Andrea ‡ Why do you hate me?

Elle s'amuse de la réponse d'Andrea avant de réfléchir à son tour. « Je ne sais même pas si j'ai testé toutes les confréries. » rétorque-t-elle à son tour. A bien y réfléchir sans doute que oui, Cabot compris... Mais peut-être pas de Dunster en fait. On ne mélange pas travail et partie de jambes en l'air. Bien qu'avec Priape, ça avait faillit déraper, ils n'étaient pas allés jusque là. Et heureusement finalement. Un sourire en coin naît aux contours de sa bouche lorsqu'elle s'offusque de sa réponse sur ses origines. Zoïa n'a pas sa langue dans sa proche. Que ça plaise ou non. « Et que faisais tes parents là bas ? » continue-t-elle sans se démonter. « Tu dois quand même admettre que la plupart des afghans sont plutôt bruns et basanés non ? C'est pas raciste, juste réaliste. » Un sourire entendu parvient à ses lèvres tandis qu'elle déguste une nouvelle gorgée d'alcool. « Juste ukrainienne, allez c'est en Europe aussi va. C'est pas la même chose ? » Bien sûr que non mais un peu d'ironie n'a jamais fait de mal. Elle était donc arrivée voilà neuf ans et sans doute que sa vie de là bas et celle d'ici n'avaient rien à voir. Finalement, cette jeune femme était bien plus intéressante qu'elle n'aurait pensé au premier abord. Sa vie à elle paraissait bien fade, mais de toute manière c'est toujours ce qu'elle avait été. Sa question la laisse pensive, pourquoi elle ne s'est pas tapée Priape ? Parce que c'est lui qui a fuit le premier, fallait bien avouer. « On avait surtout envie de boire et de s'éclater, alors je pense qu'on a fini trop pitoyable pour y songer tu vois. »Elle rigole à son tour, faussement légère sur un sujet qui était tout pour elle sauf léger. « Et puis ce n'est pas plus mal, ma cousine m'aurait décapiter pour ça. » Pendue haut et court par la présidente, voilà une mauvaise fin pour le Diable qui s'habille accessoirement en prada. Un regard de coin lui rappelle qu'Andrea ignore peut-être l'identité de la cousine en question, sans doute pour ça qu'elle rajoute d'un air entendu. « Talya. » Ma cousine, la présidente, la Blondinette parfaite tu sais. « L'homme parfait c'est Jasper je suis désolée. » rétorque-t-elle en se moquant à son tour. Bien que Priape soit doué pour la course à ce trophée, aucun doute. « Toi aussi tu as envie de les dérider les hommes parfaits avoue ! » lance-t-elle avant de glousser à son tour. Les Dindes sont de sortie mais c'est bon de lâcher-prise et de se moquer, même de soi, parfois.

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Je ris légèrement à sa remarque. " Va falloir remédier à ça Zoïa.. Je veux un rapport sur qui sont les meilleurs coups de l'univ " Comme si ça allait me servir ... Quoi que, on sait jamais. Un coup de rein par ci, un coup de rein par là, ça n'a jamais tué personne, loin de là. Il y a des tas de filles qui changent de conquêtes comme elles changent de string alors pourquoi pas moi ? C'est l'éternelle question ça. Pourquoi elles et pas moi ? La question à un million ! " Ma mère est infirmière, elle avait un programme d'échange avant de savoir qu'elle était enceinte puis, on est restée là haut " Avec ma mère. Clairement pas mon père. Je ne savais même pas qui il était jusqu'il y a six ou huit mois. Je sais plus trop, j'arrive pas franchement bien à réfléchir. " Pas faux. J'étais la seule blonde aux yeux clairs. Et toi la seule rousse d'Ukraine ? " Demandais-je en riant légèrement. Oh, je devrais peut être lui dire que son cher tonton a été mon deuxième papa pendant de nombreuses années. Jusqu'à ce que sa cousine chérie débarque ici et qu'il nous abandonne comme une vieille paire de chaussettes moisies. Oui, rien que ça ! Je l'écoute et lève les yeux au ciel. " L'alcool c'est n'importe quoi comme excuse. À moins que ça ramolisse son spaghetti.. " Je glousse légèrement. J'étais sérieusement entrain de parler de l'anatomie de ce cher grec ? Oui, clairement. " Ça lui aurait fait les pieds et elle se serait peut être dit que se taper mon premier amour n'était vraiment pas quelque chose à faire " Oh. Mais attendez. Talya n'a pas de conscience. Elle trompe Priape, elle pleure sur lui et fuis à l'autre bout du globe pour qu'il revienne la chercher. Moi j'appelle tout ça de la manipulation. Ma-ni-pu-la-tion. Oui, je suis en colère contre elle, contre celle que je pensais être mon amie. Pensais. Parce que si je pouvais l'égorger, je le ferais. Et je ne suis pas prête de lui pardonner ce qu'elle a fait même si Maxime, clairement, je m'en tape le coquillage. J'ai tiré un joli trait indélébile sur lui. Et puis, franchement, on ne ravale pas son vomi. Priape l'avait fait mais moi, non merci. Je qualifie pourtant Priape d'homme parfait. Bon, pas si parfait que ça. " J'connais pas vraiment Jasper. S'il revient dans le coin, je ferais donc sa connaissance. Il est plutôt doué sous la couette ? " Je demande ça le plus naturellement du monde. Oui oui... Ça m'intéresse bien de savoir moi. " Ouai... Mais en fait, je cherche l'homme parfait au lit. Les sentiments, les bisous et les câlins en public, beurkk " Je grimace avant de rire légèrement. Vraiment Andrea ? Bourrée, défoncée, la totale. Mais tout ce que je dis, c'est du vent. Je veux de l'amour, du vrai. L'homme parfait, gentil, beau, orgasmique et doué avec ses mains, sa langue et son spaghetti ! " Mais je crois que je vais me mettre aux femmes tu vois. Peut être moi casse-ovaire, non ? " Je sais pas. Je sais même pas si Zoïa est passée dans le lit d'une femme mais je lui demande. Elle est quand même super sexy alors on sait jamais ! Je finis mon verre et cligne des paupières à plusieurs reprises. " T'sais quoi, je t'aimais pas parce que t'étais trop proche de Pri et que ça faisait chier Talya mais en fait, t'avais raison " Petit couple gnan gnan, lemme die !

Un sourire peint furtivement le mutin de ses lèvres. « Je ne lâche pas mes bonnes pistes comme ça, tu crois quoi ? Donnant donnant. » Parce qu'après tout, elle ne va pas lui mâcher le boulot sans rien en échange non ? Elle acquiesce alors qu'Andra lui explique la raison de son enfance en Afghanistan. C'était finalement assez simple à expliquer. Elle sourit à sa remarque en laissant ses doigts glisser sur le verre. « Oh ma mère est ukrainienne mais mon père est américain. J'ai grandi à Philadelphie. Je suis allée en ukraine que pour les vacances, mais je t'avoue que les rousses ne courent pas les rues là bas. Ni ici d'ailleurs. » A part en irlande, y'en avait pas vraiment. Elle fût étonnée toutefois de ses paroles au sujet de Priape et Talya. « Attends, Talya c'était pas genre ton amie ? » De mémoire, c'est ce qui lui avait semblé mais bon, mentalement, elle avait toujours répertorié les possibles alliés, juste au cas où. Parce que les personnes qui n'étaient pas amadoués par la gentille Talya étaient rares. Talya était surtout égoïste mais bon. Elle avait un don particulier pour jouer les victimes. Enfin, cela ne la regardait plus, maintenant qu'elle tentait de faire des efforts. « Et Priape, c'est ton premier amour ? » lance-t-elle en écarquillant les yeux. Elle boit une nouvelle gorgée pour se remettre, finit même le verre. « J'aurais sans doute pu croire aux hommes si mon premier amour avait été Priape. » conclut-elle avec un sourire presque nostalgique et un regard complice vers sa nouvelle compagne de soirée. C'est qu'il faisait chavirer bien des cœurs le tendre Grec. Elle a un sourire entendu lorsque Andrea lui fait part de ses vœux pour la vie sous-couette. « Alors Jasper est ton homme. » rétorque-t-elle en riant doucement. Malgré sa lisse apparence, il se révélait être bien davantage dans l'intimité. Elle commande un nouveau verre d'un geste de la main et s'amuse des dires de la jeune femme. « T'as jamais essayé ? » Un sourcil se hausse avant qu'elle ne reprenne. « C'est sympa aussi, une compagnie voluptueuse. » Zoïa n'était pas dérangée par l'apparence de ses compagnies nocturnes, la beauté était partout selon elle. Elle hôche la tête avant de sourire à nouveau. « Merci. » Pour ces simples paroles vraiment, et alors elle lui tend sa main aux doigts tatoués. « Enchantée, dans ce cas. » Parce que peut-être que quelque chose de nouveau démarre entre elles, n'est-ce pas ?

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" Tu veux quoi en échange ? " Demandais-je avec un large sourire. J'étais presque sérieuse. Bien entendu, coucher à tira larigot avec tout le monde est n'importe qui, c'est vraiment pas mon genre. Ça ne l'a jamais été et ça ne le sera jamais mais si je m'ennuie, si je suis triste et que j'ai envie de me mettre quelque chose sous la dent... Coucher avec un homme sera toujours moins calorique que de bouffer un pot de glace hein ! " Mais c'est cool d'être unique avouuuue ! " Pas beaucoup de rousse ici ou là bas. Bah pas grave, ça ne la rend que plus attirante. En tout cas, Zoïa est vraiment très jolie et j'acquiesce quand elle pointe du doigt le fait que Talya était mon amie. J'aime le temps qu'elle utilise. Talya, poubelle, c'est du passé. Mais quand elle parle de Priape comme étant mon premier amour, je pars dans un fou rire. Non non. Oh que non. Qu'est-ce que je le détestais celui là avant ! " Nan. Maxime Jackson, français, mather plutôt sexy. C'est lui mon premier amour. J'ai pas eu le temps d'arriver en Afghanistan en septembre qu'ils couchaient ensemble. Top l'amie t'as vu " Une vrai garce celle là. J'avais juré faire des efforts mais non, c'est mort. Je ne peux pas. Je n'aime plus Maxime, qu'il crève dans son coin, mais je ne pouvais pas lui pardonner. Trop difficile pour moi. Elle ne m'aurait jamais pardonné si j'avais couché avec son cher Priape. " Ouaiiii ! Si ça avait été lui mon premier amour, j'aurais pas été me faire troncher par un autre heiiin " L'alcool délie ma langue et pas qu'un peu. On entendait bien ma rancoeur dans ma voix, dans les cinglants que j'utilisais mais franchement, je m'en contre fiche ! J'enregistre ce qu'elle me dit sur Jasper. Ça me fait doucement sourire. Je ne l'imaginais pas comme ça notre ancien président ! Mais après tout, chacun fait ce qu'il veut. Je finis mon verre, en redemande un et secoue la tête à la négative. " Nope, jamais essayé. T'sais, je suis pas forcément à l'aise. Avant de repartir en Afgha, j'avais couché qu'avec Max de toute ma vie " Et ouai. Max, le seul et l'unique. Mais ça, c'est du passé. Il y en a eu d'autres depuis. Quelques belles paires de fesses. Je ris légèrement et sers sa main. " De même " Je glousse légèrement avant de me concentrer sur mon verre. " J'me rends compte que j'ai vraiment donné ma confiance aux mauvaises personnes ! Mais bon, c'est pas bien grave ça. Parce que je ne compte plus me faire avoir " Et pourquoi je me confie là ? Je crois pas que Zoïa va critiquer sa cousine avec moi. Dommage. " Alors, entre Priape et toi y avait quoi ? " Demandais-je le plus sérieusement du monde, sirotant mon verre, perdue dans son regard.

Finalement, elle était bien plus fun qu'elle n'aurait pensé au prime abord cette Andrea. Il faut dire que lors de la dernière soirée action ou vérité des Dunster, la jolie Blonde n'avait pas été des plus loquaces mais sans doute avait-elle des excuses pouvant expliquer son état lors de cette soirée. Car là pour le coup, Zoïa s'amusait. Elle passe un doigt sur son index. « La même chose de toi. Je te donne mes bonnes pistes et toi les tiennes. » s'amuse-t-elle en riant. Même si elles étaient sans doute plus sérieuses qu'elles en avaient l'air. Ou pas. Blonde en plein Afghanistan, c'était original, tout comme être d'origine ukrainienne et rousse comme le feu. « être commune, c'est juste insupportable. » accorde-t-elle en balayant ses paroles d'un revers de main. Zoïa ne laissait pas indifférent. On l'aimait ou on la détestait et cela lui allait très bien. Etre invisible pouvait être parfois la pire des punitions. Elle avait cru que Priape était le premier amour de la Dunster, après tout, une de plus ce n'était pas impossible. Mais elle s'était trompée. La jolie lui parle de Maxime. « J'ai déjà entendu parler de lui mais je ne le connais pas du tout. » Bien qu'elle connaisse pas mal de Dunster, elle ne cotoyait pas encore tout le campus, même si ses sept années d'études aidaient à connaître pas mal de monde. Elle se met à rire face au franc parler d'Andrea, cette fille n'a pas sa langue dans sa poche et ça lui plaît, même si elle imagine que ça doit parfois faire des dégats. La Rousse écarquille les yeux alors que l'Afghane lui confie avoir eu une vie sexuelle plutôt sage auparavant. « Et ben ! Tu devais vachement t'ennuyer. C'est comme porter qu'une seule robe quand y'en a plein. » Oui Zoïa considérait ses partenaires nocturnes comme des fringues, ça résumait bien sa vision de l'amour en fait. Pourquoi s'arrêter à une seule personne ? Alors que celle-ci finira inexorablement par se détourner. Si ce n'est pas vous d'abord. Ou pire encore, une routine s'installerait, et la Solitaire s'entêtait à la fuir face au tic tac oppressant d'une courte vie. Un sourire étire les lèvres mutines alors que sa Camarade lui avoue s'être trompée sur son compte. Ça paraît peut être simple, mais ça lui fait plaisir quelque part. De gagner une bataille face à Talya, même si elles sont censées ne plus être en guerre. « Il faut se méfier des têtes d'ange, les méchants ne sont pas forcément toujours ceux qu'on croit ou qui s'en donnent l'air. » Non, c'est là juste une façon de se protéger. Il y a souvent moins à craindre d'une carapace que d'un sourire trop avenant pour être honnête. C'était ça , la façon de voir les choses de Zoïa. Mais beaucoup se trompaient sur son compte. Peu importe, puisqu'elle n'avait aucune vocation pour la popularité de toute manière. Celle-ci d'ailleurs toussote légèrement face à la franchise de la question de sa nouvelle copine. Elle ne se voit pas tout lui confier alors qu'elles se connaissent à peine et qu'elle ne se confie à personne. Elle inspire puis décide de répondre quand même. « Tu me détesteras peut-être après ça, tu sais ? » rit-elle avant de reprendre. « On se détestait, et puis le temps a changé les choses entre nous. Mais maintenant il est avec Talya alors on s'est éloignés. Voilà. » C'était ça leur situation en fait. « Et toi, y'a quoi avec Priape? » demande-t-elle avec un petit sourire. Parce qu'elle a bien remarqué qu'ils étaient proches lors de la dernière soirée de la confrérie.

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Elle veut mes bonnes pistes en matière d'hommes ? Well, elle allait être perdante sur ce coup parce qu'à part Maxime, Stuart et Andrew, personne n'était passé dans mon lit. Enfin, entre mes cuisses parce qu'on avait pas vraiment couché dans un lit avec l'héritier du trône d'Angleterre. Je souris légèrement et lève mon verre quand elle dit qu'être commune c'est insupportable. Elle a raison. Et je pense qu'elle comme moi, on a pas mal morflé quand on était gosse à cause de nos 'particularités'. En tout cas, moi j'ai morflé. Et je m'en sors mieux maintenant mais ça n'a pas toujours été facile non plus. À l'heure actuelle, je ne fais plus attention à tout ça, loin de là. En tout cas, qu'elle croit que Priape a été mon première amour m'arrache un léger rire. " Eh bien si tu veux prendre ton pied, tu sais à quelle porte frapper. Enfin, s'il vit en appartement " Riais-je amèrement. La dernière fois que je l'ai vu il vivait avec Priam et Cora mais sinon, c'était dans sa voiture qu'il aurait du passer ses nuits. Plutôt que de venir chez sa petite amie. Enfin, ex. Mais tout ça, c'est le passé et je bois une nouvelle gorgée de ma boisson pour noyer mes pensées. Ras la cacahuète de penser à ce type qui n'en vaut plus la peine. Je l'écoute et hausse les épaules. Ouai, c'est pas faux... Mais je suis pas comme ça, je l'ai jamais été et ne le serais surement jamais. Pourquoi ? Parce que j'ai été violée pendant six longues années et que, forcément, les coucheries, nope, nope, nope. Mais qui sait, peut être qu'avec l'alcool et les cachets que je prenais, j'allais finir par passer ce blocage dans ma petite tête. " Ouai mais quand on trouve sa robe préférée, les autres sont bien fades à côté " Riais-je en lui adressant un clin d'oeil par la suite. Et puisque je suis bien du genre à avoir mes préférences, je savais que je finirais par toujours retrouver vers le même homme, par tomber dans les bras d'un homme et oublier les autres, oublier les poissons dans la mer. " À moins que tu me trahisses, j'te détesterais pas tu sais " Riais-je. Et elle peut pas me trahir, on se connait pas mais alors pas du tout. On peut pas dire que notre petite entrevue y a bien longtemps pour saccager la chambre du président de l'époque nous ait permis de faire connaissance. Et le bal avec Priape, ça n'était pas vraiment mes affaires. Déjà pas le cas à l'époque mais encore moins maintenant. " Tu l'apprécies un peu trop ? " Parce que, pourquoi s'éloigner sinon ? Je veux dire, l'amitié homme-fille ça existe. " J'le détestais aussi au début parce que je trouvais qu'il faisait du mal à Talya. Puis au fur et à mesure, j'ai lâché le morceau du "les copines d'abord" et je me suis mise à sa place. Se faire tromper c'est jamais facile " Il avait fallu que Maxime embrasse cette pétasse de Babylone pour que je pète un câble. " J'ai appris à le connaître et quand plus rien n'allait avec mon ex, il était toujours là pour moi. Parties de cartes en salle de pause, un petit câlin quand j'étais au fond du trou dans lequel je m'étais placée. Fin, il est devenu indispensable pour moi " Il est venu me chercher quand j'étais ivre morte sur le toit de l'université, jouant gravement avec la gravité... " C'est devenu ce qui se rapproche le plus d'un meilleur ami pour moi. Mais c'est amical. Je pourrais jamais coucher avec Priape, même s'il était célibataire et tout. C'est un ami et j'ai besoin d'ami " finis-je par me confier. Ouai, je suis pas comme ça, je bouffe pas dans les assiettes des autres, moi. " Priape c'est le genre de mec à qui je sais que je peux tout confier tu vois, celui à qui je pourrais dire que je l'aime parce qu'il saura que c'est pas de l'amour " Ouais, il est pas con lui, il sait que je suis pas une crève la dalle.