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this is the time of confidences. (ALASKA)

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this is the time of confidences.
feat alaska hamilton et samaël l-florès.
Tu as eu envie de sortir une nouvelle fois ce soir. Tu avais même donné rendez-vous à Nesayem pour aller au restaurant. Évidemment, c'est assez bizarre de t'imaginer de payer un restaurant à une femme. Puis qu’avant ton accident, tu n'étais pas galant pour un sous. Tu ne te préoccupais pas de états d'âmes des autres ni même ce qu'il pouvait penser. Tu te contentais d'écouter ce que tu ressentais. Le reste ce n'était qu'éphémère. Surtout ça te permettait de t'évader loin de l'appartement. Tu en as marre de rester affalé dans ton canapé à glander une bonne partie de tes soirées. Tu avais l'impression de ne pas avoir de vie sociale. Tu as décidé de remédier à tout cela. Faut dire que de passer une soirée en compagnie de Nesayem n'était pas si désagréable que ça. Surtout quand on voit l'alchimie que tu as avec elle. C'est un plaisir pour toi de passer de plus en plus de temps avec cette jeune femme. Bref, après l'avoir raccompagnée en bas de chez elle. Tu as décidé de rentrer chez toi pour essayer de dormir un peu. Ça fait un petit moment que tu n'arrives plus à trouver le sommeil. Cependant, tu as vraiment besoin de dormir un peu si tu veux tenir le coup. Tu n'as pas d'autre choix, au final. Tu rentres la clé dans la serrure de la porte pour l'ouvrir. Tu refermes la porte de l'appartement derrière toi quand tu vois le cataclysme qui s'est introduit chez toi. Encore une fois, l'appartement était sans dessus-dessous. Encore une fois, tu vas devoir tout ranger et nettoyer. Tu en as plus que marre. Tu arrives dans le salon en jetant les clés sur la table pour que ça fasse du bruit. « RAZ LE BOL LES FILLES ! » Criais-tu pour qu'elles t'entendent gueuler comme un putois. T'en as marre de devoir ranger à chaque fois que tu rentres le soir. Faut qu'elles fassent un minimum d'effort, sinon pas sûr qu'elles continuent à vivre sous ton toit. « Je ne suis pas votre conchita. Respectez les autres en rangeant votre bordel ! » Dis-je en croisant le regard d'Alaska qui était affalée dans le canapé avec une mauvaise mine. Elle ne semblait pas d'humeur. Cela tombe bien, vu que tu n'étais pas de bonne humeur également en voyant ce bazar ici.
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Je comatais dans le canapé de l'appartement. Je crois qu'en réalité, je n'étais pas capable de faire autre chose. J'étais trop pompette pour ça. Je ne réfléchissais pas trop, j'étais complètement affalée dans le canapé, le regard dans le vide. J'étais à terre et je continuais de creuser. Mais qu'on me colle des baffes pour que je me réveille, merci. Je crois que j'avais besoin d'un coup de pied au cul, je crois que j'avais besoin de quelqu'un pour me secouer. Je crois que plus rien ne me faisait vibrer et que j'avais besoin de me trouver des motivations pour me sortir de cette tristesse ambiante. Déjà, peut-être que je n'aurais pas dû venir à l'appartement, étant donné que mes colocataires ne venaient jamais. Oh. J'ai parlé trop vite. La porte s'ouvre, se claque, des clés sont balancées sur la table et là, j'ai mal à la tête. Samsam se met à hurler, faisant comprendre qu'il en avait marre de faire du rangement pour nous, Dimantika et moi. Ahah. Il était parti où lui depuis plusieurs jours ? Il nous avait abandonné pendant son coma, on s'était fait du soucis pour lui et depuis, plus personne. Il draguait à tout va. Je fronçais les sourcils en le regardant. « ME PARLES PAS COMME CA SAMSAM » hurlais-je en lui balançant un coussin du canapé en pleine gueule. Crétin va. Je me levais finalement, attrapant la bouteille de vodka sur la table basse au passage. Je me rendais jusque dans ma chambre en titubant. « Retourne draguer et m'fais pas chier ! » m'écriais-je avant de claquer la porte de ma chambre.
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feat alaska hamilton et samaël l-florès.
Tu pénètres à l'intérieur de l'appartement fureur de voir l'état de celui-ci. Tu en as marre de devoir tout ranger derrière elle. Finit d'être le bon pote qui range sans rien dire à chaque fois. Fini de se laisser marcher dessus par Alaska et Diamantika. Marre de devoir passer les soirées, tout seul à ruminer après l'accident que tu viens de vivre. Ta colère vient s'abattre sur Alaska. Tu ne te rends même pas compte que quelque chose cloche avec la jeune femme. Qu'elle est triste et mal en point. Non, tu te préoccupes plus sur le fait que tu n'aies pas envie de passer tes soirées, tout seul que de voir ton amie vraiment au plus bas. « TU M'EMMERDES LASKA ! » Ta colère n'avait pas encore disparu, moins quand tu entends ta colocataire t'engueulait de cette manière-là. Tu vois la brunette se lever et choper une bouteille de vodka qui traînait dans le coin. Tu t'approches de sa chambre après qu'elle est finie de t'agresser depuis que tu es rentré dans l'appartement. « Pourquoi tu agis de cette façon Laska ? » Demandais-tu d'une voix plus douce après avoir ouvert la porte de sa chambre ! Tu n'aimes pas te prendre la tête avec ton amie. À vrai dire c'est quand tu aperçois de son agressivité envers toi que tu captes qu'elle ne va pas bien. Habituellement, elle n'aurait jamais pris le ton qu'elle venait de prendre avec toi. Tu es tout retourné de cette confrontation avec elle. Tu restes sur le coin de la porte en fixant Alaska, tu espères qu'elle te laisserait pouvoir rentrer entièrement dans sa chambre et de comprendre pourquoi elle est ainsi ce soir.
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Il venait juste de mettre les pieds dans l'appartement et il beuglait déjà. Comme s'il passait vraiment son temps à passer derrière nous. J'veux dire, il n'est pas vrai là non plus quoi. Depuis qu'il est sorti de l'hôpital, il fait son coq avec les autres nanas, mais avec les deux femmes qu'il a à la maison, pas un merci. Pourtant, c'est nous qui étions à son chevet quand il était dans le coma. Je le laissais donc crier et au moment où il montrait sa tête, je lui envoyais un coussin dans la figure avant d'exploser à mon tour. Il va certainement pas me faire chier. Je finissais par me lever, attrapant la vodka et fuyant vers ma chambre en claquant la porte. Je le fais chier ? Très bien, je disparais. Je me demande si rester dans cet appartement était une bonne idée. Je n'étais pas au meilleur de ma forme et rester seule n'était pas la meilleure solution. Je veux dire, Diamantika ne passait que le matin désormais et Samaël refaisait surface à l'instant. Mais en même temps, je crois que j'avais été dans un état tellement pitoyable que je n'ai aucune idée de si je l'ai vu récemment ou non. Je m'étais laissée tomber sur mon lit, sur le dos, les pieds dans le vide, la bouteille un peu plus loin, près des oreillers. La porte s'ouvrait doucement et Samsam se mit à parler tout aussi doucement, me demandant ce qui n'allait pas chez moi. Enfin, pourquoi j'agissais de cette manière ? Parce que j'étais complètement déglinguée. Au bout du rouleau. « Qu'est-ce que ça peut te faire ? » Il n'est pas là en ce moment, il va s’intéresser à ma vie maintenant ? « Tout va à MERVEILLE ! J'ai quitté mon petit ami quand j'ai appris qu'il avait mis enceinte sa demi-sœur. Le truc, c'est que moi aussi j'étais enceinte tu vois, mais on s'en branle d'Alaska, alors si elle se fout en l'air, ce n'est pas un problème et si elle fait une fausse couche et qu'elle perd son bébé, on s'en fout aussi ! » m'exclamais-je en riant nerveusement. Mais au fond, je ne savais même pas pourquoi je m'ennuyais à lui dire ça. Qu'est-ce qu'il en avait à faire ? « Maintenant, sors de cette chambre Sam ! » Parce que là, je comptais continuer dans mon délire et ça n'allait pas être beau à voir.
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Tu es bien conscient que tu abuses un peu. Tu venais à peine de pénétrer dans ton appartement que tu gueulais déjà. Forcément que ça n'allait pas plaire à ta colocataire qui se trouvait là. Pourtant, c'est bien la première fois que Laska te parle de cette manière-là. Tu trouves cela vraiment étrange. Il n'avait jamais eu un mot plus haut que l'autre entre vous. Voilà, qu'aujourd'hui c'était tout l'inverse. Ça t'intriguait et te laissait perplexe tout ça. Pour le coup, tu ne savais pas trop comment réagir. Devais-tu gueulé plus fort ? Devais-tu te taire ? Aucune idée. Surtout, que depuis ta sortie de l'hôpital tu ne passes pratiquement plus dans ton appartement du moins la journée. Puisque la nuit, tu y dors même si l'appartement est complètement vide vu que les filles ne s'y trouvent pas. Toutefois, tu rejoins sur le pas de la porte de la chambre de Laska pour lui demander pourquoi elle agissait de cette manière. Tu voulais vraiment avoir une explication. Étant donné que tu n'aimes pas voir tes amies mal. « Je n'aime pas te voir dans cet état. Est-ce un crime ? » Déclares-tu à son encontre ! « Pourquoi tu dis ça ? Je m'en fous pas de toi, d'accord ? Ce n'est pas parce que ces derniers temps j'suis pas à la maison la journée que je m'en fous de toi. » Tu ne pouvais pas lui dire que tu étais désolée ni même que tu étais là pour elle. Puisqu'égoïstement tu n'as pas été là pour elle ses dernières semaines. En même temps, tu devais surmonter ton coma et ton accident. So, c'était compliqué. Mais, tu avais mal pour elle. Tu ne savais pas forcément ce que tu devais dire à ce moment précis. Tu te contentes de t'approcher du lit pour la prendre dans tes bras. Est-ce que Laska se laisserait faire ? Probablement pas. Au moins, tu aurais essayé. « Et, si je n'ai pas envie de t'abandonner ? » Répliques-tu en déposant un baiser sur son front après t'être allonger à côté d'elle !
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J'étais une personne volcanique. Une fausse calme en quelque sorte. Bon, je n'étais pas une jeune femme très calme, j'étais du genre surexcitée. Une vraie pile électrique qui a toujours besoin de courir partout. Ce soir, j'étais énervée. En réalité, je n'étais depuis très longtemps, des années peut-être, c'est pour cela que je faisais de la boxe pour me canaliser ou même que je me droguais auparavant pour me détendre. Jamais je pensais que j'aurais pu parler de cette manière à Samaël. Nous étions plutôt du genre à bien s'entendre et à être des bons amis. Le truc, c'est que ma colère devait sortir à un moment ou un autre et là, il me cherchait vraiment. Il me trouvait. Je partais en furie dans ma chambre, claquant la porte et tombant lamentablement sur mon lit. Le jeune homme revenait à la charge, sans perdre de temps. Il ouvrait la porte, restant dans l'encadrement de la porte. Je lâchais un soupir. Vous voyez, l'ancien Samsam, il n'aurait pas cherché à comprendre. Je lui racontais mes petits problèmes qui me faisaient tant de mal, puis quand j'eue terminé, je lui demandais de partir. Me laisser, je crois que je voulais qu'on me laisse. Le jeune homme avait la tête dure, il n'en faisait qu'à sa tête. Il devrait en avoir rien à faire. J'étais simplement sa colocataire, rien de plus. Je n'avais aucune importance à ses yeux. Je le regardais s'approcher, sans rien dire. Je préférais rester silencieuse plutôt que de lui prouver qu'il devrait ne pas se préoccuper de moi. J'avais des arguments, je les sortais à tout le monde. Mon souffle se coupait quand il venait s'allonger à côté de moi, me prenant dans ses bras et déposer un baiser sur mon front. Cela faisait plusieurs mois qu'un homme autre que mon ex-petit ami ne m'avait pas touché de cette manière, avec autant de tendresse. C'était difficile. Étrange. Je déglutissais en écoutant ses propos, commençant vaguement à paniquer. « Tu devrais. J'suis une bombe à retardement. Je détruis et je fais du mal à ceux qui m'entourent. » lui confiais-je doucement, me retenant toujours de me caler contre lui. Je ne refusais jamais de la tendresse, mais cela me faisait tellement bizarre, j'avais du mal à me sentir en confiance pour le moment. Enfin... Peut-être que je devrais essayer, faire tomber les barrières que je me mettais. Ne pas refuser le peu de tendresse que l'on pouvait me donner, comme un simple câlin par exemple. Je me glissais donc finalement dans les bras de mon colocataire, le serrant contre moi. « Tu devrais y aller. T'amuser et profiter de ta vie.. » Il sortait du coma. Qui mieux que moi pour comprendre ? J'en avais fait deux.
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Tu as été une personne assez volcanique dans ta façon d'agir voir même réagir à certain moment de ta propre vie. C'est pour cette raison que tu comprends Laska aussi bien. Même si elle doit penser le contraire. Tu as été aussi caractérielle que Laska puisse l'être. Vous vous ressemblez vachement sur ce point-là. C'est un fait indéniable. Toutefois, tu n'aurais jamais pensé qu'Alaska puisse te parler de cette manière-là. Habituellement vous êtes en bons termes. À être de bons amis. Après, tu as été à un endroit au mauvais moment. Donc, normal que la colère de la jeune femme tombe sur toi. Tu as été exécrable en rentrant dans l'appartement. Encore plus, à ne pas être présent auprès d'elle. Tu regardes la demoiselle s'échapper dans sa chambre en claquant la porte derrière elle. Il n'est pas question que tu l'abandonnes encore une fois. Depuis ton réveil à l'hôpital, tu n'as pas été présent dans sa vie. Tu veux te rattraper, c'est l'occasion rêver pour le faire. Tu t'approches de sa chambre en ouvrant la porte. Tu restes stoïque dans l'encadrement de la porte. À l'époque, tu n'aurais pas pris le temps de savoir pourquoi elle réagissait comme ça. Tu t'en serais fichtrement foutu. Tu laisses finalement à Alaska te racontait ses problèmes de la vie quotidienne. Puis quand elle vient à te demander de partir, de la laisser tranquille. Tu restes malgré tout devant elle. Tu as la tête dure, tu es têtu. Tu ne partirais pas simplement à sa demande. Sauf, que tu t'approches du lit et tu t'allonges à ses côtés. Tu viens à la prendre dans tes bras avant de l'embrasser sur le crâne. Ensuite, tu viens à lui dire que tu t'en fous pas d'elle. Tu te préoccupes vraiment de sa santé, de ce qu'elle peut ressentir, d'elle tout simplement. Tu gardes Alaska dans tes bras tout en l'écoutant te répondre. « Je l'étais aussi par le passé. J'étais exactement comme toi. Crois-moi je me rends compte aujourd'hui que ça ne sert à rien. » Tu soulignes le fait que tu l'aies été comme elle. Tu repoussais tout le monde. Tu faisais du mal autour de toi. En premier lieu, ton frère Lincoln. Sauf, que tu réalises qu'il faut changer à un moment donné. Et ton coma, t'as fortement aidé malheureusement ... Jusqu'à présent Laska ne se laissait pas aller dans tes bras. Or, elle vient à se blottir un peu plus contre toi. Tu l'embrasses une nouvelle fois sur le front pour ensuite la regarder dans les yeux en lui caressant la joue. « Je ne t'abandonne pas Laska. Je passe la soirée avec toi. C'est non négociable. Compris ? Tu as déjà fait l'erreur de le faire depuis ton réveil. Alors, ce soir ta soirée serait consacrée entièrement à Alaska. Point barre.
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J'étais clairement au bout de ma vie. Le problème, c'est que je l'étais à chaque coup bas, surtout depuis que j'avais arrêté la drogue. Je n'arrivais plus à gérer mes émotions, je n'arrivais plus à les comprendre et à les apaiser. Autrefois, un peu de poudre blanche et je me sentais déjà mieux, comme si mes problèmes disparaissaient en fonction de ma consommation. Je ne vous dis pas le bordel depuis que je n'avais plus la drogue pour me soulager. Il me restait l'alcool, mais je n'avais pas vraiment l'alcool joyeux en ce moment. Sinon, il y avait le sexe, mais me faire toucher par un autre homme que mon ex-petit ami, très peu pour moi. Il allait me falloir du temps, c'était pour cela que je me montrais hésitante avec Samaël alors qu'il s'était approché de moi pour me prendre dans ses bras, prenant lui aussi possession de mon lit. J’appréciais sa compagnie, mais ce soir je n'en voulais pas. Pourquoi ? Il devait profiter et non pas être là à me regarder pleurnicher. Mais le jeune homme était têtu. Hors de question apparemment qu'il m'abandonne ce soir. « Cela fait vingt-trois ans que je suis comme ça, je ne pense pas que ça changera aussi facilement. » lui confiais-je en me calant finalement dans ses bras. Il n'allait pas me faire de mal, je pouvais accepter sa tendresse. Un nouveau baiser et des... caresses. Ma main venait emprisonner la sienne pour l'arrêter. Il me fallait du temps pour accepter ce genre de geste de la part d'un homme, même s'il n'était qu'un ami. « Compris » lâchais-je dans un soupir. « Mais je suis ivre, ma tête tourne. Je ne pense qu'à lui et je n'arrive pas à penser à autre chose. » lui avouais-je à nouveau. Il y a du pain sur la planche quoi.
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Auparavant quand tu étais dans le coma, la seule chose qui te permettait de te soulager était l'alcool. Tu ne faisais que boire constamment. Jusqu'à devenir alcoolique. Personne n'a été au courant de cela. Tu t'es pris en main avec un médecin. À l'époque, tu ne parlais pas de tes problèmes. Tu gardais tout à l'intérieur de toi. Ça te bouffait mais, tu préférais te montrer désagréable avec les autres que de paraître faible face aux autres. Il t'arrivait souvent d'envoyer les gens valser ou n'importe quelle raison. Cela te semblait une bonne idée. Tu avais complètement tort. On évolue avec ses erreurs, t'en prendre compte aujourd'hui. C'est mieux que rien. C'est pour cette raison aussi que tu décides de rester à ses côtés ce soir. Tu ne voulais pas l'abandonner encore une fois. Tu te sentirais utile au moins une fois dans ta vie. Tu lui fais comprendre que ce soir tu n'irais pas profiter de la vie à Boston ni même à Cambridge. Tu resterais dans l'appartement que ça lui plaise ou non. Elle n'avait pas réellement son mot à dire, là-dessus. « Je pensais comme toi jusqu'à mon accident. On se rend compte de certaines choses à certain moment de la vie. » En passant tout près de la mort, par exemple. Tu ne voulais pas souligner ce point. T'en as marre de repenser au mal que tu as pu faire aux autres, ni même à cet accident qui t'as presque coûté la vie. Tu l'embrasses de nouveau avant de lui caresser la joue. Elle ne semblait pas vouloir ce genre de contact. Même si vous étiez amis. Chose que tu peux comprendre à la perfection. « Parfait. » Tu l'as regardes soupirait ! Tu ne comprends pas trop. Ce n'est pas pour autant que tu lui demandes de t'expliquer. Cela ne servirait pas à grand chose. « Tu devrais essayer de te détendre dans un bon bain. En attendant, je peux nous préparer un petit dîner. Et, on avisera pour que tu évites de penser à lui le restant de la soirée. Ça te convient ? »
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Peut-être qu'il avait raison, peut-être qu'un électrochoc me ferait du bien. « Le problème c'est que j'ai déjà fait deux comas, une overdose et une fausse couche » Je ne précisais pas l'enfance de merde que j'avais eue non plus. Le problème, c'est que je ne savais plus où j'en étais, je ne savais plus comment faire pour me séparer des problèmes qui me collaient à la peau, je ne savais plus comment rentrer dans le droit chemin. Je ne voulais plus de ma vie, mais la mort ne voulait pas de moi non plus. Disons que je n'avais pas encore trouvé LE truc pour me faire avancer. Enfin, si. Le bébé, mais Alexander et moi n'étions plus ensemble et je n'avais pas "survécu" à cette rupture. Je me laissais aller dans les bras de mon colocataire, tandis qu'il me faisait comprendre qu'il passait sa soirée en ma compagnie. Il fallait que j'arrête de picoler. Fallait que j'améliore ma vie. Il le fallait vraiment, sinon, j'allais me laisser mourir. J'arrêtais sa caresse, légèrement perturbée par ce contact. Néanmoins, j'acceptais finalement de passer ma soirée avec le jeune homme. « C'est parfait » lui confiais-je en souriant. C'était un programme excellent pour cette soirée et je ne pouvais que remercier Samaël de prendre soin de moi de cette manière. Je me redressais donc, tanguant un peu à cause de l'alcool avant de finalement me diriger vers la salle de bain. « Tu vas nous préparer quoi ? » Comme dîner.
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