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Non non, je reluque pas tes seins (PV SUMMER)

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Journée aux consultations pédiatriques aujourd’hui. En tant qu’interne en septième année d’étude, on me laissait désormais beaucoup plus d’indépendance dans ma façon d’exercer, mais cela allait de paire avec les responsabilités qui augmentaient également. Je n’avais pas le droit à l’erreur, chaque examen, même les contrôles de routine, devait être parfait, pour ne passer à côté d’aucun symptôme, ne manquer aucun diagnostique parmi les enfants suivis. Et l’enjeu lorsqu’on faisait de la pédia était grand : savoir déceler ce qui n’allait pas avec des patients qui n’avaient pour certain pas encore acquis le langages, et savoir, quand tout allait bien, rassurer idéalement les parents inquiets. Le fait d’être papa me permettait désormais de mieux appréhender de double enjeu. Mais il n’en restait pas moins que le poids de ces responsabilités ainsi que mes plannings chargés, rendaient mes journées particulièrement éprouvante. J’avais un petit créneau de libre vers 11h et je me fis la réflexion qu’une pause café s’imposait. Direction la cafet de l’hôpital donc, et c’est en chemin que mon regard se porta sur une jolie petite blonde. Ma journée solde avec Paris, un ami de la dunster, m’avait permis d’apprendre qu’il sortait lui avec une étudiante en médecine pédiatrique, et par élimination et aux vues de sa description, ça ne pouvait être qu’elle. Je n’allais pas l’aborder d’emblée en lui disant –hey j’suis un pote de ton mec, il a pas arrêté de me parler de toi- je ne voulais pas l’intimider, mais je me disais que maintenant, c’était l’occasion où jamais de faire sa connaissance. Parce qu’accroché comme il semblait l’être, Paris n’allait probablement pas la quitter de si tôt et donc nous allions être amenés à nous recroiser à coup sûr. Je m’approchai donc de la blondinette, puisqu’elle ne me parut pas occupée et je la saluai : « Hey ! Salut ! » On ne s’était jamais vraiment parlé jusqu’à présent vu qu’on n’était pas dans la même promo, juste croisés au détour des couloirs de la fac ou de l’hôpital. Elle allait peut être trouvé cela étrange que je me mette à l’aborder comme ça d’un coup. Je réalisais même pas que mes yeux qui scrutaient son badge risquaient de la mettre mal à l’aise. Mon regard vrilla en effet machinalement sur son badge, celui qui était accroché à sa blouse blanche, pouvant effectivement prêter à confusion et lui faire croire que je lorgnais ses seins, mais c’était juste pour m’assurer que je ne me trompais pas de personne et que la demoiselle interpellée était bien la jeune femme dont mon ami m’avait parlé en long et en large. « Summer c’est ça ? » fis-je en relevant la tête après avoir vérifié son nom. « Je suis Priape, on s’est déjà croisés parfois. Je peux te payer un café ? » proposai-je en désignant la porte de la cafet à l’extrémité du couloir.
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Ma journée avait commencé sous les chapeaux de roue. Dès 8h du matin, je m’étais présentée au service pédiatrique pour une journée consultations en compagnie des résidents et médecins en pédiatre. Même s’il m’était arrivée de prendre seule une consultation pour soulager le corps médical lors de l’absence d’un médecin, 90% du temps je restais accompagnée. Et quelques part, ça me rassurait : J’admirais tous ces internes que je côtoyais de temps en temps, parce qu’ils me donnaient toujours l’impression de maîtriser la situation là où moi je devais traduire toute la nervosité du monde. Alors même si suivre un médecin faire ses consultations sans rien dire a quelque chose de rébarbatif parfois, je préférais mille fois ça que d’être jetée dans la gueule du loup sans personne pour me guider.

11h…3 heures que j’enchaînais les consultations et je commençais cette fois-ci à perdre patience. Je ne suis pas du genre à me plaindre mais à vrai dire, le médecin qu’on m’avait collé pour la semaine n’était pas dans la liste de mes préférés. Je crois même qu’il était dans la liste de préférés de personne !! Vous savez c’est le genre de médecin qui parle dans sa barbe, sans en avoir une, qui est d’une lenteur molle et qui à cette odeur de tabac froid ou de cigare. CE genre de Médecin là. Se le taper une heure ? Passe encore…deux heures ? Ça commence à devenir un inconvénient…TROIS HEURES ? Là ça devenait limite insupportable. Surtout quand on sait que pour lui, les internes c’est comme si ils n’existaient pas ! Je ne lui servais même pas d’assistance, mais de poteau ! Et voir les parents des patients se demander ce que je fichais là, à faire le pied de grue derrière le médecin, c’était presque gênant!

Voilà pourquoi, j’avais profité que mon médecin tuteur ne me calculait pas – en tout cas pas plus que d’habitude – pour sortir de sa salle de consultation et souffler dehors dans le couloir. Je marchais quelques instants, me demandant si j’avais le temps de prendre une pause qui m’était légalement autorisée, mais tout en regardant ma montre, j’hésitais: une petite voix à l’intérieur de moi me signalant que ça ne se faisait pas de déserter une consultation sans prévenir. Je relevais alors la tête pile au moment ou un homme vint me saluer. Surprise de le voir arrivé, j’avais eu un léger mouvement de recul avant de réaliser que la tête de ce type m’était familière : il s’agissait d’un interne de septième année que j’avais déjà croisé. « Euhm, Salut ? » lançais-je avec une pointe d’interrogation dans la voix. Que me voulait-il, on s’était jamais parlé avant et voilà qu’il débarque sans prévenir ? Et puis….Bon sang mais qu’est-ce qu’il est en train de faire là ???! Il mate ma poitrine où je rêve ?!
Je ne me sentais déjà pas d’humeur à cause du médecin de la consultation, mais j’allais être encore moins enjouée si ce mec venait à me mater sans scrupule. Il m’interpella par mon prénom tout en vérifiant s’il ne l’avait pas oublié « Oui c’est ça… » Lui répondais-je bien que de mon côté, je ne cherchais même pas à savoir son prénom. En temps normal je l’aurais fait, mais ses yeux qui s’étaient un peu trop focaliser sur une seule partie de mon corps et ne me donnait même pas envie de le connaître ; aussi séduisant soit-il, je n’étais clairement pas intéressée par lui.

Il se présenta tout de même, m’expliquant qu’on s’était déjà vu, et me proposait un café. Je me redressais un peu et croisais les bras contre ma poitrine, avec un air froid et blasé. « Ça dépend ?! » lançais-je vivement et froidement « C’est pour discuter tranquillement ? Ou….c’est pour avoir un peu plus de temps pour mater ? » Il prit un air étonné, et ne le croyant pas sincère, j’enchaînais pour être claire : « Non parce que si c’est le cas, je t’arrête tout de suite, je suis en couple et pas du tout intéressée… » Et je le défiais du regard en arquant un sourcil, attendant qu’il s’explique sur ses intentions qui semblaient vraiment peu cavalières pour le moment.

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 Son salut me parut un peu hésitant au début alors qu'elle me jaugeait avec surprise. OK, j'avais jamais vraiment pris le temps de lui parler depuis la rentrée, et comme on n'était pas de la même promo, on se connaissait peu. Mais c'est dans un vrai effort de prise de contact que j'étais venu vers elle. Sympathiser avec la petite amie de mon Paris me semblait une bonne chose. D'autant qu'on avait déjà le point commun de nos études. Elle confirma, un peu sèchement, que oui elle s'appelait bien Summer et quand je me présentai en l'invitant pour un café, c'est en croisant les bras qu'elle me répondit sous forme de questions un peu agressives et chargées d'accusations. Paris avait dit quoi sur elle déjà ? Qu'elle était adorable ? Hum hum, je déglutis difficilement, l'air tout penaud en tachant de me défendre : "Mater ? Mais non, je..." Et repensant à l'insistance avec laquelle j'avais pu zieuter son badge je saisis. "Je vérifiais ton nom..." bredouillai-je en désignant l'insigne coupable du doigts sauf que dans mon geste maladroit, je l'effleurai.  "C'est involontaire ! Pardon, pardon !" dis-je aussitôt en faisant un pas en arrière mains en l'air pour démontrer mon innocence. C'était que j'avais peur qu'elle m'en colle une. Elle était sur la défensive madame Paris en tout cas, mon pote n'avait pas trop de soucis à se faire si à la moindre invitation pour un café elle adoptait ce ton. D'ailleurs, ça serait peut être le moment de révéler que je connaissais bien Paris, histoire que la demoiselle baisse sa garde. Sauf que les mots qui s'échappèrent de ma bouche pouvaient encore prêter à confusion. "Je sais déjà que t'as un copain. C'est pour ça que je suis venu te voir en fait." Et là, si dans ma tête, ça parait clair, que ça signifie que c'est grâce à Paris que j'étais devant elle, d'un point de vue extérieur, j'avais certainement l'air du pervers de première qui fantasmait sur les nanas en couple...
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You are pissed me off !


Ma mauvaise humeur actuelle était en train de me faire passer pour une véritable harpie, et je me détestais d’être comme ça. Mais voilà, cet homme débarquait vraiment au mauvais moment pour jouer la carte séduction ! En temps normal, je me serais contenté de le jeter poliment en lui expliquant calmement que je n’étais pas intéressée ; mais Dr « Barbiche et Cigare » avait réussi à me plomber ma journée avec son indifférence. Alors forcément, Priape en prenait maintenant pour son grade !

Bon en même temps, il aurait été plus subtil dans sa manière de venir m’aborder, je me serais peut-être montrer un poil plus gentille. Mais là, aller jusqu’à reluquer ma poitrine sans vergogne et me proposer un café la seconde d’après ? Ça ne me donnait clairement pas envie de jouer les filles sociable et patiente. C’est donc plantée devant lui le regard fermé et les bras croisés que je lui avais clairement signalé que je comprenais son p’tit jeu ! Son café – somme toute essentielle à ma survie si j’osais être honnête en cet instant – il pouvait se le foutre ou je pense !! Seulement l’air de Priape au moment où je lui avais fait comprendre que je refusais de le laisser me mater autour d’un café alors que j’étais en couple et heureuse, s’apparentait clairement à de la surprise. Comme si mon affirmation le choquait. Il voulait me faire croire qu’il n’y avait même pas pensé ? Que cette façon de m’aborder n’avait rien à voir avec de la drague mal amorcée ? Je fronçais le regard, un peu sceptique à le voir ainsi bredouiller. Peut-être que je m’étais trompée sur ces intentions ?

J’allais lui laisser le bénéfice du doute à cause de la tête d’ahuri qu’il tirait, et aussi parce que l’histoire du badge était plausible en soi. Mais c’était sans compter sur son geste la seconde d’après : son doigts pointé qui effleurait ma poitrine ? Non mais il se fiche de moi ou quoi ? Je lui laissais un regard noir, en inclinant légèrement la tête et en plissant les yeux et lui, il reculait d’un pas avec les mains en l’air. Les mâchoires serrées, je contractais ma bouche en une moue de sorte que l’intérieur de mes lèvres se frottaient contre mes dents ; et je resserrais mes bras contre ma poitrine alors que Priape rouvrait la bouche : il savait que j’avais un petit copain et c’est justement pour ça qu’il venait me voir ?! Non mais c’est quoi ce pervers ??!! Je décroisais les bras et avançait d’un pas pour lui faire face, le toisant du regard tout en adoptant un ton encore un peu plus agressif que tout à l’heure : « Non mais je rêve. Tu sais que j’ai un copain et c’est ça qui te fait venir ?? C’est quoi ton kiffe : draguer les femmes déjà maquées parce que t’aime les défis ? Ça te rend fort, puissant ? C’est plus drôle que d’aller taper dans la fille célibataire, n’est-ce pas ? » Je refis un pas en avant, gardant mon air agacé et le fusillant toujours du regard. S’il ne s’excusait pas tout de suite, j’irais moi-même me chercher un café pour lui jeter en pleine figure. « Crois-moi, t’as pas fait le bon choix avec moi. Et de toute façon, tu ferais pas le poids face à mon petit-ami… »


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Clairement, elle s’était méprise sur mes intentions, et si dans un premier temp ma surprise et mon malaise semblèrent la convaincre de ma bonne foie, mon petit geste maladroit censé désigner le badge de la demoiselle finit par me discréditer complètement. Bien joué Priape… Je crus que ses yeux allaient me fusiller sur place. Je déglutis difficilement devant son regard assassin avant de reprendre la parole. Je devais pas me démonter, je devais lui prouver ma sincérité avant qu’elle me catalogue comme le docteur mamour qui flirte avec tout le monde dans cet hôpital. Ma petite amie était interne ici quand même, c’était le genre de réputation que je n’avais surtout pas envie que l’on me colle. Puis y’avait Paris. D’ailleurs, c’était son mec qu’elle avait évoqué et c’était à ce propos que je repris, pensant être clair. Oui je la savais en couple, c’était pour ça que j’étais là.

Et aussitôt, après mes mots, la demoiselle décroisa les bras pour avancer un peu plus vers moi avec un air furieux. Qu’avais-je encore dit ? Elle s’excita, vociférant contre moi, reprenant mes mots avec colère, les interprétant à sa manière et là je compris ma boulette. Je me décomposais sur place, perdant mon sourire et ma prestance pour le coup, jetant des coups d’œil autour de nous inquiet qu’une oreille indiscrète traine par là et n’aille répéter cette dispute. Parce que ce n’était qu’un gros malentendu, sauf que son regard avait le pouvoir de me paralyser sur place. « Calme toi Summer… Calme toi je… » Sauf qu’elle lâcha que je ne ferais pas le poids par rapport à son mec, et là je me dis qu’il fallait saisir l’occasion. « J’ai pas l’intention d’aller me battre avec Paris de toute façon. » Là, c’était plus clair maintenant. Si je connaissais le prénom de son cher et tendre, ça faisait déjà moins de moi une menace… Ou pas, j’aurais pu être un ennemi du dunster cherchant à lui nuire en m’en prenant à la blondinette. Donc bref, dépêchons nous, clarifions les choses : « Je… Je suis désolé ok… T’as du… mal comprendre… » commençai-je à bredouiller, me perdant un peu dans mes explications avant de lâcher THE info qui la ferait peut être davantage se détendre, encore plus que le fait de savoir que je connaissais Paris. « Je suis en couple et heureux comme ça, je viens pas pour te draguer… » Et je levai un peu plus les mains en l’air. S’il te plait Summer me fusille pas sur place. « Je veux vraiment te payer un café et discuter parce que Paris m’a parlé de toi voilà… On s’entend bien lui et moi alors je voulais faire ta connaissance… » Elle était désamorcée là, la situation ? Je pouvais me risquer à une petite vanne : « Je me demande quand même comment il a fait pour t’approcher… » Si elle avait été autant sur la défensive lors de ses approches, omg, il avait du lui falloir du courage au garçon.
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Priape me demandait de me calmer, et j’avais limite envie de renchérir en lui disant qu’il n’avait surtout pas à me dire ce que je devais faire en pareil situation ; mais il me coupait net de mon intention en évoquant Paris. Je fermais alors la bouche, et mon regard changea quelques peu, prenant un air interrogateur: Il connaissait Paris ? En bien ou en mal ? Non parce que depuis le début, le comportement de ce jeune homme portait à confusion : ses paroles n’avait rien de très subtiles et s’apparentait à de la drague – sans parler de ses gestes maladroits – mais son comportement nerveux et bafouilleur le rendait presque innocent. Je cessais alors d’avancer pour faire reculer Priape, et recroisais les bras, attendant qu’il s’explique vu qu’apparemment, c’était moi qui comprenait mal depuis le début.

Et effectivement, j’avais vraiment rien compris: Mon humeur général avait eu raison de ma sociabilité et j’avais finalement agressé à tort le pauvre Priape qui commençait à me dire qu’il était en couple et heureux, qu’il souhaitait juste me payer un café parce que Paris avait parlé de moi et qu’il voulait simplement faire plus ample connaissance avec la petite-amie de son pote. Je restais là, à le sonder du regard, fronçant toujours les sourcils en le fixant dans les yeux pour déceler le moindre petit indice qui me ferait douter sur sa version des faits…et au moment où Priape lançait une petite remarque voulue amusante sur la manière dont Paris avait pu m’approcher en sachant mon attitude sur la défensive, je défroissais le regard et laissait tomber mes bras contre mon corps, alors que mon visage prit un air désolé. « Oh mon dieu… » Je me confondais maintenant en excuse, me rendant clairement compte que je devais passer pour une belle hystérique. «  Oh je suis…Pardon ! Vraiment, je suis tellement désolée ! », bafouillais-je d’un ton à la fois timide et honteux. Je rougissais maintenant, complètement embarrassée alors que je reculais de deux pas pour ne plus m’imposer dans l’espace personnel de Priape, et tentait d’expliquer mon comportement horrible : « Je m’en veux…c’est juste que j’ai passé un début de matinée affreuse et…puis, je n’ai pas d’excuse pour mon comportement ! Je suis ignoble. »  Je pinçais les lèvres, et implorait Priape du regard avant d’avoir une idée pour me faire pardonner. « Tu sais quoi, je …C’est moi qui vais t’offrir un café pour m’excuser, c’est la moindre des choses… » Ouais enfin, encore faut-il que Priape ne soit pas refroidie par mon attitude. « Enfin si j’ai pas déjà tout gâché en te faisant passer l’envie de me parler…. » J’haussais alors les épaules et penchais un peu la tête sur le côté, arborant un sourire qui se voulait enfantin et pourrait peut-être me faire regagner un peu d’estime auprès de l’ami de Paris…


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 J'eus d'abord droit au regard septique comme pour si elle cherchait dans mes yeux à savoir si j'étais sincère ou un baratineur de première. Elle resta un moment silencieuse, à me jauger ainsi alors que je bredouillais mes explication. Et l'argument Paris ne semblait pas suffire à la convaincre, pensant probablement que je pouvais également être un grand ennemi du garçon venu semer leur trouble dans leur joli couple. Ce ne fut que lorsque je m'essayais à l'humour qu'elle finit par baisser les armes. Ses bras tombèrent le long de son corps, son visage se décrispa soudain, la colère disparut de ses traits remplacée par un air désolé. Elle s'excusa alors à plusieurs reprises, bafouillant, rougissant même. Un petit sourire attendri étira mes lèvres alors que je secouais la tête pour lui prouver que non, je ne lui en voulais absolument pas. Cette situation m'amusait même plus qu'autre chose à présent que j'avais réussi à la désamorcer. L'important c'était surtout que Paris n'aille pas s'imaginer que j'avais voulu draguer sa copine. À présent que Summer avait compris que mes intentions étaient nobles, plus de quiproquo possible. Il ne nous restait plus qu'à sympathiser, parce que passé ce malentendu de départ j'étais sûr que la blonde devait être quelqu'un d'adorable. "Ignoble ? Mais arrête Summer, c'est pas grave je te promets, je t'en veux pas. Et au moins je pourrais rassurer Paris, si tu as un jour de potentiels prétendants, tu sais t'y prendre pour les envoyer bouler." plaisantai-je pour détendre l'atmosphère.
Puis finalement ce fut celle qui me proposa de m'inviter pour un café. D'un hochement de tête, j'acceptai : "Ca marche je te laisse régler, et t'es toute pardonnée si tu me racontes vraiment comment Paris a réussi à t'approcher." rigolai-je en imaginant que la demoiselle avait du à l'époque se montrer moins réticente aux avances du garçon. On se dirigea vers la salle de pause située quelques mètres plus loin et je poursuivis la conversation en reprenant sur son humeur. Elle ne passait pas une très bonne journée, d'où sa facilité à se laisser emporter, comme j'avais pu en faire les frais à l'instant : "T'es pas tombée sur le meilleur senior du service faut dire... Il t'en fait pas trop baver ?" demandai-je en parlant du pédiatre qui était censé l'encadrer pour les consultations et avec qui je l'avais croisée en début de matinée.
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Faire des boulettes de ce genre, je finissais par en avoir l’habitude. Et quand c’était comme ça, je ne pouvais pas m’empêcher de me dire qu’il fallait que je réfléchisse un peu plus avant de parler.

Je me confondais en excuses, mais le mal était fait finalement : Je venais de prendre un ami de Paris pour un pervers et je lui avais montré une facette de moi qui n’était vraiment pas très reluisante. Nerveuse, je passais mes mains dans les cheveux, avant de plus trop savoir quoi faire si ce n’est continuer de m’excuser et en me qualifiant d’ignoble. Ma chance fait que Priape est quelqu’un de conciliant, voire de non rancunier et alors qu’il faisait de l’humour en disant que maintenant il avait l’assurance de dire à Paris que j’étais capable d’envoyer bouler tous prétendants potentiels, je me mis à rire, bien que celui-ci ressemblait plus à un rire nerveux qu’autre chose « Ouais enfin, j’aurais pu te donner cette confirmation sans être obligée de t’agresser comme je l’ai fait. Pardon… »

Finalement, c’est moi qui lui proposais un café qu’il acceptait volontiers. On se dirigeait alors à la salle de pause, où des distributeurs à café s'y trouvaient. Je passais ma carte magnétique en lui demandant ce qu’il souhaitait boire exactement tout en répondant ensuite à sa remarque sur la manière dont Paris avait réussi à m’approcher. « Tu veux dire avant ou après que je ne l’ai giflé ? » rétorquais-je en pouffant de rire, un peu plus détendue que tout à l’heure. « En fait, je crois qu’il n’a pas eu plus de chance que toi au départ. Bon je ne l’ai pas agressé non plus, mais je ne me suis pas montrée des plus chaleureuses dès le départ ». Je tendais alors la boisson choisie par Priape à ce dernier, et lançais la commande de mon propre café, avant de préciser « Mais à ma décharge, il m’a pris de haut dès la première seconde, alors j’en ai fait autant » Je souriais pourtant comme une idiote en repensant à cette consultation à l’hôpital, où ce cher Mr Maconahey n’avait pas eu l’air d’apprécier être pris en charge par une personne que Leanne à l’époque. Mon gobelet maintenant en mains, je désignais un endroit dans la pièce « on s’assoit ? Je crois que j’ai vraiment de me détendre… » Et c’est ainsi qu’on en revenait à ma journée affreuse qui se déroulait à une allure d’escargot depuis ce matin. Au moins Priape semblait compatir à ma situation, sachant avec quel médecin j’avais passé ma matinée. Un sourire en coin au moment il me demandait si le senior m’en avait fait baver, je répondais en soupirant « Si y’a bien un truc que ce médecin ne sait pas faire : c’est faire baver une femme » Bon, un peu méchant peut-être de dire les choses ainsi, mais faut me comprendre, j’avais vraiment besoin de me lâcher un peu là. « Je ne devrais pas dire ça, ça se fait pas mais….Bon sang qu’il est soporifique !!! Et associable »

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Un vrai petit Bulldog. Le mordant de la demoiselle m'avait bien fait marré et j'étais loin d'avoir pris la mouche. C'était sûrement ma faute aussi de l'aborder ainsi, en prenant toute sorte de détour plutôt que de lui dire cash que j'étais un pote de Paris, j'avais bien entretenu l'ambiguïté sans le vouloir. Et puis, de toute façon, je n'étais pas rancunier : elle m'avait juste un peu enguirlandé, et elle avait été à deux doigts de m'en coller une, donc entre nous, on avait échappé au pire. "T'inquiète, c'est pas grave vraiment. C'est déjà oublié." On allait le boire ce café et se découvrir un petit peu plus, nous avions déjà Paris en commun ainsi que la médecine, j'étais sûr que l'on pouvait se trouver d'autres ressemblances. Je commençais à la taquiner sur sa rencontre avec le jeune homme, me demandant si elle s'était montrée aussi sur la défensive avec lui qu'elle l'avait été à l'instant avec moi. Sa réponse m'arracha un petit rire : "Tu l'as giflé ? Sérieusement ? Je m'en sors bien moi en fait, en m'étant juste pris une soufflante de ta part." rigolai-je alors. J'imaginais très bien la scène. Pauvre Paris. Mais il avait su être persévérant surement pour obtenir les faveurs de la demoiselle sûrement. Je voulais tout savoir. "Faut que tu me racontes cette gifle." J'avais connu le dunster volage, enchaînant les conquêtes alors je voulais savoir comment la blonde avait pu l'assagir de la sorte. Elle me confia qu'il n'avait pas eu de chance au début, qu'elle n'avait pas été très chaleureuse. "Visiblement, tu as su l'être par la suite. Tu le verrais quand il parle de toi..." Il était clairement accroc le petit Paris. D'ailleurs, je n'aurais surement pas du raconter ça à la demoiselle. Mais trop tard c'était dit.. La jeune femme me tendit mon expresso en m'expliquant un peu le démarrage de leur relation. Paris l'avais prise de haut apparemment. "Ca ne lui ressemble pas pourtant." Elle désigna ensuite une table libre et proposa qu'on s'y installe pour poursuivre la discussion. J'hochai la tête pour acquiescer. Elle avait besoin de se détendre et comme je l'avais vue avec le pire senior de l'hôpital, je comprenais pourquoi. "Il est comme ça avec tout le monde. Ne t'en fais pas. Tous les internes passent par là, courage !" fis-je pour la rassurer alors en me rappelant également mes premières journées sous son tutorat. "C'est un gros c******." Si elle, elle pesait ses mots et restait polie, moi en tant que septième année, j'avais la langue un peu plus aiguisée.
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Je savais bien que cette histoire de gifle n’allait pas passer dans l’oreille d’un sourd ! Je riais même franchement de la réaction de Priape lorsque ce dernier se disait finalement chanceux par rapport à Paris: Le futur médecin n’avait eu que des remontrances, et aucun acte violent de ma part. Et alors que je lui tendais son gobelet de café, Priape souhaitait en savoir plus et l’air un peu honteuse je lui répondais « Ce n’est pas super passionnant…et il s’agissait d’un acte de défense ridicule de ma part » avant d’ajouter en plaisantant « T’as bien vu comment je peux partir au quart de tour quand je n’ai pas tous les éléments en main, hein ? » Je pouffais de rire et prenais ensuite mon propre café avant d’indiquer à mon collègue une table où s’installer. Tout en marchant dans la direction indiquée, je déclarais « En fait, c’est suite à un quiproquo que je m’en suis prise à lui après l’avoir croisé à plusieurs reprise avec une femme différente à son bras. Non pas qu’on sortait ensemble et qu’on s’était promis quelques chose à ce moment-là, bien au contraire ! Ce n’était même pas à l’ordre du jour. Mais je ça ne m’a pas empêcher de m’énerver sur lui et lui ? pour me faire taire, il m’a embrassé ! » Je souriais à l’évocation du sourire avant de conclure « Et en réponse, je l’ai giflé pour ce baiser volé » Arrivé à la table, on décalait une chaise chacun pour s’y asseoir, et je posais très vite mon café sur la table, tout en entourant mes mains autour. Quant à Priape, il reconnaissait facilement que cette gifle donné à Paris n’avait pas empêché ce dernier de s’accrocher, et de persévérer avec moi et je souriais en rougissant de manière flagrante lorsque le futur médecin concédait volontiers que Paris s’était entiché rapidement, qu’il fallait juste l’entendre parle de moi pour s’en rendre compte. Je réajustais nerveusement quelques mèches de cheveux derrière mes oreilles sans me départir de mon sourire malgré mes joues en feu, rougissant de plus belle « Je ne pensais pas qu’il parlait de moi à ses amis…en réalité, vu qu’il ne m’a jamais caché le fait qu’il avait pour habitude de fréquenter des femmes différentes sans s’engager, je pensais qu’il aurait mis plus de temps à…enfin…à avouer qu’il s’était engagé justement » Je soufflais sur la surface de mon gobelet pour refroidir le café avant de le boire, prenant toute les précautions du monde avec cette première gorgée bien mérité ! Je soupirais d’aise lorsque le liquide traversait ma gorge, rappelant à Priape à quel point j’avais vraiment eu besoin de cette pause. Bien que je prenais mesure de mes mots concernant Dr Cigare-Barbiche, comme je m’amusais à le surnommé, mon collègue lui, ne se retenait pas pour un sous. J’éclatais de rire tout en plaçant une main devant ma bouche pour retenir mon rire et éviter de déranger les gens en pause à côté de nous. « Ce que je n’aime pas, c’est sa manière de faire comme si on n’existait pas ! Enfin, si : on existe quand il s’agit de lui ramener tout sur un plateau. Le côté larbin ça il connait. Mais, quand il s’agit de s’intéresser à la consultation en elle-même, là y’a plus personne ! J’ai besoin d’apprendre moi, pas de lui servir d’infirmière ! »

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