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hey you.mise en page par mad love Tu ne pouvais pas le nier, en vérité Noah te plaisait beaucoup. Et sans doute aurait-il était un simple autre Eliot que tu te serais laissée faire depuis longtemps juste parce que tout de même, tu aimais les hommes capables de te faire la conversation après l’amour et surtout qui n’avait pas peur de montrer leurs intentions. Noah était de ce genre là, tu avais appris à le connaître l’air de rien. Il était charmant et tu l’appréciais réellement en tant que personne. L’air de rien, tu savais que tu pouvais presque lui parler sans mal, malgré vos taquineries, vous aviez parfois des moments de sérieux. Seulement le jeu était trop bon, et t’abandonner à lui le briserais quelque peu. C’était toi qui tendais toujours la cordes pour continuer de jouer avec. Mais tu aimais le chauffer, tu aimais lorsqu’il faisait de même, sans jamais que vous ne franchissiez le pas. Ca pouvait aller loin. « Hmmm, conclues cela comme tu le veux. » Tu lâches alors avec une mine énigmatique, plissant tes grands yeux bleus en gloussant un peu. Puis tu te rassois sur le lit. Tu mets enfin fin à cette histoire un peu tendue quant à vos différentes vues sur vos familles et il ne manque là encore pas de placer une petite pique, te disant que tu parles trop. Tu roules alors les yeux en lui tirant la langue. « Je ne suis pas sûre que tu m’aimerais d’avantage si je parlais moins. » Tu répliques en levant un sourcil, souriant en coin. En effet, tu n’étais pas sûre que Noah aimes vraiment les filles dociles et discrètes. Comme c’était bon de le taquiner ainsi. Tu le regardes se lever pour aller chercher un autre verre et ton regard glisse sur son corps à lui, tandis que l’air de rien, plissant les yeux tu admires sa musculature désormais adulte et son joli fessier… Rien qu’à cette pensée tu souris en roulant légèrement les yeux. Cependant tu tâches de l’écouter alors qu’il te fait comprendre que la révélation de ses fantasmes ne dépendait que de toi, tu plisses un peu les yeux, conservant ton petit sourire. « Tu ne lâcheras pas l’affaire hein. » Tu fais d’un air amusé alors qu’il fait une nouvelle réflexion sur ta robe et que pour le narguer à ton tour tu fais mine de te faire de l’air avec ta main. « Oh tu as peut-être raison, il fait chaud non ? » Et dans ton regard brille encore cet air taquin alors que tu continues de t’éventer. Et tu le regardes s’approcher de toi, cette fois lâchant quelque chose de sincère. « Je vais être honnête, c’est vrai que je suis contente de te voir et je sais que c’est réciproque, mon répondant te manquait. » Tu fais en riant, avant de te calmer un peu en le regardant se pencher vers ton cou. Tu lèves un sourcil en mordillant ta lèvre, très à l’aise l’air de rien, mais te tâtant un peu. « Hmm, qu’est-ce que tu fais ? Tu te protèges d’une gifle ? » Tu fais en le voyant s’avancer exagérément lentement. Cela te fais rire et tu glisses une main sur son torse. « Ce serait tout de même bien moins drôle entre nous si je te laissais faire, non ? » Tu fais en le caressant lentement, plongeant tes yeux dans les siens alors que tu sens des muscles dessinés sous sa chemise.
hey you.mise en page par mad love Vous étiez sans cesse en train de vous chercher sans qu’aucun ne franchisse le pas, Noah sans doute de peur de se prendre une claque, et toi pour ne pas rompre ce jeu qui te plaisait beaucoup trop. Et tu savais que l’air de rien, cela lui plaisait aussi, ce besoin sans cesse grandissant. Tu savais que plus tu le faisais attendre, plus tu te rendais désirable à ses yeux et tu te disais que le jour où ce jeu prendrait fin, sans doute que tout ça serait beaucoup moins drôle. T’étais la sensualité, la belle blonde qu’on désirait comme jamais et qui se devait de toujours dire non pour qu’on la désire encore. Pas si facile la vie d’une princesse, mais avec Noah c’était un peu particulier, parce que vous étiez des gosses quand il t’avait voulu la première fois. Vous l’étiez toujours. Parce que tu savais qu’au fond, il finirait toujours par revenir, pas seulement pour le jeu, parce qu’il devait t’apprécier un peu lui aussi, dans cette force d’apparence qui ne convainquait personne. « Je n’acquiesces pas non plus… » Tu insistas pour laisser planer le mystère, un sourcil levé pour appuyer encore d’avantage ton propos. Puis tu roulas les yeux en l’entendant dire qu’il préférait les filles qui se taisaient, n’ayant pas besoin de beaucoup de réflexion pour comprendre l’allusion perverse qu’il faisait. Du Noah tout craché. Tu ris, secouant la tête avec un sourire amusé. « Je pensais plutôt que tu aimais les faire crier..? » Tu fis avec la moue innocente de cette qui n’a rien dit. Tu le regardes se lever non sans en profiter un peu, cachant ton demi sourire derrière ton verre de whisky. Combien devait-il se taper de nana par semaine ? T’osais même pas compter, il était aussi détestable que charmant parfois. Sans doute était-ce ce qui plaisait le plus aux filles. Tu croisas élégamment les jambes tandis qu’il se rasseyait près de toi, tandis qu’il en profitait pour placer de nouveau un sous entendu quant à ton refus. C’est vrai que tu aurais dû t’y attendre, Noah ne laisserait pas tomber le grand projet de te mettre dans son lit. Et comment mentir sur le fait que cette insistance te plaisait ? « Je crois que j’avais remarqué, depuis le temps que tu me tournes autour. » Tu fais avec un demi sourire, faisant tourner le whisky au fond de ton verre, sans le lâcher des yeux. Bien sûr que t’avais envie de céder, ton addiction au sexe n’aidant en rien. Et en même temps, tu n’avais pas du tout envie de faire baisser la tension entre vous, cette dernière te ravissant. T’aimais séduire, ce n’était pas un secret et avec lui tu savais comment. Un instant plus tard cependant ses mots se font plus sincères, plus doux, et cette fois c’est un sourire touché et taquin qui prend place sur tes lèvres. Votre affection l’un envers l’autre n’est donc pas un mythe. « Quel tendre héros tu fais là. » Tu lâches alors en faisant référence à un héros de littérature précédent, vivant toujours dans tes éternels romans, on finit par s’habituer à tes bizarreries à force. Puis tu le regardes s’approcher, dangereusement, lentement de ton cou, non sans un certaine méfiance, celle de celui qui a peur de recevoir une claque. Tu ris légèrement en l’entendant. « Tu crois que je ne suis pas têtue ? Ca fait combien de temps que je te fais attendre déjà ? » Tu fais en croisant son regard plein de malice. Mais soudainement, il semble changer de stratégie, et tu fronces les sourcils en l’écoutant. Tu finis par comprendre en l’écoutant, ouvrant la bouche en -o avec un air amusé. « Tu veux jouer à ça, le bleu ? » Tu souffles et te redressant, reposant ta main sur son torse pour le faire s’allonger sur le lit, venant te mettre juste au dessus de lui en te penchant vers son visage, tes lèvres frôlant presque sa peau. « Et toi, qu’est-ce que ça fait de résister à l’envie de me sauter dessus sans me demander mon avis ? Tu sais que j’adorerai ça de toute façon… » Tu fais en souriant en coin, vous jouez tous les deux aux idiots, attendant que l’autre craque, tout en vous demandant sérieusement si ça arrivera. Tu attrapes sa main, aimant jouer, et tu la glisses sur ta taille en plissant les yeux. En vérité, t’attends que ça.