère les résultats de la radio. Elle se dirige ensuite vers son patient et l'entraîne au dehors. « C'est une bonne entorse comme je pensais. Des anti-inflammatoires et un bandage feront l'affaire pour une petite semaine. » Elle attrape la main vaillante du Provocant et l'emmène vers le poste de soins juste à côté de la radio. « Je vais te faire le bandage puisque tu as été si sage. » La Demoiselle jouant consciemment avec les nerfs du jeune homme. « Mets ton poignet à la verticale. » dit-elle avec un sourire après qu'elle l'ai fait asseoir. La Rousse applique une crème autour du bras masculin, concentrée, elle ne peut empêcher un petit mordillement de lèvre alors qu'elle s'exécute. C'est que la dernière fois, elle s'occupait de bien d'autres parties. Ses genoux s'approche pour venir rencontrer les siens, d'un mouvement, elle l'invite à ouvrir ses jambes, puisqu'elle est une femme respectable et que ce ne serait pas correct pour elle de se tenir de la sorte. Elle est ainsi plus proche de lui. « ça ne fait pas trop mal? » dit-elle doucement en relevant ses yeux sur lui, un mince sourire aux lèvres.


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