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CAP OU PAS CAP ?.
— SACHKA & SHARON.
— SACHKA & SHARON.
Grrrhh… pourquoi avais-je toujours l’impression de passer pour un idiot avec cette fille ? Sûrement parce qu’elle faisait tôt pour que je le crois ! En entendant, je lisais dans son regard le contraire même de ce qu’elle osait me hurler dans les oreilles, à savoir : la relâcher. Mais non mais non, tu es très bien là. Un sourire pervers d’emmerdeur compulsif sur les lèvres, je serre davantage ses poignets alors que mademoiselle se bat comme un beau diable pour tenter de me faire lâcher prise. Pas une crevette comme elle qui va réussir ce tour de force, mais c’est mignon à regarder. Libérant sa bouche, j’ai même l’audace de lui rire au nez lorsqu’elle me quémande de nouveaux baisers. Alors comme ça, tu en veux plus, et c’est MOI qui serais jaloux ? Bah tiens...on dirait qu’on souffre de la même maladie tous les deux. « AIIIEUUHH, espèce de petite ...! » grognai-je alors que je me retirai subitement en tenant mon poignet endolori. Elle avait osé me mordre ! Me mâcher presque. Ok, dans le feu de l’action, j’étais plutôt brutal moi aussi et je n’étais pas contre quelques démonstrations de force, mais de là à vouloir me transpercer la peau ! « Non, plus maintenant. » Tu m’as fait mal alors assume. Méfiant, je montre les crocs lorsqu’elle dépose un tendre baiser sur ma meurtrissure, avant de soupirer d’aise, signe que je lui avais déjà pardonné. Evidemment, ses mains ne résistent pas longtemps à mes boucles rousses, et mes lèvres ne tinrent pas plus longtemps devant les siennes en feu. « En fait, je suis jaloux des numéros oui… » Ah bon, le jeu est terminé ? Et pourquoi ce serait à elle de décider, d’abord ? « …parce que tu en as plus que moi dans ton répertoire.. » persistai-je en lui volant d’autres nombreux baisers sur les lèvres, la nuque et le haut de sa gorge. Je parle trop. Je ne m’en rends compte que lorsque mon souffle s’accélère, et qu’elle me demande avec une franchise désarmante de la faire mienne. Il me fallut moins d’une demi-seconde pour lui retirer le reste de ses sous-vêtements, les miens les rejoignant peu de temps après. Ronronnant contre sa poitrine désormais dénudée, je me repaissais de sa chair, goûtant, léchant, mordillant, et faisant dresser de ma langue le sommet de ses globes immaculés. Entre temps, mes mains ne restaient pas inactives. Elles redécouvraient un corps qui leur avait manqué, caressant et malaxant courbes et lignes comme si elles cherchaient à en redessiner les contours.
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