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COKA ≃ LOVERDOSE

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❝ LOVERDOSE DE COKA
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ft Diamantika.

Qu’est-ce qu’elle voulait à la fin ? Pourquoi assommer sa fierté à coups de pelle, en buvant comme un trou et ingérant comme une éponge des substances chelou, en se laissant peloter par des obsédés qui voyaient une paire de fesses en vrai pour la première fois de leur vie ? Pourquoi ? Cody détestait ce sentiment de culpabilité qui le rongeait. Parce que oui, même s’il tentait de s’en détacher, se certifiant que ce n’était pas son ex-femme, que cette personne, il ne la connaissait ni d’Adam, ni d’Eve … Il l’aimait. Dans tous ses états. Neuve et en état de marche, comme cabossée et bonne pour la casse. Il l’aimait, qu’importe si l’insouciance et la pureté coulaient dans ses veines, ou si au contraire elle était imbibée d’alcool. Elle l’aimait. Et il objectait chacun des mots de Diamantika. S’il était une institution, il s’appelle l’Autorité de la Connerie, et condamnerait en vertus de la protection de Kovache toutes ces paroles les unes après les autres. « Je- … » Elle ne lui laissait aucunement le choix de finir puisque sa bouche fut projetée contre la sienne et son corps contre le lampadaire. Il était emprisonné entre le cuir de sa veste et le corps de Diamantika qui l’attirait contre lui par les pans du vêtement. Bleeker, impuissant, gardait ses bras comme deux longues massues le long de son buste. Les paupières closes, les secondes se transformèrent en minute alors qu’un gémissement fit son éclosion, d’un fond de gorge à un autre. Mais Diamantika était un fusil d’assaut et avant même que Cody n’eut le temps de se parer pour batailler en vue d’un corps à corps passionné, elle le mutila de cette sensation de bien-être. « Non … » Mais elle était déjà partie. Sauf que Cody Bleeker refusait de la laisser filer. Trop de fois il l’avait autorisé à se casser sans dire son dernier mot. Il courut après elle sous la pluie. C’était tellement le torrent que sa course endiablée faisait autant de bruits que des pas de loups sous la tempête. Etrangement, c’est dans le hall d’un hôtel qu’il termina. Trempé jusqu’aux os, la chemise à moitié fermée et la veste recouvrant qu’une seule de ses épaules, il fit au réceptionniste, essoufflé ; « Ma femme … Elle est où ? Diamantika Kovalevski, 23 ans, 10 mars, toute en eau et une robe un peu ras-la-piscine … » Et j’peux vous dire que c’est le dernier point descriptif qui attira toute l’attention du mec de l’accueil qui lui informa sa chambre. Cody monta à l’étage, chercha le numéro de chambre et découvrit que la porte était encore entrouverte. Il se permit donc d’entrer et de bien verrouiller derrière lui. « J’peux rien faire pour demain et pour les jours suivants, mais ce soir, si, je peux m’occuper de toi. Alors tu vas te lever et aller dans la salle de bain. » fit-il en furie avant de disparaître dans la salle de bain. Il ouvrit l’eau de la baignoire et la laissa couler, en mettant des produits qui sentent bons, genre bain moussant et compagnie, avant de revenir dans la pièce principale ; « Debout Diamantika Jezobel-Ynn Reynolds-Kovalevski. » Pour le moment, il n’avait pas vraiment fait gaffe à son état. Mais elle n’avait pas eu le temps de faire quelque chose de bien méchant dans ce court laps de temps ?

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ft Diamantika.

Tu ne savais pas vraiment ce qui t'avais pris de l'embrasser de cette façon, mais t'avais eu besoin de ce contact, t'avais eu besoin de ce dernier baiser. Et maintenant que t'étais allongée sur ce lit d'hôtel, tu voulais oublier ce moment. Tu voulais oublier tout ce qui s'était passé ce soir, car tu ne te sentais pas assez défoncée. Te redressant, tu cherchais ton sac, mais tu te rendis bien vite compte que tu l'avais laissé sur le comptoir de bar du Royale. Et bah, c'est malin. Pourvu que quelqu'un ne fouille pas ton sac, quoi que, la drogue était bien cachée dans le petit paquet de protège-slip qui te suivait partout. Personne n'oserait fouiller là-dedans. Puis de toute façon, le barman te contactera demain pour récupérer ton sac. Là, tu soupirais et te laissais à nouveau tomber contre le lit sauf que... La voix de ton ex parvint de plus belle à ton oreille. Est-ce que t'entendais sa voix maintenant ? Était-ce le fruit de ton imagination ? Ou bien celle de la drogue qui signifierait que t'étais vraiment défoncée au final ?. Tu te redressais lascivement, appuyant tes deux paumes contre le lit et suivant ton ex-mari du regard sans broncher ne serait-ce qu'un mot. À la place, tu fermais et ouvrais les yeux histoire de voir si tu ne rêvais pas. Mais non, t'étais pas assez défoncé ma pauvre, car Bleeker était bel et bien dans cette chambre. T'étais même tenté de lui demander ce qu'il faisait là et pourquoi il t'avait suivi, mais tu connaissais déjà la réponse. Monsieur voulait prendre soin de toi. Mais pourquoi maintenant ? Pourquoi après que vous ayez divorcé ? Pourquoi ?. Tu aurais tellement de questions à poser que t'en aurais le tournis à force et donc, tu préférais te taire et ne porter aucune objection lorsqu'il revint vers toi pour te demander de te lever. De toute façon, même si tu refusais, il allait t'emmener de force à la salle de bain, sooo, tu préférais te laisser aller à ses petits soins. Ceci dit, monsieur n'arrêtait pas de te faire des sous-entendus sur demain et les jours suivants, qu'il crache le morceau enfin !. Anyway, une fois dans la salle de bain en grognant comme une gamine, tu restais bouche bée face au bain qu'il avait fait couler. Non en fait, tu ne croyais pas trop que ton ex-mari était ton ex-mari. Détachant ton peignoir, tu le laissais glisser le long de ton corps déjà dénudé et tu entrais dans le lit de bain. Il faut avouer quand même, que ça te faisait du bien. Posant tes bras contre le bord de la baignoire, ton menton posé sur ceux-ci, tu murmurais à l'intention de Cody. « Pourquoi ? Pourquoi tu fais tout ça ?. » Parce que t'étais pas en état et parce que t'avais été aussi son ex-femme et alors ? Pourquoi ?, Vous êtes divorcés et t'avais crié sur le coup de la colère que tu ne voulais plus le voir. Pourquoi il était encore là, pourquoi il te torturait de sa présence ce soir ? Et surtout, pourquoi tu l'aimais autant ?. Te redressant subitement, le corps vêtu de mousse, t'attrapais son poignet et l'attirais contre toi. « Tu veux prendre soin de moi c'est ça ? Alors il faut que tu prennes ce bain avec moi... » Lui disais-tu plus sérieuse que jamais dans le regard. Même que tes mains trouvèrent rapidement le chemin de la ceinture de son jean que tu retirais en déboutonnant les boutons par la suite et en le laissant retirer le reste. « Sinon, je ne le prendrais pas. » Et puis comment t'allais faire pour te frotter le dos ein ? Tu ne pouvais pas l'atteindre et t'avais même pas envie.


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Puisqu’il quittait Boston dans sept heures maintenant, Bleeker devait partir en conservant une bonne image de la ville et de lui-même. Pour qui passait-il s’il laissait son ex en détresse, à moitié défoncée, vagabonder dans les rues de la ville, si peu vêtue ? Et même, au-delà de sa conscience, il ne savait se résoudre à l’abandonner comme ça. Diamantika ne méritait pas d’être triste. De la mort de leur mariage, elle pouvait hériter d’un tas de choses, c’est vrai. Un cœur brisé, évidemment, ils avaient fait un partage en deux de cet item. Des dizaines de chemises à carreaux et peut-être trois-quatre déodorants que le jeune homme empilait dans la salle de bain de Dia, oubliant chaque fois qu’il passait une nuit avec elle qu’il en avait déjà apporté un la fois d’avant. Elle héritait aussi de lourds souvenirs à dates de péremption suffisamment lointaines pour tenir chaud l’hiver. Mais s’il y a bien une chose dont Cody refusait qu’elle hérite, une chose qui devait être jetée à la déchetterie le plus tôt possible, c’est son malheur. Diamantika ne devait pas être malheureuse. Elle était une fille à qui tout souriait chaque jour que Dieu fait, et en aucun cas il était écrit dans les grandes lignes de l’histoire que l’Eliot devait développer un appétit de baleine pour la destruction. Non. En économie, l’Autrichien Joseph Schumpeter parle de destruction créatrice pour décrire des innovations de procédé. Ces innovations peuvent prendre la forme de robots et ces robots tendent à détruire les emplois des opérateurs. Oui mais, ils transforment ces emplois en d’autres et c’est comme cela que les industries se développent et vont de l’avant. Le mariage Coka devait suivre le principe de la destruction créatrice. Les rendre plus forts, plus sages, une pointe de tristesse au fond du cœur mais plein d’espoirs pour l’avenir. On retrouva Diamantika et Cody dans la salle de bain. La jeune femme ne broncha pas longtemps avant de s’installer dans l’eau préparée par son ex-mari. « Tu mérites qu’on prenne soin de toi. » répondit-il simplement. S’ils avaient échoué leur mariage, rien ne disait qu’ils devaient échouer la rupture. « Dia … » murmura-t-il alors qu’elle lui quémandait de la rejoindre. Il ne comprenait pas trop ce qu’elle cherchait, j’veux dire, Cody et Dia dans un bain, ce n’était pas la chose la plus sage au monde. Mais Bleeker n’aurait jamais été un résistant au cours de la seconde guerre mondiale, plutôt un collaborateur, se laissant embobiner dans la situation qui, à court terme, semblait la meilleure. Il termina le travail de Diamantika et se déshabilla entièrement, avant de se glisser dans l’eau, dans le dos de Dia, les jambes de part et d’autre de son corps. C’était strange, mais Cody tentait de ne pas trop s’embrumer le cerveau face à une Kovache un peu hors de contrôle. Il attrapa le jet d’eau et fit couler un filet d’eau tiède sur les cheveux de Dia, avant d’enchaîner sur une dose de shampoing et à nouveau le jet. Un long trait jaune-beige glissait le long de ses épaules rougies et Cody devinait que c’était sa teinture qui se volatilisait. RIP Blondia. « ça va ? C’est pas trop chaud ? » demanda-t-il, plus histoire de briser le silence que par réel intérêt. ‘fin j’veux dire, il lui rinçait juste les cheveux, en tout bien tout honneur.

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Méritais-tu vraiment qu'on prenne soin de toi ? Méritais-tu vraiment d'être aimé au fond ?. Peut-être que tout ce que tu méritais, c'était de souffrir, peut-être que tu te voilais la face et que le bonheur et toutes ces choses auxquelles tu croyais, n'existaient pas. Peut-être que tu finiras toute seule entourée de pleins de chat et de crottes de chats. C'était probablement la seule possibilité, car vu comment tu aimais Cody, tu ne pouvais plus imaginer donner ton cœur à quelqu'un d'autre. Car Henri-Frédéric Amiel a dit, l'amour vrai ne vit pas de probabilités, mais de certitude. Et dans cette certitude, tu savais que tu ne pourras plus jamais aimer de cette manière. Tu ne répondis rien, préférant baisser le regard. Néanmoins, lorsqu'il semblait hésiter à venir te rejoindre dans le bain, tu le coupais rapidement. « Pas d'objection s'il te plait... » Si pour vous, cette soirée était la dernière que vous passez ensemble, la dernière que vous vous voyez, la dernière que vous vous parlez, alors c'est dans ses bras que tu voulais être. Ça pouvait être un appel au désespoir ou un appel à l'aide, mais ce soir, puisqu'il était là, puisqu'il t'avait suivi, il devait se plier à tes moindres caprices et pour une fois, tu feras de vrais caprices. Assise dos contre son torse, tu le laissais te shampouiner les cheveux. « C'est parfait. » T'avais rêvé de ce genre de moments dans votre nouvel appartement que tu te faisais une joie de visiter avec lui. Même tes pauvres mugs pleuraient tout seuls dans leurs coins, ils ne connaîtront jamais le bonheur à deux. Une montée de nostalgie te gagnait alors que tu te tournais légèrement pour caler ta tempe contre son torse, posant une main sur ses poils que tu t'amusais à boucler à l'aide de ton index. « Comment on est arrivé là ?... Dis-moi honnêtement... Est-ce que je ne te plaîs plus ? Est-ce que je ne te suffisais plus ?. » Demandais-tu d'une petite voix les paupières légèrement plissées. « T'as rencontré une autre fille ? Est-elle plus désirable ? Est-elle plus facile à vivre ?. » Parce qu'au fond, tu ne voyais pas pourquoi il te rejetait de cette façon à chaque fois. On dit que lorsqu'on aime, on est capable de tout supporter et de tout endurer, de braver les difficultés. La vie n'est pas facile, elle est même traîtresse, mais si on baisse les bras, alors on ne peut pas espérer s'en sortir un jour. Vous n'étiez peut-être pas heureux ces derniers mois, c'est vrai, mais le seriez vous maintenant que vous n'êtes plus ensemble ?. T'en savais rien de son côté, mais du tiens, c'était évident que tu ne l'étais toujours pas et au contraire, c'était bien pire. Franchement, auriez-vous parié qu'un jour, tu pourrais toi Diamantika Jezobel-Ynn Reynolds-Kovalevski, prendre de la drogue ?. Tu risquais même ta place à la Eliot House. Non, sérieusement, t'allais pas bien du tout et tu n'iras pas mieux avec le temps et ça, c'était une certitude. Pas sans lui.


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Pendant quelques minutes, comme unique symphonie, il n’y eut plus que les fracas du filet d’eau s’écoulant dans le bain. Cody peignait les cheveux de Diamantika pour nettoyer la sueur, la teinture bas de gamme et la pluie qui les abimaient. Il y avait quelques choses entre eux, quelque chose de magique, comme un champ magnétique qui les attirait incessamment au même moment au même endroit. Ce n’était pas dans les plans de Bleeker de terminer dans la même baignoire que Dia à peine quelques heures avant son départ pour Toronto. Mais le destin jouait avec eux. Il avait trouvé des marionnettes tellement manipulables qu’il parviendrait même à les faire se jeter d’un pont ensemble s’il le voulait. Alors il n'était pas près de les ranger dans le coffre à jouets. « Non Dia, au contraire ... J'veux dire, ce que tu sens entre nous, c'est pas la bouteille de shampoing qui s'est égarée. » s’esclaffa-t-il pour réponse à Dia, sentant qu’elle s’appuyait davantage contre lui pour y poser sa tête. Sauf qu’elle ne rigolait pas, elle, affaiblie par leur divorce. Cody aussi l’était, mais planifié son déménagement occupa suffisamment son esprit pour ne pas se laisser noyer par le désespoir. Puis sa mère malade, puis aider une amie … Il n’avait pas le temps pour lui, il n’en avait plus. « Y a eu personne ... Y a personne Dia. C'est pas toi, c'est moi. J'ai ... Je suis un vétéran de l'amour. J'ai traversé des champs de mines, contourner les bombes qui m'tombaient dessus sans crier gare, ramper dans la boue et éviter les balles et ... T'as été ma plus belle bataille. Mais la plus belle n'est pas forcément celle qu'on gagne. C'est celle qui en vaut la peine. Et tu en vaux la peine. Tu vaux qu'on rase une ville pour un seul de tes sourires, qu'on lance l'état d'alerte quand tu vas mal et qu'on déploie toutes nos forces pour t'offrir ce dont tu as besoin. T'es la plus belle cause pour laquelle tout homme se battrait. Et ça n'en doute jamais. » murmura-t-il d’une traite, le souffle coupé, la voix cassée. Pour se distraire, il attrapa le flacon de mousse lavante qu’il étala sur les épaules de Dia et le haut de son buste. « Mais les guerres, ça use les hommes. Et certains se laissent mourir sur le côté. D'autres, les plus chanceux, sont retrouvés et amenés à l'infirmerie où on les mutile d'une partie de leur corps, de leur coeur. Et puis il y a ceux qui désertent. Ceux qui fuient. Qui se disent qu'ils ne peuvent pas faire plus car chaque effort supplémentaire atrophierait leur coeur pour de bon. Moi, je suis lâche, je le reconnais aujourd'hui. » Honnêtement, Cody ne croyait pas une seconde que ces mots aideraient Dia à se sentir mieux, il les pensait, chacun d’eux. Vraiment. Il fallait juste qu’elle comprenne qu’elle n’avait pas merdé, pas une seule fois. Qu’elle n’avait pas moins que les autres femmes à offrir à un homme sauf un bonnet D. Mais ils ne se correspondaient plus, ils pensaient aller dans la même direction mais leur mariage s’est transformé en miroir, leur montrant ainsi que non, ils regardaient dans des directions opposées. Bleeker posa son menton sur son épaule et murmura dans le creux de son oreille ; « Je t'aime Dia. Et c'est ça le plus dur. Les gens ne devraient pas se quitter parce qu'ils s'aiment, mais quand ils ne s'aiment plus. Et je refuse de te voir sombrer. Tu peux pas sombrer Dia, pas toi, t'as pas le droit. Pas toi. » Le Titanic sombrait, un tableau s’ombrait, le Mexicain sombrero, mais pas Diamantika. « Reste là ... » Ses bras emprisonnèrent le ventre de Dia, la serrant un peu plus contre lui. Il connaissait Dia. En général, c'est le moment où elle se redresse et retourne dans la chambre avant de crier sur Cody. Enfin, c'est vrai que là, avec des résidus de merde dans son corps, il jaugeait un peu moins bien les réactions de son ex-femme. Même le Mentalist ne pourrait pas deviner les faits et gestes de cette Kovalevski.

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Cody se lançait dans un long speech digne de lui, tu ne voulais pas écouter tout ça, tu ne voulais pas avoir plus mal que tu avais déjà. Mais lorsqu'il parlait, tu sentais des sentiments profonds, mêlés de tristesse dans sa voix. Il souffrait autant que toi, sauf que lui, ne le montrait pas et ne le montrera probablement jamais parce qu'il était ainsi. Mais putain ce que ça faisait mal d'entendre cette voix presque cassée. Tu fermais alors les yeux, glissant tes doigts sur son épaule que tu serrais au fur et à mesure qu'il parlait. C'était un lâche, mais tu ne pouvais rien y faire, tu ne pouvais pas non plus cesser de l'aimer malgré tout. C'était au-dessus de tes forces et on ne pouvait pas te blâmer. On aura beau te secouer et te crier dessus pour que tu te réveilles et que t'oublies ton véritable amour, mais ils échoueront parce qu'il t'était tout simplement impossible de l'oublier. Même là, lorsqu'il te murmurait un je t'aime si sincère, tu sentais de forts picotements au niveau de ta poitrine. « Le Titanic a sombré, alors pourquoi pas moi ?. Pourquoi me laisserais-je pas sombrer à mon tour. J'ai plus de force et... » Il te stoppait soudainement en te serrant un peu plus contre lui et en te demandant de rester là. Tu te rendais compte que tu n’étais pas la seule à subir cette peine qui avait brusquement envahi tout ton être. T'avais le visage totalement ravagé par la tristesse, toi qui avais toujours fait preuve d’énormément d’enthousiasme et de joie de vivre, on voyait clairement que t'étais totalement désemparée, fragilisée par la chute de … putain, le simple fait d’y repenser t’empêchait de t’exprimer. Faire face à la dure réalité était la seule solution pour ne pas péter un câble pour de bon, hélas celui qui faisait battre ton cœur semblait lâche à ne plus pouvoir y croire. Un chaos irréversible, une douleur sans pareille... Voilà ce que tu portais dans ton cœur et tu savais qu’il n’était pas prêt de s’en aller, never. C'était déjà si humiliant d'être dans cet état, t'étais totalement idiote et pathétique. Tu prenais doucement son visage entre tes mains pour capter son regard. Tes yeux étaient embués comme si des larmes menaçaient soudain de couler le long de tes joues. « Je n'arriverais pas à me remettre de cette perte... » Parce que Cody Bleeker était une personne unique à qui tu as offert tout ton respect et tu n’accepteras jamais de faire face à cette perte, tu refusais même cette idée. Ton corps tremblait de tous tes membres, alors que tu l'enlaçais finalement de tout le peu de force qui te restait. Toi, au bord des larmes, ces maudites larmes qui ne semblaient plus vouloir rester dans l'ombre. Ces larmes qui traduisaient la douleur horrible que tu ressentais, cette blessure qui t'assignait de coups de fouets impitoyables. T’étais tout simplement en train de sombrer à petit feu et c’est ta folie à tout casser qui condamnera ton corps.


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Du haut de ses 26 ans, Cody avait déjà connu deux divorces. Le premier ne résultait que d’un mariage blanc. J’veux dire, après la cérémonie, la mariée s’était cassée avec le témoin du marié et le marié avec le témoin de la mariée. On n’était loin du cadre idyllique de la célébration de l’amour. Le second, Diamantika. Des larmes, des cris, de la peine. Mais malgré ça, Cody respirait, il soufflait. Il ne se sentait pas libre pour autant, puisque la douleur compressait sa poitrine et que ses pensées allaient irrévocablement vers son ex-femme dès lors qu’il avait quitté ses cartons de déménagement, mais il trouvait une source de repos dans ce divorce. C’était dur de vivre avec quelqu’un, d’être attaché à cette personne, tant sentimentalement que légalement, et réaliser qu’on était impuissant lorsqu’il s’agissait de la rendre heureuse. Ce mariage était un poids, et quand on est déjà en surpoids, inutile de lester davantage le bonhomme. « Mais si t’as la force, j’ai jamais vu une fille aussi forte que toi. » affirmait-il en resserrant ses bras autour de son ventre. C’est vrai quoi, du haut de son mètre 73, de ses trois cheveux sur le crâne, de soin bonnet B et sa taille 36, elle se munissait à la fois de la force du catcheur John Cena et de la mentalité de Chuck Noland. Elle ne le réalisait juste pas, présentement. Elle se tordait contre lui pour prendre son visage entre ses mains, l’obligeant presque à assister aux cascades du Diagara autour de ses yeux. Il baissa les yeux, rivant son regard sur une bouteille de shampoing d’un coup suuuuper intéressante, posée sur le bord de la baignoire. Oui, très intéressante, elle était verte pétante et Cody trouvait même tous les constituants du shampoing passionnant. Il avait l’impression qu’on lui racontait une histoire quoi. Wooow, y avait du sodium laureth sulfate dedans ? Sérieusement ? Et du dimethicone ! Puis du cocamidopropyl betaine, la base quoi. Puis le regard insistant de Dia. « C’est frais, Dia, tu sais pas, peut-être que dans une semaine … » Dès demain, Cody disparaîtra des écrans radars. Peut-être que son absence apaisera Kovache. « … T’as pris quoi ce soir ? » demanda-t-il finalement. Pas pour changer de conversation – au contraire, ils étaient en plein dedans – mais parce qu’il voulait des réponses. Il desserra son étreinte pour la laisser un tantinet respirer. Et aussi pour bouger légèrement et reposer son dos contre une des parois la baignoire. Mais il était encore assez proche d’elle pour pouvoir tendre le bras et dégager la bruine de chagrin autour de ses paupières avec son pouce.

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Il n'avait jamais vu une fille aussi forte que toi et toi t'avais jamais vu une fille aussi pathétique que toi. Tu puisais ta force dans celle de Cody, lui qui t'avait donné envie de te battre, mais maintenant qu'il ne sera plus là, tu te demandais où tu allais puiser ta force et chez qui ? Non c'était impossible. Et puis vous savez quoi, tu n'avais plus envie d'être forte, tu avais même perdu goût. Alors ce ne sont certainement pas les paroles de Bleeker qui changeront quelque chose. Tu voulais foutre ta vie en l'air et rien ni personne ne t'en empêchera. T'avais même déjà commencé, manquait plus que tu demandes à un vrai mather de te coacher. Tu connaissais pleins de mathers en passant, tu pourrais peut-être demander à Malachy de te rendre aussi vilaine qu'un ogre. Peut-être qu'aussi tu devrais céder à la proposition d'Alexys qui est de rejoindre les verts ?. Ummmm là pour le coup, tu racontais n'importe quoi parce que t'aurais du mal à quitter tes bleus. De ton côté, tu attrapais le jet d'eau et le positionnais au-dessus de ton crâne pour qu'il te lave de toutes ses larmes afin que plus aucune trace ne reste sur tes joues. Si pour lui une semaine suffisait à tourner la page et bien pas toi, il te faudrait plus qu'une simple année et peut-être même jamais en fait. « Une semaine... Tu crois qu'une semaine suffirait ?. » Oh come on, t'étais partie à Johannesburg et ces mois n'avaient pas suffi pour l'oublier alors ce n'est pas une semaine qui allait changer quoi que ce soit. Ceci dit, il fallait que tu te reprennes parce que monsieur était tout simplement en train d'assister à une scène pitoyable de ta part. Oui, tu n'avais pas le droit de désarmer ainsi devant lui. Ça t'avait fait du bien de craquer, maintenant on passe. Et tu n'allais encore moins t'attarder sur sa question posée. Posant donc le jet d'eau, tu passais une main dans tes cheveux pour les remettre en arrière. « C'est pas important ce que j'ai pris ce soir. » Disais-tu rapidement pour que ce soit clair et qu'il ne s'attarde pas là-dessus. T'avais clairement pas envie de lui dire que t'avais pris de la drogue, la situation était déjà assez humiliante pour toi comme ça. « Et puis je préfère quand tu t'occupes de moi, plutôt que quand tu poses des questions. » Et là, tu te rapprochais dangereusement de lui pour poser un baiser furtif sur ses lèvres reculant pour plonger ton regard dans le sien. « Puisque je mérite qu'on prenne soin de moi, je mérite aussi que tu m'embrasses comme jamais. Embrasse-moi Cody  !. » T'étais vraiment sérieuse à cet instant et tu soutenais son regard pour lui faire comprendre que tu ne voulais pas d'objection là encore. Vos souffles se mêlaient, ton cœur s’emballait tandis que tes mains se posèrent sur ses cuisses sous l'eau.


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Non, une semaine ne suffirait pas. Enfin, Cody n’en savait rien. Peut-être qu’en une semaine, Diamantika rencontrerait un homme, un homme qui la fera vibrer. Le Canadien et sa poutine autour du ventre y parvenaient bien. Ce dernier souhaitait d’ailleurs savoir ce que son ex avait consommé ce soir pour finir dans cet état. Mais elle refusait, s’offusquait, précisait que les questions ne faisaient apparemment pas partie du package ’Je m’occupe de toi’. Pourtant, si. Il s’inquiétait pour elle, normal qu’il cherche à en savoir plus sur ce qu’il l’avait mis dans un si piteux état, non ? « Un peu, si … » eut-il le temps de placer avant qu’elle ne lui vole un baiser. Euh, wtf ? Bon OK, ils étaient à poil dans un bain, ensemble, et ils n’étaient pas réputés pour savoir garder leurs vêtements plus de cinq minutes quand ils se retrouvent – à part depuis leur mariage, bizarrement – mais y a des limites quoi. Ils étaient divorcés. Déboussolé il était après la requête de Kovache. « Dia … » lâcha-t-il comme toute à l’heure. Mais comme toute à l’heure, il n’était pas sûr de pouvoir dire non. Pas quand Dia se tenait si proche de lui. Les respirations échaudées des deux divorcés, des deux ex, des deux amoureux, se mêlaient, formant une perturbation au-dessus des quelques centimètres de frontière les séparant. Cody n’avait jamais été doué en météorologie. Chaque fois qu’il la regardait à la télévision, il repérait Boston, le petit logo soleil et la température de l’après-midi – celle du matin ne servait à rien puisqu’il ne se réveillait que très rarement avant onze heures. Mais parfois, la nana de la météo parlait de Mistral et Tramontane. C’est qui ces deux mecs ? ça devait être dans superstars dans le domaine climatique. Anyway, Cody n’a jamais rien compris à la météo. Un jour beau, un jour moche, un jour tempête de neige, un jour tempête de sable ... De quoi s’y perdre. Mais Twister squattait le podium des films préférés de Cody Bleeker. Il savait donc qu’une tornade se formait à la rencontre d’une couche d’air froid et d’une couche d’air chaud, lorsque le froid surmontait le chaud. Il savait aussi que l’eau du bain était brûlante et leurs cœurs étaient de glace. Ils savaient aussi que sitôt que les lèvres de Cody cognerait celles de Diamantika, un cyclone incommensurable naîtrait du creux de ses reins. Mais tant pis. Tant pis s’il accueillait en lui la plus grosse tornade de tous les temps. Tant pis s’il encourageait l’apparition d’un phénomène destructeur. Tant pis. Il s’élança, plaquant une main dans la nuque de Diamantika pour guider son visage contre le sien. Il s’imprégna de ses lèvres, non sans une fougue certaine. Il était tendu, littéralement, toutes les parties de son corps se tendaient alors qu’il savourait l’espace d’un instant cette sauvage caresser. Des souffles qui se perdaient, des langues qui s’enfourchaient, des incisives qui marquaient une dernière fois leur territoire à la commissure de la bouche, juste pour gagner quelques secondes avant que les deux visages ne se séparent. Bleeker baissa aussitôt les yeux, s’humectant les lèvres au ralenti. Il n’était pas honteux, il ne regrettait pas non plus, mais ça le perturbait. Ça le perturbait cette histoire. Pourquoi tout était plus vrai, plus naturel, plus intense aussi, dès lors qu’ils ne s’appartenaient plus ?

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ft Diamantika.

Un tourbillon de sensations s'emparait petit à petit de ton corps lorsqu'il s'empressa de poser ses lèvres contre les tiennes. Ce que t'aimais lorsqu'il t'embrassait avec autant de fougue. Tu sentais le désir se répandre en toi, nuage doux et chaleureux, vague déferlante. Tu laissais alors ton esprit se mêler à celui de ton ex. Vous étiez reliées, connectées à présent par vos langues qui dansaient une belle rumba. Un baiser qui réveilla tous tes sens, un baiser qui réveilla ces fameux papillons au bas-ventre, un baiser qui malheureusement, prit fin beaucoup trop tôt à ton goût. Bleeker baissa le regard comme pour fuir le tien après le geste qu'il venait de faire. Tu posais alors ton index sous son menton pour lui relever la tête. « Ne regarde que moi. » Oui que toi ! Parce que même là, t'étais jalouse, jalouse de tout ce qui pouvait attirer son attention, de l'eau et même de la baignoire, de tout en fait. Tes lèvres vinrent à croiser son oreille dans un murmure rempli de sens. « Toi et moi... Juste une dernière fois. » Tu ne sais pas si c'est toi qui parlais au fond ou bien toute cette adrénaline dans ton corps, mais peu importe, t'avais envie qu'il te prenne là toute suite et dans ce bain qu'il avait précieusement fait couler pour toi. Prenant place cette fois-ci sur ses cuisses, Kovagin à forte proximité de Codynosaure que tu sentais durcir de plus en plus, vos regards se rejoignirent de nouveau et s’embrassaient tandis que tu resserrais tes cuisses contre les siennes. « Prends-moi toute entière, prends-moi comme si c'était la dernière fois. » Comme si c'était la dernière fois, ouaich. Cela semblait pathétique de ta part parce que tu te disais que tant qu'il sera dans les parages et que tu pouvais le zieuter du coin de l’œil discrètement, t'arriverais à mieux te sentir, mais monsieur avait décidé de s'enfuir au Canada et ce sera bien pire pour toi. Tes doigts parcouraient la peau frémissante de ton bien-aimé, et même si vous êtes divorcés, cet amour ne changera jamais. Le délice des caresses, la fièvre du désir, l’ivresse des sens qui s’éveillait au plaisir, tes lèvres capturaient l'un de ses tétons laissant une impression de tomber dans une chute sans fin, émerveillée par les sensations exquises que vous partagez. Un bref instant, tes dents se refermaient sur la pointe délicate tandis que tu ressentais au plus profond de ton être, son désir inévitable pour toi. Tu te redressais, un sourire mutin aux lèvres, tes yeux plongeant au plus profond de son être et lui donnant le signal, celui qu'il attendait probablement pour qu'il puisse devenir toi et toi lui.  


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