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Les rencontres peuvent se faire partout ! ft Zoïa E. Rosenbach

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Les rencontres peuvent se faire partout

8 heure du matin, pour Dante, cela aurait pu être un dimanche comme les autres, où il aurait vaguer à ses occupations : faire du sport, voir des amis, ... Cependant, ce matin là, ce fût différent. Alors qu'il rentre de son footing matinal, son portable sonne : le poste de police. Il décroche, assez perplexe, se demandant lequel de ses amis avaient finit en garde à vu la veille et pouvait l'appeler à cette heure là ? C'était assez récurant ce genre de mésaventure le dimanche matin. Il décroche alors et annonce un simple « Allo ? » La personne a l'autre bout du fil réplique au tac au tac « Dante Basini ? » « C'est moi, que ce passe t-il ? » le policier commence alors son spetch « Bonjour, c'est le Lieutenant Fanell, tu te souviens de moi ? J'aimerai que tu passes au poste de police aujourd'hui. Disons, à 10 heure ? » Dante se souvint effectivement immédiatement de ce lieutenant : il avait enquêter sur la mort de Guiseppe et le tabassage de Dante un soir où tout avait basculé. Il l'avait interrogé pendant des heures, sans relâche pour tenter de trouver ce qu'il s'était passé, sans succès. Il avait soupçonné la mafia, mais sans preuve, il ne pouvait pas avancer. « Lieutenant Fanell, bien sûr, je me souviens. Vous désirez me voir à quel sujet ? » « Soit là à 10 heure précise, et nous en parlerons. » « Très bien, je passerai. » après un "merci" courtois de la part de l'homme au bout du fil, la conversation téléphonie a prit fin.

Dix heures moins le quart, Dante quitte le quartier italien de la ville en voiture et se rend au poste. Il se doute bien de la raison mais attend de voir pour en savoir plus. Il arrive donc pile à l'heure au poste. Une fois garé, il entre et demande le lieutenant. La demoiselle a l'accueil lui sourit et prévient de son arrivé le concerner. En attendant, un des policiers vient le chercher et le place dans une des salle d'interrogatoire. Il s'installe donc sur une chaise et attend l'arriver de l'homme en se posant quelques questions. Ce n'est qu'une vingtaine de minutes plus tard que le lieutenant est venu. « Dante, content de te voir sans contusions. » Dante regarde sa montre et reprend « 10 heure pile hein ? » « Oui excuse moi, je ne suis pas en avance, j'avais des dossiers. » le jeune homme savait bien qu'il n'y avait pas de dossier, le faire attendre était fait pour tenter de le déstabiliser et le tutoyer était un moyen de le mettre en confiance, pour qu'il se confit. Le policier s'installe face à lui sur sa chaise, seul la table était entre eux. Il le fixe dans les yeux et se racle la gorge, comme pour avoir un air plus dur, sévère. « Écoute ... Guiseppe était ton ami non ? » « Oui, il l'était. » « Alors tu dois m'aider a arrêter ses meurtriers, j'ai besoin de ton aide. On sait que ta famille, les Basini, sont de la mafia. Et on sait que c'est eux qui ont fait exécuter Guiseppe. » Dante l'écoute en silence, le regardant dans les yeux, coudes sur la table, d'un calme intense. L'homme face à lui reprend donc « Dante ... Je sais que tu es dans la mafia aussi. Mais je sais que tu n'as pas le choix d'y être ... Écoute, on peut trouver un arrangement pour toi. Le procureur est prêt à ne pas te poursuivre si tu témoignes. On te fournira une nouvelle identité et tu sortiras de tout ça, c'est une chance immense. » Le jeune homme est toujours immobile face à l'agent de police, il n'envisage même pas ne serait-ce que de réfléchir à accepter la proposition. C'était exclu. Il reprend donc, avec un air serein « Je ne vois pas de quoi vous parlez Lieutenant Fanell. Ma famille est dans la production de chaussures de marque à l'italienne. Elles sont très belles et confortables, vous en désirez une paire ? C'est quoi votre pointure ? Je peux vous en avoir pour demain, un modèle superbe, le classique. C'est celui qui se vend le mieux. » Face à cette provocation et a cette non réaction de la part de son interlocuteur, le policier perd son sang froid un instant, tapant du point sur la table pour le faire taire, il ajoute en posant les photos du corps de Guiseppe face à Dante « Arrête Dante ! Regarde ce qu'ils ont fait à ton ami d'enfance ! Une balle en pleine tête et a peine reconnaissable vu la violence des coups qu'il a dû se prendre ! » il a détourné les yeux à la vue de la photo, il la connaissait déjà et cette image le hantait assez. Il se lève alors et reprend calmement « J'ai déjà fait une déposition sur la mort de Guiseppe, avec ma commotion, j'ai oublié ce qu'il s'était passé, je n'ai rien vu. Si vous avez d'autres questions, convoquez moi officiellement et on parlera en présence de mon avocat. Je connais mes droits, vous ne pouvez pas me retenir. Au revoir Lieutenant et bon dimanche. » il quitte alors la pièce, n'étant pas contraint de rester étant donné que ce n'était qu'une entrevu non officielle.

Il retourne donc dans l'entrée et va récupérer les affaires qu'il a dû laisser avant d'entrer dans la salle d'interrogatoire, à savoir, son portable et sa montre. Il se concentre alors pour la remettre tout en regardant les personnes autour de lui qui allait et venait dans ce commissariat.

 
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Le décor familier de la morgue légale reprenait chaque jour sa place et ce n'était pas pour lui déplaire. L'endroit faisait fuir le commun et même la plupart des policiers mais Zoïa en appréciait le calme et les tiroirs savamment rangés. Ici, personne ne venait perturber son travail, ni même ses tourments. La Rousse passait souvent des heures dans l'endroit si bien que son Responsable ne s'étonnait même plus de la voir jour et nuit. Le Légiste en charge des enquêtes exerçait pour plusieurs commissariats. Peu de médecins choisissaient cette spécialité pour la simple et bonne raison qu'ils aspiraient à sauver des vies. Ce n'était pas le cas de Zoïa qui s'échinait à expliquer la mort, c'était un autre combat et bien plus singulier. Si bien que son Tuteur se reposait de plus en plus sur elle et lui laissait chaque jour davantage la charge de l'endroit. Elle savait qu'un jour il serait sien. Son royaume et rien n'était plus important.

La conséquence, c'était que le peu de vie qu'elle s'autorisait à l'extérieur était démultiplié. Elle enchaînait les excès, les conquêtes, et les lits masculins. L'alternance entre rigueur et débauche lui convenait tout à fait. Ainsi, elle n'avait pas à réfléchir et surtout pas à se morfondre. La Solitaire était ainsi présente dans les murs de l'endroit depuis la veille au soir. Qu'elle travaille de nuit ou de jour, peu importait puisqu'elle se gérait désormais quasiment seule dans sa tâche et voilà, elle n'avait pas vu le temps passer. Elle suturait à présent le corps qu'elle venait d'autopsier et les conditions de la mort n'étaient ni folichonnes, ni propres mais cela faisait tout simplement partie du métier et la Dunster n'était pas du genre à s'apitoyer. La vie était cruelle, injuste et surtout courte, alors autant aller de l'avant et ne pas s’appesantir sur ce qui se révélait gênant. La suture était maintenant terminée et la jeune femme se dirigea vers le mur côté porte. Elle retira sa blouse ainsi que son masque et lunettes de protection et ses gants. Là, elle repose désormais dans la pièce d'à côté et se lave avec précision les mains. Son corps réclame ardemment un café et une cigarette. Maintenant que la chose est faite, elle réajuste ses cheveux et enfile un manteau. La journée est terminée alors que pour d'autres elle commence. Mais la vie en décalage est son choix et elle n'a de cesse de l'apprécier.

Ses escarpins la conduisent maintenant à la surface où la vie reprend ses droits. Certains hurlent, d'autres se terrent dans le silence, quelques uns rigolent et d'autres jouent des poings. La vie d'un commissariat. Les prunelles délavées balaient machinalement l'endroit, par habitude. Comme pour dire au revoir avant de passer à autre chose. Près de la porte de la salle d'interrogatoire un jeune homme remet sa montre. Zoïa sourit machinalement, pas parce qu'elle aime s'enticher de probables criminels mais simplement parce qu'il adopte la même attitude qu'elle. En retrait et dans l'observation. Et c'est comme si les figurants croisaient leurs regards pour devenir les personnages principaux de la scène. « Dure journée ? Ou matinée ? Je ne sais plus très bien, quel heure est-il s'il-vous plaît? » Puisque lui a un objet qui lui permet de se repérer dans le temps contrairement à elle. La Rousse ayant pris pour habitude de ne se reposer que sur l'horloge de son lieu de travail. Qu'elle a d'ailleurs oublié de regarder avant de prendre le large. « Vous voulez un café ? Ou bien une cigarette ? Je m'apprête à prendre les deux. » dit-elle de sa voix douce et avec un sourire sincère. Le jeune homme en question est charmant, même très très charmant, alors autant commencer la vraie vie en douceur n'est-ce pas ?

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Dante venait de passer une matinée compliquée. Parler de la mort de Guiseppe n'était jamais un sujet simple pour le jeune homme, même si il mettait un point d'honneur à ne pas montrer ses sentiments et a rester en retrait sur ce qu'il ressent, tout cela le travaillait et il ne dirait pas non à une distraction. Ce lieutenant l'a énervé avec sa proposition : balance ta famille et je te sauve. Le jeune homme était loin d'être un traitre et même si les actions de la mafia était purement et simplement mauvaise, c'était sa famille, ses proches, il ne ferait pas un trait là dessus. Il est loyal et quitte à être dans la merde, autant l'être tous ensemble. Il aurait aimé pouvoir venger la mort de Guiseppe mais il ne pouvait pas. Bien que bien placé, l'ordre venait de plus haut. Si il avait été épargné de la balle entre les deux yeux c'était tout simplement grâce à son nom de famille. Sinon, il aurait pu finir comme Guiseppe dans le fleuve après s'être vidé de son sang. Il s'était tout de même dit qu'il retrouverait celui qui a fait ça à Guiseppe et se vengerait car il était en parti responsable de ça.

Sortir de la salle d'interrogatoire était une délivrance, ne plus voir les photos ou l'entendre l'imbécile parler comme ci ils étaient les meilleurs amis du monde pour le faire craquer. Une fois dehors, il va pour remettre sa montre après avoir ranger son téléphone dans sa poche de jean et observe le spectacle du commissariat sous ses yeux. Ils ont chacun une réaction différentes mais sont tous avec le même uniforme dans le général. Un bruit de talon se fait entendre derrière lui et quand il tourne la tête, une charmante jeune femme vient à sa rencontre, lui demandant l'heure et lui adressant quelques mots. Il reprend alors « Oh oui, une matinée affreusement longue, et la vôtre ? Bien sur» Après avoir jeté un coup d'oeil rapide sur sa montre afin de lire l'heure il ajoute « Il est 13h16 pour être précis ». En lui disant ces mots, il avait quitter sa montre des yeux pour la regarder.

Il n'aurait pas cru que la conversation se poursuivrait mais elle fit un pas vers lui en lui proposant un café et une cigarette. Une proposition très tente. Il sourit et réplique donc « J'aurais plutôt penché pour un plat de pastaciutta que j'ai préparé tout à l'heure vous vous joignez à moi ? Le café et la cigarette peuvent être pris avant, après, ou même en mangeant. » sa proposition était plutôt surprenante, mais il ne refuserait pas de la compagnie, surtout une aussi charmante. Il y avait de grande chance qu'elle dise non et bien peu pour qu'elle accepte. Après tout, il venait de se rencontrer et dans un commissariat qui plus est, mais Dante avait tenté, la jeune femme n'avait pas le profil d'une psychopathe mais plutôt d'une jeune femme sympathique et drôle, alors il tentait quand même. Il agrémenta sa proposition d'un sourire, attendant le non de sa part.


 
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C'est bien ce qu'elle avait perçu mais en même temps pas besoin d'être devin pour savoir qu'en général on ne s'amusait pas lorsqu'on était de visite chez les flics. Qu'on soit la victime ou le bourreau, on ne passait pas un bon moment. Elle hôcha donc de la tête lorsqu'il lui assura avoir passé une matinée affreuse, il lui retourna la pareille et elle eut un sourire amusé. « Certains diront d'un ennui mortel mais moi je me suis bien amusée. » Elle sourit davantage parce qu'il ne connaît pas sa profession et sa petite blague ne peut -être comprise que par elle. « Mais il est affreusement tard ! » s'étonne-t-elle lorsqu'il lui annonce l'heure. Elle a cette fâcheuse tendance de ne pas voir le temps passer, si bien qu'elle ne sait même plus si elle vit la nuit ou le jour. Aussi , le visiteur imprévu lui propose-t-il un repas. La bienséance veut que normalement on n'accepte pas ce plan du premier coup, ou bien le soir après des heures à traîner en boîte mais sûrement pas en plein jour. Le truc c'est que pour Zoïa, l'heure n'a pas d'importance et que la promesse d'un plat italien lui fait gargouiller l'estomac. « Doué en cuisine ? » et qui plus est italienne. Elle rit doucement avant d'arquer un sourcil et de se pencher pour murmurer à son oreille. « Vous êtes de la mafia ? » Oh oui, un criminel italien, ça en a tout l'air. Elle fait là une blague, loin de se douter de la vérité. Mais la vérité, elle s'en moque un peu en fait. Elle ne résiste pas à des yeux comme ceux là et des bras puissants. Surtout après une nuit passée au sous-sol dans le froid. « C'est encore plus excitant. » s'amuse-t-elle en portant déjà la cigarette à sa bouche sans l'allumer. « Venez déjà prendre un peu l'air avec moi. » ajoute-t-elle la clope toujours entre ses lèvres avant de prendre la porte pour retrouver le dehors sans attendre de savoir si il la suit ou non.

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Une jolie jeune femme venait de se joindre à lui en lui adressant quelques mots. Il est vrai que quand on est dans un lieu comme celui ci, il y a peu de chance pour qu'on ait passé une très bonne mâtiné, peu importe le contexte, quand on se retrouve ici, c'est probablement parce qu'on a des ennuis. Et bien qu'il n'en ait pas vraiment puisqu'il avait pu couper court à la conversation et à son échange avec le Lieutenant de police, il aurait préféré faire bien autre chose de sa matinée qu'être ici. La jeune femme elle semblait avoir passé une agréable mâtiné mais avait l'air un peu perdu sur les horaires. Peu importe ce qu'elle faisait, elle devait être vraiment passionné par son travail pour ne pas voir le temps passer. « Ah bon ? Pourquoi ? » plutôt intrigué par sa première remarque avant d'ajouter « Le temps passe trop vite parfois ! » il lui adresse un sourire.

Il est vrai qu'en temps normal, proposer un repas a une parfaite inconnue n'était pas la chose à faire. Surtout qu'ils venaient de se rencontrer dans un commissariat. Mais cela n'avait pas empêcher l'italien de proposer en toute franchise un plat tout simplement parce qu'il avait faim. Les paroles de la jeune femme ensuite le fait sourire. Quand elle lui parle de sa mafia, il en est presque amusé, si seulement elle pouvait savoir comme elle a tapé juste, mais ça, elle était loin de s'en douter. Sa fraicheur lui donne le sourire et elle lui propose alors de venir dehors prendre l'air. Elle est audacieuse et ça, c'est une chose qui lui plait indéniablement chez une femme. Elle semblait être ce genre de femme avec du caractère qui tente. Elle sort même sans vraiment vérifier si il la suit ou non et contre toute attente, il la suit. Il sort une cigarette de son paquet et lui demande alors une fois dehors « Auriez vous du feu ? Le mien doit être dans ma voiture. Vous avez abandonné l'idée du café finalement ? » il lui adresse un nouveau sourire charmeur s'adossant au mur du commissariat en la regardant


 
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Sa blague ne lui avait pas échappé et elle haussa les épaules à sa question. Autant jouer franc jeu de toute façon, elle n'avait rien à perdre et elle n'était pas du genre à s'encombrer de ce qu'on pouvait penser d'elle. C'est d'une certaine assurance que s'allume ses prunelles alors qu'elle rétorque en le fixant. « Je suis en internat pour devenir médecin légiste. » avoue-t-elle avec une moue narquoise. « Et vous, à part mafioso ? » Voleur professionnel ? Victime égarée ? Bourreau des cœurs ? Va savoir. En tout cas le temps était vite passé certes et il ne semblait pas prêt de s'arrêter. La Rousse décide qu'il est temps de prendre l'air frais, et elle sort ainsi s'en prendre garde à la réponse en mouvement de son compagnon improvisé. Elle se retourne et constate avec plaisir qu'il l'a suivit. Elle n'aurait pas trop apprécié l'inverse mais s'y serait fait. Demoiselle est indépendante et tient à le rester. Sa main fouille hâtivement dans sa poche alors qu'elle y récupère son briquet. Elle s'approche ainsi de lui et entoure sa cigarette de ses mains avant de l'embraser. Elle apprécie cette petite maîtrise de la situation. Ce petit jeu qui s'installe entre eux doucement. Puis, doucement, elle allume son propre brin de poison. Elle tire ainsi une première bouffée et lève les lèvres à l'azur du ciel pour s'en décharger, trop heureuse de se noyer de fumée. Son regard se repose alors sur le clair des prunelles masculines. « Le café attendra la fin des pastaciutta , n'est-ce pas ? » Elle amorce un nouveau sourire. « Le café italien est le meilleur n'est-ce pas ? » Une nouvelle fois, elle emplit ses poumons de noirceur avant de reprendre. « Au fait, moi c'est Zoïa. » Elle tend sa main frêle et tatouée à la rencontre de la sienne tout en penchant sa tête de côté. Comme quoi les rencontres peuvent avoir lieu partout.

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La jolie jeune femme lui annonce qu'elle est médecin légiste. Il en est quelques peu surpris, mais après tout, il faut de tout pour faire un monde. Expliquer la mort des gens, c'est tout aussi important que n'importe quel autre métier. C'est pas très glamour d'être en présence de cadavre, mais au final, elle n'a rien à voir avec le stéréotype du médecin légiste qu'on peut avoir à la Monsieur Palmer dans NCIS. Elle ne fait pas asociale ou empoté. Son style est tout à fait féminin, elle semble des plus charmante. Il lui sourit « On doit souvent vous dire qu'on ne vous imagine pas du tout médecin légiste. Mais ça doit être intéressant comme métier. » sa remarque sur le fait qu'on ne l'imagine pas dans ce monde, elle doit l'entendre souvent, mais Dante était du genre franc jeu. Il sourit un peu plus, amusé par sa question, il annonce « A part mafioso ? Je suis étudiant en relations internationales pour reprendre l'entreprise de ma famille de mafieu. » un nouveau sourire et la jeune femme semble avoir besoin d'air, elle sort dehors.

Dante la suit, il ne compte pas laisser partir cette charmante compagnie aussi vite. La jeune femme semblait des plus intelligentes et agréable. Il sort sa cigarette et lui demande un briquet, elle s'approche de lui et allume la mèche. Il tire une longue latte sur ce bâtonnet empoisonné tout en lui adressant un regard charmeur. Ce petit jeu entre eux est plaisant. Ses yeux bleus azure ne la quitte pas, jusqu'à ce qu'elle pose le sien sur lui. Ils se plongent dans son regard alors que la fumée s'échappe d'entre les lèvres du jeune homme. « Je pense effectivement qu'il peut attendre. » elle amorce un sourire et un se dessine aussi sur les lèvres du jeune homme « Le meilleur de tous. Un divin breuvage. » elle reprend une nouvelle taffe sur sa cigarette et il en fait de même, remplissant ses poumons du poison du tabac. Elle se présente : Zoïa, un prénom jolie et original à la fois. Une fois la fumée évaporé d'entre ses lèvres et la cigarette coincé dans une main, il serre celle de la jeune femme en lui adressant son sourire des plus charmeur avant d'ajouter « Enchanté Zoïa, quel joli prénom. Moi c'est Dante. » Il serre doucement sa main, ravi de cette rencontre. Même dans l'endroit le plus insolite, il est possible de rencontrer des gens qui peuvent peut être entrer dans sa vie.


 
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Sa future profession faisait davantage peur qu'autre chose. « Oui très. » répond-t-elle poliment. « Même si les gens trouvent cette fascination pour la mort un peu étrange. » Elle a l'habitude de faire peur aux gens c'est ainsi mais le jeune homme en face de lui ne voit pas le côté le plus désagréable de sa personne. Elle l'écoute ensuite lui dire qu'il est étudiant lui aussi. « Pas mal. » Un petit sourire se dessine sur ses lèvres. « Harvard aussi alors ? » Parce qu'il n'y a pas non plus dix milles universités dans le coin et c'est assez drôle de voir qu'ils se cotoient dans un comissariat alors que le campus aurait été bien plus probable.

Elle se livre ensuite à un petit jeu du chat et de la souris et docile l'italien la suit. Finalement, elle se présente et lui fait de même. « Merci. Dante un prénom lié à l'enfer. » Pas mal pour une fille qui vit parmi les morts, à croire que ces deux là se sont bien trouvés. Elle serre la main qu'il lui tend et en apprécie le contact franc et masculin. A vraie dire, elle voudrait bien que ses mains s'occupent à toute autre chose. « Et alors serais-je prête à me damner pour votre cuisine Dante ? » Elle rit doucement tout en tirant de nouveau sur sa cigarette. Elle le détaille quelques instants et reprend comme si de rien n'était « Eliot ? » Elle l'observe encore quelques secondes et reprend. « Winthrop ? J'hésite entre les deux. » A moins qu'il n'appartienne à aucune confrérie, ce qui est une possibilité. Mais elle aime bien deviner un peu à ce jeu. Les deux terminent ainsi leur cigarette et elle demande « Vous avez une voiture ou on doit prendre un taxi ? » demande-t-elle avec un sourire léger. Oui Zoïa n'a pas froid aux yeux, et elle n'est pas du genre à s'encombrer des convenances, aussi ce qu'elle désire elle l'obtient sans détour.

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Visiblement, elle n'a pas froid aux yeux et c'est un plaisir. Les femmes ont parfois tendances à trop jouer les prudes et Dante préfère les personnes franches et audacieuses et visiblement c'est ce qu'elle était. Rien que son métier : il cassait les codes et montrait qu'elle n'était pas comme tout le monde. Dante ne peut que être admiratif des personnes avec un métier comme le sien, qui sortent de l'ordinaire. Il en faut de toute façon. Il sourit à la suite de ses paroles, les gens doivent souvent être un peu froid face à ce genre de profession mais Dante n'y voit aucune gêne. « Les gens manquent malheureusement parfois d'ouverture d'esprit. Mais des gens qui font un métier comme le tien, faut pas croire, on en a besoin. » Il aurait même pu ajouter une phrase genre : et si toutes les médecins légistes ont ton physique, perso, je signe directe, mais c'est probablement son côté classe qui l'en empêche, alors il sourit. Quand elle demande si il est de Harvard, il acquiesce. « Exactement ! » et c'est quand même assez drôle de voir que plutôt que de se rencontrer dans la fac, ils se rencontrent dans un commissariat.

Elle joue, elle veut voir s'il la suit et c'est le cas. Il le fait. Il va dehors à ses côtés et quand elle allume sa clope, il lui adresse un sourire des plus charmeur. Elle lui plait. Quand il lui serre la main, il imagine un tout autre contact physique entre eux, et ça ne serait pas aussi chaste. Elle lui indique que son prénom est un prénom de l'enfer : pas faux. Il en sourit, la situation est d'autant plus drôle qu'elle côtoie des morts, c'est son métier. Quand elle le questionne pour sa cuisine, il en sourit en coin et ajoute « J'espère. J'espère même que vous serrez prête à vous damner pour plus. » Un sourire charmeur s'affiche sur son visage. Il lui fait passer un message, si elle veut plus, il est prêt. Elle lui demande si il est Eliot ou Winthrop, elle a bien réfléchit, il pourrait être l'un ou l'autre. Enfin vu l'activité mafieuse de sa mafieuse, plus Winthrop quand même. Il ajoute alors « Winthrop, mais j'aurais pu tout autant être Eliot. » En vue de la cigarette, de son métier hors normes et du fait qu'elle parle à un inconnu et qu'elle joue un peu avec lui, il demande alors « Et vous, vous êtes une Mather non ? » en tout cas si elle ne l'était pas, elle devrait, elle y serait à sa place à ses yeux. Avec un sourire léger elle le questionne : taxis ou voiture. Il lui rend son sourire et réplique « Je suis garé juste là. » Il désigne la mercedes de la main alors qu'il finit sa cigarette et la jette par terre avant de l'écraser et va vers la voiture. Il la bipe et lui ouvre la portière passager avant de la regarder, sourire en coin « Vous venez ? »


 
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Il comprenait le choix de son métier et c'était tant mieux. Le principal étant qu'il n'en soit pas effrayé. Le reste c'était son choix et ça lui appartenait mais le fait qu'il l'approuve lui faisait gagner quelques points, il fallait l'avouer. Maintenant qu'ils étaient à l'extérieur, Zoïa sentait son corps s'électriser davantage au fur et à mesure de leur échanger. Quitter son contexte professionnel l'aidait à adopter une attitude bien plus volage. Car la jeune femme était une travailleuse rigoureuse et appliquée, ce qui exigeait un lâcher-prise sortie de ce contexte auquel elle aimait s'adonner. Le sourire charmeur de Dante s'accroche au sien, son regard ne quitte pas l'azur des prunelles masculines. « Je me suis damnée pour bien moins que ça et quitte à être condamnée aux enfers... » Ses dents viennent marteler sa lèvre, mutine alors qu'elle ne s'amuse qu'encore plus de le voir s'adonner aux spéculations sur sa possible confrérie. Quant à elle, elle ne s'était pas trompée sur son compte. Ses sourcils se haussent. « C'est un commun, j'ai l'air si dépravée ? » Elle s'approche doucement et le scrute de plus près, joueuse. « Détrompe-toi, je ne le suis qu'avec les beaux bruns. » Et que je m'accroche au tutoiement aussi légèrement qu'un oiseau sur la branche qu'il vient d'adopter. Elle hausse finalement les épaules, un sourire toujours aux lèvres avant d'aspirer une nouvelle bouffée de nicotine. « Je fus Eliot. » Et j'ai bien changé depuis, mais ce sont mes racines sois en averti. « Et je suis maintenant Dunster. » Une travailleuse acharnée, appliquée et surtout intelligente qui ne se destine qu'à la réussite et l'Elite, rien d'autre. Elle finit également sa cigarette alors qu'il se dirige vers la mercedes garée non loin. Son entreprise ne l'excite que davantage, et le genre de folie qui s'empare d'elle est de celles auxquelles, elle aime céder. Elle monte donc dans la voiture et le laisse refermer la portière puis prendre place au volant. Elle profite du confort de la berline pour réajuster sa crinière et s'adosser confortablement au fauteuil. « J'espère bien avoir un peu de plaisir avant la damnation aux enfers de la mafia. » s'amuse-t-elle en lui lançant un regard provocant. Ses intentions sont claires, cela tombe bien puisque les siennes le sont également.

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