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Business is business Ft. Swan E. Keynes

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Dante D. Basini & Swan E. Keynes

   
   

Dante avait eu une journée bien rempli. Il s'était levé tôt pour aller courir. Le jeune homme mettait un point d'honneur a avoir une bonne hygiène de vie pour trois raisons. Tout d'abord, une bonne hygiène de vie évite les problèmes de santé liées à une mauvaise alimentation ou à un surpoids. Deuxièmement, un corps saint dans un esprit permet de se sentir mieux dans sa peau et d'avoir plus de confiance en soit. Et enfin, une bonne hygiène de vie lui permettait d'avoir le corps musclé et svelte et pour séduire les demoiselles, c'est quand même mieux de bien présenter et d'avoir le corps bien formé. Les femmes sont comme les hommes, elle remarque aussi le physique et une personne de négligé a bien moins de chance de charmer.

Après son footing matinal, il avait eu cours et s'était rendu à la bibliothèque étudier et avait rejoint la salle de sport pour faire de la musculation. C'est sur les coups de 19h30 qu'il a rejoint son appartement. Il a mangé tranquillement devant la rediffusion d'un match de football américain passer il y a peu.

C'est vers 21 heure qu'il a reçu un message sur son téléphone, à carte prépayer qu'il change toutes les semaines, de la part du bras droit de son père « Dante, ta petite Swan livre ce soir, du coté de Charles river, rive droite à 22 heure. Va vérifier qu'elle fait bien le boulot. On se voit demain. » Il a répondu un simple « Ok. » et mémorise le point de rendez-vous.

21 heure 47, Dante est arrivé et est resté dans sa voiture, garé sur un parking à 50 mètres du point de rendez-vous, dans sa voiture de la marque Mercedes à vitre teintées, attendant l'arrivé de Swan qui en vu de l'emplacement de son logement, elle se garera à coup sûr sur ce parking. Il soupire d'impatience en se disant qu'il avait encore 13 minutes environs à attendre avant l'échange.
   
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Depuis quelques jours je faisais vraiment partie de la mafia familiale. Je ne sais pas si je devais me réjouir ou non mais tout ce que je savais c'est que je préférais ça à me cacher pendant encore des mois. Je n'avais pas un boulot compliqué je devais juste refiler de la came à des mecs et ramenez l'argent à mon oncle, le plus difficile était de dissimuler la drogue à l'appartement. J'avais tellement peur que Grace ou Maxime tombent dessus mais il y avait quand même peu de risque pour qu'ils fouillent tous les deux dans mon tiroir à sous vêtements.

Ce soir je devais aller sur Charles Rivers pour vendre à un client fidèle qui me prenait de la coke depuis déjà quelques jours et j'attendrais un peu histoire de voir si je pouvais en vendre un peu plus. Je ne voulais pas réfléchir au fait que depuis septembre je m'étais calmée niveau connerie, que je ne prenais plus de drogue, je considérais mon travail de dealeuse comme une chance enfait. Car oui j'aurais bien pu laisser ma vie après cette soirée où je m'étais "mariée" avec Dante devant une grande partie de ma famille italienne. J'sais pas ce qui m'étais passé par la tête, je n'avais pas écouté le bel italien qui m'ordonnait de ne pas prendre ça à la rigolade. Mais bon quand je suis bourrée je ne fais attention au danger préférant profiter du moment présent.

Il est 21h50 quand j'arrive sur les lieux, je suis en avance mais je préfère car il pourrait y avoir des clients potentiels. Je suis adossée au mur d'un immeuble de la rue et fume ma cigarette. Il fait froid ce soir alors j'ai sortit mon gros manteau et ai mis ma capuche ornée de fourrure. Mon client arrive quelques minutes après, lui aussi est en avance. Salut. dis je en lui serrant la main pour lui donner son gros sachet de poudre blanche alors qu'il me glisse l'argent dans ma poche. C'est toujours la même que d'habitude ? Je m'éloigne un peu de lui et quand je regarde derrière son épaule j'aperçois une voiture familière. Oui oui, t'inquiètes c'est la même. Je lui souris et enlève ma capuche. Impeccable. Je te reprends la même chose dans deux jours. Et dis à ton oncle que je veux être servit que par toi maintenant. Y en a marre de ses idiots de revendeurs, toi t'es clean et toujours à l'heure. Je ris légèrement alors que l'homme me fait un sourire et me dit au'revoir.

Une fois qu'il est vraiment partie, je mets mes mains dans mes poches et me dirige vers la mercedes que j'ai repéré tout à l'heure. Quand j'arrive à sa hauteur je frappe sur la vitre côté conducteur avant qu'elle ne s'ouvre. T'en as pas marre de me suivre? C'est Dante, j'en étais sûre. J'avais déjà repéré sa voiture sur le campus alors qu'il était en train de me regarder papoter avec mes amies.

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Dante D. Basini & Swan E. Keynes

   
   

Dante attend impatient l'arrivé de Swan. Personne ne lui avait vraiment demandé de la surveiller. Les premières fois, lors de ses premiers deals, ça avait été le cas, mais maintenant, il avait simplement graissé la patte de Lorenzo Orlandini, le bras droit de son père qui pensait cette surveillance normale étant donné que Dante et la jolie brune étaient mariés aux yeux de la famille.

Cette soirée d'enfer, il n'était pas prêt de l'oublié. Elle et son ivresse déhambulait aux milieux des gens, Guiseppe non loin, qui rôdait tel un vrai félin autour d'elle et sa copine. Dante lui s'était éloigné de la foule. Il ne se faisait pas remarquer quand on ne le cherchait pas. Au fil des évènements, il s'était retrouvé marié à cette jeune femme remplit d'alcool dans le sang et il n'avait rien pu faire. Après ça, elle avait vendu son âme pour entrer dans la famille, ce qui avait fortement déplu à Dante. Depuis ce jour, il veillait sur elle. Il connaissait Boston et ses rues comme personne, tous les recoins les ruelles, ils avaient grandit dans cette ville et il l'aimait. Il ne voulait pas que la jeune femme se brûle les ailes maintenant que son âme était au diable lui même.

Il la repère assez facilement dans son manteau d'hiver avec sa capuche sur la tête. Bien que difficile a reconnaitre, elle avait déjà porté ce manteau sur le campus et sa silhouette, même de dos ne trompait pas. Elle est en avance et semble regarder si personne d'autre ne serait intéresser par sa marchandise. Dante s'est instinctivement dit que c'était un jeu dangereux, parfois des flics trainent dans le coin en civile, il vaut mieux se tenir aux personnes habituelles ou bien faire ses affaires dans des boites de nuits ou des bars, où il y a tellement de monde qu'il est facile de se fondre dans la masse. Heureusement personne ne vient à elle à part son client. Il ne le connaissait pas et le détail de loin, dans sa voiture. Il la voit regarder dans sa direction, elle l'a probablement repéré mais il n'en est pas sûr, elle ne lui fait aucun signe. Sa vente se déroule sans mal, le gars est probablement un habitué et ne semble pas bien méchant. Il veut juste sa dose, comme tout bon junky. Dante est plutôt content de ne plus avoir à voir ce genre de personne depuis longtemps. Le deal est le travail le plus ingrat. En donnant les ordres et en veillant sur le territoire, il se fait deux fois plus qu'un dealer qui bosse pour la famille et il a bien moins de risque d'être repéré.

La jeune femme conclu sa vente, argent dans la poche. Elle s'éloigne du client et avance vers la Mercedes noire. Dante aurait pu redémarrer mais ne le fit pas. Il la laisse venir et en profite pour regarder ses messages sur son portable. Un toctoc à la vitre le sort de sa consultation et il baisse la vitre teinté. La jeune Swan le regarde, visiblement pas très contente qu'il soit là. Elle lui lance une phrase confirmant son attitude et Dante reste calme et réplique « Je suis là, donc probablement pas. Ça te déranges ? » il la toise du regard et reprend sans lui laisser le temps de dire quoi que ce soit « Montes. » Il déverrouille les portes et lui fait un signe de tête pour qu'elle le fasse, remontant sa vitre et attendant qu'elle arrive. Vu le froid dehors, Dante était bien mieux dans sa voiture avec le chauffage et la fenêtre ouverte laissait l'air chaud s’échapper et le froid entrer.

   
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J'avais repéré cette voiture un bon nombre de fois enfait depuis que j'avais rencontré Dante à cette fameuse soirée où nous étions devenus mari et femme. N'importe où où j'allais j'avais l'impression qu'il était derrière moi. Au début, je l'ignorais me disant qu'il finirait bien par arrêter mais il ne se lassait pas. Ca m'énervait qu'il soit tout le temps là à m'espionner mais au fil du temps j'appréciais de me sentir en sécurité grâce à lui. Parce que clairement vendre de la drogue dans des ruelles quand on est une fille plutôt pas mal - faut bien l'avouer je ne suis pas mannequin pour rien - c'est un peu risqué. Alors oui sa présence me faisait du bien et me rassurait. Mais ça je ne le lui dirais pas ayant trop de fierté, trop besoin de montrer que je suis une personne qui peut se débrouiller par elle même.

En le devinant derrière sa vitre teintée, je ne peux pas m'empêcher de repenser à cette soirée, à ses avertissements. Mais moi je n'avais rien écouté comme toujours quand je suis bourrée. Avec Leonor nous avions mis nos vies en danger, on ne s'était pas rendu compte des conséquences. J'avais eu confiance car après plusieurs personnes étant à la soirée faisaient partie de ma famille. Mais apparemment même les liens du sang ne sont pas assez fort à part quand on fait partie de la mafia. J'avais chassé ce souvenir voulant finir ma vente l'esprit clair et surtout pour être en capacité de fuir au cas où les flics débarqueraient.

Mon client était partie et j'étais donc allée à sa rencontre d'un air décidé mais tranquille pour ne pas attirer l'attention sur moi. J'attends donc la réponse de Dante à ma question, visiblement d'après ce qu'il me dit ça ne le dérange pas de me suivre. je me suis toujours demandée s'il faisait ça de son plein grès où si c'était mon oncle qui lui demandait de me surveiller. Et c'est à cet instant là que j'ai compris, il était constamment derrière moi parce qu'il le voulait. Il plonge son regard dans le mien et ne me laisse pas le temps de répondre, il m'ordonne de monter. La fenêtre se referme et j'attends quelques secondes avant de me décider. Il valait mieux que je monte car si je ne le faisais pas il le ferait sûrement de force.

Je fais donc le tour de la voiture, ouvre la porte et me glisse sur le fauteuil côté passager. Content ? Je le regardais d'un air méprisant même si je me sentais mieux ici avec lui que dehors dans le froid et à la vue de tout le monde. La voiture démarre, je mets ma ceinture et ne peux pas m'empêcher de lui demander : Pourquoi est ce que tu me suis tout le temps ? J'avais les yeux rivés vers le pare brise fixant la route ne sachant pas du tout où nous allions.
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Dante D. Basini & Swan E. Keynes

   
   

Dante et Swan avaient à présent leurs vies liées aux yeux de la famille. Dante étant dans ce milieu depuis toujours le pensait aussi. Il connaissait les règles de la mafia par coeur, et surtout celle de la Camorra, la mafia instaurée par sa famille à Naples depuis longtemps déjà. Dès petits, il a apprit par cœur chacune d'entre elle, donc la plus importance : si tu tiens à rester en vie, tait-toi et entre dans le rang. Ce fameux soir, il n'avait donc pas pu dire non, l'ordre venant de plus haut, il aurait fallut que Swan refuse elle aussi d'entrer dans le jeu pour pouvoir en échapper et encore, ça n'aurait probablement pas suffit. Quand ils ont décidé quelques choses, ils font souvent en sorte d'imposer leur volonté, de n'importe quelle manière tant qu'ils ont gains de cause et ayant décidé d'unir les deux mafias, le mariage entre les jeunes gens avaient été vu aussi bien par Donatello et Damiano que par l'oncle de Swan d'une très bonne manière. Il n'y a que Dalia, la mère de Dante qui n'était pas pour et avait essayé de raisonner son mari mais qui avait finit par se résigner : son fils serait uni à une parfaite inconnu aux yeux de la mafia, elle ne pourrait rien y faire. Mais elle n'était tout de même pas fan. Surtout que la jeune femme était ivre et que ça faisait mauvais genre, mais elle avait gardé ses remarques et avait pris un sourire faussement content pour le mariage.

Dante avait bien essayer de la faire fuir. Il revoyait clairement la scène dans sa tête en l'observant de loin. Quand il l'avait attrapé par le bras ce soir là et forcé à monter dans ce taxis avec son amie, il n'aurait pas pensé la revoir. Il avait été en colère et triste de la revoir quelques jours plus tard. Pour lui, elle avait eu tord, il valait mieux fuir la mafia toute sa vie que d'y entrer. Quand on y entre, ce sont presque les portes de l'enfer qui s'ouvrent. Ils font tous pour que tu sois mouillé à tout, c'est une manière d'être sûr que personne ne les trahira. Au début, la jeune femme ne s'était probablement pas rendu compte mais maintenant, elle se retrouvait à vendre toutes sortes de choses à des personnes louches et bizarre. Dante en avait froid dans le dos rien que d'y penser. Au début, il était plutôt parti pour la laisser se démerder, après tout, il avait tout fait pour la sortir d'ici et il s'était pris un tabac pour ça et avait perdu Guiseppe, si elle n'était pas capable d'ouvrir les yeux, ce n'était pas son problème. Mais ça avait été plus fort que lui, la première fois, il s'était renseigné et était allé voir si tout se passait bien, la seconde fois et ça avait continué. C'est comme ça que encore aujourd'hui, un soir où il pourrait être entrain de sortir, il était dans sa voiture à la fixer de dos. Avec le temps, il avait apprit à reconnaitre sa silhouette de loin et il était toujours dans le coin en cas de besoin, si un jour, un des gars pétait un plomb et tentait de la toucher.

Elle a finit sa transaction sans encombre, comme depuis le début. Le client était parti et la jeune femme était venu le voir. Elle n'avait pas l'air ravis, mais ce n'était pas pour ça que Dante arrêterai. Il était quand même têtu et buté parfois. Et il voulait surtout s'assurer qu'elle irait toujours bien. Une fille qui deale, c'est risqué, quoi qu'on en dise. Ce n'est pas à prendre à la légère, beaucoup se sont déjà faites agressées, si il est là, ça ne risque pas de lui arriver. Déjà car les clients pas trop stupides remarqueraient la voiture de Dante à chaque fois qu'elle vient les livrer, mais aussi parce que si l'un d'eux tente de la blesser, Dante est assez prêt pour réagir en quelques poignées de secondes et pratiquant les arts martiaux, les choses seraient mal parti pour l'homme en question. Jamais violent envers les femmes, il peut néanmoins perdre son calme avec les hommes. Si un jour elle se fait agresser, elle sera probablement bien plus contente de voir Dante dans le coin.

Il lui dit de monter, presque sur le ton d'un ordre et quelques secondes après, la voila à ses cotés, lui adressant un seul mot sous forme de question, mais qui veut tout dire de son mécontentement et ça, Dante l'a bien compris, mais il ne peut s'empêcher de sourire. La voir s'agacer l'amuse, il ne peut le nié. Il tourne sa tête vers elle et lui répond « Aux anges même. ». Il démarre la voiture pour ne pas rester à cet endroit, au cas où des flics seraient dans le coin, Dante ne traine jamais là où les gens dealent. Quand on traine, on se fait vite repérer. Il démarre et descend le boulevard qui mène vers le centre ville de Boston. Il fixe la route face à lui, en bon conducteur prudent. Elle aussi a coté fixe la route. Elle lui pose une nouvelle question : pourquoi la suit-elle ? il lui faut quelques secondes pour trouver une réponse et réplique alors « Pourquoi ça te dérange ? » Répondre à une question par une question lui arrivait régulièrement. Il pose son regard sur elle quelques instants pour voir si elle allait s'énerver et comment elle réagissait.

   
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Même si avec mon oncle nous avions convenu que notre mariage était de l'histoire ancienne si j'entrais au sein de la mafia, je savais pertinemment qu'aux yeux de tous nous étions encore mari et femme. Je regrettais cette soirée, d'avoir trop bu et surtout d'avoir été si naïve mais au final si rien de tout ça n'était arrivé je n'aurais jamais rencontré Dante. Je ne savais pas trop comment le juger, il faisait partie de la mafia mais malgré ça il m'avait sauvé la vie ce soir là. Alors oui je pouvais clairement affirmer que le savoir tout le temps derrière moi me rassurait vu les moyens que pouvait employer les mafieux. La première fois que j'avais vendu de la came à un mec j'étais terrifiée mais mon sang froid ne m'avait pas quitté alors ma peur ne s'était pas affichée sur mon visage. J'avais appris en quelques jours la manière dont je devais me comporter face aux clients, comment je devais m'adresser à eux et la fermeté avec laquelle je devais traiter mes affaires. Alors ce soir je savais pertinemment que tout se passerait bien.

Je venais d'aller à la rencontre de Dante et n'avais eu que l'envie de lui dire d'arrêter de me suivre. mais une fois face à lui je n'avais pas vraiment fait ce que je voulais. Ce n'était pas parce qu'il m'impressionnait mais sans doute parce que dans le fond, même si je ne l'avouerai pas, j'aimai passer un peu de temps avec lui en dehors des réunions de la mafia. Je me trouvais donc dans sa voiture à ses côtés et lui demandais s'il était content de lui. Sa réponse me fit sourire mais je tournais la tête vers la fenêtre pour ne pas qu'il me voit, oui je suis trop fière comme femme.

Je n'avais pas pu m'empêcher de lui demander pour quelles raisons il me suivait tout le temps même si j'avais compris qu'il le faisait de lui-même sans que personne ne le lui ai demandé. Il répondit à ma question par une autre. En temps normal cela m'aurait énervé mais je ne voulais pas lui donner ce plaisir, surtout pas. Non, pas le moins du monde tu t'en doutes. Je n'avais pas forcément employé l'ironie ni prit un ton de pure sincérité alors à lui de voir comment j'appréhendais la chose. Je n'arrive juste pas à comprendre pourquoi tu agis comme ça. Alors soit tu penses que je suis incapable de me débrouiller seule, soit depuis ce fameux soir tu ne peux pas me passer de moi alors tu veilles su moi pour qu'il ne m'arrive rien. Je me tourne vers lui pour le regarder histoire de voir quelle réaction il a mais je ne décèle pas grand chose du moins pas pour le moment.
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Je veux seulement être sûr que tu vas bien
Dante D. Basini & Swan E. Keynes

   
   

Veiller sur elle était devenue son quotidien. Il avait soudoyer une personne qui réparti les clients et fournit la drogue et s'était même arrangé pour qu'elle fasse partie des dealers qu'il a à surveillé. Par ce biais, il savait toujours quel rendez-vous elle avait et où. Si il ne savait pas où elle était, il faisait en sorte de la croiser à la fac ou de se retrouver dans les même soirées qu'elle. Déjà, pour pouvoir la ramener si jamais elle se retrouvait dans la même situation que lors de leur mariage -ça serait dommage de se marier une seconde fois, Dante ne comptait pas la partager-. A cette fameuse soirée, elle était tellement bourrée qu'elle ne savait même plus ce qu'elle faisait et résultat, ils étaient liés pour l'éternité aux yeux de la mafia, ni l'un ni l'autre ne pourraient présenter une autre personne à leurs familles mafieuses puisqu'à leurs yeux, ils sont mariés, même si normalement, le mariage aurait dû être annulé, cela n'avait pas été le cas. Il la suivait pour une seconde raison, pour s'assurer qu'elle allait bien.

Cette nuit encore, il l'avait donc suivit, dans sa Mercedes noir aux vitres teintées, il l'avait observé de loin faire sa vente et la conclure, voyant que ces derniers jours, elle se débrouillait très bien. Au début, il en avait eu des sueurs froides de la savoir à coté d'un drogué, maintenant, il était rassuré parce qu'elle savait quand même se débrouiller et savait remarquer les pièges ou les arnaques de certains clients. Comme souvent, Dante a bien vu qu'elle l'avait vu. Parfois, il partait avant qu'elle n'ai le temps de venir, mais pas cette fois. Il était resté garé et elle était venu à lui. Il aurait pu partir, mais en réalité, il appréciait sa compagnie et préférait la savoir à ses côtés plutôt que dehors.

Dès qu'elle est montée, le jeune homme quitte tout de suite son emplacement, par simple précaution, si un flic passe dans le coin en civile ou bien un autre gang, même si ce quartier appartient à la mafia russe et plus particulièrement à la Camora, parfois, les triades chinoises passaient et généralement, cela ne faisait pas bon ménage. Les mafias n'étaient pas alliés et cela finissait parfois en bain de sang, il valait donc mieux partir assez rapidement. Il rejoint le périph assez rapidement avec une conduite rapide mais fluide. La sublime brune lui demande si il est content qu'elle soit monté et Dante lui répond avec humours, même si ça reste la vérité. La jeune femme tourne la tête et Dante se demande si c'est parce qu'elle est irritée ou amusée par sa réponse. Malheureusement il n'aurait su le dire et il se concentre donc sur la route, histoire d'éviter l'accident.

Quand elle lui demande pourquoi il la suit, il répond par une question et elle ne s'énerve finalement pas. Elle est peu être plus calme et n'a pas trop le sang chaud ? Dante ne la connaissait pas assez pour l'affirmer. Elle a simplement répondu et Dante n'aurait pu dire si c'était de l'ironie ou de la sincérité, elle ne laissait rien paraitre, il la fixe donc un instant avant de poser de nouveau le regard sur la route et de l'écouter. Il ne laisse rien paraitre en l'écoutant. Il entendait ses hypothèses et une d'entre elles était la bonne, mais il ne comptait pas le lui dire. Il a simplement répondu « Tu préfères que je te dise laquelle de ces deux affirmations comme réponses ? » il plante son regard bleu azure dans le sien et lui adresse un demi sourire avant de demander « Tu as déjà mangé ? » de manière totalement normal, pour changer de sujet.

   
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feat. Dante


Je m’étais tellement habituée à sa présence derrière mon dos que je l’aurais sans doute mal vécu si du jour au lendemain il disparaissait. Lorsqu’on s’est embrassé devant tout le monde et qu’un des partisans de la mafia à tiré un coup de feu pour célébrer notre « mariage », j’étais juste aux anges. Je me souviens de mes rires joyeux, de la façon dont je le regardais en me disant « regarde le comme il est beau ton mari. » Pendant toute cette soirée j’aurais pu jurer que j’étais tombée amoureuse de lui, qu’il était l’homme qui me fallait. Mais quand je me suis réveillée le lendemain dans mon lit toute habillée j’ai compris que j’avais fait une connerie, peut être la plus grosse de toute ma vie. Des flashs de la soirée, de notre mariage m’étaient remontés à l’esprit et je n’ai pas eu d’autre réaction que de vomir tout ce que j’avais dans le ventre. La voix de Dante et mon oncle avaient résonné dans ma tête pendant plusieurs jours.

A l’heure qu’il est je peux me considérer comme étant hors de danger du moins pour ce qui concerne la mafia. Mon oncle avait promis de ne pas toucher à un seul de mes cheveux tant que je faisais le travail. Et c’est ce que je faisais. Je savais deux choses : si je ne me faisais pas remarquer et – même si on ne me l’avait pas explicitement dit- si je ne me montrais pas avec un autre homme que Dante, j’avais la garantie qu’on me garderait en vie. Alors j’avais pensé à Noa, au fait que lui et même nous aurions pu vivre quelque chose. Il fallait que je me fasse une raison, lui et moi pouvions continuer que si nous nous cachions. Je me disais aussi en pensant à lui qu’il était peut être temps de mettre fin à notre début d’histoire puisque nous n’étions pas encore couple histoire qu’on ne s’attache pas pour rien. Même si je n’avais pas envie de mettre un terme à notre relation j’avais l’impression d’avoir un devoir envers Dante, de ne pas le mettre dans une position délicate sachant qu’il m’avait sauvé la vie. Et puis je dois bien avouer ne pas être totalement indifférente à l’homme qu’il est. Mais ça c’est encore un autre problème.

Nous roulons en direction de je ne sais quel endroit et Dante semble se détendre au fur et à mesure que nous nous éloignons de Charles River. Il garde un œil sur la route mais ne se retient tout de même pas de me regarder lorsque je lui pose des questions, sûrement pour voir si mon non verbal peut me trahir. Nous ne nous connaissons que très peu tout les deux seulement j’ai l’impression qu’on se ressemble assez dans la manière de faire, de répondre et surtout à dissimuler émotions. Je viens de lui demander pourquoi il me suit sans cesse en lui émettant mon point de vue et le bel italien ne trouve rien de mieux que de me répondre une nouvelle fois par une question. Mais je ne me laisse pas abattre aussi facilement Basini. « Je n’ai pas de préférence. Mais vu la manière avec laquelle tu viens de me répondre, j’ai compris laquelle des deux affirmations est la bonne. » Je ne dirais rien de plus à ce sujet, je ne voulais pas non plus affirmer quelque chose s’il pensait le contraire. Mais au fond de moi je savais que je ne lui étais pas indifférente. Je le toisais du regard attendant qu’il en fasse de même sûrement parce que j’appréciais nos échanges silencieux mais bourrés de sens. Finalement il encre ses yeux dans les miens comme je le désirais en affichant un léger sourire à peine perceptible. « Oui. Mais je ne sais plus trop à quelle heure de la journée. J’ai envie d’un double cheese burger bacon. Avec pleins de frites. Et de la mayo et du ketchup aussi. » Je ne peux pas m’empêcher de rire légèrement. Si le psychiatre qui m’avait suivit pour mon anorexie l’année dernière savait que je n’avais mangé qu’un minable sandwich à midi, il me ferait interné une nouvelle fois.
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Dante D. Basini & Swan E. Keynes

   
   

Cette fameuse nuit de mariage, Dante l'avait remarqué dès son arrivé. Déjà parce qu'elle et son amie riaient très fort, que c'était la cousine de Guiseppe mais aussi parce qu'elle était vraiment sublime. Sa beauté l'avait tout de suite frappé et ça son père Donatello l'avait bien vu. Quand l'idée de se marier avec elle avait été lancé, Dante avait tout de suite senti le danger. Elle était ivre, elle ne savait pas ce qu'elle faisait. Le lendemain, elle se réveillerait marié à lui sans qu'il n'ai pu faire quoi que ce soit. Bien sur, vu sa plastique et sa joie de vivre, il aurait adoré l'épousé, mais il aurait préféré qu'elle soit consciente de ce qu'elle est entrain de faire. Qu'elle ait conscience que la mafia, c'est une vie à part, différente et hors du temps, hors des lois. La mafia a ses propres règles, sa propre hiérarchie, ses propres lois. La mafia est un système totalement différent de la démocratie. La mafia, c'est une dictature organisé imposé par le sang ou par l'alliance. Et quand la mafia décide une chose, les personnes dedans ne sont que des pions qui doivent bouger et se mettre en quatre pour elle. Alors il en avait voulu à Swan, le lendemain matin, tout en étant troublé, presque heureux finalement d'être marié à une femme comme elle. Comment ne pas l'être ? Swan était belle, souriante et joyeuse. N'importe quel homme tuerait pour l'avoir à son bras.

A présent, ils se connaissaient peu mais bien en même temps. A chaque réunion, ils étaient placés côte à côte, le couple Dante et Swan. Étonnamment, dans la mafia, les gens autour étaient même ravi de leur couple. Ils ne cessaient de les félicités ou de leur dire à quel point ils étaient mignon. Ce qui mettait le bel italien très mal à l'aise en vue de la situation réelle. Désormais, si ils voulaient être avec quelqu'un d'autre, ça serait en cachette. Ils ne pourraient pas présenter leur famille, ou parler de la personne en dîner de famille. Si une relation "extra-conjugale" venait à se savoir, celui qui trahit et trompe l'autre serait sévèrement corrigé. Néanmoins, si Swan voulait voir quelqu'un, Dante la couvrirait sans problème. Lui ne se privait pas pour voir d'autre personne. Il refusait d'admettre que Swan lui plaisait. Il ne le dirait pas, même sous la torture. Lui prendre la main quand ils sont en réunion de famille passe encore, mais dire ses sentiments est un autre problème. Il ne se voyait cependant pas même hors du cadre de la mafia, la laissé livré à elle même. La suivre était à ses yeux la seule solution pour s'assurer qu'elle allait bien. Il faisait son emploi du temps en fonction du sien. Il s'était même arrangé pour avoir son planning de cours, histoire de savoir quand elle était en sécurité.

Ils communiquaient peu par la parole, mais beaucoup de jeux de regard étaient présent entre eux. Des petites piques lancés avec un regard échangé. C'était leur façon d'être ensemble. Il n'avait jamais vraiment parlé d'eux, de leurs vies, de leurs passés. Ce n'était pas spécialement l'envie qui leur manquait, mais l'occasion ne s'était tout simplement jamais présenté. Ils ne s'étaient jamais retrouvé à deux en rendez vous ou tête à tête à discuter de leurs pires peurs, de la honte de leur vie, de la chose la plus dingue qu'ils aient chacun faites ou encore de leurs familles respectivement. Ils en savaient peu l'un sur l'autre mais finalement, ils se connaissaient quand même un peu : ils connaissaient un peu les réactions de l'autre qui pouvait trahir une joie, un énervement, un agacement, de la tristesse ou de l'amusement.

La jeune femme était à ses côtés et le jeune italien était soulagé de la savoir à ses côtés que dans la rue avec des toxico près d'elle. Dans la voiture, elle le question sur ses motivations à la suivre. Elle doit presque le prendre pour un mari harceleur psychopathe et complètement cinglé qui avait demandé son emploi du temps et la suivait constamment et c'est vrai que c'était l'impression qu'il pouvait donné mais loin de là. Comme à son habitude, sa réponse à la question de la jeune femme est une nouvelle question, ce qu'elle en pense elle. Il veut avoir son avis, probablement pour voir si elle a réussi à le cerner. Sa réponse n'en est pas vraiment une, elle ne dévoile pas le fond de sa pensée mais semble avoir une idée sur la question. Il la toise donc un instant du regard et regarde à nouveau la route avant d'ajouter « Alors, laquelle selon toi ? » espérant qu'elle ait percé la vérité et qu'elle l'ait cerné lui. Elle le regard, il le sait, il sent son regard sur lui. Il tourne la tête, avec un infime espoir que ce n'est pas trop tard et qu'il va apercevoir son regard. C'est le cas, leurs regards se croisent, comme souvent. Jamais pour très longtemps, surtout dans ces conditions étant donné que Dante conduit sans réelle destination. Mais ils se regardent un instant et ce contact visuel est important pour lui mais en même temps est troublant, il n'aurait su lui même l'expliquer. Elle lui annonce qu'elle a faim et énonce une liste de chose qu'elle voudrait avaler. Elle rit légèrement. Dante repose ses yeux sur la route et sourit en l'écoutant, son rire était vraiment adorable et le faisait sourire à son tour. Son sourire est cette fois ci visible. « Tu es précises. On commande au McDrive ? Je ne vois que là bas pour avoir tous ces délices. » lui propose-t-il, voulant contenter la jeune femme, histoire qu'elle ne le voit pas simplement comme un harceleur psychopathe de la mafia.

   
AVENGEDINCHAINS
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je crois bien que t'es fou de moi
feat. Dante


Nous devions faire semblant, nous n'avions pas le choix devant nos familles respectives. Je m'étais mise dans une belle merde mais dans le fond je crois que je commençais à apprécier ma nouvelle vie. Pas le deal, mais le fait d'être rattachée à un groupe, me sentir entourée par une vraie famille. Je n'avais jamais été très entourée après la mort de mon père même si ma mère m'offrait tout ce que je voulais elle ne me donnait pas d'amour. Depuis que nous avions réglé le problème avec mon oncle, il me considérait comme sa fille même s'il me donnait le sale boulot il faisait tout le temps en sorte que je ne manque de rien. Je dois bien avouer que j'ai eu beaucoup de chance de tomber sur un homme comme Dante et pas sur un Guiseppe. Il avait essayé de me sauver la vie et ne me laissait jamais tomber, chaque soir il était là pour moi en cas de problème.

Nous échangeons énormément de regards et se perde dans ses yeux n'est pas difficile. Je ne pouvais cependant pas m'empêcher de lui demander pourquoi il me suivait. Pour moi, il n'était pas si mécontent d'être mon mari aux yeux de la mafia. Mais je n'avais pas voulu lui dire ce que je pensais vraiment, de peur qu'il ne pose trop de question sur ce que moi je pensais de lui. Me confier ce n'est pas mon fort. Je penche pour la deuxième affirmation. Je ne lâche pas son regard jusqu'à ce qu'il le reporte sur la route. Ce regard pénétrant me rassure, me fait du bien enfait. J'ai peur de ce qu'on va vivre par la suite, de tout ce qu'on va endurer mais j'ai le sentiment que tend que je suis près de lui tout ira bien. Je lui énonce ensuite mon menu avec beaucoup de précisions et il me propose d'aller au Drive. Ça me va. Je lui souris et nous nous engageons sur la route du Mcdo où nous arrivons quelques minutes plus tard. Une femme baisse la fenêtre de la cabine du Drive et je commande mon Menu maxi best of Double cheese bacon.
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