Il ne faut pas prendre les gens pour des cons, mais il ne faut pas oublier qu'ils le sont.

« Tu me devras une soirée, que je m'ennuie ou non » Aaron avait toujours sur ce qu'il voulait et tu étais un peu prêt sur d'attirer toute son attention. Il était attiré par toi et tu le savais. Tu affichais un petit sourire et tu lui répondis : « autoritaire ? Si tu m'offres l'hospitalité pourquoi pas. » tu rigolais bien entendu mais tu aimais l'agicher. Lui faire espérer. Tu t'adonnais à ce jeu pervers et malsain. Rapidement, tu t'approchais de lui pour le prendre dans tes bras. Bizarre et Aaron semblaient surpris par cet élan. « Moi qui croyais que tu voulais un vrai contact » je me mis à rire et les mains du jeune homme se portèrent à ma taille. « Ne te plains pas, tu as le mérite de me serrer au moins une fois dans tes bras » tes lèvres s'étaient placé au niveau de ces oreilles et le son de ta voix avait été doux, presque sensuelle. « bon allez, trêve de plaisanterie et au boulot » rapidement, tu lui fais un bisou dans le cou comme pour marquer la fin de ce petit moment. Et tu t'approches doucement de ta cible, tu lui parles, tu l'endors et tu le charmes. Ton objectif ? Sa montre scintillante.

« je ne me contente jamais d'une fois » et tu ne remettais pas en doute sa parole. Aaron était prévisible te concernant, attirer. Il t'attirait dans ses bras et toi, tu profitais de la situation. Rapidement, tu le laissas en plan pour t'approcher de ta proie. Un homme riche et prétentieux. La personne parfaite. Rapidement, tu amadoues l'homme qui se trouve en face de toi. Aaron lui t'observe. Tes mains se rapprochent de ta proie et dans un mouvement rapide tu lui retires sa montre pour la mettre dans ton dos. Ton regard se tourne vers ton acolyte de la soirée et tu lui fais signe de prendre l'objet. Il s'avança et prit la montre. À côté de toi, tu te retournes et tes mains se portent à son épaule. « Éric, voici mon petit ami, Maurice. » Maurice ? Ouaiiii sa s'était juste pour rigoler un peu. Un sourire enjoué s'afficha sur mes lèvres. « Je suis désolé mais, il faut qu'on y aille » tu prends le bras de ton partenaire ou petit ami de soirée et vous partez vers le fond de la salle. « Maurice te va bien ! »

Tes affaires te concernaient mais Aaron allait devoir te donner un petit coup de main. Rien d'impossible, juste tenir le temps de quelques secondes l'objet tant convoité. Un simple monstre qui valait tout de même des milliers. Savoir reconnaître ses objets était pertinents pour une voleuse comme toi. « Oui, Maurice vient de ma grand-mère, Mauricette. Un hommage, ont-ils dit. » un sourire s'afficha sur ton visage. Tu avais envie de rire mais pour rester crédible tu retenais cette envie. Après quelques petits excuse, vous partez doucement vers le fond de l'hôtel. « Tu trouves ? Alors, il te faut un prénom à la hauteur, aussi ! » tu te mis à rire avant de finalement faire une petite révérence. « Vous avez fait du bon boulot Maurice... mais les petits surnoms attendront. » Rapidement, tu lui pris la montre des mains et tu lui fis : « Je te propose un truc... tu réfléchis à mon nouveau prénom et tu me le diras la prochaine fois qu'on se voit ! Mes affaires ici sont terminés. » boulot rempli et il était grand temps de retourner au monde que tu avais laissé dehors. Tu t'approches lui fait un bisou sur la joue et tu lui dis : « à plus Buckley... et je penserais à toi quand je retirerais ma robe » un clin d'oeil et te voilà évaporé laissant ce très cher Aaron à ses occupations.