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Non non, je reluque pas tes seins (PV SUMMER)

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J'attrapai mon gobelet offert par Summer et écoutai cette dernière avec attention, vivement intéressé d'en savoir davantage sur ses débuts avec Paris. "J'ai pu constater ça en effet. Paris avait aussi regardé ton badge de travers ?" rigolai-je à sa question. On s'installa alors à table et elle me confia que ce n'était pas une histoire de badge mais d'un quiproquo. Elle l'avait croisé avec plusieurs filles différentes, et la je baissai un instant les yeux. Est-ce que Summer allait m'interroger sur le passé de tombeur de son chéri ? Parce qu'à part des plans culs et des aventures d'une nuit, je ne connaissais aucune histoire sérieuse à Paris, mis a part Summer, ce qui la rendait particulièrement unique d'ailleurs. Mais si elle se mettait à me questionner sur les anciennes conquêtes du dunster, je n'allais pas être très à l'aise. Mais la blondinette poursuivit son récit, se souvenant comment le défilé de femmes au bras du garçon l'avait énervée et comment alors, il lui avait volé un baiser, à l'origine donc de la fameuse gifle. Je ris en entendant cette histoire, imaginant très bien la scène. "Pourtant il embrasse bien Paris." Ha mince, c'était sorti tout seul, alors que j'avais promis à mon ami de taire ce fameux épisode qui avait eu lieu lors de nos soldes, je tentais donc de me rattraper "Enfin c'est ce que je suppose hein, j'en sais rien..."
Puis je confiais à Summer mon opinion sur leur couple, l'affection que Paris semblait déjà avoir pour elle, ce qui la fit joliment rougir. Elle me confia son étonnement devant la facilité qu'avait eu son petit ami à annoncer son engagement à ses amis. "C'est vrai qu'on l'avait jamais vraiment vu se poser... Faut croire qu'il attendait juste la bonne." Je souris à la demoiselle avant d'ajouter avec un certain humour, en référence à notre début de discussion mouvementé et à la façon dont mes propos étaient déformés alors. "Je ne suis pas en train de te dire vulgairement que tu es bonne, hein.." me marrai-je, trouvant plus prudent de préciser. Pas de rentre dedans, chasse bien gardée, je l'avais bien compris. "je dis juste que t'étais peut être celle qu'il lui fallait." je portais ma tasse à mes lèvres pour une gorgée de boissons. Même sans senior relou sur mon dos, c'était appréciable alors j'imaginais très bien combien cette dose de caféine pouvait être vitale pour Summer. Le pédiatre avec elle était vraiment insupportable. "Il n'est pas du tout pédagogue, il a du oublier qu'un jour lui aussi il avait été un étudiant avec la soif d'apprendre." et pour le coup, il se servait des internes comme de larbin... "Tu n'as pas de créneau de consult' en solo encore ? T'es dans quelle promo au fait déjà ?" Paris m'avait peut être dit en quelle année d'étude elle était mais j'avais zappé vu le flux d'informations qu'il m'avait donné sur elle avec ses yeux de merlan frit.
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Au moment où j’avais raconté en résumant brièvement la manière dont Paris avait réussi à se trouver une place dans mon cœur pour y foutre le bazar au départ afin de mieux y emménager après, la remarque de Priape sur les compétences de Paris à embrasser me faisait légèrement tiquer. Il entendait quoi par-là ? Et puis d’ailleurs qu’est-ce qu’il en savait. Je souriais en coin à ses dires, bien que j’arquais un sourcil en le regard de manière sceptique, mais le jeune interne s’expliquait en me disant qu’il le supposait tout du moins. Je fis un signe de tête entendu, comme une sorte de début de hochement de tête, avant de boire mon café tout en rougissant lorsque Priape m’annonçait que Paris avait parlé de moi avec affection. J’avouais non sans hésitation que je ne savais pas que Paris se montrait aussi bavard sur notre couple, vu qu’il était du genre à ne pas s’engager habituellement, et le Dunster en face de moi confirmait mes dires, concédant tout de même que Paris avait sans doute attendu la bonne…Je souriais à cette manière détournée de me dire que j’étais son élue, et qu’il avait plus ou moins attendu que je débarque dans sa vie. Seulement, le séduisant brun se rattrapait très vite en plaisantant pour me dire que ces propos n’était pas là pour ma qualifier vulgaire de Bonne, ce qui ne loupait pas de me faire rires à nouveau aux éclats ! « Mon pauvre, à cause de moi maintenant, tu vas ressentir le besoin de justifier tes mots devant moi ! » je secouais la tête en ricanant avant de lui dire avant de reprendre un peu de sérieux et d’avouer à Priape « Mais pour en revenir à Paris, je t’avoue que j’ai un peu la pression maintenant », me levais les yeux vers lui, grand ouvert en lui demandant vivement « Tu lui dis pas que je t’ai dit ça hein ?....Mais comment dire : Il a connu toutes ces filles, ne s’est jamais engagé et…maintenant qu’il le fait avec moi, j’ai peur de pas être à la hauteur de ses espérances et de le laisser sur une mauvaise expérience. Ce n’est jamais rien d’être… « La première relation » » concluais-je en levant les mains pour mimer des guillemets à l’annonce de mes derniers mots.

Finalement, on évoquait mon début de journée désagréable en compagnie du pédiatre que je suivais depuis ce matin. Au moins, j’étais rassurée : Priape savait de quoi je parlais et semblait être d’accord sur le manque de pédagogie de ce médecin. Je soupirais un peu désespérée avant de dire à mon interlocuteur que j’allais devoir m’y faire pourtant : « Eh bah j’ai plus qu’à prendre sur moi jusqu’à la fin de la semaine…Mais je devrais-peut-être pensé à porter une pancarte sur moi avec écrit "Ne pas me parler (risque de crise d’hystérie assurée)" » Je mimais une pancarte devant ma blouse au niveau de la poitrine et riais idiotement avant de terminer par un sourire et de m’intéresser à mon gobelet pour boire une nouvelle gorgée de mon café. Priape me demandait alors si je n’avais pas encore de consultation solo, ne sachant pas vraiment dans quel promo j’étais et je secouais la tête par-dessus mon gobelet avant de poser ce dernier devant moi et d’avaler ma gorgée « Hmm, non. Enfin si… » Pas très clair tout ça « J’ai déjà dû faire des consultations solo, mais…c’était exceptionnel…en fait je suis Leanne de temps en temps qui en est elle à sa première année de Résidence en Pédiatrie. Et il s’est avéré que le jour où elle devait faire ses consultations, et que je devais l’accompagner, elle était malade. Du coup ses patients, j’ai du m’en chargé » J’haussais ensuite les épaules et osais tout de même préciser : « Mais hey, on m’a laissé les cas les moins compliqués, histoire de soulager les créneaux horaires des autres pédiatres, et que je n’aie pas à me tourner les pouces. C’est d’ailleurs ce jour-là que j’ai rencontré Paris pour la toute première fois ! » Avant de conclure en annonçant Priape que j’étais en 5ème année avant de lui retourner la question « Et toi ? T’es sur quelle année ? 6-7ème ? Je crois t’avoir vu sur le tableau des consultations une fois, non ? Ton stage d’interne ici te plait ?»


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« Bah disons que tu es blonde alors je voudrais pas que tu interprètes à nouveau mal mes propos… » rétorquai-je, sur un ton plutôt taquin pour le coup. « Et vas-y, là, tu as le droit de me taper je t’autorise. » On attaquait pas une demoiselle sur sa couleur de cheveux, surtout que pour la défense de Summer, mon approche n’avait pas été très clair, mon regard sur son badge surement un peu perturbant, elle avait peut être pas tout les tords d’avoir sauté rapidement aux conclusions hâtives. « Je rigole pour les cheveux hein, ma petite amie est blonde aussi tu sais… Et j’espère d’ailleurs qu’elle est aussi véhémente que toi quand un mec l’approche. » rigolai-je histoire de bien lui signifier encore une fois que je ne lui tenais pas rigueur du quiproquo. Reprenant un peu notre sérieux, elle me confia alors avec un petit air gêné qu’elle ressentait une certaine pression. J’écoutais, hochant la tête quand elle me demanda de ne pas répéter, c’était une évidence que je ne le ferais pas. Elle avait peur de le décevoir, vu qu’elle était sa première vraie relation de couple. « Souffle, ne stresse pas, pour le moment il a l’air heureux comme un poisson dans l’eau… » Et au final, ils étaient trop choux parce que si Summer se mettait la pression, c’était exactement pareil du côté de Paris, la preuve avec toutes les questions qu’il m’avait posé le jour de nos soldes. « Lâchez prise tous les deux et profitez. »
On changea de sujet pour évoquer le super pédiatre avec qui la jeune femme était en stage pour la semaine. Un petit rire s’échappa de mes lèvres devant sa suggestion de pancarte. « Ou alors –attention je mords- ça pourrait être drôle aussi… Mais les parents de nos petits patients te regarderaient peut être de travers. » me marrai-je en imaginant la chose un instant. Il valait mieux en rire qu’en pleurer. « Ecoute, si tu pètes un câble, tu viens me voir pour une pause café tu hésites pas… Ca fait toujours du bien pour décompresser.» D’ailleurs, j’amenai mon gobelet à mes lèvres pour une nouvelle gorgée. La caféine, le breuvage miracle pour tous les doc ou apprentis doc comme nous. Summer me confia finalement avoir déjà commencé des consultations en solo, qu’elle était avec Leanne et que cette dernière avait été malade une fois, c’était ainsi qu’elle l’avait remplacée. « Leanne est l’une de mes meilleures amies. » confiai-je alors. Enfin elle devait s’en douter vu que j’étais pote avec Paris. On trainait souvent tous les trois ensemble à la dunster. « C’est quand on est seuls aussi, que l’on doit se débrouiller que l’on apprend le plus et que l’on progresse. » Mon interlocutrice était en cinquième année. « T’es dans la promo de Talya en fait. Talya Blackburn tu connais ? » Quand elle me retourna ensuite la question concernant mes années d’études, je confirmai : « Septième année, un vieux croutons. La résidence commence l’année prochain ça rigole plus. Mais oui j’adore être ici, j’ai toujours voulu faire soit de la pédia soit de l’oncologie. » confiai-je avant de la questionner à son tour sur ce qu’elle pensait du service : « Mis à part Doc Barbiche, ça te plait bien ? »
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Ce qui avait commencé comme une rencontre assez tendue, s’était finalement transformer en une conversation assez drôle et agréable. Priape me taquinait beaucoup sur le fait que chacune de ses phrase ne devait pas être mal interpréter de ma part, et moi j’en riais bien gentiment parce que je savais que ses remarques n’avaient que pour but de dédramatiser notre mauvaise départ, et surtout mon manque évident de sociabilité. Et puis finalement durant notre conversation, on avait pu évoquer le sujet qui nous liait : Paris. J’avais été étonné que ce dernier discute de moi et de notre relation avec une telle facilité, mais j’en étais pour autant pas moins fière, au contraire ! Je savais maintenant de source sûre que j’avais une place de taille dans le cœur de Paris, bien que cela me mette une certaine pression. J’avais exprimé mon angoisse à Priape, et en bon interlocuteur qu’il était – et ami de Paris en prime – il m’avait rassuré. Pour lui, Paris était heureux, ça se voyait, je n’avais donc pas à me prendre la tête sur le sujet. Et puis, il savait de quoi il parlait non ? Il m’avait exprimé être en couple, et étant donné sa détente actuelle, je ne pouvais que déduire que lui et sa blonde était heureux et amoureux. « Tu as raison, et puis c’est récent, autant qu’on vive au jour le jour pour le moment, sans trop se poser de questions… » Avais-je concéder suite à son conseil sur le fait de lâcher prise.

Quelques minutes plus tard, en sirotant toujours notre café, on s’amusait à plaisanter au sujet du médecin que je devais suivre en ce moment, et je me mettais à imaginer tout un tas de situation dans ma tête, qui pourrait exprimer mon envie de meurtre sans en commettre un réellement. L’idée du Panneau qui aurait pu s’apparenter au sigle « Chien Méchant » avait vraiment de quoi me faire rire, et je ne me gênais pour m’en amuser, hilare dans la cafeteria : « non mais au moment des consultations, je retourne la pancarte à l’attention des parents et on pourrait y avoir écrit : « Consultante sourde et muette »». Et la proposition de Priape pour m’éviter un pétage de plomb me comblait de joie. Ces derniers temps, je m’enfermais dans mon travail et dans ma nouvelle vie privée que je n’avais pas laissée beaucoup de place à la camaraderie, et c’est quelque chose qui me manquait beaucoup. Je côtoyais Leanne certes, mais surtout parce qu’elle assurait mon suivi en stage. Avoir un ami de « galère », ou plus simplement une oreille attentive, c’était pas de refus. « Priape, tu peux pas savoir à quel point ta proposition m’enchante ! Je crois que je n’hésiterais pas à venir te chercher pour un café, Ce serait même avec plaisir que je viendrais me défouler sur toi » Lançais-je en plaisant alors que l’on se mettait ensuite à parler de nos promo respective et de nos responsabilités en tant qu’interne et en évoquant ma 5ème année en médecine, Priape me demandait si je connaissais Talya Blackburn. « Euh, pas intimement mais oui je vois très bien qui c’est ! On fait bien partie de la même promo, mais pourquoi cette question ? » Osais-je demander sans vraiment comprendre pourquoi cette jolie jeune femme était intégrée à notre conversation. Je lui demandais ensuite en quelle année il était et Priape se comparait bien vite à un vieux crouton en 7ème année. Kil allait rejoindre l’année prochaine les mêmes rangs que Leanne, et je souriais en écoutant son envie peu feinte d’être dans la pédiatrie ou l’oncologie, et instinctivement je lui demandais : « Du coup, tu comptes associer les deux et faire dans l’oncologie pédiatrique en spécialisation ? » et enchainais ensuite sur ma réponse à sa question sur mon aise en pédiatrie. Je me pinçais les lèvres, hésitante sur le moment avant d’avouer : « En fait, la pédiatrie n’a jamais été un premier choix. La médecine non plus à la base…Je voulais devenir institutrice, tout bêtement. Mais ce n’était pas vraiment du gout de mes parents alors j’ai laissé mon cœur se tourner vers mon second choix. Et la pédiatrie s’est avéré la solution idéale pour garder un lien avec les enfants. Mais je me sens pas encore super à l’aise…je manque cruellement de pratique, je sais que c’est normal en 5eme année, mais j’ai l’impression d’assimiler moins vite que d’autres et des fois, ça me paralyse un peu. Au délà de ça, j’adore ce que je fait ! »

© charney


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D’un malentendu, on s’était retrouvé bien plus détendus, à rigoler puis à parler de notre Paris national pour finalement en arriver à parler d’un autre sujet commun : la médecine. Et c’est d’un médecin chef particulièrement désagréable qu’on parla tout particulièrement, il était la raison de la mauvaise humeur de la blonde. D’ailleurs on évoqua diverses solutions pour maintenir les gens à distance les jours où elle était sous la responsabilité de ce charmant doc Barbiche. Finalement une pancarte réversible semblait la solution. Mon rire redoubla à cette idée. Elle était vraiment fun la copine de Paris, on venait juste de se rencontrer mais j’étais déjà conquis. D’ailleurs, je lui proposais une façon plus sérieuse de résister au crise de nerf : venir me chercher quand elle voulait pour un café, puisque nous étions collègues. « Tu me frapperas pas hein ? » fis-je avec une moue faussement apeurée quand elle promit de se défouler sur moi. « Non parce que sinon je t’achète une poupée vaudou à l’effigie de ton chef, ça sera tout aussi efficace. » Je ne voulais pas rentrer avec des bleus partout à la maison, imaginant déjà les séances de magie occulte auxquelles on pourrait s’adonner dans la cafet pendant nos pauses ensemble… La vie d’interne, ce n’était pas facile. Et Summer était encore plus loin que moi d’avoir fini. Cinquième année. Ca me fit aussitôt tilt puisque c’était également la promo de Talya. Mon interlocutrice confirma, elle voyait de qui il s’agissait, sans pour autant la connaître personnellement. « C’est ma petite amie… » répondis-je alors avec un petit sourire gaga. « Tu lui dis pas que j’ai regardé ton badge hein… » rigolai-je ensuite, en référence au quiproquo du début, quand Summer avait bien cru que j’étais en train de vérifier sa taille de bonnet plutôt que son nom sur sa blouse… Je parlais ensuite de la résidence, l’année prochaine pour moi, suivant de près les traces de mon amie Leanne. Mon attrait pour la pédiatrie et l’oncologie révélé, Summer conclut avec justesse que j’allais probablement tenter une spécialisation dans ce domaine et j’hochai la tête. « J’aimerais beaucoup, si j’ai le niveau et la possibilité de le faire… » Et la force aussi. L’oncologie était une spécialité dur moralement, mais en ce qui concernait l’oncopédiatrie, ça l’était encore plus. Voir un petit loulou partir pour des mois de traitement en chimio, ou arriver en soins palliatifs alors qu’il n’était qu’à l’aube de sa vie…  Mais il y avait aussi tous ceux qui s’en sortaient, tous ceux qu’on pouvait sauver… J’écoutais ensuite Summer me raconter comment elle en était arrivée là, surpris de l’entendre me révéler que ni la pédiatrie, ni même la médecine, n’avaient été ses premiers choix. Elle voulait être instit et c’est influencée par ses parents qu’elle avait opté pour le médical. « Tu finiras peut être prof à la fac de médecine. » la taquinai-je alors. « Bon, on a passé 18 ans quand on arrive sur les bancs de la fac, mais les carabins sont de grands gamins c’est bien connu… » plaisantai-je pour essayer de lui montrer quand même qu’elle n’était pas obligée de tirer complètement une croix sur l’enseignement. Puis pour le côté contact avec les petits, en pédia elle était servie. « Je suis sûr que ça viendra… L’année prochaine, je te veux comme interne avec moi. » Je serais résident dès septembre, alors j’aurais le droit d’encadrer la demoiselle. Et avec moi, elle ne serait pas déçue, elle pratiquerait autre chose que l’art de la photocopie et le maniement de la machine à café. La porte de la cafet s’ouvrit et la silhouette du senior avec qui elle consultait apparut. « Tu dois pas être si transparente que ça, regarde il te cherche… » fis-je en désignant le doc Barbiche qui balayait la salle du regard. « Tu devrais surement y retourner… On se voit plus tard pour un nouveau café ? » proposai-je en terminant mon gobelet. Summer allait être ma nouvelle partenaire de pause, c’était décidé. Puisque de toute façon, avec Zoïa… Bah ce n’était plus possible vu ce qu’on s’était avoué mutuellement la rouquine et moi…

HJ : t'inquiète c'est la même chose pour moi j'avoue Non non, je reluque pas tes seins (PV SUMMER) - Page 2 927261665  Mais je pense que là, tu peux répondre et cloturer ? Et on se refait signe dès qu'on est + dispo, car j'ai d'autres idées pour d'autres rp, avec Paris et Talya même hanwii
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Le coup de la poupée vaudou, m’arrachait un rire franc, au point que j’avais failli en cracher mon café. Je m’imaginais déjà m’acharner sur la poupée de chiffon et la martyriser en piquant à des endroits stratégique. « Oh non ne me donne surtout pas ce genre de chose, je risquerais de vouloir l’emmener à la maison pour continuer mes séance de torture, et je ne veux pas voir la tête de Paris quand je piquerais "là où il ne faut pas" ! » avouais-je en pensant automatiquement à un point en particulier, tant redouter pour les garçons…

Quelques instants plus tard, je comprenais très vite pourquoi Priape avait évoqué Talya : cette dernière était la petite amie de Priape et faisait donc le même cursus scolaire que le beau brun. « Oh t’inquiète ce sera notre petit secret ! Et mieux encore, je ne le dirais pas à Paris non plus » plaisantais-je en le gratifiant d’un clin d’œil. Et c’est naturellement, après avoir évoqué nos promos respectives, qu’on était venu à discuter vocation et choix à venir dès la 8ème année. Lorsque j’avais évoqué l’oncologie pédiatrique, Priape avait tout de suite dit qu’il AIMERAIT le faire s’il avait le niveau, et je savais bien à ce moment-là qu’il ne parlait pas de compétence technique, mais bien de moral d’acier. Travailler au niveau des enfants, de s’intéresser à leur santé quotidienne, c’est une chose…mais les voir atteint de cancer et devoir supporter avec eux les phases de chimio et autre test clinique ??? Pas évident du tout. Même en étant qu’en 5ème année, je me savais déjà incapable d’une telle spécialité…bien trop sensible pour ça, je le reconnais facilement. Et puis ma position de médecin pédiatre n’ayant pas été une vocation de premier choix, il était finalement plus que logique de se savoir réduite à certaines capacités mentales et sociales dans le domaine de la pédiatrie. J’avais alors expliqué un peu plus en détails ma situation face à Priape, et ce dernier me fit remarquer à juste titre que mon envie d’enseigner n’était pas non plus une option dont je me passerais à vie…je pouvais très bien allier les deux voix – médecine et éducation – dans quelques années. Bon j’étais loin de l’enseignement avec des enfants, mais c’était une bonne alternative « Je crois que je vais d’abord me concentrer sur ce que je sais faire aujourd’hui, et sur la pédiatrie générale…j’ai encore 3 ans avant de me faire une idée sur ma spécialité et qui sait, je me découvrirais sans doute une passion aussi animé que je ne l’avais pour l’enseignement ?! »

Je tentais de positiver sur la situation, bien que parfois il m’était arrivé de baisser les bras par faiblesse : je devais beaucoup travailler sur ma sensibilité et me distancer un peu au niveau des enfants, mais dans l’ensemble je finissais toujours par reprendre du poil et de la bête et me dire, que je pouvais y arriver, et que ma sensibilité pouvait me servir d’une certaine façon. Je n’avais pas encore l’occasion de savoir en quoi ! Mais je ne désespérais pas de le trouver… « Alors ça, si tu fais ça, mais c’est de la reconnaissance éternelle que j’aurais pour toi ! » lançais-je avec enthousiasme lorsqu’il m’annonçait me vouloir en interne l’année prochaine quand il serait résident ! Pouvoir pratiquer avec autant d’intensité que je le faisais avec Leanne, et pouvoir en plus dire adieu  à doc Barbiche ??? Que demander de plus !

En parlant du loup : Je finissais mon café tranquillement, quand le médecin que je suivais débarquait à la cafétéria en me cherchant dans l’assemblée. La remarque de Priape sur ma transparence me fit sourire, et je ne pus m’empêcher de répondre : « Ouais enfin si tu regardes bien, il est en train de détailler toutes les blondes du regard en espérant qu’un visage lui rappelle quelques chose » Je pliais mon gobelet vide entre mes doigts, juste après avoir bu ma dernière gorgée et me levait de ma chaise en déclarant : « Aucune pause depuis 8h ce matin, techniquement il ne peut pas vraiment me dire grand-chose ! » Je redressais alors la tête pour fixer Priape et avec un sourire franc et jovial, je lui adressais une dernière parole « J’ai été ravie de pouvoir discuter avec toi ! Et de pouvoir faire la connaissance d’un ami de Paris ! Et avec plaisir, on se refait une pause-café quand tu veux ! » Je lui faisais signe de la main pour le saluer, et me rendait vers la poubelle pour jeter mon gobelet alors que Doc Barbiche m’avait enfin repéré. Il bafouiller une remarque inaudible que je ne comprenais évidemment pas, mais restait muette en le laissant prendre la marche et le suivre en arrière…Allez, courage Summer ! Tu peux le faire sans tuer personne à la fin de la journée !


©️ charney


TOPIC TERMINÉ


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