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Colony = Kind of anti hero

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Je trouve le nom du ship parfait Colony = Kind of anti hero 387742012

Dans deux jours, j'allais faire mon échographie. Dans deux jours, je saurai si j'étais vraiment maman ou si j'étais une grossesse nerveuse. Et ma vie était vraiment naze. Je me traînais en fait. J'arrêtais pas de songer à mes antécédents qui faisaient que j'avais un utérus qui craignait à fond. Mais si j'arrêtais de penser à ça, je pensais forcément à autre chose et je désespérais d'être rentrée des seychelles. C'était tellement plus simple là bas, uniquement à être sur la plage, sous le soleil, à bronzer tranquillement avec son meilleur ami. En ce moment, je pensais énormément à mes parents décédés. J'aimerais tellement qu'ils soient présents, en vie, près de moi, me donnant des conseils pour ma vie. Je pleurais aussi. J'essayais de tout canaliser honnêtement mais c'était pas tous les soirs simples, alors je profitais des temps à l'appart où Wade n'était pas présent pour me lâcher. Puis après j'allais mieux. Aujourd'hui, je terminais plus tôt étant donné que j'avais fini tout mon travail. Eh oui, j'ai ptete pas mal de congés posés ses derniers temps et ptete même que j'étais pas souvent là, mais au moins j'étais efficace et essentielle pour l'entreprise, je suis rentable m'voyez. J'avais pas pris le bus pour tout le trajet aujourd'hui, j'avais envie de marcher maintenant qu'il y avait beaucoup moins de neige dans les rues après la tempête de neige de ces dernières semaines. Mais j'étais trop couverte et j'avais pas assez mangé ces derniers temps. J'avais d'un coup froid puis chaud et je sentais que je devenais blâme. Ma vision commençait à devenir un peu floutée et je finis par tomber par terre près d'un mur, contre lequel j'essayais de me placer.

@COLE S.-WILDINGHAM
Je sais pas si ça va Colony = Kind of anti hero 1616978029
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J'avoue il est parfait ce nom Colony = Kind of anti hero 3997999705 Ton intro aussi, c'est nickel ^^

Posté non loin des locaux de Tribune Company, je scrutais depuis le café les allers venus des employés devant ma tasse fumante. Et finalement, la silhouette de celle que j’attendais ne tarda pas à apparaitre, la porte du bâtiment s’ouvrit et la jeune femme sortit emmitouflée dans son manteaux. Je délaissai mon thé, qui de toute façon était infâme, à croire que les américains ne savaient vraiment pas comment le préparer, en tout cas pour satisfaire mes papilles anglaises exigeantes. Bref je réglai, me levai et quittai le café pour suivre la demoiselle à une distance raisonnable. J’avais un plan, que j’avais déjà commencé à mettre en place et dont les premières étapes s’étaient passées sans embûches. Mais pour la suite il me fallait trouver un moyen d’aborder la petite amie de Wade et l’amadouer pour parvenir à remplir la deuxième partie de mon projet –pourrissage de vie du bâtard-. Je suivais Briony donc, en soufflant sur mes mains pour réchauffer le bout de mes doigts, cherchant mentalement la meilleure tactique d’approche lorsque la jeune femme se mit à chanceler et m’offra sur un plateau la raison parfaire pour l’aborder. Elle perdit l’équilibre, et je me précipitais vers elle pour amortir un peu sa chute alors qu’elle tombait. Je l’aidais à s’adosser au mur avec précaution, inquiet quand même, parce que j’avais besoin d’elle pour mon petit plan hein, mais aussi ravi de cette occasion. Je restais accroupi près d'elle. « Mademoiselle ça va ? Vous m’entendez ? » demandai-je doucement, ma main se glissant dans la sienne. « Serrez mes doigts si vous m’entendez. » Et mon autre main se plaça sur son visage lui donnant de petites tapes pour la stimuler un peu. Elle était pas épaisse, elle était peut être en train de faire un régime ou un truc dans le genre et elle avait surement fait un hypo… « Vous n'avez pas mangé depuis longtemps ? » Je fouillai ensuite dans ma poche en relâchant ses doigts pour en sortir un paquet de mentos. «  Ca devrait vous re-sucrer. » conseillai-je en lui tendant une sucrerie.
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J'étais pas sujette aux malaises vagaux en général. Etant donné que j'étais une ancienne sportive, à la retraite désormais depuis quasiment dix ans, doux jésus que le temps passe vite, j'avais toujours eu un corps qui résistait bien. Mais je sais pas. Peut être qu'étant donné que les facteurs température, émotions, stress, manque de sommeil, de nourriture etc ça avait fait un trop mauvais mélange pour moi. C'est un échec total. Je sentais ma vision défaillir et mon corps suivre avec. Je m'attendais à m'écraser au sol lourdement mais des mains réussirent à contrôler ma chute. Je sais pas qui c'était, mais il m'évitait d'aller à l'hosto, c'est déjà ça de pris n'est-ce pas ahem. « Mademoiselle ça va ? Vous m’entendez ? » Je sentais que je partais, que j'avais chaud, que je tombais dans les pommes. Un vrai malaise. Je fronçais des sourcils, avant de finalement acquiescer doucement. Il avait l'air inquiet si il me tenait la main comme ça. « Serrez mes doigts si vous m’entendez. » HEEEY d'où est-ce qu'il me tape lui ? Mais au moins, ça avait l'avantage de me faire réagir. Mais faut pas déconner si il continue ça va pas le faire. Je vais m'énerver... en mode larve au sol ahaha. J'essayais de serrer mais ça ne devait pas avoir trop l'effet escompté. « Vous n'avez pas mangé depuis longtemps ? » J'passais une main sur mon front, en sueur, me mettant un peu plus assise. «  Ca devrait vous re-sucrer. » Je prenais son bonbon et les effets mirent un peu de temps à venir. Fallait du temps pour que je récupère. Merci beaucoup. J'étais vraiment reconnaissante envers ce monsieur qui popupait de nulle par mais qui m'évitait de faire un malaise sur la longueur. J'habite juste à côté, vous inquiétez pas pour moi, je vais rentrer. lui dis-je doucement. Je sortis une bouteille d'eau de mon sac et j'en bus quelques gorgées. Un soda aurait été mieux mais je bannissais ça de mon quotidien malheureusement. Attention.. dis-je doucement en me relevant avec précaution, voyant toujours ces satanés points noirs.
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Forcément, vu sa silhouette fluette, j’imaginais je ne sais quel régime à la mode, un jeûne qui l’aurait fait s’effondrer ainsi en pleine rue. Sauf que j’avais besoin d’elle, consciente et en pleine possession de ses moyens pour la suite du plan. Elle était pâlotte et je lui fis avaler une sucrerie, un bonbon que j’avais en poche parce que je ne me trimballais pas avec des pierres de sucre sur moi. Ca mit plusieurs minutes mais cela sembla avoir son petit effet. Elle voulait rentrer chez elle, elle n’habitait pas loin. Je sais. Ha non, ça, je ne devais pas le dire. Elle but quelques gorgées d’eau avant de commencer à se relever. Je me remis rapidement debout et attrapai sa main pour l’aider à se hisser sur ses jambes avant de glisser une main autour de sa taille pour la soutenir, mon autre main tenant son bras. « Ca a l’air de chanceler encore un peu quand même… » commentai-je en la voyant toujours aussi faible. « Je vais vous raccompagner jusqu’à votre porche histoire d'être sûr que ça va… » Et j’escomptais bien une invitation à entrer chez elle une fois qu’on serait sur le pas de la porte, histoire de pouvoir achever ma mission. « Il est 17h30, mais bon faut que je demande quand même, vous n’avez pas consommé d’alcool mademoiselle ? » Là mon ton se voulait clairement un peu taquin. Elle n’avait pas l’air bourrée, juste complètement HS.
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C'était étrange que ce monsieur vienne m'aider et mette autant de coeur à l'ouvrage. Je veux dire.. come on, on est des américains, le temps c'est de l'argent. Et vu son look, il devait être un genre de cadre ou qu'importe, il avait pas de temps à perdre avec une fille comme moi qui faisait des malaises.. à moins que... Je me sentis une nouvelle fois tomber, m'attrapant de justesse au niveau du mur. Evidemment que des images de viol me venaient en tête. Je pouvais pas les mettre de côté alors que ce mec s'occupait de moi, dans un côté de la rue comme ça. Je me sentais pas bien d'un coup, surtout que je pourrais pas me défendre étant donné que je me sentais faible. « Ca a l’air de chanceler encore un peu quand même… » Ouip, en effet. Je cherchais ma bombe à poivre dans mes poches, la sortant pour la garder dans ma main, jetant un coup d'oeil à ce mec. Il me rappelait quelqu'un, il avait des traits familiers mais j'ignorais si c'était parce qu'il était parent avec un de mes proches ou si c'était parce qu'il avait été une fois un de mes agresseurs.. comme en octobre dernier. J'allais me mettre à hurler et il devra faire face à une peur panique si il continue de me toucher de cette manière là. « Je vais vous raccompagner jusqu’à votre porche histoire d'être sûr que ça va… » Deux hypothèses: soit j'hurlais, soit j'essayais d'être raisonnable et de me dire que oui, j'avais besoin d'aide pour monter jusqu'à chez moi. Et oui, je pouvais pas faire sans, je me voyais pas ramper jusqu'à l'appartement ou rester dans la rue alors qu'il faisait froid. Je savais pas quoi faire. « Il est 17h30, mais bon faut que je demande quand même, vous n’avez pas consommé d’alcool mademoiselle ? » Je lâchais un petit rire nerveux. Non, vous inquiétez pas. On entrait dans l'immeuble et on prenait les escaliers. Hors de question que je reste enfermée avec un gars dans un ascenseur. Je lui donnais aucune explication, il avait pas à connaître ma vie privée. Ca fait haut je suis désolée. dis-je avec une petite moue. On arrivait finalement devant chez moi et je sortis la clé de mon appartement. Est-ce que vous voulez boire quelque chose après ce dur labeur ? C'était la moindre des choses. Il venait à moitié de me porter. PAR CONTRE. Faut pas faire attention aux affaires qui peuvent traîner, mon copain n'est pas forcément le plus organisé du monde. VOILA. Il sait que j'ai un mec, il sait qu'il habite ici, il sait qu'il va bientôt rentrer. Donc pas d'agressions merci bien. Au fait, je m'appelle Briony, je ne me suis même pas présentée. Et maintenant, toi, tu me dis ton identité.
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Je la sentis qui se raidissait un peu à mesure qu’on avançait vers son appart. Ok, Cole, mon grand, il va falloir arrêter ton rôle de saint Bernard et te dévoiler un peu… Voilà ce que je me disais. Je tentais une petite vanne sur ses tendances alcooliques, mais je n’eus le droit qu’à un petit rire nerveux de la brune. Heureusement, on arriva rapidement devant son immeuble et on se dirigea vers… les escaliers ? Mon demi frère avait quand même les moyens désormais, à présent qu’il nous avait volé à Vic et moi notre part d’héritage. Bref, il aurait quand même pu louer un appartement avec un standing supérieur, dont l’immeuble posséderait un ascenseur, la moindre des choses quoi. Surtout qu’il n’habitait pas au rez de chaussée ou au premier étage avec sa chère et tendre. « C’est pas grave… » J’avais envie de dire que ce n’était pas moi qui venais de faire un malaise et de me taper les marches mais non, je retins cette réflexion. La demoiselle me proposa, poliment, et gentiment d’entrer boire quelque chose, et je remarquais à nouveau qu’elle était crispée, encore plus quand elle ajouta, l’air de rien, que des affaires de son petit ami devait traîner ça et là. Est-ce qu’elle s’imaginait que je voulais la draguer ou ? Et réalisant que mes mains et ma façon de la soutenir avaient peut être était la source de son malaise, je relâchai mon emprise. A présent qu’on était arrivés devant sa porte et qu’elle avait l’air mieux, je fis même un petit pas en arrière histoire de montrer ma bonne foi. Et comme elle se présentait, je n’avais plus d’autre choix que d’abattre la carte –honnêteté- « Je sais. » Que tu t’appelles Briony. « Je sais qui tu es Briony… Je voulais pas te le dire tout à l'heure pour ne pas te mettre mal à l’aise. Je m’appelle Cole. Cole Smythe-Wildingham. » Je marquais une petite pause et pris un air un peu peiné pour poursuivre. « Je suis le frère de Wade. » Ca elle le savait surement déjà. Le mather lui avait probablement dressé un portrait terrible de ma petite personne, me diabolisant à l’excès. Mais je m’appliquais à ne rien laisser entrevoir de ma rancœur, prenant sur moi pour parler du garçon en tant que mon –frère- plutôt qu’en tant que –bâtard de mon père- terme que j’employais nettement plus facilement en temps normal. « Bref, tu comprendras qu’il vaut mieux pas que tu me paies à boire, encore moins si Wade est ici… » Ma mine triste avait clairement pour but de l’amadouer, d’essayer de lui faire avaler que j’étais triste de cette situation, de cette mésentente et de ses conflits entre nous. Allez, essayons de penser aux dollars paternels que ce guignol avait empoché, ça me donnerait presqu’envie de pleurer tiens…
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J'en avais tellement rien à foutre de la faire suer dans les escaliers, mais absolument rien. Parce qu'avec mon passé, mes agressions, mon viol, ma vie juste, il était hors de question que je sois avec un mec que je ne connaissais pas et qui me tenait pas les hanches dans un espace aussi clos. Ah ça oui. Surtout qu'il avait l'air tactile, même si je suppose que ça partait d'une bonne volonté à la base. Mais non. Ca me faisait flipper et l'adrénaline n'aidait en rien à être courageuse étant donné que je venais de faire un malaise, que j'étais toujours faiblarde. Super Brioche ah oui c'est moi. On arrivait au niveau du pallier, et je regrettais presque de ne pas avoir pris l'ascenseur en face. Je finis par me présenter brièvement. « Je sais. » Je fronçais des sourcils, fixant alors l'inconnu face à moi, ne comprenant pas ce qu'il voulait dire par "je sais", ah moins que c'était genre un psychopathe. « Je sais qui tu es Briony… Je voulais pas te le dire tout à l'heure pour ne pas te mettre mal à l’aise. Je m’appelle Cole. Cole Smythe-Wildingham. » Ah. Trou noir dans ma tête. Gros blanc. Ce nom.. ce nom je le connaissais. Ce prénom aussi. Les deux ensemble encore plus. « Je suis le frère de Wade. » Hypothèse confirmée. Il me connaissait. Il savait qui j'étais, il avait donc fait des recherches sur moi. Il venait de me récupérer d'un malaise, il m'avait forcément suivi, je ne croyais absolument pas aux coïncidences pour le coup. Ca me semblait trop évident qu'il y avait des corrélations. « Bref, tu comprendras qu’il vaut mieux pas que tu me paies à boire, encore moins si Wade est ici… » Des Eliots, j'en avais connu. Un tas même, je savais comment il fonctionnait. Pensée pour toi Andy. J'ai appris du plus grand. Sauf que là, je comprenais pas où il voulait en venir. C'était quoi l'intérêt de se présenter sous sa vraie identité ? Je veux dire si il voulait être "mon ami" autant donner un faux nom jusqu'à que je m'attache non ? J'arrivais pas à percevoir sa logique. Je pense qu'en effet, c'est mieux comme ça. finis-je par répliquer froidement. Qu'est-ce que tu lui veux ? Etre sur la défensive, c'était presque normal maintenant. N'importe quelle personne l'aurait été. Mais être sur la défensive c'était surtout inné pour moi, alors ce mec d'un coup, il passait de gentil samaritain à connard de base. J'avais entendu des choses sur lui de la part de mon copain. Et ça me donnait pas envie de le connaître. M'bon, après, Wade détestait Andy alors que je l'avais aimé, je suppose qu'il faut faire la part des choses. Merci pour l'aide toute à l'heure, mais je pense que c'est mieux qu'on en reste là. Parce que c'est creepy.
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 Allez. Elan de franchise, mélangé à jeu d’acteur de frère blessé, pensant fortement à mon héritage volé pour donner à mon air triste un air crédible, ce fut d’abord au scepticisme de la demoiselle que j’eus le droit. Sourcils froncés, elle m’observa dubitative. Je devais mettre la gomme pour rendre tout ce petit discours plus vrai surement. Parce qu’elle acquiesça, approuvant que c’était surement mieux que je n’entre pas. L’objet de mon futur méfait toujours en poche, je masquais ma déception. Au pire si ce n’était pas aujourd’hui, ça serait un autre jour. Mais j’étais à quelques mètres de pouvoir réaliser mon plan, c’était frustrant. Sauf que là où elle aurait pu me dire –salut, aurevoir, byebye- elle reprit la parole pour me questionner sur ce que je voulais à Wade. Bon ma mine tristoune avait du convaincre un peu, au moins assez pour piquer sa curiosité. « J’ai appris pour leurs magouilles l’un contre l’autre avec Vic. Ca me rend triste de voir ça… J’suis sur que papa serait triste de voir ça. La famille c’est tout ce qui compte au final. » J’allais vomir. J’espérais que mon dégoût ne transparaissait pas et que la tristesse sincère que je m’appliquais à afficher la toucherait. J’avais étudié mon sujet avant de me pointer, je savais que la brune avait perdu quasi toute sa famille dans une fuite de gaz, peut être qu’ainsi, l’argument familial ferait donc mouche. « Et de rien pour tout à l’heure ? T’es sûre que ça va aller ? T’es encore pâle tu veux pas que je t’appelle un doc ? » Je baissais pas complètement les bras voilà. Mais je ne devais pas non plus me montrer trop insistant et surtout, il fallait que je vérifie : « Wade est chez vous là ? Pour s’occuper de toi ? » Parce que la présence du brun à l’intérieur me ferait fuir pour le coup, ça me mettrait des bâtons dans le roue si il était là, donc ça serait direct remis à plus tard pour la suite.
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 C'était... étrange. Mes pensées partaient dans tous les sens. Mais y avait de quoi. Y avait tellement d’interprétation possible du comportement du jeune homme face à moi. Wade m'avait tellement vendu son frère comme un monstre et un connard que j'avais dû mal à me détacher de cette description. Pourtant, il avait l'air... gentil. Ouai, mais il savait qui j'étais. En fait, c'était ça qui me prenait la tête. Si encore, on avait découvert par hasard qui on était, okay, ça aurait pu passer. Mais là, il savait qui j'étais, il était venu me secourir, parce que j'étais Briony vous voyez le délire. J'étais pas rassurée, du tout. « J’ai appris pour leurs magouilles l’un contre l’autre avec Vic. Ca me rend triste de voir ça… J’suis sur que papa serait triste de voir ça. La famille c’est tout ce qui compte au final. » Oh. Alors il était du genre "famille" ? Ca me touchait qu'il dise ça, étant donné que la famille pour moi, c'était essentiel et que j'souhaite à Wade de connaître la joie que je ne peux pu connaître avec les dîners en famille nombreuse. Mais mon copain m'avait aussi parlé de son père, un connard non, qu'il n'avait jamais cherché contact avec lui ? Je suis d'accord.. dis-je quand même, pas tout à fait convaincue mais sa tristesse était évidente. « Et de rien pour tout à l’heure ? T’es sûre que ça va aller ? T’es encore pâle tu veux pas que je t’appelle un doc ? » Je faisais non de la tête. Ca va aller, je vais me coucher. Ca me fera certainement le plus grand bien. « Wade est chez vous là ? Pour s’occuper de toi ? » Je reculais un peu pour voir si les chaussures de Wade était dans l'entrée avant de revenir face à Cole. Absent. Tu veux le rencontrer ? Laisses moi voir ce que tes yeux vont dire pour toi.
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 J’avais donc touché la corde sensible avec le thème famille puisque Briony acquiesça et me parut touchée. Mais forcément, comme Wade avait du réussir son travail de lobbying en lui martelant à tout va quel connard j’étais, il en faudrait surement plus que mon petit speech sur la famille pour qu'elle se laisse convaincre par ma bonne foi. Je ne renonçais néanmoins pas complètement à l’exécution de mon plan, me servant de sa santé fragile comme prétexte pour faire trainer un peu cet échange sur son porche. Elle me rassura, elle allait se coucher. Et je saisis alors l’occasion pour la questionner sur son cher et tendre. Si il était là, c’était peine perdue, autant remettre à plus tard la suite que j’avais en tête. Elle vérifia je ne sais quoi avant de planter son regard dans le mien pour me proposer de le rencontrer. Joli Briony. C’était un test clairement. Et l’occasion pour moi de commencer à faire germer une idée toute autre dans son esprit : « En fait, oui, j’aimerais beaucoup… Mais je ne pense pas que ça soit une bonne idée. L’autre jour, sur le campus, j’ai voulu l’aborder quand il était en pleine conversation avec cette fille là, l’anglaise qui s’occupe de la Cabot House… » Maëlys, mais ma description plutôt vague fera l’affaire. Je n’étais pas suffisamment renseigné sur mon interlocutrice pour connaître tous ses traits de caractère et savoir si l’idée de son mec discutant avec son ex copine suffirait à faire naitre le doute et la jalousie dans sa tête.  Mais je tentais le coup. « J’ai eu le sentiment de déranger, vois-tu… Alors je ne voudrais pas m’imposer encore, et risquer de vous déranger dans votre vie à tous les deux… » fis-je mon regard se portant alors sur la porte avec un air grave.  «Mon frère a le droit à son espace... » C'était normal que de l'appeller mon frère me file la gerbe ? Ne laissant rien entrevoir de mon dégoût, c'est avec un petit sourire que mes yeux se reportèrent sur mon interlocutrice : «Ne lui dis pas que tu m'as vu, je pense que ça vaut mieux... Il ne me porte vraiment pas dans son coeur. »
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