Ravie de te revoir...tu peux m'aider ? [ft. Malachy]

I need your help

Paris absent pour la journée, et moi en congé, j’avais gentiment proposé de garder les enfants plutôt que d’appeler Ivy à la rescousse pour quelques heures seulement…Matthew le plus grand des frères et sœurs, avait cours contrairement aux 3 autres terreurs ; autant dire que j’allais devoir assuré ! Bon les enfants, ça ne me fait pas peur, sinon je n’aurai jamais choisi le domaine de la pédiatrie en études, mais disons que pour réussir à les divertir toute la journée ? J’avais encore besoin d’apprendre.

Il était à peine 15h et Ashlynn se réveillait de sa sieste. Je la sortais alors de son lit, changeait sa couche, quand Danika me demanda si l’on pouvait faire des pancakes-bonhommes. « Qu’est-ce que c’est des pancakes-bonhommes ? » « J’ai vu ça à la télé : c’est pancakes en forme de bonhomme ou d’animal » Bon….bah comme c’était bientôt l’heure du goûter, je comprenais qu’on commence à s’intéresser à ce que tout le monde mangerait pour l’occasion, mais des pancakes bonhomme ? Pas sûre de savoir-faire ça ! C’est donc en attachant le dernier strap de la couche d’Ashlynn et en lui remettant son body par-dessus, que je n’avais pas vraiment réfléchis à mes mot et répondais : «Okay » dans le sens, Okay je comprends mieux….Sauf que Danika hurlait dans tout le duplex qu’on allait manger des pancakes-bonhommes, ce qui voulait dire que je n’avais vraiment plus le choix !

Je revenais dans la pièce principale avec Ashlynn dans les bras pour me rendre en cuisine pour lui préparer son biberon, quand Kaleigh venait maintenant me demander si on pouvait commencer les pancakes maintenant. Elle semblait tout aussi excitée de sa sœur et je réalisais que j’allais bien galérer à gérer tout le monde-là. « Je m’occupe d’Ashlynn d’abord ? » On sonnait à la porte, et je me figeais sur place. Je n’attendais personne ! Paris ne m’avait rien dit sur une visite…après un moment d’hésitation, je me rendais jusqu’à la porte d’entrée avec Ashlynn toujours dans mes bras, et lorsque j’ouvris la porte, je fus étonnée de tomber nez à nez avec un visage qui m’était familier et que je ne pensais pourtant pas revoir : le cousin de Bonaventure…Malachy. Du moins si ma mémoire ne me faisait pas défaut.

« Heeeeyyyyyy » lançais-je avec enthousiasme, en poussant légèrement sur les fesses d’Ahslynn pour la remonter d’un niveau dans mes bras. « Malachy c’est ça ?! » Je me demandais ce qu’il pouvait faire ici, et allais lui demander, quand Aaron se mit à hurler derrière moi « C’EST QUAND QU’ON FAIT LES PANCAKES ?! » Un peu prise par le temps et aussi parce que j’avais besoin de renfort, je laissais entrer Malachy, faisant confiance en cet homme vu qu’il faisait partie de la famille de Bonaventure et que je ne m’en méfiais pas ; puis je lui demandais avec détresse : « Dis-moi que tu sais faire des pancakes-bonhommes ?! » Et je fermais la porte derrière lui. Si moi, je ne savais toujours pas pourquoi il était là, il devait sans doute se demander de son côté aussi, ce que MOI je fichais là !

(Invité)

Summy & Maly
✗ ✗ ✗
Le blondinet avait décidé de passer voir Paris, il devait lui rendre un DVD de film, ou du moins un truc du genre. Il était aller tout guilleret à l’appartement de son meilleur ami dans l'espoir de le voir. En ce moment ce n'était pas forcément le grande forme, les insomnies avaient enfin cesser de le privé complètement de sommeil, mais ce n'était pas pour autant qu'il arrivait à nouveau à bien dormir. Il avait pas spécialement une bonne tronche, mais au moins ça s'était un peu améliorer comparer aux semaines précédentes. Il arrivai tranquillement devant l'apart', et sonna. Il s'attendait à voir son best pointer son nez, et ce fut une petite blondinette et trois mioches en mutinerie qui apparurent dans l'encadrement de la porte. Maly lui fit un sourire, bien que c'était un peu bizarre, mais c'est pas grave. «Oui, enfin tu peux m’appeler Maly. Il est pas là Paris? » C'était la chose qui le préoccupait principalement en ce moment. Il entra, puisqu'elle ne lui laissa pas vraiment le choix, et le blond posa le DVD a un endroit assez haut pour que les mioches ne puissent pas jouer avec, et qui était à porté de mains. «Non. Je ne sais pas cuisiner. Je suis un gars. C'est toi qui devrait savoir cuisiner. » Cela n'avait rien de méchant, mais la situation était un peu perturbante et le blondinet faisait preuve d'une logique infaillible en plus d'être un peu Macho sur les bords, comme à son habitude en fait. Puis il ajouta «Tu fais quoi là? Elle est où la Baby sitter, enfin la vrai?» Pas que Maly soit désagréable non plus, mais avec mioches ça devenait vite une horreur, et là vu comme ils avaient l'air tous excité, c'était une horreur probablement.

«.»

I need your help

J’avais laissé entrer Malachy sans trop jouer au flic : Apparemment il cherchait Paris, il était au bon endroit ! Malheureusement pour le blond, Paris s’était absenté pour la fin de la journée, et je lui fis d’ailleurs savoir : « Non, il n’est pas là : il avait une répétition importante aujourd’hui…Mais il devrait rentrer dans une heure à peine. Tu peux l’attendre ici. » Et c’est tout de suite après que Aaron me presse comme ses sœurs précédemment que je demandais de l’aide à Maly en lui demandant s’il savait faire des pancakes-bonhommes. Sa réponse on ne peut plus machiste au premier abord me fit tout de même rire « Oh Woaw, quel cliché ! » lâchais en riant avant d’ajouter « Je sais vérifier le niveau d’huile moteur dans ma voiture, est-ce que ça fait de moi un mec ? » je le gratifiais d’un sourire, signe que je ne prenais pas mal son comportement et que je plaisantais, même si j’avoue qu’en d’autres circonstances, autour d’un verre, et avec un peu plus de temps devant moi, je me serais lancée dans un discours sur le sujet !

Je passais devant lui pour me rendre dans la cuisine ouverte sur la pièce principale et je reprenais mon activité en oubliant pas de dire à Maly de s’installer où il le souhaitait. Pour pallier à l’impatience des enfants, j’organisais le programme en leur disant : « Je nourris Ashlynn pendant que vous, vous avez le droit d’aller regarder un dessin animé – sans vous battre – et je préparais la pâte à pancakes qui doit quand même reposer un peu pour qu’elle soit bonne » Sous-entendu : Ne pas venir réclamer tout de suite, il allait falloir être patient ! Les 3 têtes blondes partirent dans le salon pour allumer la télé et choisir minutieusement un dessin animé, ce qui me laissait maintenant tout le temps de gérer le reste ! A commencer par répondre à Malachy, qui m’avait demandé ou se trouvait la vrai baby-sitter. Là encore je souriais en secouant la tête, avant de répondre « Elle était indisponible, alors l’agence a envoyé la fausse à la place, en se disant que ce serait plus drôle et que ça n’allait surtout pas faire peur aux enfants ! » Au moins, cette conversation avait le don de me ramener au souvenir de cette soirée Halloween où j’avais rencontré pour la première fois Malachy et me faisant drôlement passer pour un vampire en couverture d’étudiante modèle. « Et puis tu sais, les enfants j’adore, c’est du sang neuf et frais pour mes réunions Tupperware » lançais-je avec un clin d’œil en espérant qu’il se remémore notre conversation d’il y a quelques mois. Puis c’est avec une réelle curiosité que je lui demandais, tout en déposant Ashlynn dans un transat : « Alors comme ça, tu connais Paris ? » Tant qu’à faire autant que je sache ce que Maly représentait aux yeux de mon petit-ami…

(Invité)

Summy & Maly
✗ ✗ ✗
Il cherchait Paris et fut un peu déçu de ne pas le trouver. Mais bon, il avait pas spécialement envie de lui parler non plus, et il pouvait s'en aller tout de suite en fait. Mais on lui demandait comment faire la cuisine. Maly très nature comme garçon lui avait fait une réponse qui pouvait en agacer plus d'une, mais elle rigola et sembla bien le prendre. Il roula des yeux en l'écoutant, et haussa les épaules en lui répondant. «En même temps vérifier le niveau d'huile, même un gosse sait le faire, ça demande pas de connaissance particulière.» Il semblait pas forcément des plus sympa, mais c'était Maly, il l'était pas toujours, et puis y'avait des gosses partout, et il était pas tout à fait remis de ses épisodes de fatigue intense alors son caractère en prenait un coup, il était un peu plus chiant que d'habitude.
Maly restait sagement planté debout à regarder l'agitation sans vraiment vouloir faire quoi que ce soit. Et puis elle était bizarre quand même cette fille. Il se souvenait d'elle et il l'avait bien apprécier à la soirée d'halloween, mais avec du recul et dans ce contexte, il était perplexe. «Non sérieusement Summer, elle est où la baby-sitter?.» Maly et son tact légendaire. On mettra ça sur le dos de manque de sommeil qui avait tuer des neurones et qu'il devait refaire tout seul, et oui ça prend du temps de récupérer ses neurones, encore plus quand on est un Malouche. Et là elle posa THE question. Sauf que c'était la question que Maly se posait. «Je te retourne le compliment. T'es qui ?.» Pour lui, sous entendu, parce qu'il savait très bien que c'était Summer, il se souvenait d'Halloween et de la fille qui lui avait renverser un verre sur lui. Elle était belle et rayonnante ce soir là. Aujourd'hui il avait du mal à la trouver rayonnante, en même temps avec trois morveux qui foutent le bordel ça devait pas e^tre évident de rayonner.

«.»

I need your help

Cette mauvaise foi évidente sur le niveau d’huile vérifiable par un gosse me fit secouer la tête tellement je trouvais cela exaspérant, mais ça ne changeait pas mon humeur, ni mon envie de passer outre ce caractère de cochon que Bonaventure m’avait signalé le jour où je lui avais dit avoir rencontré son cousin. Au lieu de me prendre la tête avec ça, je préférais prendre ses commentaires à la légère, voire même de m’en amuser. C’est pourquoi, sans me départir de mon sourire habituel, je taquinais Malachy en lui répondant : « Je suis ravie de savoir que tu compares mes connaissances en voiture à celles d’un gosse. J’adore tes compliments ! »

Une fois les enfants occupés devant la télé, il ne me restait plus qu’à m’occuper d’Ashlynn sans oublier l’invité surprise. D’ailleurs, je le regardais resté debout sans trop savoir quoi faire. « Assieds-toi, restes pas planté là » lui déclarais-je en lui désignant les tabourets de comptoir de la cuisine « Tu veux quelque chose à boire ? Un soda ? Une bière ? » Autant qu’il se mette à l’aise s’il devait attendre Paris. Surtout qu’à voir sa tête toujours perplexe sur les raisons de ma présence…D’ailleurs il semblait toujours résolu à comprendre pourquoi la baby-sitter n’était pas là. Je secouais alors le biberon préparé pour Ashlynn vivement, et je lui répondais : « Paris avait besoin de quelqu’un pour garder les enfants à la dernière minute, et j’étais déjà là alors…je me suis proposée de les garder, c’est tout. » J’ouvrais ensuite le biberon et vérifiais la température du lait, quand Danika revenait pour me demander si elle pouvait donner le biberon à Ashlynn aujourd’hui. J’acceptais volontiers l’idée, sachant pertinemment que les enfants Maconahey avaient l’habitude de s’occuper des uns les autres! Danika se réinstallait dans le canapé et je venais lui apporter Ashlynn et le biberon, m’assurant qu’elle lui donne ce dernier correctement, avant de revenir dans la cuisine. C’est à ce moment-là que, libre de pouvoir enfin m’intéresser à Malachy, je souhaitais prendre connaissance du lien qui l’unissait à Paris. Sauf que le côté un peu brutal de sa réponse me prit de court: Je ne savais pas trop comment prendre son attitude. Soit il émettait des réserves sur moi, soit il s’agissait juste d’un mauvais jour…Après tout, tout le monde pouvait se montrer un peu froid parfois, et je ne connaissais de sa vie pour me permettre de juger. Je lui souriais alors chaleureusement, dans le cas où cela pourrait le déglacer un peu, et je lui répondais le plus naturellement du monde « Je suis la petite-amie de Paris ». Bon, le problème c’est que, je me doute bien que cette nouvelle pouvait porter à confusion, surtout quand on sait que Paris n’a jamais été du genre à se caser. « Je sais, c’est peut-être sans doute un peu surprenant… »

(Invité)

Summy & Maly
✗ ✗ ✗
Maly et son charme habituel, on en viendrait à se demander comment il arrivait à draguer des filles des fois. Faut croire que le côté connard macho faisait son effet sur certaines. Notez qu'il était pas plus agréable avec Camille, il était même pire avec lui, alors qu'il comptait pour Maly. Comme quoi il était naturellement débile remplit de préjugé macho, chrétiens et arriéré. Il ne dit rien, il avait pas envie de se prendre la tête avec elle, c'était ni le jour, ni le moment pour. Maly avait gagné en maturité et en calme même si les gens ne le remarquaient pas, il était beaucoup moins impulsif et agressif que quand il était arrivé à Harvard il y a 8 ans. Il la regarda avant de lui répondre. «Je préfère rester debout.» Assit ou allongé c'était horrible, trop de temps passer à attendre que le sommeil vienne et qu'il ne venait pas, Maly ne voulait plus rester trop longtemps assit, mais aller expliquer ça à quelqu'un ça serait louche. «Rien, ça ira. Merci.» Blondinet pouvait parfois être poli et courtois quand il le fallait. Puis de base, il avait pas spécialement envie d'être méchant avec Summer, il l'aimait bien. Mais Maly était pas forcément toujours très diplomate dans sa façon de parler, ou dans le contenu tout court. Il hocha la tête en écoutant ce qu'elle disait, mais à vrai dire ça le perturbait pas tant que ça, il s'en fichait un peu maintenant. Elle était pas méchante de bases, et les gosses semblaient pas avoir envie de s’échapper donc tout roulait. Il attendit de savoir ce qu'elle était pour Paris, sans bouger d'un pouce de sa position initiale. Et hocha bêtement la tête. Elle semblait de bonne humeur et prête à faire des blagues. Maly lui répondit quand même. « J'espère que tu sais dans quoi tu t'engages au moins. » On s'attendrait qu'il soutiennes son pote ou ce genre de chose, mais connaissant Paris, il avait plus peur que la jeune fille soit déçue et souffre de cette relation qu'autre chose. Et malgré son apparente humeur désagréable, il aimait bien Summer, elle était gentille et adorable, ça serait bête de tout gâcher avec Paris.

«.»

I need your help

Dieu que Malachy semblait difficile. Difficile ou vraiment de mauvaise humeur ! Je commençais à mieux comprendre ce que m’avais dit Bonaventure à propos de son cousin. C’en était presque si je regrettais le Malachy rencontré lors de la soirée Halloween...Il ne voulait pas s’asseoir, il ne voulait rien boire ; en gros, il jouait les invités coup de vent et je ne pouvais malheureusement pas le forcer. Et puis je ne voulais de toute façon pas l’irriter plus qu’il ne l’était déjà. Pour ma part, je restais chaleureuse au mieux, et m’intéressait à lui peu importe son humeur. C’était l’ami de Paris après tout, et j’avais vraiment envie d’apprendre à le connaitre sans être obligé de passer par mon petit-ami ; J’espérais simplement que l’attitude de Malachy aujourd’hui n’avait rien à voir avec moi où ma présence surprise sur les lieux. J’avais expliqué pourquoi je m’étais portée volontaire pour garder les enfants et ils se contentaient d’acquiescer en silence. Et puis apparemment, ce qui importait c’était de mettre une étiquette sur le lien qui m’unissait à Paris.

Je commençais à fouiller dans la cuisine à la recherche des accessoires et ingrédients, tout en répondant chaleureusement à Maly, lui expliquant que j’étais la petite amie de Paris. Et c’est en posant un grand saladier, la farine et quelques œufs sur le comptoir, que le jeune blond fit une remarque sur les risques que je prenais en sortant avec son ami. Je le regardais un peu perplexe, tiquant légèrement sur ses propos en haussant les sourcils : « Qu’est-ce que tu veux dire par là ? » j’étais assez étonnée d’entendre l’ami de Paris me mettre en garde. « Paris est quelqu’un de bien… » Concluais-je en haussant les épaules avant de partir à la recherche d’un fouet.

(Invité)

Summy & Maly
✗ ✗ ✗
Maly était pas un mec super agréable, et il en avait cruellement conscience, mais faut dire qu'il était comme ça pour qu'on lui fiche la paix, et qu'on vienne pas chercher à le connaitre. Remarquez, ça marchait plutôt bien, puisque pas beaucoup de gens l'appréciait. Le blondinet, était parfois dur à suivre, ça aussi c'était un de ses principaux défauts, mais il était comme ça. Et ça n'avait rien à voir avec Summer, juste avec lui. Il essayait pas spécialement d'être sympathique, mais on va dire, que des fois il l'était plus facilement que d'autre. Il se contentait de regarder Summer, bien qu'elle semblait un peu turlupiner par ses propos sur Paris. Il haussa les épaules avant de s'adosser quelque part, où il pouvait surveiller les gosses, et voir Summer, plutôt près de Summy. «J'ai jamais dit qu'il était une mauvaise personne..» Voilà que ça recommençait, les gens qui comprenaient pas ce qu'il disait. Il soupira, tripotant son briquet d'un air distrait. «J'ai juste pas envie de te voir pleurer à cause de lui. T'es bien plus jolie quand tu souris Summy. .» Non, n'imaginez rien, il ne draguait pas cette fille. Je sais qu'on pouvait le croire là comme ça, mais c'était à des milliers de kilomètre de son cerveau. C'était une fille, par définition elle avait rien qui pouvait l'intéresser, mais c'est vrai qu'elle était bien plus jolie quand elle souriait. Après c'était Maly fallait réussir à décoder ce qu'il disait, et ce qu'il voulait vraiment dire, parce qu'il était des fois tellement obscurs quand il parlait, mais le pire c'est qu'il faisait même pas exprès.

«.»

I need your help

Je pouvais reconnaitre facilement que Malachy avait le don d’instaurer la confusion. Il semblait à la fois distant, froid, mais tout de même prévenant. Le genre de personne difficile à cerner au premier coup d’œil. Dans un sens, je trouvais ça rafraichissant : Maly avait au moins l’avantage de ne ressembler à aucun autre, et d’avoir un caractère bien trempé. Mais je ne pouvais m’empêcher de me demander si ce jeune homme était comme ça tout le temps où s’il s’agissait d’un mauvais jour.

Je venais de trouver le fouet, et partait à la recherche des ingrédients, œufs, lait, farine, levure…du sucre vanillé pourquoi pas. N’étant pas encore très habituée à cette cuisine, j’avoue qu’il s’agissait bien plus d’une excursion pour moi, plutôt que d’une véritable maîtrise des lieux. Et je pouvais facilement comprendre qu’aux yeux de Malachy en cet instant, je devais un peu m’agiter pour pas grand-chose. Mais il réussissait très vite à me couper dans mon élan avec sa remarque au sujet de Paris : j’avoue que sur le coup, je n’avais pas vraiment su comment le prendre. Mais lorsqu’il se justifiait un peu plus, j’esquissais un sourire conciliant et entendu, voire même flattée par ce le doux compliment qui accompagnait ses inquiétudes. « Je suis au courant de sa réputation auprès des femmes…mais je lui fais confiance. » répondais-je le plus sincèrement du monde. Je fixais Maly un instant, silencieusement avant d’ajouter, histoire de montrer encore plus mon engagement personnel envers Paris : « Et je peux même te dire que je souris bien plus que je ne pleure à ses côtés » et à cette remarque, je souriais franchement, parce que clairement, c’est l’effet que me faisait Paris, même rien qu’en l’évoquant. « T’as aucun soucis à te faire. Ton ami est adorable avec moi. Mais je suis touchée par ton inquiétude »

(Invité)

Summy & Maly
✗ ✗ ✗
Oui Maly était un peu bizarre, mais fallait savoir comment le prendre. Même si c'était souvent difficile puisqu'il changeait d'humeur comme on change de chemises, ce qui peut être déstabilisant. La preuve, Camille et lui n'arrivait à aucune communication, mais ça c'était juste un exemple parmi tant d'autre. Il la regardait s'agiter pour faire des pancakes bonhommes probablement, Maly savait pas cuisiner, du moins, pas en dehors des trucs habituel pour un adulte qui mange pas de pâtisserie ou ce genre là. Il était nul pour ça, et pour bien d'autre chose en réalité, mais dresser la liste serait trop longue. Mais bon, il appréciait bien Summer, même si ils avaient pas parler longtemps à la soirée d'Halloween, qui d'ailleurs avait un peu mal tourné pour lui. Tout cas, il écouta sa réponse avec intérêt, même si elle semblait être au courant. Il savait comme son best, parfois pouvait être, et ça serait gênant qu'il fasse du mal à Summer pour Malachy. « Si t'es tu sais où t'as mis les pieds, tant mieux alors.» C'est vrai que le rôle d'un best, c'est de prendre le parti de son pote, mais même si Maly se fichait royalement des filles, c'était différent de se conduire comme un con avec une "inconnue", que de faire du mal a une personne qu'il connaissait, surtout Summer. «Si il est devient pas adorable, dis le moi, je lui botterais le cul.» Paris n'avait qu'à bien se tenir, non mais oh.

«.»

(Contenu sponsorisé)