Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityRavie de te revoir...tu peux m'aider ? [ft. Malachy] - Page 2
-16%
Le deal à ne pas rater :
Friteuse sans huile NINJA Foodi Dual Zone 7,6 L 2400W à 135€
135.01 € 159.99 €
Voir le deal


Ravie de te revoir...tu peux m'aider ? [ft. Malachy]

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité







I need your help


L’intention de Maly était bonne, je le comprenais. Bien que j’en avais légèrement choquée dès le départ, je réalisais que le jeune homme cherchait plus à m’épargner une peine plutôt que me laisser foncer tête baissée. Je venais tout juste de déposer un large récipient pour pouvoir mélanger tous les ingrédients nécessaire à la pâte à pancakes, et cherchais maintenant dans la poche arrière de mon jean mon téléphone portable. Un petit tour sur internet à la recherche d’une recette de pancakes et je pourrais enfin commencer. Tout en surfant à l’aide de mon téléphone, je pouffais de rire en entendant Maly me dire qu’il botterait le cul de Paris si ce dernier se comportait mal avec moi. « Merci t’es adorable ! J’apprécie l’intention » puis je relevais la tête pour observer le blondinet, toujours debout et adosser à un mur « Dis ? Tu veux vraiment ne pas t’asseoir et boire quelque chose ? J’ai l’impression de pas une super hôte là, à te laisser debout comme ça… » J’esquissais un petit sourire tout en le fixant avec des yeux presque implorant, avant d’ajouter : « Tu m’as l’air un peu tendu…te poser te ferait du bien ? » . Loin de moins l’idée d’insister, mais c’est juste que je ne me sentais pas super à l’aise à l’idée de le laisser dans son coin. Je le voyais bien qu’il ne semblait pas aussi « frais » que le jour où je l’avais rencontré pour la première fois. Et puis j’avais aussi cette impression que ma présence l’incommodait un peu ; pas évident quand on sait que j’ai envie d’apprendre à mieux le connaitre « Si tu me parlais de la manière dont tu as rencontré Paris ? », osais-je demander tout en posant mon téléphone sur le plan de travail de la cuisine, avant de commencer mesure la dose de farine nécessaire pour les pancakes.


© charney
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Summy & Maly
✗ ✗ ✗

Maly était pas forcément quelqu'un de très... normal vas-t-on dire. Mais il était pas méchant, enfin les trois quart du temps, si on était pas quelqu'un qu'il détestait, évidement. Il la regardait s'agiter pour préparer ce que les gosses avaient demander, réalisant à quel point, il ne ferait pas ça, et qu'il était très loin de pouvoir supporter un enfant longtemps, et encore moins d'en faire, même si vu ses penchants ça risquait d'être pas facile d'en faire un, un jour. Il esquissa un sourire quand elle le remercia de sa proposition de bottage de fesses de Paris, et le perdit presque aussitôt quand elle lui proposa de s’asseoir, avec insistance. « Je ne veux pas m'asseoir, et je ne le ferais pas. J'en ai marre d'être assit, alors ne me parle plus de ça. S'il te plais.»  Non, pas évident de s'occuper les soirs d'insomnies, et pas évident de faire autre chose que de rester allongé à fixer le plafond, ou assit à attendre que le temps passe. Il espérait qu'elle le prenne pas mal, même si c'était maly, et que des fois, les gens le prenaient mal quand même.  «Fatigué serait plus exact. Mais je vais pas t'enquiquiner avec ma vie.» Non ce n'était pas une façon détourner de la pousser à demander. Bien au contraire, c'était une façon poli de lui dire de pas chercher plus loin et d'accepter le fait, qu'il était pas commode aujourd'hui., même si ça serait compliqué pour Summer, vu qu'elle avait l'air d'une fille qui voulait que tout le monde soit heureux, rien qu'à voir comment elle s'occupait des enfants. «Paris? Non, c'est pas le genre d'histoire qu'on raconte. Surtout pas en ce  moment. » Il jeta un oeil aux trois têtes blondes semble-t-il occupé avec je-ne-sais-quel série pour enfant. La Télé c'était puissant quand même.



«.»
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité







I need your help


La réaction de Maly par rapport à mon invitation à s’asseoir avait de quoi être surprenante, mais bon…chacun son truc. Je n’allais pas insister au risque de l’irriter plus que de raison ?! J’avais quand même osé lui dire que je le trouvais tendu, mais il me répondait seulement qu’il était fatigué et que cela ne servait à rien d’en parler. Mais alors de quoi parler ? J’avais limite l’impression que quoique je fasse, ça n’était pas ce qu’il fallait avec Malachy. Et bien que j’adorais pouvoir me sociabiliser, je préférais le faire avec de personne consentante. Et Maly ne semblait pas du tout l’être.

Je soupirais discrètement et lui adressais tout de même un sourire compatissant, me disant qu’après tout c’était sa fatigue qui le rendait ainsi…mais je regrettais limite le Malachy amusant que j’avais rencontré à Halloween. Quoiqu’il en soit, je me mettais dans ma recette de Pancake, non sans passer jeter un coup d’œil à Danika qui semblait avoir finir de donner le biberon à Ashlynn et qui jouait maintenant les mini mamans en faisait faire son rot à sa petite sœur. Ces enfants m’impressionnaient par leur capacité à s’occuper les uns les autres. Je reprenais place devant le plan de travail de la cuisine, et tentais une dernière fois d’engager la conversation avec le jeune blondinet. On avait un point commun : Paris. Et même si Maly semblait vouloir avant tout me mettre en garde contre le Dunster, il était tout de même son ami et de ce fait, ils avaient partagé des choses. Je souhaitais donc savoir comme il s’était rencontré.

Nouvel échec de ma part, et je finissais par vraiment perdre espoir là. Maly avait écourté les choses en me disant que ce n’était pas une histoire à raconter, et je relevais les yeux de mon saladier rempli d’ingrédient que j’avais déversé au fur et à mesure du temps, pour regarder Malachy avec une légère détresse : « Bon écoute, Maly, si tu ne veux pas me parler, dis-le moi tout de suite, ce sera plus simple hein… » Je lâchais mon fouet et confiait mon ressenti : « Quoique je fasse, les choses te dérangent ou ne te donnent pas envie de parler… » Je passais mes mains sur mes cheveux pour remettre quelques mèches gênantes derrière mes oreilles et hésitais avant de finalement concéder : « On n’est pas obligé de s’entendre après tout, ce ne serait pas la fin du monde mais… » Je fermais alors les yeux et secouait la tête avant de conclure : « Oh écoute laisse tomber, ce n’est pas grave. Si tu veux partir et revenir quand Paris sera tout seul….sans moi et les gosses, tu es libre…» Au moins c’était dit. Je ne voulais pas qu’il se sente mal à l’aise avec moi.


© charney
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Summy & Maly
✗ ✗ ✗

Il était pas trop chiant aujourd'hui. Et il ne faisait pas exprès de la contredire. Mais elle était quand même pas possible à tout le temps lui demander de s'asseoir, comme si ça allait changer le monde. Merde, qu'est-ce que les gens pouvaient être relou à vouloir forcer les autres à se conduire comme eux. Il avait de bonne raison de pas vouloir s'asseoir, mais c'est pas grave. Il restait là à la regarder gentiment péter son câble contre lui, pour absolument rien du tout. Il hésitait entre s'en aller, lui dire qu'elle était conne, ou autre chose. A vrai dire, ça le gonflait qu'on lui dise quoi faire, quoi penser, ou autre. Il était assez grand pour penser par lui-même, et n'avait pas besoin d'une personne pour essayer de deviner quoi que ce soit. Il soupira en la regardant. « T'as tes règles cette semaine? Parce que je me souvenais pas que t'étais aussi chiante la dernière fois. C'est être avec Paris qui te rend comme ça? Non parec que là tu bas des records. J'ai le droit de pas avoir envie de m'asseoir, et de pas être très causant sans avoir le droit à une scène de ménage non? C'est quoi ton problème franchement ? Pourquoi faut toujours que vous fassiez le monde avec vos conneries? Dès qu'une personne est pas causante vous devenez chiant comme pas possible. » Maly était agacé. Il était pas causant, peut être, elle appréciait pas ça, et ben tant pis pour elle. Il y avait des multitudes de sujets autre que : Va t'asseoir, et son histoire avec Paris bordel. Comme si le monde n'existait pas en dehors du Dunster. « Tu sais le monde ne se limite pas à Paris! » Ce que ça le faisait chier cette histoire.


«.»
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité







I need your help


Dire que j’avais mes règles pour justifier le fait que j’avais le droit de ne pas apprécier son comportement avait quelque chose d’un peu trop facile à mon goût, surtout venant d’un mec qui partait bien plus au quart de tour que moi. Je m’arrêtais dans mes activité et posait mes mains sur les hanches en fronçant les sourcils. « Tu sais quoi ?! Je commence à comprendre ce que les gens veulent dire par « caractère de cochon » quand ils parlent de toi. Je n’étais pas en train de remettre en question ta personnalité, contrairement à ce que toi tu es en train de faire. Et je ne vois pas ce qu’il y a d’horrible à vouloir s’inquiéter du confort de la personne en face de soi et de s’assurer de ne pas être la cause de son malaise. Alors pardon si j’ai osé me soucier de ton bien-être ! Pardon si j’ai osé te faire la causette pour en apprendre plus sur toi ! Et Pardon si tu as cru que mon intérêt pour toi avait à voir avec Paris. » Je n’avais plus envie d’être chaleureuse et souriante avec un homme qui était incapable de comprendre quelles étaient mes intentions, et qui me considérait comme assez superficielle égoïste pour ne penser qu’à ma petite vie. « Par contre, je ne t’ai pas mis le couteau sous la gorge pour entrer dans cet appart ! Je ne t’ai pas ordonné d’attendre TON ami, plutôt que d’avoir fait le chemin pour rien ! Maintenant si tu me trouve chiante et agaçante, et que tu te fais chier ici : Je ne te retiens pas ! Personnellement j’n’ai pas de temps à perdre avec des gens qui se permettent de juger les autres sans les connaître. Et c’est ce que tu viens de faire avec moi» Lançais-je en pointant le bras en direction de l’entrée « La porte est là-bas ! J'te raccompagne pas»

Je ne voyais pas en quoi mon comportement l’avait rendu aussi cinglant et désagréable. J’avais juste voulu me montrer honnête et lui avouer que je ne comprenais pas pourquoi il refusait de parler. Au pire, il m’aurait juste dit qu’il n’était pas dans son assiette et qu’il avait envie de ne parler de rien, ça m’aurait suffi. Là, il me manquait simplement de respect, et il était hors de question que je me laisse « insulter » devant des enfants qui plus est, parce que monsieur n’était pas dans son assiette. On a tous des problèmes dans la vie, et ce n’est pas en se défoulant sur les autres que ça changera quoique ce soit.


© charney
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Summy & Maly
✗ ✗ ✗

Et encore une fois, il avait droit à une scène à la con. Tout ça le fatiguait. Les gens étaient chiants comme pas possible. Elle faisait genre elle prenait ça cool en le grondant comme si il avait cinq ans, sauf que Maly ne l'écoutait pas vraiment. Il était pas forcément sympa de base, mais elle était foncièrement chiante en cet instant, et il n'avait pas envie de rentrer dans ce cercle de chiantise. Il donnait suffisamment avec Camille, il avait pas besoin de sa couche à elle aujourd’hui. «Tu me tanes depuis tout à l'heure pour que je m’assoit. Si j'avais voulu le faire, je l'aurais fait. J'ai pas besoin d'invitation de ta part pour prendre mes aises ici. » Elle se mettait presque à lui gueuler dessus, des trucs sans noms que Maly en avait rien à fiche vraiment. C'était bien une meuf ça, elle pétait un câble pour que dalle. Et après on se demandait pourquoi les femmes ne l'intéressaient pas? Voyez la réaction de Summer en cet instant, voilà pourquoi il ne trouvait rien de bien chez une femme. Au moins un homme, ça fait pas chier à ce point là. Un gars ça te dit une fois de t'asseior, et basta, pas 40, et ça te pète pas un câble après parce que tu ne t'es pas assit. Il soupira en la regardant, comment la gentille fille de Halloween pouvait se transformer en Madame Relou ? «Tu veux bien calmer tes hormones de folle furieuse là ? T'as pas pris tes médocs aujourd'hui ou quoi? Parce que t'étais pas aussi chiante à Halloween. Et je te signal que tu me juges sans me connaître, et sur Ouï-dire, alors tu ferais mieux de réfléchir avant d'ouvrir la bouche. » Maly resta planté là où il était avec zéro intention de s'en aller. Si elle croyait que lui gueuler dessus de la merde allait le faire partir,elle pouvait toujours rêver. Il lui avait dit qu'il ne voulait pas s'asseoir, et elle avait insister. Il lui avait dit qu'il ne voulait pas en parler, et après elle lui pétais un câble parce qu'il était pas causant, et qu'il était désagréable quand il avait ouvert la bouche? Elle le cherchait depuis tout à l'heure, elle avait finit par le trouver. Il y avait des millions de sujets qu'elle aurait pu abordé, sans avoir besoin de lui casser les burnes comme elle venait de le faire. Summer venait de se défouler sur Maly, parce qu'il était.. renfermé. C'était bien la peine de vouloir se prétendre sans reproche quand on fait aux autres ce qu'on ne veut pas qu'on lui fasse. «T'es sensé être une Quincy non? T'aurais du aller chez les Eliots plutôt. »



«.»
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité







I need your help


Non il fallait vraiment qu’il s’écoute parler deux minutes pour comprendre que celui qui avait initié cette dispute sans nom, c’était lui. Il faisait d’une invitation à s’asseoir une affaire d’état et un mystère à la con, alors qu’il avait juste à dire qu’il avait mal au dos où je ne sais quoi d’autre. Et encore, si il m’avait dit ça, j’aurais assez gentil pour lui proposer un coussin ou je ne sais quoi, et ça aurait été un appel au scandale pour Monsieur O’Leary, n’est-ce pas ? « Je parle sans savoir ? Mais je ne fais qu’appliquer ta propre méthode. Parce que jusqu’à preuve du contraire, tu n’es pas dans ma culotte pour savoir si j’ai mes règles, ou non ; tu n’es pas en mesure de savoir ce que me fait Paris ou non ; et tu te permets de me traiter de chieuse. Et le pire c’est tu insistes : sous prétexte que je suis une femme, ce sont mes hormones qui me font parler quand on se montre désagréable avec moi ? Alors si je suis ton raisonnement : c’est quoi toi, qui te rend aussi mal luné et froid avec les gens ? T’as pas eu ta branlette du jour, c’est ça ? T’as pas eu ta dose de la semaine ?...Tu vois, quand on joue à ton jeu, on se rend compte que c’est toi qui ouvre un peu trop vite la bouche avant de réfléchir. » Si il y a bien un truc que je ne supporte pas, c’est qu’on me prenne pour une conne et qu’en plus on me demande de dire amen. S’il pense que j’allais le laisser me parler ainsi, dans ces lieux, avec des enfants dans l’autre pièce ? Il pouvait se foutre le doigt là où je pense. « Et toi, tu n’étais pas aussi con le soir d’Halloween non plus ! Apparemment les gens changent »

Et alors que Malachy ne bougeait pas d’un iota – à croire que maintenant qu’il avait amené des tensions il avait envie de participer – il se permettait une nouvelle fois un jugement quant à mon appartenance à une confrérie. Je secouais la tête en lui disant d’un ton monocorde « C’est moi qui juge sans comprendre…bah voyons. Ce n’est pas parce que je suis une Quincy, que je suis censée accepter qu’on me parle de cette façon. Tu crois quoi, que je vais te dire amen et tendre l’autre joue ?! Maintenant les choses vont être claires : Tu te rends tout de même compte que tu t’aies permis de me parler de la sorte parce que j’ai voulu m’intéresser à ton confort ?? Explique moi juste un truc, vu qu’apparemment je suis qu’une chieuse qui ne s’intéresser qu’à monde, instruis-moi avec ta science : Si tu ne veux pas me parler, que tu ne veux pas t’asseoir, que tu ne veux pas boire, et que tu ne veux pas m’aider ? ON. FAIT. QUOI ?….Rien. Donc ? Comme tu ne veux rien, ma réponse reste la même : la porte est là-bas »



© charney


Spoiler:
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)