i can fell your heart beating ✩ maxwell

Devoir, ce mot te filer la gerbe et pourtant tu en avait pas mal sur les épaules. Entre le je t'aime sincère et larmoyant que tu avais échanger avec Maxwell et l'article du CS tu avait pas mal de devoir entre Maxwell. D'abord le devoir d'être une bonne amie en allant lui demander si il aller bien et le devoir de lui donner une vrai réponse, une vrai explication à cette nuit là, ou tu l'avais salement manipuler pour en arriver à tes fins. Tu savait pas comment faire, comment réagir, alors tu as juste demander à Maxwell de s'en aller. Parce que tout ça t'échapper, et que tu n'as fait aucun effort pour le comprendre. Pourtant c'est ton meilleur ami et tu te devait de prendre en compte ce qu'il ressent, d’essayé de te mettre à sa place, parce que les amis sont fait pour ça. Alors tu lui avait demander de venir au café du coin, en mode rendez-vous secret. T'avais même mis une paire de lunette de soleil pour pas qu'on te reconnaisse, pour pas que CS s'en mêle surtout. Il t'avais déjà causer assez de problème comme ça, ce fouineur. Moi aussi j'peut raconte du crack sur tout le monde, et mettre des photos compromettante de Noa en slip entrain de manger des céréales, et écrire : attention, Noa se déchaîne !!! comme description, c'est pas ce que j'appel de l'info moi. « Max ! » dis-tu sifflant, avant de te caché sous le menu, comme si t'étais une totaly spies en mission secrete. Personne ne doit s a v o i r.  

@Maxwell F.-Steadworth

Ah oui, c'est vrai je dois aller à ce putain rendez-vous... Dis-je me tapant le visage avec ma main droite d'un air assez blasé, tout en allant prendre une petite douche pour ensuite enfiler mes vêtements. Je ne savais pas ce qu'Alaska avait derrière la tête depuis notre dispute. Et pourquoi elle voulait m'inviter au café du coin, alors qu'on ne se parlait plus du tout. Elle m'ignorait tout le temps, des fois j'essayais de l'aborder pour m'expliquer sur la raison de mes sentiments que j'avais pour elle. Mais sa seule technique c'était de me fuir constamment en m'ignorant comme si j'étais un fantôme, comme si j'étais un monstre qui lui avait fait tant de mal. Alors que j'espérais tout simplement son bonheur, sauf qu'elle ne voulait pas le comprendre. Franchement c'était trop  bizarre, et pourtant je croyais qu'elle m'avait oubliée depuis longtemps. Peut-être qu'elle tenait toujours à moi malgré qu'elle ne l'assumais pas ? Pourquoi pas, je n'en avais aucune idée personnellement. Alaska était si compliquée comme fille, il y a tant de choses que je ne connaissais pas encore à son sujet. Pour moi, c'était pire qu'un labyrinthe ou tu ne pouvais pas t'en sortir. Tout cette histoire était entièrement de ma faute, parce que je lui ai menti sur mon orientation sexuelle pour un peu plus me rapprocher d'elle facilement. En vérité je n'étais pas du tout gay mais plutôt hétérosexuel. Puis, fallait se l'avouer que CS avait beaucoup trop mit de l'huile sur le feu avec ses putains de rumeurs. La plupart du temps, ses sources ne sont pas fiables. Personne ne connaissait l'existence de cette personne qui se cachait derrière son écran d'ordinateur, peut-être un petit geek boutonneux ? FORT POSSIBLE ! Je me rendais au lieu de rendez-vous en remarquant Alaska qui me sifflait discrètement en mode agent secret comme dans les films d'actions. Surtout avec ses lunettes de soleil, elle n'était pas vraiment discrète hein. Bon, qu'est-ce que tu veux me dire Granger ? J'espère que c'est très important. Dis-je en m'asseyant sur la chaise sans laisser un signe expressif sur mon visage. Parce que tout simplement j'en avais pas envie, elle ne méritait pas mon sourire avec tout son caca nerveux.  

C'était pas facile de jongler entre Maxwell et Lucas, et essayer de trouver un juste milieu entre les deux, sans pour autant faire ressentir à l'un que l'autre n'est pas désirer dans certaine situation, t ne jamais prendre partit, c'était la chose la plus dur à faire. Mais t'étais sure qu'avec un peu d'entraînement ça aurait marcher, tu aurait finit par réussir à trouver la balance entre les deux, mais Max en a décidé autrement, en te disant qu'il t'aimais, c'est comme si il te forcer à le choisir, et ça t'avais beaucoup bloquer. Il s'assoie en face de toi en soupirant, je rêve, c'est lui qui soupire ? Si tu t'es retrouver dans le stupide article du CS c'est bien de sa faute, non ? Tu roules des yeux. « Tu sais ce qui est très important ? Ma réputation. Je suis boursière, je peut me faire expulser pour avoir peint cette fresque dans les couloirs de la lowell house, et au lieu de m'arrêter et de me remettre sur les pieds sur terre, t'as préféré me hurler ton amour et tes mensonges au visage, alors fait pas le mec vener, parce que t'es pas en position de le faire. » tu poses le menu en claquant presque des mains sur la table et enleve tes lunettes pour froncer tes sourcils, d'un geste tu appel le serveur pour prendre un chocolat chaud, histoire de te calmer un peu, et revenir sur le sujet initiale : excuse, mécontentement, remise à zéro, explication, prêt ? Action. « Je suis désolée d'avoir réagis comme j'ai réagis. J'ai un énorme problème avec l'amour en générale, et je pense que j'étais pas prête à entendre tout ça, et vivre cette scène larmoyante alors que du LSD planer encore dans mes veines. J'ai pris le temps de réfléchir et j'peut pas me passer de toi dans ma vie, même si j'aime pas les menteurs, je suis attacher à toi maintenant, et j'arrive plus à imaginer ma vie sans toi, alors est-ce qu'on peut juste effacer tout ça et faire comme on faisait avant ? » parler, rire, manger des knocki, rire encore, se foutre de la gueule des gens, parler encore et encore, jusqu'à en avoir la bouche pâteuse.

J'avoue que ça me faisait quand même plaisir qu'Alaska pense toujours à moi. Étant donné que ça fait plusieurs jours qu'elle ne me parlait plus à cause de l'autre jour. Et j'avoue que cette situation m'avait rendu malade, je l'aime cette fille putain de merde. Je devais lui avouer mes sentiments une bonne fois pour toute, ça faisait des mois et des mois que je faisais ce rôle de gay qui ne m'allait pas du tout. C'était très difficile d'en parler en face à face, surtout pour elle qui croyait que j'étais gay depuis le début. Je comprenais parfaitement sa réaction, même si je l'avais mal pris sur le moment et que j'étais très triste qu'elle me dégage comme un chien. Mais bon, je me disais tout le temps pour me rassurer que c'était sous le coup de la colère et que ça allait passer. Puis, il faut savoir un peu pardonner ses amis. Sérieusement ta réputation est si importante pour toi ? Et alors, moi aussi j'ai une réputation je te rappelle Granger. CS m'a ficha devant tout le monde avec ses informations, maintenant presque tout le monde le sait. Ce n'est pas pour autant que je suis mort. De plus, je t'ai avoué mes sentiments parce que je le devais impérativement. Pourquoi ? Parce que ça faisait des mois et des mois que je faisais le gay avec toi, et que j'en avais marre de me cacher derrière un rôle qui ne correspondait pas. Je la regardais bien dans les yeux, je voulais bien lui faire comprendre que mes sentiments étaient vrais, que ce n'était pas du tout du fake pour jouer avec elle. Non, ce n'était pas mon but de faire ça, surtout avec la fille que j'aime. Mais elle ne voulait pas me comprendre tellement qu'elle était têtue comme fille, tant pis pour elle j'ai envie de dire. Arrête de mentir, tu ne tiens pas à moi, arrête de dire de la merde et soit sincère avec moi s'il te plait. Je ne peux pas rester ami avec toi, je ne peux pas faire le faux cul en faisant comme si que rien ne s'était passé entre nous. Je t'aime plus que tout bordel de merde, mon but ce n'est pas de te séparer de ton Lucas mais il fallait que je t'avoue enfin. Tu comprends ou pas ce que je veux te dire ? Oui, j'ai passé de bons moments avec elle en faisant diverses sorties rien que nous deux avec nos petits délires les plus fous. Mais comme je l'ai dit précédemment, je ne pouvais pas faire le faux cul et oublié tout ce qu'il s'était passé ce soir-là. Impossible, si elle veut vraiment tout oublier et passer à un autre sujet bah pas moi.

« Peut être que tu aurais du auditionner pour un autre rôle que celui du meilleur ami gay dans ce cas ? Peut être que, les choses ce serait dérouler différemment si tu avais directement annoncer la couleur ? » il y avait pas penser à ça ? Que ce serais plus simple si depuis le début il t'avais juste dit : je pense que tu me plaît ? Pas de mensonge, pas de cachotterie, pas de doute, pas d'enquête pour savoir qui dit quoi, qui pense quoi, pas de mise en scène pour qu'il se fasse attraper, RIEN. Juste la simplicité, et peut être un coup tiré vite fait dans les toilettes, à la Granger. Mais non, on en est là maintenant, il sait tout sur toi, toi de même, du mois le peut de chose vrai qu'il est dit. Et tu es beaucoup trop attacher pour l'ignorer le reste de ta vie. Tu fronces les sourcils, lui aussi, et le ton monte, un peu trop à ton goût, mais tu restes calmes, parce qu'il est hors de question que le CS soit de nouveau au courant pour tout ça. Est-ce que tu ment ? Non, explique lui, calmement. « Tu veux que j'arrête de mentir ? D'accord : tu m'as bousiller. Avec ton amour surtout de nul part, tu m'as briser quelques chose à l'intérieur. Comme si mes parents et la vie en généralement m'avais pas déjà assez briser, il a fallut que tu rajoutes à ça : le pauvre meilleur ami qui cache ses sentiments et faire de moi: l'horrible meilleure amie qui brise le cœur de tout ses prétendants. Et j'sais pas ce que t'as fait, mais ta déclaration m'a détruite. » tu marques une pause, ravale ta salive et revoit la liste des choses qui sont arriver à cause de lui, ou plutôt : à cause de cette déclaration qu'il t'a fait, qui a réveiller en toi, cette pauvre gamine incapable de donner une définition au mot aimer. « J'fais un break avec Lucas, j'ai fait une crise de bipolarité, ma sœur est venu me récupéré dans le caniveau devant le night club et je suis incapable d'appeler mon ex-petit ami pour lui dire que je l'aime, parce qu'au fond de moi, je revoit tes mains sur ma joue, les larmes sur ton visage, entrain de me dire que je suis la femme qu'il te faut, et que t'avais juste pas envie de me pénétré. » le serveur pose le café, j'crois qu'il a entendu ou qu'il faut genre, parce qu'il pose le café en te regardant chelou et déguerpis aussi tôt, tu te laisse tomber dans ta chaise et soupire. Faut que ça cesse, faut qu'il arrête de t'aimer, ou que vous redeveniez comme avant, parce que ça ne peut plus durée. Tu ne peut plus endosser tout cette amour sur toi, en sachant que tu ne pourras jamais lui rendre en retour.  

Oui je sais que j'ai fait une grosse erreur, oui j'aurais dû te l'avouer bien avant et j'en suis désolé mademoiselle Granger. Mais je n'y arrivais pas, à chaque fois que je te voyais dans les couloirs d'Harvard je me disais tout le temps ''Aller, vas-y je me lance'' et quand je m'approchais de toi je changeais de sujet parce que j'étais tout simplement bloqué et c'était plus fort que moi. Tu crois que des sentiments c'est si simple que ça ? Surtout pour avouer à la personne que tu aimes tant depuis de nombreux mois ? NON, TU TE TROMPES MA PAUVRE FILLE. Tout le monde fait des erreurs, moi le premier bien évidemment. Monsieur Steadworth, celui qui détruit sa vie pour rien alors qu'il mérite amplement une vie belle et saine comme tout le monde. Bah non, c'est tout le contraire de ce que tout le monde souhaite pour moi. Je gâche tout en faisant des conneries et en faisant tout et n'importe quoi. Mais c'était plus fort que moi, fallait que je parte en couilles comme ça. Je portais malheur à tout le monde et c'était ça un peu ma vie en quelques mots, un enfer où je ne pouvais malheureusement pas m'en sortir pour l'instant. Petit à petit, le ton commençait à monter entre nous, les gens nous observaient discrètement pour savoir ce qu'il se passait en réalité. Mais on s'en foutait complètement d'eux vu qu'on était dans notre petite bulle et que le monde avait disparu autour de nous. Je t'ai bousiller ? Ah ouais, nah mais ok. T'aurais peut-être préféré que je fasse encore le faux cul avec toi en faisant le petit gay qui te suivait comme un toutou pour choisir tes vêtements ? Tu ne veux pas me comprendre, ok tu fais ce que tu veux c'est ton problème mais en tout ne me fait pas chier avec tes histoires. J'ai tout fait pour toi, je t'ai soutenu jusqu'au bout dans ta peine et toi tout ce que tu me rends en retour... Que d'la merde, j'ai l'impression de ne pas avancer dans ma vie ! Je marque de même une petite pose en ravalant ma salive, tellement que j'étais énervé j'ai cru que j'allais défoncer la table sur le moment. Prêt a continuer le débat mon colonel. Je m'en fous de ton Lucas, je m'en fous de ce gros con de mes fesses, t'as compris je m'en fous de lui que tu fasses un break ou pas. C'est notre histoire et pas la sienne, t'as que lui dans la gueule ou quoi ? CE TROUDUCUL QUI TE FAIT QUE DU MAL, ET TOI TU CONTINUES AVEC LUI. T'es pas croyable Alaska, je ne te comprends pas bon sang. Moi je t'aime au plus profond de mes tripes, t'es la fille avec qui... Avec qui je me sentais si bien, bordel de merde ! Tellement que la colère me montait dans la tête, je me lève directement de mon siège en me précipitant en mode Super Sonic vers la sortie comme un fou du Pinkberry. J'avais vraiment besoin de l'air, j'avais besoin de respirer parce que je ne pouvais pas rester une minute de plus dans cette chaleur.  

Okay, il en avait clairement rien à faire de Lucas, tu l'avais bien compris. Et il ne veut pas non plus redevenir ton ami et effacer tout ce qui vient de se passer, pourtant, tu en avait besoin. Tu avais plus besoin d'un ami que d'un supposer mec amoureux de toi, et près a écrabouiller tout les gens sur son passage pour t'avoir rien que pour lui, comme dans un épisode de The 100. « JE LUI FAIT DU MAL ! Pas lui, moi, et j'te fait du mal aussi, et je fais du mal à tout les gens qui m’entoure, alors pourquoi tu veux encore faire partit du tableau de chasse des victimes d'Alaska Granger ? » tu piges pas, si t'as bien compris qu'il t'aimais, mais pourquoi toi ? Pourquoi pas une autre ? Qu'est-ce que tu as que les autres non pas ? Tout ce que voit c'est une briseuse de cœur professionnelle, mélanger a une bipolaire incapable de se contenir. Tu baisse la tête, encore une déclaration d'amour, il s'entraîne à les dires ou quoi ? Tu roules des yeux, incapable de riposter face à tout cette amour, tu hausses tout simplement les épaules. « Tu sais que je ne peut pas être avec toi. Tu peut pas me forcer à arrêter d'aimer Lucas pour t'aimer toi, c'est tout aussi égoïste que ce que moi j'te demande. » vous vous demandez mutuellement d'effacer vos sentiments, toi tu lui demande d'effacer ses sentiments envers ta personne et lui te demande d'effacer les tiens envers lucas, vous êtes tout deux des égoïstes romantique.

PARCE QUE JE T'AIME TOUT SIMPLEMENT. Mais tu ne veux pas me comprendre, tu préfères être têtue toute ta vie et ne pas m'écouter. Normal tu es Alaska Granger, c'est plus fort que toi et personne ne peut te changer. Lui répondais-je d'une sincérité absolue en la regardant dans les yeux pour lui bien faire comprendre mes pensées. Alaska c'est une fille têtue, fallait se l'avouer mais elle avait un bon coeur au fond. Elle était toujours là pour ses amis quoi qu'il arrive, elle essayait toujours de bien faire les choses pour ses proches mais c'était tout le temps le contraire malheureusement. C'est pour ça que j'aimais cette fille, pour ses qualités, ses défauts et de plus sa beauté physique qui coupait mon souffle quand je la voyais arrivée devant moi. Ecoute, je resterais toujours ton ami. Mais dit toi une seule chose, les sentiments que j'ai pour toi ont toujours été sincère depuis le début, et même jusqu'à la fin. Rappelle toi de ça, jusqu'à ta mort Granger. Je n'ai pas écrit de texte pour retenir mes paroles par coeur, non ça vient de mes tripes. Je te souhaite vraiment d'être heureuse dans ta vie, que tu es un mari qui t'aime profondément, que tu es de beaux enfants et un avenir meilleur en espérant voir tes magnifiques tableaux dans un musée. Bah voilà, je lui avais enfin tout dit de ce que j'avais sur le coeur. Franchement, ça me faisait amplement du bien de tout lui déballer dans la face et d'enfin évacuer le stress qui m'envahissait dans mon quotidien. Je me sens enfin libre, mieux dans ma tête en espérant qu'elle me comprenne un petit peu de ce que je venais de lui dire à l'instant.

Tu ne pouvais pas répondre à cette amour. Tu ne trouvais plus d'argument, tu été juste à bout d'argument, de souffle, d'idée, tu ne peut pas lui demander d'effacer ses sentiments et encore moins de te forcer à en avoir pour lui. Pourtant tes yeux sont rester scotcher à ses lèvres pendant tout son discours, il aurait fallut de quoi ? Une vingtaine de centimètre pour que tu puisses le faire taire en posant tes lèvres sur les siennes, et ressentir tout son amour le long de tes veines. Mais ce serais lui faire du mal, et du mal tu en fait déjà assez autour de toi. Tandis que ton cœur battre la chamade en l'écoutant, ton corps te lâche, des larmes coule le long de ton visage sans que tu puisses comprendre pourquoi. Tu reste adosser à ta chaise sans rien pouvoir dire, ni faire, juste l'écouter passer ton bonheur avant le sien. Chose que personne ne fait jamais dans ce monde, à la fin de sa tirade, ton corps tremble encore et tu finit par essayer le tout de tes manches à présent tremper. « Qu'est-ce que tu attend de moi ? » clairement. Il fait passer son bonheur avant le tiens, il dit à qui veux bien l'entendre qu'alaska granger est l'amour de sa vie, mais tu ne peut rien faire, tu ne fais que subir son amour, alors tu veux savoir : « Qu'est-ce que je doit faire pour qu'on soit comme avant ? » quand tu pouvais lui parler de ta famille de barge, de tes notes, de tes fanfiction, de tout. Quand il été le seul a qui tu pouvais tout confier.

Rien, je n'attends rien du tout de ta part. Tout ce que je te demande c'est de rester forte, de vivre ta vie de ton côté et de ne pas penser à moi. C'est tout, simple comme bonjour. Puis arrête de pleurer, je vais commencer à m'y mettre à cause de toi. Lui répondais-je en riant nerveusement pour ensuite lui faire un gros câlin avec tout mon amour à l'infini. Voir son corps lâché, si triste avec ses petites larmes me faisaient du mal, même beaucoup trop. Je n'aimais pas la voir comme ça, je préférais la voir heureuse avec sa petite joie de vivre. La situation devenait de plus en plus difficile pour moi, je devais rassurer Alaska pour ne pas quelle tombe aussi dans le stress, comme moi je l'ai été quand j'ai été dégagé par elle de la Lowell House. Je voulais absolument oublier tout ce qu'il s'était passé ce soir-là, j'en avais fait des cauchemars tellement que ce passage m'avait marqué l'esprit à vie. Vous allez vous dire ''à ce point-là mon petit Steadworth ?'' Bah oui, et c'était vraiment agaçant au plus au point de refaire les mêmes cauchemars. Heureusement pour moi je n'ai plus rien qui me trotte dans la tête à partir de maintenant. Depuis que j'ai tout évacué avec ma sincérité. J'en sais rien, je ne sais pas Alaska. Avouais-je en la lâchant petit à petit tout en séchant ses pauvres larmes avec délicatesse. Je ne savais pas ce que je voulais réellement, j'étais complètement paumé sur le moment, ne savant pas vraiment quoi lui dire.