Les rencontres peuvent se faire partout ! ft Zoïa E. Rosenbach

Les rencontres peuvent se faire partout

La jolie rousse à une profession qui peut impressionner c'est peu commun, surtout une fille. Quand on pense à médecin légiste, la plupart doivent penser à Docteur Palmer dans NCIS, le binoclard, un peu -beaucoup trop- gauche qui fait pas mal de choses de travers au début. Mais les stéréotypes sont fait pour être casser non ? Et Dante va même jusqu'à penser qu'il espère que ça sera une jeune femme sexy qui fera son autopsie si il en a besoin, c'est quand même plus agréable d'imaginer de jolies mains féminines dans ses entrailles que les mains d'un vieux grincheux ou d'un maladroit non ? En plus, la jeune femme est loin d'être coincé, elle est sexy au diable et charmante au possible. Comment ne pas approuver ? Une fois dehors, leur échange s'intensifie comme ci être dehors, hors du commissariat leur permettait de briser tous les interdits qui sont généralement de rigueur à l'intérieur. Le regard azur du jeune homme se plante dans les iris de la jeune femme alors qu'elle lui répond, il sourit, amusé alors qu'elle se mord la lèvre d'une manière vraiment très séduisante. Il réplique alors « J'espère que ma cuisine en vaudra le coup alors » Il se pense vraiment en charmante compagnie. Alors qu'ils fument tous deux ce bâtons de nicotine bourrée de saleté, ils s'interrogent sur leurs présences dans les confréries. Elle trouve celle de Dante sans trop de mal alors que lui se plante totalement, probablement parce que son air espiègle l'a induit en erreur .. Elle lui annonce qu'elle n'est pas Mather lui demandant si elle a l'air si dépravé et ajoute qu'elle l'est mais uniquement avec les beaux bruns. « Dépravé ... On verra ça, je demande à voir.. » puis il sourit de nouveau avant d'ajouter « Ah ... Tout le monde me dit que je suis châtain foncé ... J'espère que ça passe quand même ? » Leur petit jeu est distrayant probablement pour les deux parties qui ont eux une longue journée. Elle finit par lui révéler qu'elle était Eliot mais aujourd'hui, elle est Dunster, elle est de l'élite. « Dunster ? Impressionnant. Tu es une genre d'intello pas coincer alors ? » Les Dunster contrairement aux aprioris ne sont pas du genre coincer, ils sont même drôle, même si certains le sont vraiment, coincer, la plupart aiment quand même sortir un peu. Cigarette finit, il ouvre sa voiture et lui ouvre la porte, lui proposant de monter. Elle s'exécute et ils savent tous deux à quoi cela va les mener. Il ferme la portière derrière elle et va derrière le volant, il démarre après lui avoir adresser un regard furtif imaginant déjà la suite de son après midi en aussi charmante compagnie, mais ses pensées reviennent à elle avec ses paroles amusantes provocatrices et claire et franche en même temps. Sourire en coin il lui annonce « Oh j'espère aussi » au moins, ils sont sur la même longueur d'ondes, le courant passe bien entre eux et l'après midi risque d'être hot avec la cuisine italienne qu'il compte lui servir. Il roule, comme a son habitude rapidement vers son appartement, il est tout près du poste sans circulation, 2 à 3 minutes et l'heure creuse est propice à une arrivé imminente dans son appartement.

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Même les journées les plus organisées ont parfois leur dose d'imprévu. Et c'est ce qui plaisait à Zoïa, de tout maîtriser et d'être surprise en même temps. Cette rencontre fortuite s'avérait finalement bien intéressante. La Rousse y retrouvait là ses talents nocturnes en plein jour et bien des jeunes femmes se seraient formalisées de la voir s'incliner mais peu importe. Si une personne lui plaît, si elle la désire, elle fait tout pour l'obtenir. Jour ou non. C'est ainsi qu'elle suit Dante dans sa voiture non sans plaisanter auparavant sur sa couleur de cheveux. « Je pense ça ira pour une fois ? » s'amuse-t-elle en lui lançant un regard entendu. Le jeune homme fût d'ailleurs surpris par son choix de confrérie. « Disons que je sais faire la part des choses, être sérieuse dans mon travail et savoir m'amuser une fois celui-ci effectuée. » L'acier de ses prunelles reposent sur le visage du Winthrop, sait-il à quel point son visage est parfait ? Sans doute et c'est ce qu'elle aime, voir ce qui se cache derrière cette apparence de perfection. Sûrement parce que ce n'est pas une chose qu'elle peut faire, son propre visage porte les stigmates de ses tourments mais aussi de ses excès, ce qui lui donne ce charme particulier propre à elle. « Mais détrompe-toi, la Dunster c'est amour, gloire et beauté. » Un sourire habille ses lèvres carmines, parce que la confrérie jaune est bien loin de l'image sage qu'elle peut renvoyer. « Et dis-moi les Winthrop font-ils des soirées musculation en draguant tout ce qui passe ? » s'amuse-t-elle à son tour. Préjugés contre préjugés, cette fois la vérité éclate. Ils arrivent tous deux devant le domicile de l'italien et la Solitaire se laisse conduire à l'intérieur. Elle découvre un intérieur riche et luxueux. « Très charmant. » commente-t-elle en retirant sa veste et en lui lançant un regard enjôleur, si bien qu'on se sait plus très bien si c'est du domicile ou de son propriétaire qu'elle parle.

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Il était agréable de garder une part de spontanaité dans sa journée. Bien qu'il aimait avoir une idée de son programme, Basini n'était jamais contre les imprévus, ça pimente la vie quotidienne tout simplement, sans ça, on ne peut pas vraiment profiter de la vie et être pleinement heureux. Comment l'être quand on sait exactement comment demain sera ? La vie n'est pas simple et n'est pas faites pour l'être, elle doit être tordu et parfois cruelle pour pouvoir apprécier les bonnes rencontres. Et Dante était absolument ravi d'en faire une aujourd'hui. Elle avait l'air charmante et charmé. Son air un peu contre les règles malgré son intelligence, ses cheveux roux, son regard brun et mystérieux et son visage lui donnait un coté très séduisant que l'italien avait immédiatement remarqué. Comment ne pas le remarquer me direz-vous ? Quand il plaisante sur la couleur de ses cheveux, elle réplique avec humour et il lui adresse un sourire amusé alors qu'ils vont vers la voiture du jeune homme, garé à côté. Il fut tout de même surpris d'apprendre la confrérie à laquelle elle appartenait, les Dunster mais remarque c'est une médecin legiste, elle ne peut qu'être brillante, non ? Suite a ses paroles, il sourit « C'est une bonne chose, il faut savoir profiter de la vie après tout ! » Ca il en était convaincu, la vie était trop courte pour avoir des regrets demain. Il faut la vivre. Alors qu'elle semble détailler son visage, lui il la dévore du regard entièrement elle et son corps joliment proportionné. Quand elle rétorque le stéréotype des WH, elle marque un point, ça l'amuse Basini et il réplique « Oh si seulement ! Ca pourrait être sympa comme genre de soirée ! » Une fois arrivée à l'appartement quartier d'italie de Dante, il la laisse monter en première et lui ouvre la porte pour qu'elle entre, un regard vers le sud de son dos ... et il se concentre à nouveau sur elle en souriant alors qu'elle retire sa veste. Il ferme la porte derrière lui et lui renvoit un regard charmeur suite à ses paroles avant de dire « Merci beaucoup ... Ca me demande beaucoup d'entretien, alors content que ça te plaise » l'appart ou lui ? A elle de deviner. Il tend la main pour prendre sa veste et la poser sur un porte manteau avant de lui demander « Alors, tu as toujours faim ? » bah oui, de base l'excuse pour venir ici, c'était la faim, alors sait-on jamais, peut être veut-elle vraiment manger un plat italien, il en a un prêt dans tous les cas.

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Suivre un homme sans le connaître et ce même si sa voiture est d'un luxe appréciable, peu de femmes le ferait sans quelques angoisses. Zoïa n'en ressentait pourtant pas l'ombre, et son sourire s'élargit lorsque l'Italien lui lance qu'il faut profiter de la vie. « Elle est bien trop courte pour qu'on s'ennuie. » rétorque-t-elle sur le même ton. Disons que passer ses journées au milieu de la mort vous fait revoir le sens des priorités. Et la Rousse n'a jamais su résister à un charme masculin. En bonne Ancienne Eliot, la Demoiselle ne manque parfois pas de préjugés même si celle-ci s'améliore. Il suffit de repenser à la vision qu'elle avait de la Dunster avant de la rejoindre. « Et bien, tu sais ce qu'il te reste à faire avant de m'inviter à l'une de vos soirées. » s'amuse-t-elle en riant doucement. Elle ne serait pas contre une si forte concentration de testostérone et tout comme les hommes fantasment sur les soirées entre filles et leurs secrets, c'était un peu la même chose de l'autre côté finalement. Enfin, la Fière pénètre sur le territoire du Winthrop. Elle s'embrase du charme de l'endroit, décoré avec soin quand le Charmant lui demande si elle a encore faim. « Toujours. » rétorque-t-elle les yeux emplis de malice. « Je suis réputée pour être insatiable. » Et qu'elle continue sur le sous-entendu avant de prendre place sur le canapé. « Je n'ai jamais su résister aux charmes de l'italie. » ajoute-t-elle narquoise en laissant ses yeux lui envoyer comme une sorte de défi.

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Inviter une inconnue à se joindre à lui n'était pas vraiment une habitude, là ça avait surtout été le timing, le bon moment pour ça. Elle était là, superbe, charmante et ravissante et il l'avait proposé spontanément, surement parce que sa présence lui plaisait qu'il se sentait bien avec elle en sa présence. Du moins, il s'était senti bien les quelques minutes où elle lui avait adressé la parole dehors, en fumant. Alors il l'avait proposé de manière naturelle, comme ça, comme ci il la connaissait déjà et elle l'avait suivi. Peut être que pour elle c'était une habitude, il n'en avait aucune idée, il ne la connaissait pas assez pour ça, il faut bien l'avouer, mais même ci pour elle c'était habituel, ça ne le dérangeait pas. Ses paroles le font sourire, il se retrouve bien là dedans, oui, la vie est vraiment trop courte pour s'emmerder « Je suis tout à fait d'accord. Après notre mort, on aura l'éternité pour se faire chier, ou même quand on sera vieux, mais pas maintenant. » Oui, il est trop jeune à ses yeux pour se poser, avoir une relation stable et poser avec une femme. Il ne voit pas du tout comme ça ses prochaines années, il voit la fête le fun, la folie et les coups qui s'enchainent mais pas l'emmerdement et la galère d'être un petit couple poser et tranquille, ça non. Non il passe son tour et avec le sourire. Les gars qui veulent s'engager peuvent, mais pas lui. Un sourire suite à sa nouvelle remarque « J'y penserais et je t’appellerai avec hâte dans ce cas. Surtout si tu te mets en short moulant de sport. » Voyeur ? Pas du tout, il apprécie juste les belles vues et elle en est une. Jolie, mince et bien sculpter qui dirait non à un canon pareil ? Une fois arriver dans son appartement, elle le complimente, une bonne chose. Il en était fier de son appartement quartier d'Italie. Il faut bien l'avouer. Ses paroles le font sourire de nouveau. Sa voix un brin provocante l'amuse « Insatiable ? Je demande à voir ça. » elle lui annonce qu'elle n'a jamais su résister aux charmes de l'Italie, elle a bien raison. Il sort deux verres et sert une spécialité italienne dedans avant d'aller vers elle en souriant, il lui tend le verre « Goute ça et dis moi ce que tu en penses, c'est italien » Il s'installe près d'elle, sur le canapé, la toisant du regard, sourire en coin. Cette journée devrait être super finalement, vu comme elle était partie à présent pour tourner.

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