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«Youpiii !» m'écriait-je dans la descente de ce toboggan grandiose. Il était vert, en forme de rond et quelques fois ouvert. Alors que j'était couché à plat ventre pour prendre plus de vitesse et que la fin du toboggan arrivait à grand pas, je distinguait à peu près une petite silhouette. Lorsque j'avança un peu plus je put constater qu'il y avait bel et bien quelqu'un à la sortie du toboggan en train de faire la planche ! C'était Clémentina R. da Silvà. Je ne la connaissait que de prénom comme la plus part des gens à Harvard. On avait du se croiser une ou deux fois tout au pus dans les couloirs de l'université. Je cria le plus vite possible «Clémentina !!!». Mais celle-ci ne m'entendit apparement que vaguement puisqu'elle ne tourna la tête que très légerement. Soudain, un tas d'idées me traversa la tête: et si on se faisait mal, en vacances ! Et si il y avait un grave accident ! Cela gacherait les vacances des autres et il me detesteront tous ! Je devais réagir au plus vite en commençant par prendre moins de vitesse et me serrer et me rassura moi-même en me disant qu'il n'y aurait rien de grave, quelques petits bobos et encore ! Je me freina alors avec l'aide de mes mains lorsque j'atterissa dans l'eau, à deux misérables centimètres de Clémentina. Je m'empressa alors de m'assurer que tout allait pour le mieux: «Clémentina !? Comment vas-tu ? Je t'ai fait mal ?»
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